Enavant, Aux cotés de son père, le petit prince déjà considéré depuis sa naissance comme le futur empereur, et, derrière, un pas en arrière, les femmes, mère et soeurs en soumise attitude. J’espère que cette photo n’a pas été prise pendant l’hospitalisation de Aiko, la cousine d’Hisahito, la seule et unique princesse héritière qui devrait accéder au trône
Le roi, sa femme et le petit prince de Mario Ramos Ricochet Lundi matin, le roi, sa femme, et le petit prince sont venus chez moi pour me serrer la pince. » Et ainsi de suite tout les jours de la chaque semaine. Mais chaque jour ils trouvent porte close. Pourtant, ce n’est pas faute de se donner les moyens chaque jour, ils reviennent accompagnés d’un nouvel acolyte. C’est sûr, ils ne passent pas inaperçus avec leur pingouin, leur hippopotame sur son vélo, leur lion farceur, leurs singes équilibristes, et j’en passe. Une vraie ménagerie… Mais, six jours durant, ils s’en retournent bredouilles. Lorsque le septième jour arrive, tout cette foule bigarrée et bruyante se présente devant la porte de leur ami. Mais quelle n’est pas leur surprise ! Pour une fois leur ami est bien là, mais nullement décidé à les accueillir en sa demeure. Qu’est-ce donc que ces malpolis qui osent se présenter ainsi devant sa porte de bon matin un dimanche, son seul jour de repos ? Le dimanche matin, j’aime bien me reposer ! » PS-la même couronne imagier le roi sa femme Autres activités autour de l’album Activités PS/MS par École petite section Vocabulaire et activités GS par Les poussins malins
Mercredimatin l'empereur, sa femme, le petit prince, le pingouin et l'hippopotame à vélo sont venus chez moi pour me serrer la pince. Le roi, sa femme et le petit prince - Mario Ramos. Car nos mains étaient vides lorsque nous sommes venus en ce monde, elles le seront encore lorsque nous repartirons. La reine des pluies - Katherine Scholes. Je pense que la mort n'existe pas, * 1 U* - v v? K 1' Ps^4*?+- -'Û * , l • ,r T . ^ i . * w - * 'V ’v *."'* V^-»* j^xr^Sr-^ W -é£ ^ ' - î.;* ÙC"-** * £» J&'r > t*£ ... ÂB8të*-; Â’* ;f •' - *'&.-+ ! J&jftö!* , &î£&S?lw$- .' '^*^5%» ' 1Ä ' mm- • jâwM '4s,f *mv, * •v'ÿj -’ 5 w 00 $t'- imétk-, •Â%i '• f 5* ' ' , * , ; ^ * •Æ 1 - ., *.- !.' . ^-' . ÆV r^É2Â*, mm^t >3P8fe Itflift mtm *8ä? ; C£* 'Vs- m&L Sä âü ,n&.. ...'*> *L > i. ' vr- ï HÎÆ •' fit'iUf, ÂY/,Ï W>/* '.’ ; . •••.•-’ ’ ’ /. '• SK5*fi» 1 r DONNER Par Le R O P [cir^ 1847 . -u v ~-^, Gatnuel J/, Û&zztz zt g- 'Z g, ZZ^d*J zz? ZZ'ZdZZZdZf ZZZ -, zzzr-zdzt- Z>UZ , Z'ZZx ,S-Cs y/ C4?’ * t]P Msnz ' a^ZenZe-rst- - // ? Z / ZdJzZZZzZ 'J Jz^ïTZ' -z ylzzy^/tzJ ^-f? r/d z* / ? 0 J Z- /zz^iyC^zd^t €?tz?s?**zdz-'tt^yz y**,.,- 'G ^ ^^ CZ ^ z> ZZd^ Z/ZzZ Z^J^yyZ’ yjzz Yd V" '' J/Z CZ 3 3 LES i? dn HOTEI AE. -s»- des » Eine Sammlung aiiserwühlter Verzierungen und Profile byzantinischer und deutscher Architektur gezeichnet und herausgegeben j von CARL HEIDELOFF, Architect und Königl. der Baukunst an der polytechnischen Schule und Königl. Conservator der Kunst - und Baudenkmale des Mittelaltes in Nürnberg, Ritter des Königl. bayer. Verdienst-Ordens vom heiligen Michael, des Königl. portugiesischen von Mariä Empfängnifs von Villa Viçosa, des Herzogi. sächs. Ernestinischen Hans-Ordens, des Königl. belgischen LeopoIdOrdens und des Königl. schwedischen Wasa-Ordens, Inhaber der Königl. französischen grofsen gold- nen Medaille für Kunst und Wissenschaft, Mitglied des historischen Vereins von Mittel- und Unterfranken und Ehrenmitglied des wirtembergischen Altertium - Vereins; der deutschen Gesellschaft zur Erforschung vaterländischer Sprache und Alterthümer in Leipzig, des böhmischen Vereins zur Ermunterung des Gewerbsfleisses in Prag und des Hcnnebergischen Altherthuin-Vereins in Meiningen wirklicies Mitglied, und Correspondent du Ministère de l'instruction publique pour les travaux 4 historiques à Paris etc. etc. I. Band oder I. — VI. Heft. Mit 48 Stahltafeln und Text in deutscher und französischer Sprache. Zweite Ausgabe vom Texte. I t I Nürnberg, Verlag von Conrad Geiger. 1847 . . »>> a i»! J K* S4* ÿ W- .»» - i.» »,?Iiï5 I 'ît 4 HM»* 'i ,r [ I ». uh ' jp. Stint frtfl r r r,i ' t-~ f? f vri ,1- - .. ;?i I. Cahier. Explication des planches. . .f , Style byzantin. PI. 1. Fig. a, b, c, et d. Quatre chapiteaux de l’église de Saint - Sebalde de Nuremberg, datant du XII e siècle. Le diamètre des colonnes qui les supportent est de huit pouces du Rhin ou On., 21. g. Profil de l’astragale de ces quatre chapiteaux. /. Plan; et h. coupe de lear tailloir. PI. 2. Fig. a, b, d et e. Quatre chapiteaux du XHe siècle. Le diamètre de leurs colonnes est de treize ponces du Rhin ou Om 34. c, f, h. Consoles. g. Face latérale du chapiteau f. i. Profil'de l’astragale k. Tirés de l’église de Saint-Sébalde de Nuremberg. PI. 3. >ii if , Fig. a. Frise peinte à fresque, tirée des ruines du con- vent de Heiligen-Kreuz, .près Neissen, en Saxe. On ignore la date de cet ornement à en juger par le style, il appar- tiendrait^au XI e siècle. Cette espèce d’ornement ne ce trouve que très - rarement en Allemagne. La manie du badigeon et l’amour de la destruction en sont probablement la principale cause. En fait de badigeon, le dôme de Bamberg en offre un exemple. Voy. pl. IV. Nous publierons encore plus tard plusieurs de ces ornements, non-seulement à cause de leur rareté, mais encore pour le puissant intérêt qu’ils offrent. Nous sommes redevable de cet ornement, ainsi qne de la figure c, à la bonté de M. Durst, architecte. I. lieft. Erklärung der Platten. Byzantinischer Styl. Pl. 1. Fig. a, 6, c u. d. Vier Kapitale von der St. Sebaldskirche zu Nürnberg, aus dem 12. Jahrhundert. Ihr Säulendurchmesser beträgt 8 Zoll. g. Profil des Ringes. /. Grundrifs und k. Profil des Kapitälgesimses. Dieses Gesims wiederholt sich auch bei den andern Kapitalem b, e, d. Siehe VII. Heft. Pl. I. u. II. Fig. a, b, d, u. e. Vier Kapitale ans dem 12. Jahrhundert Ihr Säulendurchmesser beträgt 13 Zoll, c, /, n. h. Konsolen f g. Seitenansicht von f. — t. Profil des Ringes k. Sämmtlich der Sebaldskirche zu Nürnberg entnommen. Siehe VII. Heft. Pl. I. u. II. I ein geschmackloses Zeitalter sich nicht scheute. Wie viele dieser Schätze würden sich finden lassen, wenn man die by- ! zantinisclien Kirchen in solcher Art restaurirte; es wäre nicht nur Gewinn für die Kunst, sondern die Andacht der Gemeinde wird in solchem Tempel auch erhöht. Der Dom zu Bamberg gibt hievon redendes Zeugnifs, der mit seinen reinen, edlen und großartigen Massen einen unnennbaren Zauber auf Jeden ausübt. Style gothique. PI. 5. Fig. a. Feuille rampante tirée d’une église de Rouen, du XVe siècle. u- ii. i n i Deutscher gothlscher Styl. Pl. 5. lKiîijrï nu r Fig. a. Blume an einer Kirche zu Rouen aus dem 15.. Jahrhundert. .r> ö tim! ul i'i ,•> oi 5 5 Fig. b. Feuille rampante de Notre-Dame de Paris. Fig. c et d. Feuilles rampantes plus simples, qu’on retrouve aux XIV et XV' siècles , et fréquemment encore plus tard. Fig. e et g. Feuilles également employées fréquemment. Fig. /. Ornement d’une gorge ou cavet à Notre - Dame de Paris. Fig. h et i. Deux feuilles rampantes tirées des stalles de l'église de Saint-Laurent de Nuremberg. Elles sont en bois et datent du XY'e siècle. .H' me » ;....»l uii' îi jii]i; ut uii'i ;m MiilasüTnliiüi! Fig. b. Blume von Notre-Dame zu Paris; beide und die Hohlkehlverzierung vom Verfasser im J. 1826 an Ort und Stelle gezeichnet. Fig. c. u. d. Einfachere Blumen aus dem 14. und 15. Jahrhundert, von der St. Lorenz-Kirche. Fig. e. u. g. Blumen, von der Orgel der St. Sebaldus- Kirche. Fig. f. Verzierung einer Hohlkehle von Notre - Dame zu Paris. Fig. h n. t. Zwei Blumen an Chorstühlen in der Lorenzkirche zu Nürnberg. Sie sind aus dem 15. Jahrhundert und von Holz. • 1, ° nl omiit" nln/1 -tb sJnjB'jiusi sjliirvf .il .;V •il ••»*** ,* . 'inii;. . iif> i »lia >,M!in solliu i'l ..» i-> . .^i'I .î-i la'iinmtiiii'nl ! » , »MU >// 4» »VI/ >!ii; 011101I fi hvX = r . titîH “r wl^ îrr " .Imtl •i£ ! , ii x t *» in» .î? nor T -'*1 bX '' "• i ’i a “,*V»î»i .jni'j *f>Jiii»VÎ „ ;•.> & nil .•vliH 3'iJot'. -ri. ;! inu;; ... iO , 1 »iui*! ob ^rc ' sVï c .; r nr' ' . . pi v ! II. Cahier. • " ™ •;.' ï r . , T 1 Oit >!!!.; '-'il .»!>•»; -“>qmii »•. U»I itl! »0 . 1 f - JJÎ'Î i.,il u" I' .'. J JJ - înijiK >lt osi’gVi >iniîs -//' nb IiioIbîi !•> 1 un ' .1 -. s-, îii7 H/n» Explication des planches. Erklärung der Platten. l! ' - Style byzantin. M -b laiiqwi •>!.*•> oli -ir- '> .' .d ,0 i;'"! nb tumiMf .. ;f . Byzantlnlscltftr Styl. 1 val fc ,.I T. ,b !> >r’ïi ï'j iPI. 1' ' * u - - fj - .1 - • Fig. a, b, c. Frises extérieures de l’ancienne cathédrale d’Ellwangen, dans le royaume de YVirtemberg, de l’époque des abbés Berengaire et Odonberte Xle siècle, d Chapiteau de l’abbaye de Saint-Germain de Paris, e. Chapiteau de la chapelle d’Ottmar à Nuremberg. Ces deux monuments sont du Xle siècle. Ifi PI. 2. Fig. a, b, c. _ Priese am Aeussern der ehemaligen Dom- probstei-Kirche zu Ellwangen in Wirtemberg aus der Zeit der Aebte Berengarius oder Odonbertus lltes Jahrhundert. d. Capital aus der Abtei St. Germain in Paris, und e. Kapital aus der Ottmars - Kapelle in Nürnberg; beide aus dem Ilten Jahrhundert. III PI. 2. Fig. a. Chapiteau d’un pilier, tiré des ruines du couvent des Bénédictins de Hirschau dans le royaume de Wirtemberg. Ce monastère date du temps du saint abbé Guillaume , et fut détruit en 1692 par les Français, pendant les guerres de Louis XIV. 6. Chapiteau du XHe siècle, trouvé dans l’abbaye des bénédictins de Murrhard, fondée en 816. c. Chapiteau de Saint- Sébalde de Nuremberg XHe siècle. d. Chapiteau de l’ancienne église collégiale du Saint-Sépulcre de Denkendorf en Bavière, et du XlIIe siècle. Fig. a. Pfeiler - Kapital, in den Ruinen des Benedicti- ner-Klosters Hirschau in Wirtemberg gefunden. Dieses Kloster stammt aus der Zeit des heiligen Abtes Wilhelm 1 Und ward im Jahre 1692 von den Franzosen im Kriege zerstört. b. Kapital aus dein 12ten Jahrhundert, gefunden in der im Jahre 816 gestifteten Benedictiner-Abtei Murrhard. c. Kapital aus der St. Sebaldus-Kirche in Nürnberg 12tes Jahrhundert. d. Kapital aus der alten Chorherrn-Kloster-Kirche zum heiligen Grab zu Denkendorf in Wirtemberg aus dem 13ten Jahrhundert. Style gothique. , . ... Deutwelier gotliiseher Styl. PI. 3. PI. 3. Fig. a. Ornement de la reliure d’un ancien missel de l’église de Markt -Erlbach impression de cuir, b. Ornement courant de métal d’un rétable de l'église conventuelle des Carmélites de Nuremberg, c. Ornement d'une serrue de la maison dite Unschlitthaus, à Nuremberg, d. Entrée de serrure d’une ancienne maison de Nuremberg, e, g, h, 1 . Rosaces en Fig. a. Verzierung auf dem Einband einer alten Missale in der Kirche zu Markt Erlbach in Bayern Lederdruck. 6. Fortlaufende Verzierung von Metall von den Rahmen der Flügelgemälde am St. Marienaltar in Rottweil im Schwarzwald, c. Verzierung eines Schlofsbleches am ehemaligen Unschlitthause in Nürnberg, d. Schlofsschild an einem alten Bürger- >♦* 0 - +C C » -—-,- — -•*»*> 7 fer d’anciennes maisons de Nuremberg, f. Clef de voûte de l’église de Saint- Jobst, près Nuremberg. PL 4. Fig. o, a. Bordure tissée ou encadrement d’une nappe d’autel de l’ancienne église cathédrale de Saint-Laurent de Nuremberg. fr. Couronne en étain d’une statue de Vierge de l’ancienne église des pèlerins hospitaliers de Sainte-Marthe de Nuremberg. c, d. Détails de la même. e. Plaque, sur laquelle trappe le marteau de la porte de la sacristie de l’église de Saint-Laurent de Nuremberg. Le fond est de drap rouge. PL 5. Fig. a, b. Feuilles rampantes d’une tourelle de Rouen, 1 • formées de feuilles de vigne, c, d et e. Feuilles rampantes des stalles de l’église de Saint-Laurent de Nuremberg, formées de chardon, de feuilles d’orme et de chêne. -jili. PL 6. Fig. a, a. Ornements en bois de la cour d’une maison dite Fünferhaus, à Nuremberg, b. Console de l'autel de l’église conventuelle des pèlerins hospitaliers de Sainte-Croix de Nuremberg. Le fond est bleu et les ornements dorés, d. La partie inférieure de l’autel, formant une sorte de niche, dans laquelle sont placées des reliques, c. Blason de la famille Haller de Hallerstein, à l'église de Sainte-Croix de Nuremberg, du XlVe siècle. Publié à cause des'lambrequins et de l’écusson. VOIIOIBI PL 7. Fig. a, b, c, d , e, /, g, h et i. Rosaces en bois des stalles de l’église du couvent de femmes de Sainte - Claire à Nuremberg, du temps de l’abbesse Caritas Pirkheimer année 1&15. I. Coupe des rosaces, k. Soubassement ou piédestal d’une armoire en vétusté destinée à serrer des vêtements sacrés, et qui se trouvait dans l’église conventuelle des Cordeliers, aujourd’hui magasin de meubles de Bestelmeyer, à Nuremberg. , PL S. Fig. a. Pilastre-console, formant le pied du tabernacle de l’église Saint-Michel à Fuerth près Nuremberg. Ce tabernacle est l’ouvrage d’Adam Kraft, b. Coupe et profil du pilastre. hause in Nürnberg, e. g. h. i. Rosetten von Eisen an alten Häusern in Nürnberg. /. Schlufsstein aus der Kirche zu St. Jobst bei Nürnberg. PL 4. Fig. aa. Gewürkte Bordüre oder Einfassung eines Altar- tuclies aus der ehemaligen Probsteikirche St. Lorenz in Nürnberg. fr. Krone von Zinn eines Marienbildes aus der ehemaligen Pilgram-Spitalkirche St. Martha in Nürnberg von dem Altar, welche die Reformirten mit andern im Jahr 1826 hinausgeworfen haben, die Geistlichen von St. Lorenzen aber stellten diese in ihre Kirche auf, wo sie sich jetzt befindet c. d. Details hiezu, e. Schutzblech eines Thürklopfers an der Sacri- steithüre in der St. Lorenzkirche zu Nürnberg. Der Grund ist rothes Tuch. PL 5. Fig. a, fr. Krappen-Vialen an den Thürmchen Wimpergen in Rouen, nach Weinlaub gebildet, c, d und e. Krappen-Vialen von Holz an den Chorstühlen in der St Lorenzkirche in Nürnberg ; sie sind nach Disteln, Limen und Eichenlaub gebildet. PL 6. . Fig. aa. Holzverzierungen in dem Hofe des ehemaligen Fünferhauses hinter dem Rathhaus in Nürnberg, fr. Console am Altar der Pilgrim-Spital-Klosterkirche zum heiligen Kreuz in Nürnberg; die Verzierungen vergoldet auf blauem Grund. d. Der untere Theil hiezu, eine Nische bildend, worin Reliquien befindlich, c. Wappen der Familie Haller von Hallerstein an der heiligen Kreuzkirche zu Nürnberg aus dem 14ten Jahrhundert wegen des SchildcsundderHelmdeckemitgetheilt. PL 7. Fig. a, fr, c, d, e, f, g, h und i. Rosetten von Holz an den Chorstühlen der eingegangenen Frauenklosterkirche zu St. Clara in Nürnberg, aus der Zeit der Aebtissin Caritas Pirkheimer Jahr 1515. 1. Profil der Rosetten, Je. Fufs- gestell eines ruinirten Mefsgewandschrankes aus der Barfüfser Klosterkirche, jetzt Bestelmeyer’s Möbelmagaziu in Nürnberg. PL 8. Fig. a. Säulenconsole des Adam Kraft’schcn Sacrament- häuschens in der St. Michaelskirche zu Fürth bei Nürnberg, fr. Profil der Säule. »**»i3 r.~ v- naJi*. • ,A .$, •a u*J* ']ul >'•!' •\ ni-iio/ r . 1 ni ,Jtdo • noKiem 'Onoi-iimb tiî eb eiil^YI .1 er .. . 1 " ÎÀ “Iii> M XIItM. .*' f li - . II “• * 'Ï !» jtl U r-MÎMl] ..i *8 ?» -iiß T - n . . ui n * h ' J*l*llin III. Cahier. -»i. - ' nli ii if-in......' 5 ib Aj - r-fr U • “»il. T'ilmf -’ . . J 1 Explication des planches! ' ' ; J i ïptftlll' - - iK II - , if li» J*• . i' Fig. a, b, c et d. Consoles de la tour dite faussement des Païens, et dont la tradition a cherché à faire un temple de Diane. C’est ce que contredisent néanmoins les figures qu’on voit à cette tour; c’est ce que détruit plus puissamment encore l’architecture de toute la construction. Car si, selon toutes les apparences, Conrad I fonda le château en 913, cette tour cependant, qui appartenait à l’église de Sainte-Marguerite et à la chapelle impériale élevée précisément au-dessus de ses voûtes cette tour, disons-nous, est sans aucun doute du règne de Henri II le Saint et de sa femme Cunégonde. C’est ce qui est prouvé suffisamment par le caractère des ornements, qui ressemblent d'une manière complète à ceux du dôme de Bamberg, que Conrad 1er éleva au commencement du onzième siècle. Les statues assises de l’empereur et de sa femme sont pratiquées sur les faces de cette tour, dite des Païens, et malgré l’injure du temps on les reconnaît encore distinctement. La similitude du caractère de ces figures et des ornements de la tour dite des Païens avec les figures et les ornements du dôme de Bamberg, est tellement incontestable, qu’il ne peut plus y avoir de donte sur l'époque de sa fondation. On aperçoit à cette tour de fortes traces de vandalisme et de destruction. D’après Murr , dans sa Description des curiosités de la ville de Nuremberg, on en enleva, en 1520, plusieurs statues et des sculptures représentant des oiseaux et des têtes d’animaux. En l'année 1560 la tour elle-même fut diminuée de hauteur et restaurée, e. Fleuron ou pompon byzantin placé au-dessus d’un pilier du chœur de l’église abbatiale de Ileil- bronn; cet ornement n’est cependant pas à sa place dans cette église. Il a appartenu à la chapelle sépulcrale de la maison de Prusse, bâtie en style byzantin, et qui, en 1712, fut convertie d'une manière barbare en barbare en brasserie. A cette iqqüu •!.!-' V .,fc lï -»lî •>fl >up> *»fl . ' ; t„ nfl/îin » UO !* • -"hofi . ,n flN oii»^ • !».= il;*'- cnoiscH'l Y IsJnc'f- III Heft. q "I > MÎT il -j II *IiJ'»l ib U OIIIDIO .’jj-iOlfni’IT • jjji 'j »um Erklärung der Platten. 11 i “ ; Byzantlnlsrher Styl. PI. 1. .'»i io '»Hin. Fig. a, b, c und d. Kragsteine, an dem irriger Weise, sogenannten Heidenthurme in Nürnberg, den die Sage zu einem Dianen- il I Tempel machen wollte , was jedoch schon durch die an diesem Thurm angebrachten Figuren, so wie durch die ganze Bauart überzeugend widerlegt ist; denn obschon aller Wahrscheinlichkeit nach, Conrad I. im Jahre 913 der Erbauer der Burg gewesen seyn kann, so ist doch dieser Thurm, der zur St. Margarethen-Kirche und zu der über ihrem Gewölbe erbauten Kaiser-Kapelle gehört, ohnstreitig aus der Zeit Heinrichs II., des Heiligen und seiner Gemahlin, der heil. Kunigunde, was schon der Charakter derVerzierungen, welche mit jenen dcsBamberger Doms, den erstgedachter Kaiser Anfangs des eilften Jahrhunderts erbaute, vollkommen übereinstimmen, genügend - erweist. 1 * Die sitzenden Steinbilder des Kaisers und seiner Gemahlin sind an diesem sogenannten Heidenthurme angebracht und trotz der Verwitterung deutlich zu erkennen; überhaupt ist Charakter und Aehnlichkeit der 'Figuren und Verzierungen am Bamber- ger Dom, und an diesem Thurm so unverkennbar, dafs über die Zeit der Erbauung wohl kein Zweifel stattfinden kann; man sieht an diesem Thurm auch noch deutliche Spuren früherer über ihn ergangener Zerstörungslust, besonders sollen nach Murr in seiner Beschreibung » der Denkwürdigkeiten a Nürnbergs, — mehrere Bilder, Vögel und Thierköpfe daran ,> im Jahre 1520 abgebrochen, der Thurm selbst im Jahre 1506 niedriger gemacht und ausgcbcssert worden seyn, e. Byzantinische Blume über einen Pfeiler am Chor der Klosterkirche zu Heilbronn; diese,, Verzierung gehört jedoch nicht hieher, sondern,; an die, den hohen Ahnherrn „des königl. preußischen Hauses, im byzantinischen Style erbaute Begräb- nifs-Kapelle, welche im Jahr 1712 auf vandalische Weise in ein Brauhaus verwandelt, die herrliche Klosterkirche wurde Mt +Mt 9 occasion la belle église conventuelle fut mutilée, dépouillée d’une quantité de ses richesses, et son magnifique cloître'*fut entièrement démoli. Voyez l’ouvrage intitulé ,,Der kleine Byzantiner le petit Byzantin de Heideloff, Nuremberg, chez Kiegel et Wiessner, 1837. /. Couronnement de porte du temps de l’abbé Herbot, placé en 1180 dans une chapelle des r T* I ,, pèlerins auprès du couvent des Bénédictins de Mannliard. Ce couronnement 1 n’est pas non plus à sa place primitivb mais il était placé anciennement au-dessus de la porte de la chapelle de Waltheric, qui existe dans le 1 cimetière, auprès de l’église • f abbatiale. Le buste royal à' la droite de l’Agnus Dei représente l’empereur Louis le Pieux, qui, selon la tradition, aurait fondé le couvent en 817. Autour de l’Agnus Dei et au bas de la bordure horizontale, l’on voit des inscriptions effacées et qui sont malheureusement illisibles. n am> q. Ijlt'iî " . T ... i. ; -1-.. n-iï-!i c iu V - aias ii*i " ifi PI. 2. ,r Bd Fig. a. Frise de la chapelle conventuelle dite Walthers O ï 3 1 - Zelle de Murrhard, avec profil. Cette frise est du temps de l’abbé Herbot et de l’année 1180. b. Kosace du dôme de Bamberg, communiquée par M. Machold, sculpteur, c. Rosace du chœur bâti dans le style byzantin de l’église conventuelle de Sainte-Claire de Nuremberg. Cette église sert aujourd’hui de douane, d. Rosace de l'église conventuelle de Heilsbronn. e, /. Chapiteaux de l’ancienne chapelle castrale de Cobourg, restaurée par M. Gœrgel, architecte et notre collaborateur. Cet artiste dirige la construction du château depuis deux ans 1838, 1830, et l’on peut se réjouir de la quantité de monuments historiques, de vestiges de l’art ancien, qu’on a retrouvés pendant cette restauration, .vestiges rendus au public par un protecteur aussi éclairé des arts que le duc régnant Ernest de Saxe-Gotha et Cobourg, qui lui-méme a fait exécuter un grand nombre d’œuvres remarquables en fait d’art, g. Chapiteau de Saiot-Sébalde de Nuremberg. , i. -illti'!' -il» ;;-ill- .i ir r - P] 5 • ! * ilnomin i.'K t. ' .' * * ' Fig.'a, èp'c'et rf. Frises de la chapelle Waltheric, dans le couvent de Murrhard ^'et qui contournent le portail, e. Six consoles diverses du onzième siècle de l’église Saint-Sébalde de Nuremberg. in •no i' r - ntiiti'i . Style gothique. -Viiif- iH-iot slili . ... PI. 4. . . , - oiüüîll emi i - . ir ’ ù Fig. 1 a. Forte console du chœur de l’église de Saint-Laurent de Nuremberg, b, o. Ornement et feuille rampante des verbaut, vieler Kunstschätze beraubt,’und der wunderschöne Kreugzang hinweggerissen. — Siehe" den kleinen Byzantiner von Heideloff. Nürnberg bei Riegel und Wiefsner. f. Thür- Aufsatz aus der Zeit Abt Herbots im Jahr 1180 an einer Wallfahrt8 - Kapelle, jetzt Gottes - Ackerkirche des Orts; auf einer Anhöhe bei dem Bcnedictiner - Kloster Murrhard eingemauert; auch dieser Thür-Aufsatz ist, 'seiner"gegenwärtigen Stellung nach, nicht am rechten Platze, sondern gehörte bestimmt früher einer jetzt zugemauerten oder veränderten „i. Tliüre der Walderichs - Kapelle an, welche auf dem Kirchhofe der Klosterkirche steht. Das Königbrustbild zur rechten des Agnus Dei, 'stellt Kaiser Ludwig den Frommen vor, welcher, der Sage nach, das Kloster im Jahr 817 gestiftet haben'soll; um das Agnus Dei, und unten am Rande sieht man verwitterte Inschriften, welche leider nicht mehr zu lesen sind. ,F - ’ iîîï n .7; >ii>f-i’*r .dii- »• . 'il; ’’ o PI. 2. 7 - h ob - O II 'I 'I Fig. a. Fries an der Kloster - Kapelle Walderichs - Zelle zu Murrhard, nebst Profil aus der Zeit Abts Herbot, im Jahr 1180. b. Rosette aus dem Dom zu Bamberg, mitge- theilt vom Bildhauer Machold. c. Rosette aus dem byzantinischen Chor der St. Clara-Klosterkirche, jetzt Mauthhalle in Nürnberg, d. Rosette aus der Klosterkirche zu Heilsbronn in Bayern, e, /. Capitale aus der alten Burg-Kapelle der Veste Coburg, welche vom Herausgeber dieses, durch den Architekt Görgel wieder hergestellt wird; derselbe leitet den Burgbau bereits drei Jahre, und es ist erfreulich, welche herrliche Ucberreste der Vergangenheit daselbst jetzt durch den kunstsinnigen regierenden Herzog Ernst van Sachsen - Coburg - Gotha, dem Schöpfer, so .vieles Schönen, und Grossen, der Kunstwelt i wieder gegeben werden., ,j Capital aus der St. Sebaldus-Kirche zu Nürnberg, n, n->nnpnVil'ir - "il In 1 1 . io so i 'iiie . sl nah noit -I i!i i;. - " -i> . .1 ailoi-si ,! so! onnp lo .iii. -i. v inj i '. d tn »Ino jniii PI. 3. , , ► n um >ss iqos .-o> Fig. o, b, c et d. Friese der Walderichs-Kapelle im Kloster Murrhard, welche um das Portal herumlaufen. e. Sechs verschiedene Arten Kragstein - Capitale der St. Sebaldus-Kirche zu Nürnberg aus dein eilften Jahrhundert. Deutscher gatlilseher Styl. . .,. r -im ' i iii n - nt - . .. ' oiii PI. 4. . i. > me - Ol , Sil .fit - - I J I - u ifiFig. a. Grofser Kragstein "am >Chor dder St. Lerens- Kirche zu Nürnberg. 6, c. Verzierungen'und Krappen Vialea 2 ►♦XJS- >• v -a »Ol % - 10 stalles de la même église, en bois de chêne, d, e, f et g. Ornements pris des mêmes monuments. ’'IV PI. 5. u Fig. a. Poignée d’une armoire destinée à contenir des chasubles dans l’église du bourg Erlbach, en Franconie. b. Platine d’une serrure à l’hôpital dit de Bebcnhaus à Tubingue. c. Ornement d’une serrure du presbytère Saint-Laurent de Nuremberg. d. Plaque ou écusson du heurtoir ou marteau de la porte de l’église de la chapelle de l’hôpital Sainte - Croix des pèlerins de Haller, dans le faubourg Saint-Jean de Nuremberg e. Plaque ornée de serrure d’une maison de Nuremberg. /. Feuille rampante prise des stalles de l’église Saint-Georges de Tubingue. g. Feuille rampante et enroulée d’une stalle ayant appartenu autrefois à l’église conventuelle des Frères-Prêcheurs église de l’hôpital à Stuttgard. Cette église a été démolie. h. Ornements sculptés en bois du dortoir du couvent de Bebenhausen. G PI. 6. Fig. a, b et c. Ornements aux stalles de l’église de Saint- Georges de Tubingue. n '!> i PL 7. Fonts baptismaux et détails de l’église Sainte-Marie de Rentlingen, sauvés d’un incendie avec plusieurs autres beaux monuments, parmi lesquels s’est trouvé un saint sépulcre, merveilleusement travaillé, dont nous comptons donner la description dans la suite de cet ouvrage. Ces fonts forment un octogone; les bas-reliefs, qui sont d’une composition ingénieuse, représentent le baptême de Jésus-Christ par saint Jean, et les sept sacrements. PL 8. an den Chorstühlen daselbst —- von Eichenholz. d, e, f u. g. Verzierungen von ebendaselbst. ,, , i iiw il ln 1 PL 5. • - V "i’- ' n. Fig. a. Handgriff an einem Mefsgewand -Schrank Kasten in der Kirche des Marktfleckens Markt Erlbach in Franken. b. Schlofsblecli am Bebenbäufser Pfleghofe zu Tübingen. c. Scblofsverzierung am Lorenz - P fairlief zu Nürnberg. d. Schild am Anklopfer der Kirclithüre der Kapelle des v. Haller’schen Pilgrim - Spitals zum heiligen Kreuz in der St. Johannis - Vorstadt zu Nürnberg. e. an einem Privathause zu Nürnberg. f, Krappe Viale an einem Chorstuhle in der St. Georgen - Kirche zu Tübingen. g. Krappe Viale an einem noch Vorgefundenen Chorstuhle der abgebrochenen vormaligen Prediger-Klosterkirche Spital- Kirche zu Stuttgart, welche jetzt durch seine üble Restauration viel verloren hat. h. Verzierungen in Holz geschnitten, aus dem Dorment des Klosters Bebenhausen. . 1 PL 6. liiinü, i • Fig. a, b u. c. Verzierungen an Chorstühlen aus der St Georgen - Kirche zu Tübingen. 1 ' PL 7. Taufstein nebst Details aus der Haupt- oder Marien- Kirche zu Reutlingen, welcher aus einem verheerenden Brande nebst noch vielen schönen Denkmalen und namentlich einem kunstreich ausgearbeiteten heiligen Grab erhalten worden ist, dessen Beschreibung in Folge dieses Werkes aufgenommen werden soll. Dieser Taufstein bildet ein Achteck, die Basreliefs sind sinnreich componirt, und stellen die Taufe Christi durch St. Johannes Baptista, und die sieben Sab ï>tn>";!'i - - - ^ " — -. . " - gen, und im falsch verstandenen Eifer alle Kunstwerke van- dalisch zerstört, das Kloster selbst aber, wegen seiner fetten Weiden, zu einer Stuterei eingerichtet. Die 'Rettung des oben genannten Gegenstandes verdanken wir dem, um die Erhaltung der Kunstdenkmale Wirtcmbergs so hoch verdienten Grafen Wilhelm von Wirtemberg, Erlaucht, welcher nun auch dieses Tabernakel den übrigen Kunstdenkmälern des Mittelalters beigesellt hat, womit die Räume seines erst kürzlich durch den Verfasser hergestellten Felsen - Schlosses Lichtenstein, bei Pfullingen, geschmückt sind. .•iliDGfllM 8'ID ,lrtü isibsiri'-rrf-rtl »"înj if- id slt .r !f • m, ^ >' - ' ij -, ? »i "!•». h i fit •'.vx î*u ' I. / * 1 i,ii - ^ • • 'i-j!* Tt ! . i / 1 ’ ' . i .. i t . .. ' >. it> - • ui\\ / • ii’M-».. ’».• •ft*! • H i{. ' »I h \ } r'b *! 5 •*> t»*. » ;lßv • .VirwTt T J . "k> '» fflil m*>;T v!;ii, .i - > • • ’if i’A *fî l.'Ki. *>!. k . r ci i» » • *i* -•i\ nKÎ>îl . t . ;* • ' !•! .»» • m/. \t - i! —».iti*.. 1 ’-Vf -Ht ipii . •- , f üwhI ' • ..» *• t J ijV Bonne 1 .! f ...I t ^ "Mbl*./? - *Kfii”î?Sh . '. • ; tirtid fîi'î-ii.'î "th a»!;i b bit.,- >1 >» ’J ' ! -T 1 “"... P * I . • Î • '•. t, 6 iX y' ’ ' 1 / f Ä**-. *t • ’ Ui ; • .lh»c 1 ? • /. I ! iCFlf^ ui • di,i U ;fJ04 J'0 *» ti’v^ * •». • nfi ’*»•• ’;r. VtVf ?'*, i >riyin •’/ ’l», V" ’ i-> 1 ;* M il'\ T > ». .rSiîtjii 'V j r» ne ^ 41 > ^. f y ' *.. M * u l r iï i . it - ,;!• •Hli. »iiJ I- >f» fio , 11 if Dkirin A '.».ni IV. Cahier. Explication des Planches. Style byzantin. PL 1. Fig. a, b. Chapiteaux byzantins, ayant de l’analogie avec le style arabe, tirés de l’ancienne église conventuelle de l’o rdre de Citeaux et église collégiale de Lilienfeld , dans la basse Autriche, du règne de Léopold - le - Glorieux , duc d’Autriche et de Styrie. Ces chapiteaux sont de l’année 1232. Le duc et sa femme Alexie, parente de l’empereur de Byzance, sont enterrés dans cette église. En l’année 1597, ce couvent eut à souffrir cruellement de la révolte des paysans, et plusieurs de ses curiosités et objets d’art furent entièrement détruits, ainsi que certaines parties de son architecture, c, d. Base et chapiteau byzantins du couvent des Bénédictins de Lorch, dans le royaume de Wirtemberg, et fondé par les puissants princes de la maison de Hohenstaufen. Ce chapiteau faisait partie d’une fenêtre géminée d’une cellule au-dessus du cloitre. A cette baie appartenait aussi la base d. Ce couvent, et plus particulièrement son église, dans laquelle se trouvait le caveau des empereurs de la maison de Souabe, est dans un état de ruine, malgré les restaurations qu’on y a entreprises, et il offre encore les traces du vandalisme stupide des paysans révoltés en 1525. On y voit aussi les marques de la brutalité d’une autre époque, de celle de la réformation ; brutalité qui n’eüt pas existé si les vandales du seizième siècle eussent été instruits de ce que les grands princes de la maison de Souabe avaient fait pour la patrie, et auxquels on en doit encore aujourd’hui une éternelle reconnaissance. Le couvent et l’église de Lorch sont les seuls monuments d’architecture du royaume de Wirtemberg du règne de ces grands et superbes princes, qui surent amener pour l’Allemagne un siècle semblable à celui d’Auguste quant aux arts. L’Allemagne doit voir restaurer ces monuments, elle en a l’obligation à une époque où les monuments commémoratifs et les statues sont si fort à la mode. ";il i l'.v' ins' IV. Heft. .1, • Erklärung der Platten. Byzantinischer Styl. PL 1. Fig. a, b. Byzantinische Capitale im annähernden arabischen Style aus der alten Kirche des Cisterzienser-Klosters und Stifts Lilienfeld in Unterösterreich, und zwar aus der Zeit Leopolds des Glorwiirdigen, Herzogs von Oesterreich und Steiermark, vom J. 1232; er liegt daselbst nebst seiner Gemahlin Alexia, einer Anverwandten des griechischen Kaisers. begraben. Im Jahre 1597 wurde dieses Kloster von den aufrührerischen Bauern hart mitgenommen und mancher interessante Bautheil desselben zerstört, c, d. Byzantinisches Capital und Säulenfuß aus dem von den grofsen Hohenstaufen gestifteten Benedictiner - Kloster Lorch in Wirtemberg; dieses Capital gehörte einem kleinen gekuppelten Fenster in einer der Mönchszellen über dem Kreuzgang an, woselbst auch der Säulenfufs Fig. d. gefunden wurde. — Dieses Kloster , namentlich die Kirche, in welcher die Familiengruft der schwäbischen Kaiser war, ist, trotz einiger Keparaturen, noch immer in bufswürdigem Zustande, und zeigt noch jetzt die traurigen Spuren, welche im Jahre 1525 die rebellischen Bauern, durch dummen Vandalismus, und fanatische Zerstörungslust Anderer daran hinterlassen haben, was ge- wifs nicht geschehen wäre, wenn die Verwüster gewufst hätten, was die grofsen Kaiser aus schwäbischem Stamme dem deutschen Vaterlande waren, was dieses ihnen heute noch schuldet. Kloster und Kirche Lorch ist noch das einzige Baudenkmal Wirtembergs aus der Zeit jener herrlichen Regenten, die über Deutschland das Kunst - Zeitalter eines Augusts herauf führten, und ihr Vaterland hat die Verbindlichkeit, jene Bauwerke wieder möglichst herzustcllcn, soll es nicht — in einer Zeit der Denkmäler und Standbilder — den Vorwurf des gesummten deutschen Volkes hören, für seine grofsen Männer, für die berühmten Sühne seines Vaterlandes - ; 3 - 0 -VCTf - 'kmmm P- cc . . -a 14 ? sieurs ordres religieux et comme seigneur souverain, U avait le droits d’après les lois ecclésiastiques, d’avoir son prie-Dieu en face du trône épiscopal, et par conséquent à la gauche de l’autel. juillet,1474, le comte Evrard épousa la princesse Barbe, fille du margrave L nu > s de Mantoue, de la maison de Gonzague; elle était petite-fille du margrave Albert-Achille de Brandebourg. ll;est probable qu’Evrard la princesse Barbe à la cour de son père, ce qui a pu arriver pendant ses fréquents voyages à ltome; et c’est encore pour cette raison qu’il Oit facile de deviner pourquoi il fit représenter, sur son prie-Dieu les figures de sainte Barbe et de saint Pierre, la première comme la patronne de sa femme, le second comme souvenir de Saint-Pierre de Home. Le motif du bas-relief placé sur la face principale et extérieure est singulièrement choisi il représente Noé ivre, couché dans une cabane ombragée de feuillages et de pampres. Ses deux fils aînés viennent de le couvrir d’un manteau mais le plus jeune j ne respecte pas son père, et Noé donne sa malédiction à Cliam qui s’est moqué de lui, tandis qu’il bénit Sem et Japhet Genèse, chap. V, v. 21 à 25. On ne peut donner que des conjectures trèsliasardées sur l’idée que le comte Evrard ou les artistes eurent en choisissant ce sujet; aurait-on voulu symboliser l’ivrognerie et ses conséquences, montrer de quelle manière elle peut donner lieu à un fils de se moquer de son père et au père de maudire son fils? Dans quelque intention que ce choix, en apparence si baroque , ait été fait, il est certain qu’on sait par beaucoup d’exempels analogues combien on se plaisait alors à reproduire de tels sujets, pour obtenir par les moyens les plus curieux des résultats sérieux. Toute cette chaire a le même ton; le chêne a conservé sa couleur naturelle, sans la moindre polychromie; à l’exception cependant de la clef de voûte ou sorte de panneau central, et encore de la devise du comte „Attempo“ je hasarde, où l’on remarque de la dorure; on en voit aussi aux deux petites rosaces. L’ensemble est un chef d’œuvre de sculpture en bois on y remarque une grande variété, comme le font voir nos planches. Il est à regretter que ce siège ait été aussi endommagé, dans sa partie supérieure surtout, dans son couronnement, où il manque des clochetons ainsi qu’une partie des beaux ornements accompagnant les armes du prince. Les supports du blason, sous la forme d’anges, sont également très-mutilés. Il parait que le conseil de fabrique d’Lracli a l’intention de faire restaurer ce prie-Dieu par un artiste habile ù imiter le style du moyen âge; l’histoire et les patriotes véritables lui en devront de la reconnaissance. Il est à regretter que, dans les anciennes églises du YVirtem- berg, le chœur reste sans destination, quoique l’Eglise protestante ait reconnu la nécessité de conserver ce chœur pour y placer l'autel avec toute sa signification sacrée et relative à la partie liturgique du culte, et posé ce principe comme apparte- j! kostbareu thronartigen Stuhl im Jahre 1472 machen, nachdem lj er 4 Jahre vorbei;,aus dem heiligen Lande heimgekehrt war. I Als Mitglied vieler geistlichen Orden und als Landesherr stund j! ihm. nach der kirchlichen Observanz, jener Zeiten das Hecht zu, seinen Betstuhl d,qm Kirchensitze des Frohstes gegenüber aufzustelleu, und folglich auf der linkcu,Seite des Altars.,,, Am 4. July 1474 vermählte., sich Graf Eberhard mit Barba- ra , Tochter des Markgrafen Ludwig von Mantua, aus dem Hause Gonzaga; sie war eine Enkelin des Markgra- ! fen Albrecht Achilles von Brandenburg; wahrscheinlich !! hat Eberhard seine nachherige Gemahlin am Hofe ihres Vaters kennen gelernt, was bei seinen, öfteren lieisen nach Horn wohl möglich war, und aus diesem läfst sich auch erklären, warum er an gedachtem Betstuhl das Bild der heiligen Barbara und St.,Feters anbringen liefs, ersteres als das der Namens - Patronin seiner Gattin und das zweite als Erinnerung an St. Peter in Hom. Sonderbar gewählt erscheint der Gegenstand des Basreliefs an der Brüstung des Belschcmels, welches nach Genesis cap. 9, v. 21—27 den Noah verstellt, wie er vom YVeine trunken in einer mitWcinlaub umschatteten Hütte schläft, von seinen beiden älteren Söhnen mit einem Kleid bedeckt, von dem jüngsten Sohne aber verspottet wird Noah spricht den Fluch über Ham, den Spötter, aus, während er Sem und Japhet als gute Söhne segnet. Ueber den Sinn , der dein Stifter dieses Betstuhls, dem Grafen Eberhard, oder den Künstlern bei dieser Wahl vorschwebte, lassen sich nur gewagte Vermuthungen aufstellen; sollte vielleicht das Laster der Trunkenheit in seinen Folgen hier versinnlicht werden, wie es einerseits dem Sohn zur Verspottung seines Vaters An- lafs gibt und diesen wieder zur Verwünschung seines Sohnes verleitet? — Welche Absicht aber auch diese so ganz barok scheinende Wahl geleitet haben mag, so weifs man aus un- zählichen Beispielen, wie sehr sich jene Zeit in ähnlichen Vorstellungen gefiel, und wirklich gute Absichten durch die wunderlichsten Mittel zu erreichen suchte. Der ganze Stuhl ist einfarbig, Eichenholz in seiner natürlichen Farbe, ohne alle Polychromie, mit Ausnahme einiger Vergoldung an dem Schlufsknopf des Plafonds, dann an dem Wahlspruch des Grafen „Attempo“ ich wag’s! und den beiden Höschen. Das ganze ist ein Meisterwerk altdeutscher Schnitzkunst und in grofser Mannigfaltigkeit vorgetragen, wie an den folgenden Details-Zeichnungen zu ersehen seyn wird ; zu beklagen ist, dafs dieser Stuhl so bedeutend beschädigt ist, vorzüglich der Aufsatz, wo ganze thurmartige Parthien nebst den wunderschönen Verzierungen an dem gräflichen Wappen und an den beiden Engeln als Schildhalter fehlen. Dein Vernehmen nach will jetzt der Stiftungsrath von Urach diesen herrlichen Betstuhl durch einen in dem altdeutschen Styl erfahrenen Künstler wiederherstellen lassen, wofür ihm die Kunstgeschichte und jeder C» l Ocei 15 liant essentiellement à l’église chrétienne. Autrement l’auteur aurait proposé de replacer ce monument curieux du fondateur de la maison de Wirtemlierg à sa place primitive, après qu’il aurait été restauré, d bru. lo-rl-j Ui. 1U U’ PI. 3. Fig. a. Décoration du côté droit extérieur du siège. Voy. la pl. précédente. Le travail en est merveilleusement exécuté, et la figure du saint Pierre est surtout belle, b. Feuille rampante , sur une plus grande échelle; elle se répète souvent et se diversifie dans cette chaire, c. Fragment et profil de la base du montant ou chambranle qui supporte la naissance de l’arc principal, d. Chapiteaux de ce montant ou chambranle, e. Ornement supérieur du côté droit des arcades, prenant naissance sous le couronnement du baldaquin, f. Ornement latéral du dessus des ogives eu accolade, ornant le côté droit du siège, au-dessus de la Madone. Voy pl. VII. g. Profil des petits chapiteaux d’angle, sur lesquels s’élèvent les ogives en accolade au côté droit du siège, h. Feuille tirée du panneau orné de feuilles de vigne, de pampres et d’oiseaux au-dessous de la figure de saint Pierre. Voy pl. II. PI. 4. Fig. a, b. Feuillages sculptés en relief sur les deux panneaux immédiatement en-dessous de la figure de saint Pierre. Voy. pl. II. c. Partie d’une frise courante dans l’église de Saint-Amand d’Urach. PI. 5. Fig. a, b. Ornements en relief et a jour de l’arc du baldaquin en dessous du couronnement; a à la gauche, et 6 à la droite de la chaire, c, d, e, /. Plusieurs feuilles rampantes du couronnement du panneau de la figure de suinte Barbe. Voy. pl. VIII. Pl. 6. a, b, d, e. Feullcs rampantes aux ogives du couron- c. Chapiteau - console supportant la figure de saint Fig, nement. Pierre. Voy. pl. II et III. /, g. Ornements des panneaux latéraux du prie-Dieu. Voy. la vue générale , pl. II ►»X3» Patriot dankbar seyn würde. Schade ist es, dafs in den wir- tembergiseben alten Kirchen der Chor nicht benützt wird, obgleich die protestantische Kirche die Beibehaltung eines Chors als die Stätte des Altars mit all seiner tiefen Bedeutung für den liturgischen Theil des Kultus als unerläfslich für das Wesen seiner christlichen Kirche angenommen hat; sonst würde der Verfasser dieses in Vorschlag bringen, diesen herrlichen Betstuhl Eberhards, als das interessanteste Denkmal des Gründers des königl. wirtembergisclien Fürstenhauses, wieder hergestellt an seinen ursprünglichen Platz zu stellen. Pl. 3. Fig. a. Dekoration der äussern rechten Seite des Stuhles siehe die vorhergehende Platte. Die Arbeit ist vortrefflich ausgeführt, und die Figur des heil. Petrus ganz vorzüglich, b. Krappe Viale in gröfserein Maafsstabc, welche oft und verschieden an dem Stuhl vorkomint. c. Fragment der Ansicht und Profil des untersten Theils der Cambrale des Hauptbogen8, am Eingänge zuin Stuhl, d. Capitale an obiger Cambrale. e. Obere Verzierung an der rechten Seite der Bögen unter der Krönung am Baldachin entspringend. /. Obere Bogenverzierung an der inneren rechten Wand über der Madonna siehe PI. VII. g. Profil des kleinen eckigten Capitälchens dieser Verzierung. h. Größere Form eines Traubenhlattes an der mit Weinlaub - Gerankc und Vögeln verzierten untern Füllung der St. Peters-Figur siehe Pl. II. PI. 4. Fig. a, b. Durchbrochenes Laubgewinde in beiden Füllungen unter St Peters - Figur siehe PI. II e. Fragment eines fortlaufenden Ornaments an der innern Brüstung dieses Betstuhls. Pl. 5. Fig. a, b. Durchbrochene Verzierungen an den Bogen des Baldachins unter der Krönung, a. auf der linken und b. auf der rechten Seite des Stuhls, c, d, e, f. Verschiedene Krappen Vialen an den Bögen in einem Theil über der Figur der St. Barbara siehe PL VIII. Pl. 6. Fig. a, b, c, d, e. Krappen Vialen an den Bögen der Krönung, c. Capital - Console, auf welcher St Peter steht siehe PI. IL und III. /, g. Verzierungen, welche unten in der Seitenfüllung des Betschemels angebracht sind, bei der Hauptansicht des Betstuhls siche Pl. II. M* 16 n il il~ j PI. .7. . - ' ' Ml' Fig. a. Vue perspective du plafond et des côtés latéraux de la chaire; à la droite se trouve la Vierge ayant à ses genoux le comte Evrard, à la gauche on voit sainte Barbe. La rosace centrale du plafond porte le blason de Wirteraberg et de Montbéliard il a pour support deux anges qui sont dorés, ainsi que le mot Attempo, et les deux rosaces de la banderole. b. Ornement des accotoirs de l’escabeau. Voy. pl. II. e. Console ou miséricorde du siège. Pl. 8. Fig. a. Face gauche latérale intérieure, avec la statue de sainte Barbe, b. Profil des ogives, c. Profil des meneaux > ° du panneau, d. Profil de 1 a 2. Le côté gauche extérieur de ce prie-Dieu est entièrement lisse, parce qu’il s’appuie contre un pilier. I* .uni; Pl. 7. m uni II ''-sir; ;iy Hoir _ , ' Fig. a. Perspectivische Ansicht des Plafonds und der II' q beiden Seitenwände; auf der rechten Seite ist die Mutter Gottes, • Oll vor der der Graf Eberhard knieet, auf der linken Seite steht St. Barbara. Die Schluß- Rosette am Plafond trägt das gräfliche Wappen VVürtembergs und Mömpelgarts; zwei Engel sind die Schildhalter, sie sind nebst dem Wort „Attempo“ und den beiden Röschen im Bande vergoldet, b. Verzierung an der Wange des Betschemels siehe Pl. II. c. Console als Stehsitz am Sitzbrett, welches man aufschlagen kann. Pl. 8. v i .1. Fig. a. Linke Wand, im Innern des Stuhles mit der • j. I Statue der heiligen Barbara, b. Profil der Bögen, c. Profil der Verzierungen an der Füllung, d. Profil von 1 zu 2. Die & D f j linke Seite der äusseren Wand ist glatt, weil sich^der Stuhl auf dieser Seite an einen Pfeiler lehnte. i ilr» * IîmjIIüii ob i i If h ' Uiiii r J ; r Î - / ' ' I I» .llil , • i; . T T 1 K;; î ; *i •’*»; *io i i;ii .'jiil- iolf m i, , , j u m • X. - ' rh •> J»*lb Il IfloV- 'I "* lu*. ; \ fjrili’ ^'»Ü-’UOi hr!** ;i!*l - Iii * ^ I *! ' i \ 8 CfH 1 - I ! ti . 1 •’*' ; / '' I iîi; iîi I fl »li V. Cahier V, Heft. ijp > ir Explication des planches. Erklärung der Platten. Style byzantin. PI. 1. Fig. a, b, c, d. Chapiteaux, et e,/, bases tirées de la chapelle de Saint-Walderic, de l’ancienne église bénédictine et conventuelle de Murrhard. Cette chnpellc est si riche en ornements divers, que l’auteur n’a pu s’empêcher d’en recueillir bon nombre, parmi lesquels se trouvent des chapiteaux et des frises qui se distinguent par leur composition merveilleuse et originale. Cette chapelle remarquable est du temps de l’abbé Herhorde, de l’an 1180. Son ornementation est dans un état de conservation si parfaite qu’elle semble avoir été faite récemment. On voit dans cette chapelle la statue de saint VVal- deric, placée sur un autel en pierre. Il est étonnant que, même depuis la réformation, les pèlerinages au tombeau de ce saint n aient point cessé, et que les protestants eux-mêmes y vont en pèlerinage et y offrent des dons d’argent et de cierges. Cette circonstance concourt à la conservation de ce curieux monumeut. Byzantinischer Styl. PI. 1. Fig. a, b, c, d. Capitale und e, /. Säulenfüfse aus der St. Walderiehs-Kapelle, an der ehemaligen Benedictiner- Klosterkirche Murrhard. Diese Kapelle ist so reich an mannich- faltigen Verzierungen, dafs der Verfasser nicht unterlassen konnte, noch mehrere derselben aufzunehmen, besonders Kapitale und Friese, welche sich durch originelle Motive auszeichnen. Die ganze äusserst merkwürdige Kapelle ist aus der Zeit des Abtes Herbordus I 180. Sie ist in ihrer Ornamentik noch so gut erhalten, dafs selbst die ganze Schärfe der Plastik, wie eben gemeisselt, hervortritt; in dieser Kapelle steht die Statue des heilig. Walderich auf einem Altar von Stein. Merkwürdig ist es, dafs die Wallfahrt zu dem Grabe dieses Heiligen seit der Reformation nicht aufgehört hat, und dafs Protestanten jetzt die Wallfahrten dahin fortsetzen und viel Geld und Wachs opfern, aus diesem Umstände ist auch die Erhaltung dieser merkwürdigen Kapelle abzuleiten. PI. 2. » Fig. a,b, c. Frise intérieure de la chapelle de Saint- Walderic de Murrhard ; la fig. b représente la frise supérieure de cette chnpelle. d. Frise, d’une rare beauté et bien conservée, de l’ancienne église cathédrale de Faurndau sur le Fils, dans le grand bailliage de Goeppingcn, royaume de Wirtem- berg. Faurndau passe pour être plus ancien que Murrhard; il a été fondé vers la fin du règne de Charlemagne, dit-on. Dans l’origine ce couvent était de l’ordre des Bénédictins. En 875, Louis-le-Gcrmanique en fit préscut à son aumônier, nommé Luitprand. L’empereur Arnolphe le racheta de C»-t Wc l 18 Ot ce dernier en 888, et en fit hommage, avec le consentement du pape Formose, au couvent de Saint-Gall, pour lequel il avait une grande prédilection. L’auteur n'a pu découvrir comment cette mignature de couvent c’est ainsi qu’on lappelait alors fut détachée de nouveau de Saint - Gall pour être convertie en cathédrale; on sait seulement que les Hohenstaufen en furent les bienfaiteurs et qu'ils lui accordèrent leur haute protection. 11 est probable que c’est de leur temps que ce couvent devint le siège d’un évêque; qu’il le resta jusqu’à la réformation, et que ce n’est que le duc Ulric, qui le supprima, au mariage duquel parut, en 1511, le dernier évêque de Faurndau, avec les autres évêques de YVirtemberg, pour offrir de riches et de nombreux présents au prince. Cette église cathédrale avait la forme d’une basilique, elle avait en outre un grand et deux petits chœurs en hémicycle, qui étaient ornés de peintures dont on retrouve encore des traces non équivoques. Le petit chœur de gauche est démoli à sa place s’élève une sacristie. Ainsi qu’à Murrhard, ses ornements sont parfaitement conservés, et, quoique moins variés et moins riches, exécutés dans un style plus pur. Nous croyons devoir mettre la construction de cette église dans les temps des Hohenstaufen. Nous donnerons plus tard quatre chapiteaux remarquables de cette église. Fig. e. Frise de huit pouces Om 21 de hauteur de l’église conventuelle de Alpirsbach, dans la Forêt-Noire, sur la Kinzig, élevée par les Hohenzollern, dont descendait le premier abbé de ce monastère. Cet ornement si beau et si original était autrefois enrichi de peintures; il date du temps de cet abbé, car il en porte tont à fait le caractère et le type. Fig./. Frise du couvent d’ Anhausen, sur la Brenz, fondé en 1125 par les comtes palatins de Tnebingue, Mangold, Albert, Ulric et Gaultier. D’après cette belle frise, de l’époque de Siegfried, premier abbé d’Anhausen, ou peut juger du mérite des autres ornements de l’église et des bâtiments claustraux. Aujourd'hui tout est détruit, et aucun vestige ne rappelle la magnificence du couvent; rien ne rappelle même qu’il exista jamais. PI. 3. Fig. a, b, c. Ornements perpendiculaires du portail de la chapelle de Saint -Walderic de Murrhard. d. Ornement vertical grossièrement rehaussé de couleurs de l’antique cha- ser Arnulph ein, und schenkte dieses, mit Erlaubnis des Papstes Formosus, dem ihm sehr ergebenen Kloster St. Gallen. Die Art und Weise, wie das Klösterlein — wie es damals geheissen wurde, — wieder von St. Gallen gekommen, und wie es eine Probstei wurde, konnte vom Verfasser nicht ermittelt werden, nur so viel weifs man, dafs die grossen Hohenstaufen dieses Klosters besondere Wohlthäter und Beschützer waren, und wahrscheinlich wurde es auch zu ihrer Zeit zu einer Probstei erhoben, welche bis zur Reformation fortbestand und erst vom Herzog Ulrich aufgehoben wurde, auf dessen Hochzeit noch im Jahre 1511 der letzte Probst mit den übrigen Pröbsten Wirtembergs erschien, und den Herzog reich beschenkte. Die Probstei - Kirche war eine vollkommene Basilika mit einem grofsen uud zwei kleinen halbrunden Chören, welche bemalt waren, wovon man noch deutliche Spuren findet. Der linke kleine Chor ist abgebrochen und eine Sakristei daraus gemacht worden. Die Verzierungen sind wie in Murrhard vortrefflich erhalten — und — obschon nicht so mannigfach und reich — in einem reinem Styl ausgeführt. Ich glaube die Erbauung dieser Kirche in die Zeiten der Hohenstaufen setzen zn müssen; in einem der folgenden Hefte werde ich 4 Capitale aus dieser interessanten Kirche beigeben. Fig. e. Ein 8 Zoll hoher Fries, aus der erst kürzlich zerstörten wunderschönen Kapelle der vortrefflichen noch ziemlich gut erhaltenen Klosterkirche Alpirsbach im Schwarz- wald an der Kinzig von den Hohenzollern erbaut, aus deren Geschlecht der erste Abt dieses Klosters abstammte. Dieses originelle und schöne Ornament, welches ursprünglich bemalt war, stammt ganz gewifs aus jener Kunstzeit, deren ganzen Typus es an sich trägt. Fig./. Aufgefundenes Fries-Ornament, aus dem sonst so merkwürdigen, an Kunstschätzon reichen, aber nun fast ganz zerstörten Kloster Anhausen an der Brenz, welches von den Pfalzgrafen von Tübingen, Mangold, AI- brecht, Ulrich und Walther im Jahre 1125 gestiftet wurde. Von diesem schönen, aus der Zeit Siegfrieds, des ersten Abtes von Anhausen herstammenden Ornament kann man auf die übrigen Schönheiten der Art schliefsen, welche Kloster und Kirche einst aufzuweisen haben mochten ; jetzt ist nichts mehr vorhanden, was an jene alte Herrlichkeit erinnert oder auch nur einem Kloster gleich sieht. PI. 3. Fig. a, b, c, Verticale Ornamente, welche sich an dem Portale der St. W ald er ich s-Kapelle in Murrhard befinden. Fig. d. Ein roh gemaltes vertikales Ornament aus M HM - — —-— - - 19 > ; ... ... p-elle castrale 1 du château de la maison de Wirtemberg, près Stuttgart. En 1813, le roi Frédéric 1er de Wirtemberg ordonna û M. de Seele, directeur de la galerie des tableaux et maître de l’auteur, de faire dessiner le château de ses pères l’auteur de cet ouvrage en fut chargé. Il lut fut enjoint de relever l’ensemble du château, d’en faire les plans, d’en dessiner les différentes parties sur vingt feuilles pour en composer un album. L’exécution de ce projet fut interrompue par lamort de M. de Seele ; mais les dessins sont restés la propriété de l’auteur. Cet ornement remarquable est certainement du onzième siècle. 11 était colorié sur une impression blanche à la chaux. Les chiffres que nous y avons placés indiquent les couleurs* 1, brun-foncé; 2, bleu - verdâtre ; 3, rouge de brique ; 4, jaune et nuancé de jaune-foncé; 5, vert. Nous n’avons retrouvé ce reste précieux d’art qu’aprés avoir gratte avec beaucoup de peine les différents badigeons qui le couvraient. Nous n’avons pu en retrouver qu’une longueur de 8 pouces ’/i tout près du sol, et seulement quelques légères traces de la peinture primitive La chapelle n’était que petite et seloné le goût de l’époque, et lorsque le vandalisme atteignit le château, cette chapelle j eut beaucoup à souffrir. Le chœur fut démoli; l’auteur a pu E en retrouver des traces; il fut converti en écurie En 1802, p nous découvrîmes une inscription au-dessus de la porte, qui j] nous donna l’âge de cette chapelle. Cette inscription a été détruite par le docteur Kcuss, administrateur du grand bailliage deSchorndorf En voici le texte ANNO. DOMINICAL. INCARÎV. MILL. LXXXIII INDIC VI. 111. FEB. DEI. HEC. CAP. AB. ADELB. WORMENS EC. EPO. INST. Ce qui prouve que notre ornement en question est positivement de l’époque que nous avons indiquée. Nous espérons que cette inscription a été conservée. Elle est peut être le seul document certain constatant l’âge de la chapelle et de ses ouvrages d’art. 11 est vraiment étonnant que le château antique des princes de la maison régnante de Wirtemberg, un des plus beaux ornements de ses environs, n’ait pas été détruit de fond en romhle dans la suite des temps, pendant les grandes révolutions qu’il eut à traverser, et qu’au- jonrd’hui encore ses fondations existent intactes. Cette circonstance est un heureux présage pour cette royale maison, dont les princes habitaient encore le château jusqu’en 1321. c. Chapiteau, et/, g, rosaces aux voûtes du dème de Bamberg restauré par l’auteur. Ces trois fragments sont actuellement délivrés de leurs badigeons successifs, et on peut les apercevoir dans leur pureté primitive. Selon la volonté du roi Louis de Bavière, de cet amateur distingue des arts, l’intérieur du dôme recevra de nouveau son ancienne décoration polychrôme. 6 der leider zerstörten Burg - Kapelle der gleichfalls verschwundenen, einst höchst ehrwürdigen uralten Stammburg Wirtemberg bei Stuttgart. Im Jahre 1813 erhielt der damalige Gallerie-Director von Seele, der Lehrer des Verfassers, von Sr. Majestät dem höchstseligen König Friedrich I. von Wirtemberg den Auftrag, die Stammburg seines Hauses zeichnen zu lassen ; dem Verfasser wurde nun dieses Geschäft, von Seiten seines Lehrers G. D. v. Seele übertragen , und zwar in der Ausdehnung, die ganze Aufnahme der Burg sammt Grund-Plan mit 20 Abbildungen aller Seiten für ein Album auszuführen, welcher Plan jedoch durch den Tod Seele’s unterbrochen wurde; doch sind die jetzt unschätzbaren , Zeichnungen in dem Besitz des Verfassers geblieben. Dieses merkwürdige Ornament ist bestimmt aus dem Ilten Jahrhundert, und war bunt auf weissem Kalkgrund bemalt; die eingeschriebenen Zahlen bezeichnen die Farben, als 1 dunkelbraun; 2 grünlicht blau; 3 ziegelroth ; 4 gelb und dunkelgelb schattirt; 5 grün. Ich habe diesen kostbaren Kunst - Ucberre8t nach mühevollem Abkratzen der öftern Ue- hertünchung nur noch !% Zoll lang nahe am Boden gefunden und hie und da noch mehrere Spuren ursprünglicher Bemalung entdeckt. Die Kapelle war im Geschmack damaliger Zeit nur klein, und als die Zerstörungswuth über die Burg hereinbrach, musste auch diese Kapelle darunter leiden; ihr Chor wurde abgebrochen — wovon der Verfasser noch Spuren gefunden hat — und zuletzt in einen Stall verwandelt; auch bezeichnete eine im Jahre 1802 von mir entdeckte Inschrift über der Thüre das Alter dieser Kapelle. Die Inschrift wurde nachmals durch den damaligen Oberamtsverweser Dr. Reufs zu Schorndorf beschrieben und lautet also Anno. Dominicae. Inrarn. Mill. LXXX11I. Indic. VI. III. Feb. Ded. IIec. Cap. Ab. Adelb Wormens. Ec. Epo. I. N. S. T.; somit wäre also dies Ornament mit völliger Bestimmtheit in die hier angegebene Zeit zu setzen. Ich hoffe, dafs diese Inschrift erhalten worden sei. Sie ist vielleicht das einzige glaubwürdige Dokument über das Alter der Kapelle und ihrer einstigen Kunstschätze; und zu verwundern ist cs, dafs die, ihre Umgebung so herrlich zierende Stammburg des wirtemhergischen Krgentenhauses, unter den gewaltigen Verwüstungen, welche im Lauf der Zeiten über sie ergangen sind, nicht vom Grund aus zerstört wurde, dafs noch bis zum letzten Augenblick ihrer Existenz die Grund- Mauern vorhanden waren ; eine glückliche Bedeutung dem Rcgemenhause Wirtembergs, dessen Herrscher noch bis 1321 in der alten Stammburg residirten. Fig. e. Capital und /, g. Gewölbs - Rosetten aus dem vom Verfasser restaurirten Dom zu Bamberg, welche nun von dem öftern Anstrich befrelti 3 * 20 f Les fenêtres en seront ornées de -vitraux de couleur. Les trois » fragments que nous venons de nommer sont du règne d’Othon- ! le-Saint. Y . •' PI. 4. Fig. a. Chapiteau du grand pilier au centre du porche du dôme de Saint-Michel de Halle, en Souabe, du temps de l'évêque Gebhard de Wurzbourg, comte de Henneberg, de l’année 1150. C’est aussi de cette époque que datent le pignon ou fronton et en partie le clocher. Cette église, qui avait autrefois la forme d’une petite basilique byzantine, fut agrandie en 1427 et terminée seulement en 1525. Jusqu’en 1836, son intérieur était si bien conservé qu’on aurait pu croire qu’il venait d’être achevé. Mais depuis, cet intérieur a été badigeonné par l’ordre d’un architecte incapable, qui a déshonoré ce beau monument. Fig. b. représente le plan du pilier, et fig. c. le piédestal, qui semble ne pas être de la même époque que le chapiteau. ii mu m~ sich wieder in ursprünglicher Reinheit darstellen ; nach dem j Wunsch des kunstsinnigen Königs Ludwig von Bayern soll 9 nun auch das ganze Innere des Doms, seine erste alte poly- !! chromische Ausschmückung wieder erhalten, und die Fenster mit Glasgemälden versehen werden; die hier beigegebenen Beispiele sind aus der Zeit Otto des Heiligen entnommen. PI. '4. Fig. a. Capital des grofsen Pfeilers in Mitte der Vorhalle des merkwürdigen St. Michael-Münsters zu Schwäbisch- llall aus der Zeit Bischof Gebhards von Würzburg, eines Grafen von Henneberg, vom J. 1156; aus dieser Zeit ist auch der vordere Giebel und theilweise der Thurm. Diese Kirche, welche früher in kleinerem Mafsstabe die Form einer byzantinischen Basilika hatte, wurde im Jahr 1427 zu vergrößern angefangen und im Jahr 1525 vollendet. Sie war noch im Innern bis zum Jahr 1836 so gut erhalten, als ob ihr Bau erst vollendet worden wäre, bis sie endlich in der neuesten Zeit durch einen unverständigen Bau-Meister angestrichen und somit entwürdigt wurde. Fig. b. ist der Grundplan und Fig. c. das Postament, welches aber nicht so alt scheint als das Capitäl. PI. 5. Fig. a. Chapiteau du pilier central de la chapelle supérieure du château neuf de Fribourg, sur la Unstrut, non loin de Naumbourg. Le fût de chacune de ces quatre colonnes jde 7 pouces Vs, ou O™ 192, de diamètre sur 6 pieds 4 pou- ÇWic/s du Rhin de hauteur, ou 2m 22 , est taillé dans un blnnlde marbre noir poli; le pilier central carré est en grès qridiftairft Les astragales tiennent aux chapiteaux qui ont un ^ commun. L’ensemble est sculpté dans un bloc de grès fin de 1 pied 10 pouces ’/i du Rhin de hauteur, QH^Omi-58. ii J/’OMicmentation en est dorée et hien conservée, A'Mnec'bôUflu composition et d’une exécution pleine de goût Ejl& »Ö détache, iCt* .relief de son fond blanchâtre et semble êtwrâxéüutéei eh ihronae doré. Au-dessus de ces chapiteaux SiéiÔYicnt, quatre ares-ctaubleaux et autant de nervures dentelées Laus, le.»ytyîe-,arabe,]qui aboutissent aux angles de la chapelle OÜ. Us retombent -surs des colonnes décorées également de cha- d’une magnificence princière, prouva,-que. l'artiste avait beaucoup de génie. L’époque de son eRpeptioa ,cà,en juger pftr rkbetylaz documents écrits manquent totalement , sertit encore .le douzième siècle, époque rle^TJiutingc, habitèrent avec leur château oramewéeen 1Q62 jpar leur ancêtre ’ £ ee sc o »i — —*— . 1 * — —... . PI. 5. Fig. a. Capitäl des Mittelpfeilers aus der obern Schlofs- Knpelle auf der sogenannten Neuen-Burg zu Freiburg an der Unstrut, unweit Naumburg. Der Stamm jeder der hier sichtbaren vier Säulen à 7 l / 3 u dick und 6' 4 3 /*" rh. hoch besteht aus einem Stück schwarzen polirten Marmor-Schiefers ; der über Eck gestellte Pfeiler dazwischen, aber nur aus Sandstein. Die Astragalen hangen mit den Capitälern zusammen, welche einen gemeinsehaftlichen Abacus haben, und diefs Ganze ist aus einem Stück feinkörigen weifsen Sandsteins gearbeitet U IO 1 /," rh. hoch. Die Ornamcntirung daran ist vergoldet und wohl erhalten, von schöner Erfindung und geschmackvoller Ausführung; sie hebt sich meist frei von dem weifsen Grunde jb, und erscheint wie aus vergoldeter Bronze gearbeitet. Uebcr diesem Capitäl erheben sich vier Gratbögen, und eben so viele auf arabische Weise ausgezackte Gurtbögen, welche nach den Winkeln und Wandmittcln der Kapelle gehen und dort von Wandsäulen mit ähnlich reichen, aber stets veränderten Kapitälern unterstützt werden. Alles zeugt von vielem Kunstsinn und wahrhaft fürstlicher Pracht. Die Zeit der Entstehung fällt, dem Style nach zu urtheilcn, denn Dokumente fehlen höchst wahrscheinlich noch ins 12te Jahrhundert, wo die mächtigen Landgrafen von Thüringen auf dieser, 21 Liouis-Ie-Salique. Fig. 6, c, représentent les chapiteaux du côté gauche de la porte à fronton de l’ouest de l’église Saint- Jean-de-Gmuend, en Souahe. Les chapiteaux, d’une composition si simple, et toute l’ornementation, en général, de cette église vénérable par son antiquité, forment un contraste frappant avec le luxe et la magnificence architecturales des premiers Hohenstaufen. La tradition rapporte que l'église de Saint- Jean-de-Gmucnd, en Souahe, bâtie dans une forêt obscure, avant l’existence de la ville, était un lieu de pèlerinage, ce qui prouve que jusqu’à l’époque de la réformation et de la suppression des couvents du Wirtemberg, les Bénédictins de Lorch ont administré et desservi cette église. Son style est semblable à celui du couvent des Ecossais de Katisbonne. L’auteur fournira par conséquent encore d’autres preuves de l’âge de cette église, qui, sans aucun doute, a été élevée pendant le IXe ou le X e siècle, d. L’aigle des, Hohenstaufen , placée dans le fronton de couronnement d’une porte située à la droite de la façade à pignon, vers l’occident. Cette aigle a la même forme que celle trouvée par l’auteur sur un chapiteau du château de Nuremberg, et qui est également de l’époque des Hohenstaufen. Voyez l’ouvrage intitulé Le petit byzantin de Heideloff, Nuremberg, 1837, I’I. 36. PL 6. Fig. a. Ornement en relief, encastré aujourd’hui 1836 sur la paroi extérieure et à l’est du mur de l’église du cimetière de Mersebourg. Ce charmant travail rapelle au premier coup d’œil les beaux acrotères et antifixes antiques. Mais, après un examen léger, les détails en relief de 2 pouces x /i du Khin, ou Om 05!, sur le fond, vous montrent aussitôt l’ornementation mâle du XIII e siècle. Cet ornement de 4 pieds 5 pouces" ou lm 38, de largeur sur 3 pieds 2 pouces '/*, ou Ira 00, de hauteur, est exécuté avec beaucoup d’habileté en grès d'une teinte grise; on y a ménagé d’une manière heureuse les ombres et les clilairs. Il a sans doute servi autrefois de couronnement de porte d’un monument détruit aujourd’hui. La figure / de la planche première de la troisième livraison offre un fragment pareil, tiré de l’église de Murrhard, d’une date plus reculée et d’un travail moins en relief, fr. Chapiteau de Notre-Dame de Paris, de l’époque de la plus ancienne restauration de cette église, faite probablement sous l’épiscopat de Maurice de Sully, en 1161. Ce chapiteau est remarquable à cause des réminiscences antiques du style corinthien. Sa composition est harmonieuse, seulement elle manque de relief, d’autant plus qu’elle est recouverte d’un badigeon épais qui en ôte les finesses. Le dessin de ce beau chapiteau nous fut donné à Paris, en 1826, par notre cousin Alfred Heideloff, von ihrem Ahnherrn Ludwig dem Salier mit dem Jahre 1062 begonnenen Burg, so oft glänzenden Hof hielten. Zeichnung und Beschreibung verdanke ich Herrn Professor Ritter Mauch in Stuttgart. Fig. b. und c. Capitule von der linken Seite des Giebel - Portals auf der Abendseite der St. Johannis Kirche in Schw. Gmünd. Ein merkwürdiger Abstand einfacher Capitale aus der Zeit der ersten Hohenstaufen bleibt die ganze Ornamentik dieser altehrwürdigen Kirche — welche der Sage nach eine Wallfahrts-Kirche im finstern Walde gewesen sein soll, che die Stadt entstanden war — ein Beweis, dafs bis zur Reformation und Aufhebung der wirtemhergischen Klöster die Bcnedictiner von Lorch diese Kirche versehen haben; sie ist ganz in dem Style gehalten, wie das Schottenkloster in Regensburg, und der Verfasser will daher noch manche Beweise über das Alter dieser Kirche, die bestimmt im 9. bis lOten Jahrhundert erbaut wurde, liefern. Fig. d. Ilohenstau- Ü8cher Adler in der Füllung des Portals an der rechten Seite der Giebel-Façade gegen Abend ; es ist dieselbe Form der Adler, welche der Verfasser an einem Capital auf der Burg zu Nürnberg gefunden hat, und der gleichfalls aus der HohenstauP- sclien Zeit herstammt; siehe den kleinen Byzantiner von Heide- lofT bei Riegel und Wiefsner in Nürnberg, Platte 36. .n . •• „ PI’ 0* Fig. a. Eine Relief - Verzierung, welche gegenwärtig 1836 an der östlichen Aussenseite der Gottesackerkirche zu Merseburg eingemauert ist; diese überaus gefällige Arbeit erinnert auf den ersten Blick an die schönen Akroterien der antiken Stolen ; doch zeigt das Detail mit bedeutender Erhebung über dem Grund 2 l / 4 " rh. selbst mit frei abstehenden unterarbeiteten Ranken , bald den kraftvollen feinen Verzierungsstyl des 13. Jahrhunderts. Das Ganze ist mit vieler Ge- wandheit und Rücksicht auf effektvolle Beleuchtung in grauem Sandstein ansgeführt 4' 5" breit, und 3' 2' t “ rh. hoch und hat sicherlich einst als Bogenfnllung über der Thüre eines jetzt verschwundenen Gebäudes gedient. Fig. /. in der I. Platte des III. Heftes 2 eigt einen Stein von der Gottesackerkirche in Murrhard von ähnlicher Bestimmung, aber aus früherer Zeit und mit flacherer Behandlung ebenfalls von Herrn Professor Ritter Mauch mitgctlicilt. Fig. fr. Capitale aus der Basilika von Notre-Dame in Paris aus der ältesten Zeit der Wiederherstellung dieser Kirche, wahrscheinlich unter dein Bischof Moriz v. Sully im J. 1161, und merkwürdig durch die Motive eines korinthischen Capitäls; die Erfindung und Zusammenstellung ist geschmackvoll, nur wäre zu wünschen, dafs diese kräftiger hervor treten möchte, um so mehr, als der leidige Anstrich viel von der ursprünglichen 3 * »Ol 2a M **S> que nous avons eu le malhenr d’y perdre dans la même année. Style gothique. PL 7. Fig. a. Partie du couronnement d’un poêle à carreaux vernissé, de couleur verte, du couvent des Frères Prêcheurs de Nuremberg, découvert en 1842 pendant la restauration des bâtiments claustraux. Anciennement, l’on fabriquait les plus beaux poêles à Nuremberg. Ils étaient en terre cuite, vernissés de couleurs diverses et rehaussés d’or. 11 y en a qui datent de la renaissance et du style à ogive. Nuremberg se distingua par ses terres cuites ; ses artistes dans ce genre d’industrie sont célèb- bres on cite parmi eux les Glockenthon, lesPrunner, les Renz, les Proebes, les Leygebe et, plus tard, André Leupold, qui s’occupaient d’ouvrages en poterie, et qui se distinguèrent surtout dans la fabricatiou des poêles. Il est fâcheux qu’il n’existe plus qu’un petit nombre de ces ouvrages. Ce qui n’aura pas été détruit par l’insouciance et la mode a sans doute été brocanté et vendu à l’étranger. Afin de conserver ce que nous avons pu en découvrir dans ce genre, nous avons acheté de plusieurs particuliers bon nombre de cette espèce de poêles pour les placer dans le château royal de Nuremberg et dans celui de Cobourg, appartenant aux ducs de Saxe-Cobourg et Saxe -Meiningen, grands amateurs d’antiquités. Dans la salle dite Rosenzimmer du dernier de ces châteaux nous avons fait monter un des plus beaux ouvrages de Glockenthon. Nous en avons fait poser un autre dans le château de Hohenlandsberg, près Meiningen. Le couronnement reproduit dans notre septième planche, figure a ., a 6 pouces, ou O m 151 de largeur, et 17 pouces '/j, ou O m 453, de hauteur ; sa profondeur est de 2 pouces, ou O m 052. La figure b. représente la niche, et c. la coupe. Deux des potiers les plus habiles de Nuremberg, Gruber et Mezger, ont imité, à notre sollicitation , plusieurs de ces anciens poêles, imitation qui ne laisse rien â désirer. Gruber a fourni des poêles ornés des armes de Wirtemberg pour le château de Lichtenstein, appartenant au prince Guillaume de Wirtemberg, et dont l’exécution est parfaite. Il se propose d’imiter le modèle que nous livrons dans cette planche, d. Feuille rampante de l’abbaye de Saint Remi de Rheims, prise au portail donnant sur le jardin, et datant de 1480, dessiné d’après nature par l’auteur en 1826. c. Feuille rampante de l’église de Saint-Julien de Heilbronn, sur le Neckar, et de la même épopue. - - - Schärfe benommen hat; dieses schöne Capital wurde mir im J. 1826 zu Paris von meinem daselbst noch in demselben Jahre verstorbenen Vetter Alfred Heideloff mitgetheilt. Deutscher gothlscher Styl. PL 7. Fig. a. Ein Theil der Krönung eines irdenen grün gla- sirten Ofens im Prediger-Kloster in Nürnberg, aufgefunden im Jahre 1842 und zwar bei Gelegenheit der Wiederherstellung eines Theils der Gebäude zu einer Hauptpredigers- und Dekanats - Wohnung. Nirgends wurden schönere Oefen ans gebranntem Thon, mit farbiger Glasur, und Gold aufgehöht, auch im altdeutschen und Renaissance-Styl gefertigt, als in Nürnberg, wo sich bedeutende Künstler, wie Glockenthon, Prunner, Renz, Pröbes, Leygebe und später Andreas Leupold mit Kunst Hafnerarbeit beschäftigten und sich in Verfertigung prachtvoller Oefen auszeichneten. Nur Schade, dafs so wenige dieser Kunstwerke mehr vorhanden sind. Was Nichtachtung und Mode nicht zerstört hat, ist von Alterthums-Trödlern aufgespürt worden und ausgewandert; daher habe ich — um das noch IJebrige zu erhalten — von Privaten viele solcher Oefen theils für die Königliche Burg zu Nürnberg, theils für die kunstliebendcn Herzoge von Sachsen-Coburg und Sachsen - Meiningen angekauft; auf der Burg Coburg im sogenannten Rosenzimmer befindet sich ein vorzügliches Exemplar von Glockenthon; ebenso auf der neu hergestellten Burg Hohenlandsberg bei Meiningen ; das hier in fig. a. abgebildete Exemplar eines Theils der Krönung mifst 6" in der Breite und 17%" Höhe, in der Tiefe 2". Fig. 6. ist die Nische und c. das Profil. Zwey vorzügliche Hafnermeister zu Nürnberg, Gruber und Mezger, haben auf meine Veranlassung mehrere der alten Oefen nachgebildet, welche nichts zu wünschen übrig lassen; für die Felsenburg Lichtenstein, welche dem Grafen Wilhelm von Wirtemberg gehört, hat Gruber Oefen mit dem Wirtem- bergischen Wappen geziert, geliefert, welche vorzüglich ausgefallen sind. Dieses Muster wird er jetzt auch nachformen. Fig. d. Krappe Viale aus der Abtei St. Remi zu Rheims, am Portal gegen den Garten, aus der Zeit 1480 von hübscher Erfindung vom Verfasser im J. 1826 an Ort und Stelle gezeichnet. Fig. e. Krappe von der St. Kilians - Kirche zu Heilbronn am Neckar aus derselben Zeit. 23 Pi. s. Fig. a. jusqu'à o. Panneaux en bois du plafond du réfectoire d’été du presbytère de Saint - Laurent à Nuremberg. Ces panneaux se trouvent à l’extrémité des solives. On restaure en ce moment ce curieux presbytère, ce qui causera malheureusement la destruction de plus d’un objet curieux; on aurait même détruit ces panneaux, la belle porte et ses chambranles, etc., etc., si des ordres formels du roi de Bavière n’étaient pas venus arrêter cette destruction. La charpente de ce plafond est d’un beau travail et d’une bonne conservation. On y trouve des traces d’anciennes peintures. PI. 8. Fig. a bis o. Holz -Plafonds -Verzierungen am Kopf der Lagerhölzer im Sommer-Refectorium des ehemaligen Prob- stei-Hofes von St. Lorenz. Gegenwärtig wird dieser archi- tectonUch interessante Pfarrhof in bewohnbaren Stand gesetzt, wodurch aber leider viel Erhaltungswerthes zerstört wird, selbst das schöne Getäfel, die reichgeschnitzte Thür, Einfassungen etc. hätten dieses Schicksal gehabt, hätte nicht der ausdrückliche Befehl Sr. Maj. des Königs die zerstörende Hand zurückgehalten. Dieses Gebälke ist vortrefflich gearbeitet und vorzüglich erhalten; an dem Getäfel finden sich Spuren ehemaliger Bemalung. SH».' III » ♦^1 VT Cahier Heft Explication des Planches. Style byzantin. ,i. PL 1. Fig. a . Vue de la façade du bignon du Domus principale, aujourd’hui la Monnaie, situé auprès de la grosse tour du remarquable et antique château impérial de Saalhourg castel- lum Seize, Salzbourg, dans l’ancien Salzgau Salageve, au delà de Neustadt, sur la Saale de Franconie, dans lancien évêché de Würzbourg, royaume de Bavière. Ce château impérial, construit entièrement dans le style byzantin, et dont il ne reste que des parties en ruines, surpasse , sous le rapport historique et architectural, tous les autres châteaux - forts de l’Allemagne, en n’en exceptant pas même l’antique Warthourg. Il importe d’observer que, sous le rapport historique , ce château-fort a été un Falatium regiuin des rois Francs, et que le roi Pharamond y octroya, en 420, en présence des quatre princes des provinces de Salageve, de Bodogeve, de VVindoge- ve et de Yirogeve, la célèbre loi salique; que Charles Martel, mort en 741, grand-père de Charlemagne, y demeura fréquemment, et qu’il nommait habituellement ce château-fort son palais de Selz, Seize, Sels. L’empereur Charles y célébra les fêtes de Pâques en l’année 768 , après la victoire remportée, encore du vivant de son père Pépin, sur le duc Waifar d’Aquitaine. L’histoire rapporte encore beaucoup de faits mémorables qui se sont passés dans ce château-fort; elle nomme aussi une foule d’empereurs qui l’habitèrent souvent et long-temps. Saint Boniface lui-même, l’apôtre de l’Allemagne, vint souvent à Saalbourg *, en 741, par exemple; il y tint plusieurs synodes, consacra même la chapelle castrale de ce lien et sacra les évêques Burkhard de Wurzbourg, Waltram de Bu- rabourg dans la Hesse et Willibald de Eichstädt. * Huit ans auparavant il fut nomme' évéque par le pape Gre'goire III. et reçut la mission de prêcher l’Evangelie aux Germains. VI Erklärung der Platten. Byzantinischer Styl. PL 1. Fig. a. Vordere Ansicht der Giebelseite des Domus prin- cipalis, jetzt die Münze genannt, nächst dem grossen Thurm der höchstmerkwürdigen uralten Kaiserburg Saalburg Castel- lum Seize, Salzburg im alten Salzgau Salageve, oberhalb Neustadt an der fränkischen Saale, im ehemaligen Stift W'ürz- burg im Königreich Bayern. Diese Kaiserburg, welche durchaus im byzantinischen Style durchgeführt, und nur noch in tlieilweise erhaltenen Ruinen vorhanden ist, ühertrifTt in historischer wie in artistischer Beziehung vielleicht alle Burgen Deutschlands, selbst die alte Wartburg steht ihr hierin nach. In historischer Beziehung verdient bemerkt zu werden, dafs diese Kaiserburg ein Palatium regum der fränkischen Könige war, und dafs König Pharamund hier im Jahre 420 von den vier Fürsten der Provinzen Salageve, Bodogeve, Win- dogeve, Virogeve, das berühmte salische Gesetz geben liefs; dafs Carl Martel! -j- 741, Grofsvater Carls des Grofsen, sehr oft hier wohnte und diese Burg seinen Palast Selz, Telze, Sels gewöhnlich nannte; auch feierte Carl daselbst das Osterfest im Jahre 768 nach einem Siege, der noch unter seinem Vater Pi- pin über den Herzog Waifar von Aquitanien errungen worden war. Die Geschichte führt viele wichtige Akte auf, die auf dieser Kaiserburg stattgefunden haben, und nennt viele Kaiser die oft und lange hier weilten. Selbst der heilige Bonifacius, Deutschlands Apostel*, war oft auf der Saalburg z. B. im Jahre 741, hielt öfters kirchliche Versammlungen auf der Saalburg, weihte selbst die Burgkapelle ein und ertheilte in ihr den Bischöfen Burkhard zu Würzburg, Waltram zu Buraburg in Hessen und Willibald zu Eichstädt die bischöfliche Weihe. • Er hatte neun Jahre früher vom Pabst Gregor III. die Ernennung zum Bischof und die Anweisung erhalten, den Deutschen das Evangelium zu predigen. ♦6 - »>> 0f- 27 ? A - Le plug long séjour de Charlemagne au château de Saal- hourg, tomba dans les années 780 et 700. Il y passa plusieurs hivers et plusieurs automnes et s’occupait de la chasse. C’est là que l'empereur reçut l’évêque Jessé d’Amiens , et le comte Helingaudus, ainsi que les ambassadeurs de l’empereur grec Niccphore, l’évêque Michel, l’abbé Pierre et le secrétaire Calliste. Fortunat, patriarche de Garde Patriarcha Gradensis, c’est- à-dire d’Istrie, de Venise, etc., vint aussi vers cette époque à Salzbourg, afin d’implorer le secours de l’empereur contre les ducs de Venise, Jean et Mauritien. Il accompagna sa requête de riches présents, d’objets précieux et de reliques d’une quantité de saints, que Charlemagne fit transporter à son dôme d’Aix-la-Chapelle. C’est encore au château de Salzbourg que l’empereur fit la paix en 803 avec les Saxons, après leur avoir fait la guerre pendant trente-trois ans. C’est pendant cette même anée encore qu’il publia dans ce château les additions à la loi salique, appelées Capitularia Caroli Magni , après avoir consulté beaucoup de seigneurs ecclésiastiques et séculiers. Dans l’automne de l’année 82i, Louis - le-Pieux , fils de Charlemagne, arriva nu château de Sanlbourg avec une suite nombreuse. Il se divertit à la chasse dans les grandes forêts du voisinage. Après avoir forcé son fils Louis de Bavière à faire la paix en 833, il revint encore une fois au château de Saalbourg, où il fut reçu par sa femme Judith, et où il admit en sa présence l'ambassadeur de Naples. En 841, après la bataille de Fontenay, Louis-le-Germani- que séjourna pendant quelque temps au château de Saalbourg, d’où il se rendit en Souahe ; l’année suivante il revint encore à son château de Saalbourg, et il y tint une diète impériale. De l’année 877 à 878, le roi Louis III habita Saalbourg. En 887, l’empereur Arntilphe y arriva il y reçut les envoyés des Sorbes, qui lui offrirent des présents et qui se soumirent. En 940, l’empereur Othon 1er octroya à Saalbourg plusieurs donations à l’évêché de Freisingen. C’est ainsi que ce célèbre château impérial fut occupé constamment par les empereurs et les rois d’Allemagne et de la maison de Franconie, jusqu’à ce que l’empereur Henri-l’Oiseleur fonda des villes, que les souverains ses successeurs trouvèrent plus commodes et plus sûres. L’antique château de Salz fut peu à peu abandonné, et remis enfin, avec tout son territoire, à l’évêché de Würzbourg. L’empereur Othon III, qui affectionnait ce château d’une »Ml Carls des Grofsen längere Anwesenheit auf der Saalburg fällt in die Jahre 780 — 90; hier brachte er mehrere Winter und Herbste zu und unterhielt sich mit dem Waidwerk; hier empfing dieser Kaiser den Bischof Jesse von Amiens und den Grafen Helingaudus, nebst den Gesandten des griechischen Kaisers Nicephorus, nämlich den Bischof Michael, den Abt Petrus, und den Geheimschreiber Callistus. Auch Fortunntus, Patriarch von Grade, Patriarcha Gradensis i. e. von Istrien, Venedig etc. kam um diese Zeit auf die Salzburg, um von dem Kaiser Hülfe zu erflehen gegen die Herzoge von Venedig, Johann und Mauritius; er begleitete seine Bitten mit vielen Geschenken an Kostbarkeiten und licliqiiien vieler Heiligen, welche Carl nach seinem Dom in Aachen bringen liess und hier, auf dieser berühmten Burg schlofs der Kaiser, nach drei und dreißigjährigen Kriegen, im Jahre 803 einen Frieden mit Sachsen. ln demselben Jahre erließ er von hier aus, nachdem er viele angesehene geistliche und weltliche Herren auf die Saalburg zur Berathung berufen hatte, jene Zusätze zum salischcn Gesetze, welche unter dem Namen Capitularia Caroli Magni linperatori8 bekannt sind. Im Herbst 820 kam Carl des Großen Sohn, Ludwig der Fromme, mit grossem Gefolge auf die Saalburg, und belustigte sich mit der Jagd in den nahen, damals bedeutenden Forsten, und nachdem er im Jahre 833 seinen Sohn, Ludwig von Bayern, zum Frieden gezwungen hatte, kam er abermals auf die Saalburg, wo ihn seine Gemahlin Juttu Judith empfing, und wo er den neapolitanischen Gesandten Audienz er- theilte. Kaiser Ludwig der Deutsche hielt sich 841 nach der Schlacht von Fontenai eine Zeitlang auf der Saalburg auf, von wo er sich nach Schwaben begali, aber schon im folgenden Jahre kam er wieder nach seiner Saalburg und hielt einen Reichstag daselbst. König Ludwig HI. wohnte von 877 bis 878 auf dieser Saalburg. Im Jahr 887 kam Kaiser Arnulph hieher und empfing daselbst die Gesandten der Sorben, die ihm Geschenke brachten, und sich unterwarfen. Otto 1. bestätigte auf der Saalburg dem Bisthum Freising einige Schenkungen im Jahre 940. So wurde bis in das zehnte Jahrhundert diese berühmte Kaiserburg von fränkischen und deutschen Kaisern und Königen beständig bewohnt, und besucht, bis K. Heinrich der logier Städle gründete, welche die nachfolgenden Herrscher bequemer und sicherer für ihren Aufenthalt fanden; so wurde denn auch das ehrwürdige Kastellum Salz nach und nach verlassen und endlich mit dem ganzen Salzgau an Würzburg verschenkt, Kaiser Otto 111., der diese Burg ungemein schätzte und 4 26 manière toute particulière, qu’il n’appelait que son château et que sa résidence, fit hommage à son beau-frère Ezzon de Lorraine, de plusieurs des domaines appartenant à ce château; il y comprit même la ville d’Obersalza aujourd’hui Neustadt, sur la Saale. Cédant enfin, en l’an 1000, aux prières d’Héribert, archevêque de Cologne, de Henri, évêque de Würzbourg, des deux frères et comtes de Rottenbourg, ensuite du duc Bernard de Saxe, il donna Obersaal Neustadt, avec toutes ses dépendances, à l’évêque Henri de Wurzbourg à cause de ses grnnds mérites et pour le salut de son père, de sa mère, l’impératrice douairière Théophanie, en en exceptant toutefois le château de Saalbourg; car les empereurs le conservèrent encore long-temps pour y garder un pied à terre. Henri H et Conrad II habitèrent aussi souvent ce château, et en dotèrent richement la chapelle de saint Boniface. Ce monument remarquable devint par l’évêque Adalbert , comte de Laimbach et de Scherdingen, prédécesseur de saint Bruno, propriété de l'archevêché de Wurzbourg, sous l’administration de Gebfredus, comte de Henneberg. Les évêques ses successeurs emportèrent avec l'autel de saint Boniface les plus beaux ornements du château et de sa chapelle, qu’ils firent transporter à leur résidence de Marienberg, près de Wurzbourg. Dès cet instant, le château et l’église furent administrés par des intendants, dont est descendue la famille des baillis de Salz- bourg. Le magnifique château de Salzbourg a appartenu à plusieurs gentilshommes, soit par vente, soit par échange, jusqu’en 1586. Il fut détruit par un incendie le 18 août; à la suite de cet événement il devint, avec ses dépendances, la propriété des comtes de Reuss, de la branche cadette, qui en firent l’acquisition. Le château et la chapelle de saint Boni- face ont considérablement souffert par les flammes. Plus tard encore le château eut plusieurs propriétaires divers. Les baillis de Salzbourg vendirent leur part en 1796 au baron de Lochner-Huettenbach. Celui-ci le revendit au comte de Harxthausen, qui est malheureusement mort depuis, et qui habitait sa campagne de Ncuhauss, située au pied de la montagne. Cet homme, animé d’un sentiment profond et patriotique pour les beaux-arts de son pays, avait l’intention de faire de grands sacrifices pour la conservation de cette ruine importante, et, à cet effet, il vint voir l’auteur pendant l’automne de l’année 1842, afin de s’entendre avec lui sur la restauration du château dont nous donnons dans cette planche la vue de la façade à pignon. Les belles ruines de cet ancien château impérial, imposantes même dans leur état d’anéantissement, sont situées sur le penchant d’une montagne plantée de vignes et au sud de la Saale. Au pied de la montagne se trouve la petite ville de Neustadt Ober-Saal, d’où l’on peut gravir commodément la hauteur qui la couronne. sie nur sein Kastell und Sitz nannte, verehrte mehrere zur Burg gehörige Doraainen summt Obersalza das heutige Neustadt an der Saale seinem Schwager Ezzo von Lotharingen, bis er endlich im J. 1000 auf Fürbitte Heriberts, Erzbischofs von Cöln und Bischofs Heinrich von Würzbürg, beide Brüder und Grafen von Rottenburg, dann des Herzogs Bernhard von Sachsen, Obersaal Neustadt mit allem dazu gehörigen Lande, dem ganzen Saalgau dem Bischof Heinrich von Würzburg seiner vielen Verdienste wegen und zum Seelenheil des verstorbenen Kaisers, seines Vaters, und seiner Mutter, der ver- wittweten Kaiserin Theophania, schenkte, jedoch mit Ausnahme der Burg Saalburg; denn diese behielten die Kaiser noch lange zu ihrem Absteigquartier. Heinrich der II. und Conrad II., der Salier, besuchten sie noch oft und beschenkten die ßonifuciuskapclle reichlich. Durch Bischof Adalbert, einem Grafen von Laimbach und Scherdingen , den Vorfahrer des heil. Bruno, kam diese berühmte Kai- ! serburg in Besitz des Hochstifts Würzburg, unter Gebfredus, ! Grafen von Henneberg. Die spätem Bischöfe liefsen, nebst dem Altar des heil Bonifacius auch noch die schönsten Sachen aus der Burg und Kapelle nach ihrer Residenz Marienberg bei Würzburg bringen. Die Burg und Kirche wurde nun von Vögten verwaltet, wovon das Geschlecht der Vögte von Salzburg herstammt. Durch Tausch und Verkauf kam diese herrliche Burg endlich an mehrere Edclleute, bis sie im Jahr 1586 den 18. August gröfstentlicils abbrannte und dadurch die umliegenden Güter an die Grafen ReuTs jüngerer Linie kamen, welche sie durch Kauf an sich brachten ; durch den Brand hat der Kaiserbau und die Bonifaciuskapelle ausserordentlich gelitten. Weiterhin kam diese Burg in mehrere Hände; denn auch die Vögte von Salzburg verkauften im Jahre 1796 ihren An- theil an den Freiherrn Lochner von Hüttenbach und dieser wieder an den, leider jetzt verstorbenen Grafen von Harxthausen , der am Fusse des Berges auf seinem Gute Ncuhaufs wohnte. Dieser kunstsinnige und um die deutsche Sache hochverdiente Mann wollte viel für die Erhaltung dieser wichtigen Ruine thun, und zu diesem Zweck den Autor noch im Spätsommer des Jahres 1812 zu Nürnberg besuchen um mit ihm über diesen Gegenstand Rücksprache nehmen zu können und den Frachtbau, dessen Giebelseite in Flatte I. gegeben ist, sofort herzustellen. Die herrlichen Ruinen der alten Kaiserburg liegen, noch in ihrem Verfall imponirend, auf dem Anhang eines mit Wein bepflanzten Berges, südlich von der Saale. Am Fufs des Berges liegt das Städtchen Neustadt, Ober-Saal, von wo aus man den Berg ganz bequem besteigen kann. 4XK-^- - -. » fr 27 9 Dans le lointain déjà ce château produit un coup d œil imposant par scs colossales murailles et ses grosses tours ; mais l’intérêt augmente puissamment lorsqu’on arrive au pied du monument même, dont la construction antique semble sortir et s’élever du sein de la terre. Au milieu de cette architecture byzantine, la grande porte d’entrée produit surtout une forte impression sur le spectateur a cause de sa forme fantastique et pittoresque. En entrant par cette porte dans l’intérieur du château, on aperçoit aussitôt la partie que nous donnons dans cette planche. Cette partie constitue, à proprement dire, le Domus principalis, les appartements d’honneur nommé dans le pays la Monnaie. Ce bâtiment, le plus beau de tous ceux que contient le château, attire une attention particulière. Construit en grès verdâtre et d’une helle qualité, il doit à son exposition orientale sa belle conservation; l’ornemontation même offre encore toute sa pureté et son expression primitives. L’architecture et ses détails se détachent vigoureusement sur le ciel , ce qui produit un efTct des plus pittoresques. La fenêtre que nous donnons dans cette planche est composée de deux divisions principales. Chacune d'elles est subdivisée en deux haies, couronnées d'une corniche, dont la gorge est enrichie d’un ornement courant, composé de feuilles de lierre. Trois colonnes forment cette subdivision. Elles sont soutenues par trois consoles engagées et ornées de feuillages, qui complètent cet ensemble d’un goût parfait. Les trois ouvertures couronnées d’ogives, ornées de moulures fort simples et en retraite, sont formées par deux colonnes isolées adossées contre un montant de peu d’épaisseur. Les chapiteaux de ces colonnes n'ont point de tailloir; ils sont variés, et chaque motif est aussi beau qu’original. Les rosaces à jour, placées dans le haut sur l’axe des colonnes, sont également dans le style byzantin. A une composition ingénieuse et agréable tous les ornements joignent encore l’exécution la plus ferme et la plus durable. lis sont certainement capables d’inspirer de nouveaux motifs à un architecte de goût et de génie. PI. 2. F, g. “> c, d, e, /. Chapiteaux représentés dans la planche précédente, mais sur une plus grande échelle. On voit par ce style et surtout par les ogives que ces constructions et particulièrement la porte appartiennent au IX* siècle, quelles ont été élevées pendant le règne de Charlemagne, et que dans la suite le souvenir de leur puissant fondateur a fortement contribué à leur conservation, jusqu’à ce qu’enfin le feu vint les détruire. DieseBurg gewährt aelinn ans der Ferne durch ihre großartigen Mauermassen und Thürme einen iinpossanten Anblick, aber noch mehr wird das Interesse gesteigert, wenn man vor dem Bauwerk selbst steht, und die Bau - Constructionen einer längst vergangenen Zeit, gleichsam dein Schoos der Erde entstiegen, erblickt. Enter der durchgehende byzantinischen Architectur macht vor Allein das grosse Burgthor durch seine phantasiereiche, malerische Form einen gewaltigen Eindruck. Tritt man durch dasselbe in das Innere der Burg, so wird nan bald die Partieen gewahr, welche die Abbildung hier zeigt es ist das eigentliche Domus principalis, allgemein die Münze am Orte Geldiniinze genannt. Dieses Gebäude, das schönste von den noch vorhandenen, zieht die Aufmerksamkeit besonders auf sich ; es ist von feinem grünlichen Sandstein, und durch seine östliche Lage gegen die Unbilden der Witterung so geschützt, dafs selbst die ganze Ornamentik noch alle ihre Schärfe und Reinheit hat. Einen besonders malerischen Effect macht das Durchblicken der Luft durch die Ruinen und durch die zierlich durchbrochene Arbeit. Das Fenster besteht aus zwei Hauptabteilungen , wovon jede wieder in zwei Oeffnungen getlieilt ist, einem Gesims, in dessen schräger Einziehung ein zierliches Ornament aufliegt, welches dein immergrünen Eplieu narhgebildet ist; dann drei Säulen mit zierlich dekorirten Consolen, die halbrund hervorspringen und das geschmackvolle Ganze vollenden. Die OefTnungen mit Spitzbogen construirt und mit einfachen rückwärts springenden Profilen, enthalten eine Säule, die ganz rund und frei steht, und nur durch eine Kückwnnd geschützt wird. Die Capitüle treten ohne Platten hervor und haben durchaus verschiedene Motiven, deren jedes gleich schön und originell ist. Die oberhalb der Fenster befindlichen Kreise sind ebenfalls im byzantinischen Style gehalten. Säinmtliche Ornamente verbinden mit einer geistreichen gefälligen Composition , die solideste und kräftigste Ausführung und geben gewifs dem geistreichen Baukünstler reichen Stoff zu Motiven seiner Bauwerke. PI. 2. Fig. a, b, c, d, e, /. Capitäle im vorgrösserten Maafs- stabe von der vorigen Platte; man sieht hier in diesem Styl besonders an den Spitzbögen sehr deutlich, dafs die Bauwerke, namentlich das Thor, in das 9. Jahrhundert gehören und unter Kaiser Karl erbaut worden sind, dafs selbst in der Folgezeit die hohe Achtung vor ihrem grossen Erbauer zu ihrer Erhaltung beitrug, bis das Element des Feuer sie zerstörte. 9 4 26 »M» Style gothique. PI. 3. Fig. a. Le magnifique tombeau de saint Sébalde c’est ainsi qu’on nommait ce tombeau à la fin du X\'e siècle, copié d'après un dessin sur parchemin de Veit Stoss, et de 5 pieds ou l m 56 de hauteur. Ce dessin appartient actuellement à l'auteur. Il offre un document curieux pour la biographie de Pierre Vischer, comme artiste, et pour sa participation comme tel à la composition et à l'exécution du tombeau de saint Sébalde. Les différents styles et caractères qu’on remarque dans les œuvres de Pierre Vischer et dans ses ouvrages en bronze ont induit des artistes et des critiques en erreur; on lui a attribué une quantité de créations qui ne lui appartiennent pas. Mais aussi on lui en a contesté beaucoup qui portent d’une manière certaine son nom ou son chiffre. Malgré qu’on ait beaucoup écrit et beaucoup disputé sur ce sujet, il n'est pas à notre connaissance qu’aucun des partis ait réussi à embrasser ce sujet sous son véritable point de vue. Nous nous permettrons donc d’exposernos propres motifs, que nous basons sur l’histoire, sur l’expérience et sur notre propre critique, motifs qui, nous l'espérons, lèveront tous les doutes et qui accorderont entre eux tous les partis. Comme Pierre Vischer n'a eu que cinq fils connus, dont Hermann, Jean, Paul et Jacob seuls ont travaillé avec lui dans son atelier, il est facile de comprendre que dans leurs ouvrages il règne un génie et un style différents, quoique ce génie et ce style différassent peu entre eux. Mais cette circonstance est insuffisante, et il faut considérer encore que du temps de Pierre Vischer, ainsi que dans le nôtre aujourd'hui, on employait dans les fonderies des modèles en bois, et que la sculpture sur bois formait une branche d’art particulière. Mais Pierre Vischer n’était pas lui-même un artiste sculptant le bois, il ne modelait qu’en cire; pour de grands sujets qui ne pouvaient pas être modelés en cire, et peur lesquels on ne peut employer que des modèles en bois, on avait besoin d’un sculpteur très-habile dans l’art de sculpter le bois. On se demande à quel autre artiste célèbre de ses contemporains que Veit Stoss, il aurait pu s’adresser, Veit Stoss qui n’était pas seulement un excellent peintre et dessinateur, mais aussi un architecte et un statuaire distingué, qui avait alors l’atelier le plus considérable de Nuremberg, d'où sortirent les plus excellentes sculptures en bois, telles que autels, rétables, chapiteaux, stalles, statues de saints, candélabres, etc., envoyés en tous lieux à la ronde. Nous reconnûmes de suite, lors d’une visite que nous fîmes à Magdebourg en 1825, le génie et le style de Veit Stoss dans le magnifique tombeau de l’archevé- Deutscher gothlseher Styl. PI. 3. Fig. a. St. Sebalds Prachtgrab damals so genannt nach einer 5 Fufs hohen Zeichnung auf Pergament von Veit Stoss — im Besitz des Verfassers, ein interessanter Beitrag zu seiner Geschichte als Künstler und zu seinem künstlerischen Antlieil an erwähntem Sebaldus Grabmal. Durch die verschiedenen Style und Manieren in Peter Vi- schers zahlreichen Kunst- und Gufswerken sind selbst Künstler und Kenner irre geleitet worden, und es ist ihm vieles zugeschrieben worden, was nicht von ihm ist, aber auch vieles abgesprochen worden, an dem doch bestimmt sein Name oder Monogramm vorkommt. So viel ilun darüber geschrieben und gestritten worden ist, so ist es doch meines Wissens noch keiner Partei gelungen die wahre Ansicht der Sache zu erfassen. Ich erlaube mir daher meine, auf Geschichte , Erfahrung und Selbstprüfung gestützten Gründe vorzutragen, die, wie ich hoffe, alle Zweifel heben, und alle Parteien in einer Ansicht vereinigen sollen. Da Peter Vischer, so viel bekannt, fünf Söhne hatte, von welchen aber nur Hermann, Hans, Paul und Jacob bei ihm, in seiner VVcrkstätte, beschäftigt waren so ist zwar leicht einzusehen, dafs ihre verschiedenen Arbeiten in Geist und Manier von einander, wenn auch nur unmerklich verschieden waren; allein der Umstand ist noch nicht genügend, es mure vielmehr in Betracht gezogen werden, dass zu P. Vischers Zeiten wie jetzt noch in den unsrigen in den Gicfscreien hölzerne Modelle angewendet wurden und Holzschnitzerei ein besonderes Kunstfach bildete. P. Vischer aber selbst war kein solcher Künstler; er modellirte blos in Wachs, zu gröfsern Gegenständen aber, wo Wachs nicht ausreicht, und blos Holz- Modelle angewandt werden können, bedurfte er eines Bildhauers, eines Meisters in Holzschnitzerei, und an wen konnte er sich damals anders wenden, als an seinen kunstberühmten Zeitgenossen, Veit Stoss, der nicht allein vortrefflicher Maler und Zeichner, sondern auch ausgezeichneter Architekt und Figurist war, der damals die bedeutendste Kunktwcrkstätte in Nürnberg hatte, aus der die vortrefflichsten Holzschnitzarbeiten an Altären, Aufsätzen, Chorstühlen, Heiligenbildern, Leuchtern etc. hervorgingen, welche weit und breit versendet wurden. Ich erkannte bei meiner Anwesenheit zu Magdeburg im Jahre 1825 an dem herrlichen Grabmal des Erzbischofs Ernst von Magdeburg in dem dortigen Dom, welches Peter -»0*-»—-——-. IWM» 31 9 que Ernest de Magdebourg, qui se trouve dans le dôme de cette ville, et que Pierre Vischer avait fondu en l’année 1497. Le tombeau du comte Hermann VIII et de sa femme Elisabeth, fille du margrave Albert-Achille de Brandebourg, placé dans l’ancienne église collégiale de Roemhild, ensuite le tombeau du comte Othon IV de Henneberg, dans la même église, sont des ouvrages sortis des fonderies de Pierre Vischer. Lorsque nous les visitâmes en 1828, nous reconnûmes immédiatement dans ces fontes, le génie et le style de Veit Stoss, et d’une manière d’autant plus certaine que les attributs des évangélistes avaient précisément les mêmes dimensions que ceux du monument de Magdebourg, cité plus haut, et qu’ils semblaient avoir été coulés sur le même modèle. Les deux monuments ont de plus les mêmes motifs, quoique celui du dôme de Magdebourg offre plus de richesse, et que la figure de l’évêque soit en ronde bosse et représentée couronnée d’un baldaquin appelé tabernacle du temps de Pierre Vischer, tandis que les figures du comte Hermann et de sa femme ne sont exécutées qu’en bas-relief. Ces monuments, vrais trésors d’art, sont restés inconnus jusqu’à présent, parce que lloerahild n’est point fràquenté ni par des artistes ni par des critiques. Nous les signalons comme les œuvres de Pierre Vischer au public qui s’intéresse aux arts, et qui recevra, nous l’espérons, notre communication avec une juste reconnaissance. Les fonts baptismaux du dôme de Wittenberg et plusieurs autres ouvrages du même genre ont été fondus sur des modèles de Veit Stoss ; c’est ce que prouvent tous les détails des moulures, les feuilles rampantes, les fleurs, etc. Il ne faut pas croire qu’on veuille rabaisser la célèbre famille d’artistes de P. Vischer, dont le talent comme modeleur et comme fondeur est incontestablement établi. Mais, comme nous l’avons dit plus haut, ce n’est que lorsqu’il est question de modèles qui ne pouvaient être exécutés qu’en bois que nous voyons paraître partout la conception et l’exécution de Veit Stoss ; il est prouvé que ces modèles, ainsi que beaucoup d'autres qui ont servi aux ouvrages de fonte de Visclier, sont de Veit Stoss, parce que pendant l’époque si riche en créations d’objets d art de Pierre Vischer, 1 il n’y avait pas d’autre statuaire ni d’autre modeleur distingué à Nuremberg, et que Vischer se sera adressé à coup sûr au maître le plus renommé do la ville. C est ainsi, par exemple , que la belle statue du comte Othon IV a été sculptée en bois par Veit Stoss et fondue et ciselée par Pierre Visclier *. -l- // ’ "’d il .ni H ’1 Beaucoup d’autres ouvrages renommés sont encore sortis des ateliers de Pierre Vischer de Nuremberg, le monument de l’évéque Jean, dans le dôme de Breslau , par exemple, celui de l’électeur Vischer im J. 1497 gegossen hatte, sogleich den Geist und V Styl von Veit Stofs. Die Grabmale Graf Hermann VIII. und seiner Gemahlin Elisabeth, Tochter des Markgrafen Albrecht Achilles von Brandenburg, in der ehemaligen Stiftskirche zu Römhild, dann das Grabmal des Grafen Otto IV. von Henneberg in derselben Kirche sind Arbeiten, aus Peter Vischers Giefshütte hervorgegangen. Bei meiner dortigen Anwesenheit im J. 1828 erkannte ich gleichfalls in diesen Gufswerken Veit Stofs’s Geist und Manier, um so gewisser, da sogar die Attribute der Evangelisten, mit jenen an dem obenerwähnten Magdeburger Grabdenkmal nicht nur einerlei Gröfse haben und aus einer Form gegossen zu seyn scheinen, und überdies beide Denkmäler einerlei Motive haben, obschon das Magdeburger bedeutend reicher gehalten und die Figur des Bischofs erhaben, und unter einem Bilderdach zu P. Vischers Zeit Tabernakel genannt dargestellt ist, während die Bildnisse Graf Hermanns und seiner Gemahlin nur en basrclief ausgeführt sind. Diese Denkmäler, wahre Kunstschätze, sind bisher, da Römhild ausser allem Kunstverkehr liegt, der Beachtung entgangen; ich habe solche als Vischer’sche Kunstwerke der Kunstwelt wiedergegeben, in der sie gewifs gerechte Anerkennung finden werden. Auch das Taufbecken in der Domkirche zu Wittenberg und mehrere ähnliche Arbeiten sind nach Modellen von V. Stofs gegossen, was alle Details der Gliederungen, der Krappen, Blumen etc. beweisen. Damit soll aber keineswegs der würdigen Künstlerfamilie P. Vischers zu nahe getreten seyn, deren Talent in Formen und Giefsen unbestritten dasteht. Nur, wie Oben gesagt, wo von Modellen die Rede ist, dio nur in Holz ausgeführt werden konnten, tritt überall V. Stofs’s Geist in Auffassung und Ausführung hervor; und dafs diese und so viele andere Modelle zu Vischers GuTsarbeiten, wo nämlich Wachsmodelle nicht ausreichten, von V. Stofs sind, geht schon aus der Thatsachc hervor, daTs in der Vischer’- schen Kunstperiode weiter kein ausgezeichneter Bildhauer und Modellist in Nürnberg war, und Vischer sich zu seinen Arbeiten auch gewifs nn den ausgezeichnetsten Meister gewendet haben wird. So ist z. B. die herrliche Statue des Grafen Otto IV. von V. Stofs in Holz geschnitzt und von P. Vischer * gegossen und ciselirt. * Von der Vischerschen Werkst&tte in Nürnberg sind noch viele bekannte Werke ausgegangen, wie i. B. du Grabmal Bischofs Johann na Dom in Breslau, des Kurfürsten Joachim in Berlin, die Grab- -M»dt Ml 30 mm 'Mmü Mais la riche décoration entrelacée et si variée dn tombeau de saint Sébalde, les petites figures, les chapiteaux, les bas- reliefs, les candélabres, ensuite les apôtres, tout cela est de Yischer ou de son fils aîné Hermann, qui, dit-on, surpassait de beaucoup son père en talent. Tous ces accessoires ont été modelés en cire; cela est certain, parce qu’ils ne portent pas trace de ciselure. 11 en est de même du bas-relief de l’évêque Antoine Kress, mort en 1513, qui est un vrai chef-d’œuvre; du beau monument de M. Tücher, dans l'ancienne paroisse de Saint-Ulrich à Ratisbnnne, et du magnifique tombeau de Gautier de Cronberg, grand-maitre de l'ordre des chevaliers teu- toniques, successeur d’Albert de Brandebourg, tombeau qui se trouvait autrefois dans la chapelle de l’ordre à Mergentheim, r et commandé dans le style de l’époque à Pierre Yischer, du vivant du grandmaitre. Nous découvrîmes ce charmant monument dans l'ile dite de la chapelle à Monrepos, près Ludwigsburg. Il avait été placé en plein air. Ce tombeau doit être apporté à Stuttgart, et placé dans un musée. !i Yeit Stoss était plus connu de ses contemporains que Pierre ! Yischer, car ses ouvrages étaient connus et recherchés dans ij toute la chrétienté. Les beaux autels qu’il exécutait n’avaient Jj pas leurs pareils. Ses meilleurs ouvrages, qui se trouvaient à Nuremberg dans l’église Sainte-Marie, dans celles des Augu- stius et des Carmélites, n’existent malheureusment plus. Mais ! son magnifique devant d’autel à Schwabach, un christ de l’ancienne ville impériale de Rottweil dans le royaume de YVir- temberg, son beau christ de l’église de Saint - Sébalde de Nuremberg, sa madonne dans l’académie de cette ville, son chapelet de la chapelle du château de Nuremberg, sont encore existants comme de vénérables témoins de l’art ancien. Un sort fatal poursuivit sa Salutation angélique, placée dans le choeur de l’église de Saint-Laurent à Nuremberg, et qui tomba en morceaux il y a plusieurs années. Cet ouvrage fut réparé d’après notre conseil par M. Rottermund, statuaire. L’adresse et le talent de Yeit Stoss ne purent échapper au célèbre Sébalde Schreier. Il fit faire par le célèbre artiste dessins pour un tombeau projeté pour les exécuter ensuite en bronze. Un dessin de la main de Yeit Stoss se trouve, comme nous l’avons dit plus haut, dans la possession de l’auteur. Joachim, à Berlin; les tombeaux des deux électeurs de Saxe, Frédéric le Sage et Jean le Constant, dans l'église castrale de Wittenberg; celui de l’électeur Albert de Mayence, b Ascbaffenbourg, et beaucoup d'autres b Bamberg, b Wurzbourg, Eicbstaedt, b El 1- wangea, etc. -——- Aber die reich verschlungenen Decorationen aller Art am Sebaldsgrabmal, die kleinen Figuren, Capitale, Basreliefs, Lichterträger, dann die Apostel sind von Yischer, oder von seinem altern Sohne Hermann, der seinen Yater weit übertroffen haben soll, in Wachs modellirt, was schon an der un- ciselirten Arbeit zu erkennen ist; dies ist auch der Fall bei dem Basrelief des Probstes Antonius Krefs gest. 1513, einem wahren Meisterstück, dann bei der vortrefflichen Tu- clier'schen Tafel in der alten Pfarrkirche zu St. Ulrich in Regensburg, und an dem ausgezeichnet schönen Grabmal des Deutsch - Ordens - Grofsmeisters Walther von Cronberg, Nachfolgers des auf den Orden verzichtenden Grofsmeisters Albert von Brandenburg, welches sich ehemals in der Or- densknpelle zu Mergentheim befand, und von dem Grolsmei- ster, im Geiste seiner Zeit, noch bei Lebzeiten bei P. Yischer bestellt wurde; dieses herrliche Denkmal entdeckte ich auf der Kapellen-Insel in Monrepos bei Ludwigsburg, als Spielerei im Freien aufgcstellt. Es soll jetzt, wie mir versichert wurde, in einem Kunstmuseum in Stuttgart aufgestellt werden. V. Stofs war zu seiner Zeit fast weiter bekannt, als es P. Yischer war, denn seine Arbeiten waren in der ganzen Christenheit bekannt und gesucht; seine herrlichen Altäre hatten nicht ihresgleichen; leider sind seine besten Werke, welche sich zu Nürnberg in der St. Marien-, in der Augustiner - und Karmeliterkirche befanden, nicht mehr vorhanden ; aber sein herrlicher Altarschrein in Schwabach, sein Christus in der ehemaligen Reichsstadt Rottweil im Wirtembergischen, sein trefflicher Christus in der St. Sebalduskirche in Nürnberg, seine Madonna in der dasigen Kunstschule, sein Rosenkranz in der Kaiserkapelle auf der Burg sind erhalten worden , als ehrwürdige Zeichen alter Kunst. Ein eigenes Schicksal traf seinen englischen Grufs, der im Chor der St. Lorenzkirche aufgehangen, vor mehreren Jalireu herabstürzte und in viele Stücke zerbrach. Dieses Werk V. Stofs’s wurde auf meine Y’eranlassung durch den Bildhauer Rottermund wieder hergestellt. V. Stofsens Kunstgeschick und Talent konnte dem berühmten Sebald Schreier nicht entgehen er liefe sich von dem berühmten Meister Zeichnungen zu seinem projectirten Prachtgrab entwerfen, um dieselben sodann in Bronze auszuführen ; und eine solche Zeichnung von V. Stofsens eigner Hand befindet sich, wie schon oben erwähnt, im Besitz des Yerfassers. male der beiden sächsischen Kurfürsten Friedrich des Weisen und Johanns des Beständigen in der Schlosskirche In Wittenberg, Kurfürsten Albreeht von Mainz ln AschalTenburg, eben so viele in Bamberg, Würzburg, Eichstädt, Ellwangen etc. 31 Mais comme, d’après le projet de Veit Stoss, l’élévation du monument eût été de près de soixante pieds, et nous en donnerons des détails dans Les livraisons suivantes, qu’en outre, par sa grande complication, il serait revenu trop cher, on conserva à la vérité la composition de la partie inférieure du tompeau, et Vischer la décora dans le style de la renaissance, nommé aussi style italien, et qui, vers cette époque, remplaça le vénérable style germanique ou gothique. Mais le sommet, si délicieusement composé par feit Stoss, tel qu on le voit dans ses dessins, ne réussit pas à Pierre Vischer. Car le couronnement du tombeau de saint Sébaldc est la partie la moins bien conçue de cette œuvre célèbre. Ce couronnement tabernacle ne signifie et ne dit rien, et prouve que Vischer était étranger à l'architecture du style à ogive. 11 résulte de tout ce que nous venous de dire que les Vischer ne pouvaient pas faire euxmèincs modèles en bois. On ne peut par conséquent leur attribuer ni la composition, ni le dessin, ni le modelage. L’ensemble de l’idée sortit de la tête du sculpteur, qui n’était autre, dans les différents cas et pour les ouvrages les plus importants que nous venons de citer, que Veit Stoss. C’est ce qui eut également lieu pour les fondeurs des fameuses statues colossales en bronze du mausolée de l’empereur Maximilien 1er de l’église Sainte-Croix d’Inspruck, nommés Etienne et Melchior Godl et François Lendenstreich ou Lendenstrauch. Les memes circonstances se présentèrent aussi pour Pierre Leeffler, appelé Layminger, qui, ainsi que ses fils, n’étaient que fondeurs de détail et fondeurs de cloches, et qu’on a pris faussement pour les fondeurs du monument de Maximilien *. Mais il est certain que les Vischer resteront infiniment supérieurs aux fondeurs que nous venons de nommer, ainsi que le prouvent les ornements, les apôtres et même les petites figures du tombeau de saint Sébalde, ainsi que le prouvent encore leurs autres ouvrages, qui certifient d’habiles modeleurs en cire et fondeurs en métaux. On doit encore remarquer dans le dessin de Veit Stoss, pour le tombeau de saint Sébalde, trois bas-reliefs d’une grande beauté 1 Celui qui représente saint Sébalde allant à Rome et rencontrant saint Willibald et saint Wunibald, qu'il admet dans sa société ; 2 Celui qui représente saint Sébalde et ses compagnons de voyage égarés dans une montagne déserte, accablés de faim 1 presque tente d’attribuer des modèles de ces belles figures a Veit Stoss; car, si l’on compare leur caractère avec celui de la statue d’Othon IV de Henneberg, dans l’eglise de Rocmhild, on sera étonné de la similitude de style qui existe entre eux. Da nun aber nach V. Stofsens Zeichnung und Projection das Monument beinahe 60 Fufs hoch , — in folgenden Heften das Kältere darüber — und bei seiner grossen Complicität zu kostspielig geworden wäre, so behielt man zwar die Motive der untern Abtheilung des Grabmals bei, und Vischer deko- rirte selbige im Renaissance-Styl auch welsche Manier genannt, welche um diese Zeit den ehrwürdigen deutschen Styl verdrängt hatte, aber der Schlufs, welchen V. Stof» in seinen Zeichnungen so herrlich gelöst hat, wollte Vischer nicht gelingen; denn wirklich ist der Aufsatz am Sebaldsgrabmal der schwächste Theil des übrigens mit Recht so berühmten Kunstwerkes. Dieser Grabhimmel Tabernakel ist nichtssagend und beweist, dafs Vischer in deutscher Architectur ein Fremdling war. Aus alle dem erhellet nun deutlich , dafs die Vischer ihre Modelle, sobald solche von Holz seyn niufsten, nicht selbst fertigen konnten ; weder Entwurf, Zeichnung, noch Form kann I ihnen in solchem Falle zugeschrieben werden. Die ganze Idee ging aus dem Kopfe des Bildhauers hervor, der in den hier angeführten speziellen Fällen und bei den wichtigsten Werken V. Stofs war ; und dies war auch der Fall bei den Giefsern der berühmten colossalen Erzstatuen ain Mausoleum des Kaisers Maximilian I. in der heil. Kreuz - oder Ilofkirche zu Insbruck , Stephan und Melchior Godl und Hans Lendenstreich oder Lendenstrauch ; noch mehr war es bei Peter Löffler, auch Layminger genannt, der nebst seinen Söhnen nur Stück- und Glockengiefser war, und die man sänuntlich fälschlich als Giefser des kaiserlichen Monuments angegeben hat *. Aber immer stehen die \ iseber als Künstler weit über den ebengenannten Giefsern, wie die Ornamente, Apostel und die kleinern Figuren am Sebaldsgrab und an andern ihrer Kunstwerke bezeugen, wo sie sich als gewandte Modellisten in Wachs und als tüchtige Giefser erwiessen haben. Koch sind in V. Stofsens herrlicher Zeichnung zu dem Sebaldsgrab 3 ausgezeichnete Basreliefs zu bemerken, uls 1 wie St. Sebald die heiligen Willibald und Wunibald auf seiner Reise nach Rom findet und in seine Gesellschaft aufnimmt; 2 wie St. Sebald mit seiner Reisegesellschaft in ein wildes wüstes Gebirge gerathen ist, und nebst derselben von Mn- * Fast möchte man zu der Meinung versucht werden, dass auch diese herrlichen Bilder im Modell Veil Stofs xuzuschreihen wären, denn wenn man den Charakter Ottos IV. von Henneberg in der Stiftskirche in Römhild mit diesem vergleicht, sn mufs man aber die Aeha- lichkeit des Geistes in der Ausführung staunen MI 30 I , i i ! ii * i, et de fatigue, et comment il console sa compagnie après avoir fait une prière à la suite de laquelle un ange leur apporte des vivres ; 3 Celui qui représente saint Sebalde à table avec saint Willibald et saint Wunibald. Dans le dessin, les apôtres sont représentés sans attributs, circonstance fréquente à cette époque; peut-être V. Stoss ne voulut-il pas déterminer la hiérarchie des apôtres d’une manière formelle, n’indiquer que vaguement ou hypothétiquement leur ordre. Les groupes d'enfants et d’animaux placés sur le sommet du soubassement ont une signification symbolique les petits chiens, par exemple, occupés à jouer, signifient ici la fidélité réciproque; la lutte avec le dragon, le combat du bon avec le mauvais principe, le combat du christianisme avec ses adversaires; le petit garçon cherchant à s’asseoir sur une boule, mais qui semble en être empêché par un chien qui le caresse, représente l'homme qui se laisse détourner de son vrai bonheur par les sens et la flatterie. Tous ces détails, aussi bien que l’ensemble général, sont dessinés d’une manière ravissante dans le style germanique du xve siècle. L'exécution de ce dessin serait devenue un chef-d’œuvre inestimable, comme on pourra le voir par les quatre planches qui paraîtront dans les livraisons suivantes. PI. 4. Fig. a. Chapiteau curieux, trouvé en 1841 dans les ruines de Hohen-Urach, l’ancienne Fùrstenburg ou de son fils, Evrard- le-Barbu, premier duc de Wirtemberg. Hohen-Urach, ce majestueux château-fort des comtes de Hohen-Urach, fut acheté par le Wirtemberg en 1265. 11 tomba en partage en 1442 au comte Louis, qui y fit faire beaucoup de constructions et y fixa son siège. Le comte Evrard-le-Barbu choisit dans la suite Hohen-Urach pour son séjour favori; il était né dans ce château; on était venu l’y chercher en grande pompe pour le baptiser dans l’église collégiale de Saint-Amand de la ville d’Urach, située au pied de la montagne sur laquelle est bâti le château. C'est de Hohen-Urach qu’il donna dans j la suite plusieurs ordonnances pour le bien de son pays ; il embellit encore la ville et le château et y célébra magnifiquement son mariage. C’est dans ce château qu’il conçut l’idée de fonder une université à Tubingue Ce château , si célèbre dans l’histoire, est maintenant en ruines. Cet état est dû aux hommes et non au temps. Dans le xviii e siècle il était encore debout et intact. Il fut enfin abattu, et les matériaux employés à bâtir le pavillon de chasse de Grafeneck et les écuries de Rutschenhof. digkeit und Hunger geplagt wird , wie er seine Begleiter tröstet und nach einem Gebete von einem Engel mit Speise versehen wird ; 3 St. Sebald mit S. S. Willibald und Wunibald speisend dargestellt. Die Apostel sind in der Zeichnung ohne Attribute dargestellt, eine Eigenheit, die zur damaligen Zeit öfters vorkam; vielleicht wollte er den Rang der Apostel nicht bestimmt, sondern nur unmassgeblich andeuten. o- Die Thier- und Kindergruppen auf dem Simse des Postaments sind symbolischer Bedeutung z. B. spielende Hunde bedeuten hier gegenseitige Treue — der Kampf mit dem Drachen den Streit des guten mit dem bösen Princip, Kampf des Christenthums mit seinen Gegnern, — ein Knabe, der bemüht ist, sich auf eine Kugel zu setzen, aber durch einen schmeichelnden Hund daran verhindert wird, den Menschen, der durch nichtige Sinnenlust oder Schmeichelei sich abhalten läfst, sein wahres Glück zu erfassen. Alles dies, so wie das Ganze, ist vortrefflich gezeichnet und im altdeutschen Style des 15. Jahrhunderts gehalten, und würde, im Gufs ausgeführt, ein unschätzbares Meister-Werk geworden seyn, wie aus den vier folgenden Blättern in den nächsten Heften zu ersehen ist. PL 4. Fig. a. Interessantes Capitäl, gefunden im Jahre 1841 auf der ehemaligen Fürstenburg, nun Ruine Hohen-Urach, aus der Zeit des Grafen Ludwig von Wirtemberg oder seines Sohnes, des ersten Herzogs von Wirtemberg, Eberhard im Barte. Hohen-Uroch, diese ehemals grandiose Burg der Grafen gleichen Namens, erwarb Wirtemberg im Jahre 1265. Sie fiel im Jahre 1442 dem Grafen Ludwig zu, welcher auf ihr viele Bauten vornehmen liefs, und seinen festen, fürstlichen Sitz auf dieser Burg einrichtete. Graf Eberhard im Barte er- kohr in der Folge Hohen-Urach zu seinem Lieblingsaufenthalt; er war daselbst geboren und wurde von da mit grofsem Pomp abgeholt, um in dem St, Amandus-Stift der unten am Berg liegenden Stadt Urach getauft zu werden. Nun liegt diese historisch-merkwürdige Burg in Ruinen, nicht von der Zeit, sondern durch Menschenhände dazu gemacht. Noch im 18. Jahrhundert stand sic vollkommen erhalten da. Sie wurde abgebrochen, und aus dein Material das Jagdschlofs Grafeneck und der Marstall auf dem Rutschenhof erbaut. '-» »n a +CK-V - - -SM-VJ 33 OC-**- ' L’original de ce chapiteau, que M. Eberlein a dessiné, se trouve actuellement dans les bureaux de l’administration des forêts d’Urach. Ce chapiteau est taillé à jour dans une pierre blanche et dure; la composition en est belle, les reliefs en sont dorés, ce qui prouve qu’on préféra habiter plutôt le château que la ville; car cette dernière est presque entièrement bâtie en bois et sans ornements aucuns il est probable que ce chapiteau appartenait à la salle de cérémonie ou d’honneur ou à la chapelle de ce château. Les arts furent accueillis au moyen âge dans les châteaux et les châteaux-forts avec autant d’amour que dans les cloîtres et dans les villes impériales; c'est ce que prouve la Saalbourg, le château de Nuremberg, de Holientubingue, d’Amhras, de Carlstein, de la Wartbourg et beaucoup d'autres. Dans la plupart de châteaux des gentilshommes on trouve le contraire, quoique leurs propriétaires fussent très-riches. Les ligures 6 et c appartiennent plutôt au style byzantin. La seconde, c, qui n'existe plus, est tirée du château des ducs de Wirtemberg. Voyez la cinquième livraison, pi. III, fi g. d. , de cet ouvrage. La première représente le combat du lion avec le dragon, et se trouvait placée au-dessus de la chapelle à l'occident. La rosace était incrustée au-dessous de l’escalier principal en bois, qui conduissait aux salles d'honneur. Ces deux fragments, à en juger par leur style et leur travail, sont plus anciens que ne le fait connaître l’inscription. 11 faut donc les placer bien antérieurement au xe siècle, ce qui prouverait aussi l’antiquité de la maison de Wirtemberg. Fig. d. Frise courante de l’année 1480, tirée du passage de la chapelle Saint-Nicolas dans l'église cathédrale d'Aix-la- Chapelle, du temps du landgrave Hermann de Hesse, archevêque de Cologne, doyen d’Aix-la-Chapelle et de Saint-Géréon de Cologne. Ce curieux ornement est complètement dans le i même style que le chapiteau d’Uracli, dont nous avons donné plus haut la description. Il a été dessiné par l’auteur, sur place, le 26 septembre 1826. PI. 5. Bas-relief ornant le tympan au-dessus de la petite porte d’une tour dite de la chapelle de Notre-Dame, actuellement paroisse succursale et église du Gymnase de Rottweil, dans le cercle de la Forêt-Noire, royaume de Wirtemberg. Ce beau bas-relief, représentant un chevalier et sa fiancée, est donné ici tel qu’il a été restauré ; car il était fortement mutilé eu quelques endroits. Il est d’une belle conception. La composition nous a tant plu que nous nous sommes proposé de la donner dans ce recueil sur une échelle plus grande. Afin que Das Original dieses Capitäls, welches Eberlein gezeichnet hat, befindet sich jetzt im Forstaint Urach verwahrt; es ist von hartem weiTscm Stein à jour, sehr geschmackvoll geinei- selt, und die Erhabenheiten reich vergoldet, ein Beweis, dafs die Residenz auf der Burg der in derStadt vorgezogen wurde; denn letztere ist gröfstentheils von Holz ohne besondere Ausschmückung erbaut; wahrscheinlich gehörte dieses Capital dem Ritter-Saal oder der Burg-Kapelle an. In den Schlössern und Burgen jener Zeit fand die Kunst eben so leicht Eingang und freundliche Unterstützung als in den Klöstern und Reichsstädten; das beweist die Saalburg, die Kaiserburg Nürnberg, Hohentübingen, Ambras, Carlstein, Wartburg u. a. in. ; bei den meisten Burgen der Edelleute kommt das Gegentheil häufig vor, auch wenn die Besitzer sehr reich waren. Fig. b. und c. gehören eigentlich zur Abtheilung des byzantinischen StyU, aber analog obiger Beschreibung „wirtem- bergischer Denkwürdigkeiten“ habe ich mir erlaubt, solche hier anzuführen. Die erste der beiden, welche leider nicht mehr existirt, ist die Stammburg Wirtemberg siehe diese 5. Heft. Platte 3. Fig. 70, de longueur. Cette tour de Sainte-Croix est un vrai ornement pour la ville et d’autant plus précieux que Rottweil a vu se perdre dans le cours des siècles la plupart et les plus belles de ses tours, genre de monuments qui donnent à toutes les villes anciennes un aspect vénérable. Fig. b. Frise courante tiré du portail principal de la même tour donnant sur le grand marché. Ce portail est fort riche en beaux motifs. PI. 6. Fig. a. Ornement d’un pupitre sacré, appartenants au maître-autel de l’église paroissiale de Notre-Dame à Pappenheim. Cet ornement curieux, sculpté en bois, appartenait autrefois à l’église conventuelle des Ermites -Augustins. Ce couvent, fondé en 1348 par le maréchal Henri de Pappenheim, possède encore de magnifiques stalles portant le millésime de 1496, et que nous comptons donner dans les livraisons suivantes. Il est certain que notre pupitre est de la même date. Les documents historiques publiés par Doederlein sur l’antique maison des maréchaux de Calatin et des seigneurs et comtes de Pappenheim qui en descendent, ne donnent que peu de renseignements sur l’histoire et l’état de l’architecture ainsi que sur les beaux-arts en général de cette époque reculée; il a imité l’exemple de la plupart des auteurs de son époque, qui ne font pas mention non plus de ce sujet. Cet ornement, exécuté en bois d’érable, a très-peu de saillie. L’ensemble en est assez bien conservé, sauf quelques cassures de la rosace centrale et à jour, qui contient l’écusson des comtes de Pappenheim. Des ornements du même genre sont placés sur les côtés du pupitre. L’ornement a 16 pouces dem Kunstwerk angemessene, würdige Weise geschehe, hat mein Freund, Herr Kupferstecher Friedr. Wagner, den Stich übernommen. Die Kirche, an welcher dieser merkwürdige Thurm steht, wurde im Jahr 1364 zu bauen angefangen und im Jahr 1473 vollendet, wie solches die Jahrzahl an einem Stein anzeigt. Eine Zeitlang gehörte sie dem Jesuiten-Orden. Im Jahr 1759 wurde diese Kirche durch unwissende, ungeschickte Baumeister renovirt, und erhielt eine wahrhaft schauderhafte barocke Ausschmückung, am schändlichsten aber wurde sie 1820 und 1836 verstümmelt, so dafs von Seiten der Stadt Rottweil der allgemeine Wunsch ausgesprochen wurde, diese Kirche durchgängig wieder im reinen altdeutschen Style hersteilen zu lassen, und zwar durch den Verfasser, welcher in den Jahren 1839, 40, 4l u. 42 bereits die heilige Kreuzkirche zu Rottweil in diesem Style restaurirte Auf Veranlassung des verdienstvollen und kunstsinnigen Herrn Stadtschultheifs und Landtags-Abgeordneten Teufel, wurde vom Verfasser bereits die Zeichnung von dem Thurm in 15 Fufs Höhe, mit dem zu restaurirenden Theile auf das genaueste ausgeführt. Fig. b. Ein fortlaufendes Ornament vom vordem grofsen Portal gegen den Hauptmarkt zu erwähnten Thurmes; dieses Portal ist sehr reich an den schönsten Motiven. PI. 6. Fig. a. Ornament auf einem Mefspulte des Hochaltars in der Stadtpfarrkirche zu unserer lieben Frauen in Pappenheim. Diese originelle Verzierung in Holz geschnitten, ist aus der ehemaligen Klosterkirche der Eremiten-Augustiner- Ordens-Gesellschaft dahin gekommen. Dieses Kloster, welches vom Marschall Heinrich von Pappenheim im Jahre 1348 gestiftet worden, besitzt noch vortreffliche Chorstühle mit der Jahrzahl 1496, welche in spätem Heften auch aufgenommen werden sollen. Ganz gewifs ist das angeführte Mefspult auch aus dieser Zeit. Döderleins historische Nachrichten von dem uralten Geschlechte der Marschalle von Calatin und der davon abstammenden Herrn und Grafen zu Pappenheim giebt wenig über die Geschichte und den Zustand des Bauwesens und der Kunst jener Zeit, wie die meisten Schriftsteller seiner Periode diesen Gegenstand unberührt lassen. Dieses Ornament ist in Ahornholz sehr seicht geschnitten. Die Formen des Ganzen sind, ausser einigen Beschädigungen der durchbrochenen Mittelvcrzierung, 'welche das Wappen der Grafen von Pappenheim enthält, und es umgibt, noch sehr gut erhalten. Aehnliche Verzierungen finden sich an den Sei- •» cet» -—-—-—— - -»woi O 35 fOni 38 di O™ 38 de longueur et 1 pied 3 pouces 0 m 36 de Bavière de largeur. Fig. b. Ornement de grandeur naturelle d’une boîte à bijoux en bois d’érable, d’un travail très-délicat et ornée de marqueterie. Le fond de cet ornement est en bleu de roi. Cette petite boîte a 11 pouces Om 26 de longueur sur 6 pouces 0“ 14 de Bavière de largeur. Elle servait sans doute à conserver les insignes de l’ordre du Cygne, à en juger par un vieux tableuu qui se trouvait dans le couvent et qui représente l’adoration des rois Mages. IJn d’eux présente une cassette à l’enfant Jésus, qui en sort la croix de l’ordre du Cygne. A l’intérieur de cette boîte est placé une cache pour mettre les auménes ou offrandes des chevaliers. Cette cassette appartient actuellement à l’auteur. Elle sert aujourd’hui à conserver quelques reliques d’Albert Durer, telles que ses cartes à jouer, ses plumes à dessin et quelques pièces d’or et d’argent trouvés dans la maison de ce grand artiste lorsqu’on en entreprit la restauration. PI. 7. Fig. a. Porte décorée de l’église de l’hôpital de Sainte- Catherine de l’ancienne ville impériale d’Esslingue, royaume de Wirtemberg. Cette porte est un clief-d’œuvre dû au talent du célèbre architecte Matthieu Boeblinger, qui s’est érigé lui- même un monument éternel de gloire dans l’église de Notre- Dame de cette ville. Par la destruction brutale de cette église de Sainte-Catherine et de plusieurs autres monuments remarquables du moyen âge, la ville d’Esslinguc s’est fait une triste renommée dans le monde artiste. Dès les temps de la réformation, l’iconoclaste Blarer *, stupide calviniste, ravagea l’intérieur de l'église, qui était un des beaux monuments de l’architecture germanique, curieux sous tous les rapports pour un artiste et non-seulement par l’harmonie de son extérieur, mais aussi par la richesse et l’élégance de son intérieur. Cette église formait l’encoignure de l’hôpital de Sainte-Catherine, qui n’existe plus de nos jours', elle était située vis-à-vis de l’église principale, dédiée à saint Denis, qui avait été élevée primitivement en 1247 par les religieux et religieuses de l’ordre de Saint-Augustin en l’honneur de sainte Catherine. Lorsque cette chapelle menaçait de tomber en ruines et que l’ancienne existait déjà depuis deux cent trente-cinq ans, elle fut démolie avec la permission de l'évéque de Constance et ensuite rebâtie. On employa à sa réédification les matériaux d’une * C’est le même qui détruisit les chefs-dœuvre d’art du dôme d’Ulm. -—.. . .. ten des Pultes. Das Ornament ist 16 Zoll lang und 1 Fuis und 3 Zoll breit nach bayerischem Maafae. Fig. b. Ornament in natürlicher Gröfse, an einem Schmuckkästchen von Ahornholz, ausserordentlich fein geschnitten , und mit vieler eingelegter Arbeit versehen. Der Grund der Verzierung ist königsblau. Das Kästchen ist 11 Zoll lang und 6 Zoll breit bayerisch Maafs und diente wahrscheinlich zur Aufbewahrung des Schwanen- Ordens , nach einem alten Gemälde zu urtheilen, welches sich [im Kloster Heilsbronn befand, und welches die Anbetung der heiligen drei Könige vorstellt, deren einer dem Jesuskinde ein Kästchen überreicht, aus welchem das Kind den Schwanen-Orden herausnimmt. Inwendig ist ein eingelegtes Bchältnifs, um die Almosen oder Geldspenden der Ritter aufzunehmen. Der Verfasser ist jetzt im Besitz dieses Kästchens, und nun dient es zur Aufbewahrung einiger Reliquien von Dürer z. B. seiner Spielkarten, Reifsfedern und einiger Gold- und Silberstücke, welche derselbe in dein Wohnhause Alb. Dürers fand und zwar bei Gelegenheit der Wiederherstellung dieses Hauses. PI. 7. Fig. a. Portal-Dekoration der ausgezeichnet schönen , im Jahr 1815 vandalisch zerstörten Hospitalkirche zu St. Catharina in der ehemals berühmten Reichsstadt Efslin- gen, Königreichs Wirtemberg, eines Meisterstücks des berühmten Kirchen-Baumeisters Matthias Böblinger, welcher sich schon durch Erbauung der Frauenkirche in genannter Siadt ein bleibendes Denkmal gesetzt hat. Efslingen hat sich durch die heillose Zerstörung dieser Catharinenkirche und noch anderer ausgezeichneter Denkmale aus dem Mittelalter einen bösen Namen in der Kunstwelt gemacht. Schon bei der Reformation hauste der wahnsinnige zwinglianische Bilderstürmer Blarer* vandalisch im Innern der Kirche, die ein vortreffliches Denkmal altdeutscher Baukunst war, und jeden gebildeten Künstler gewifs ansprechen mufste, nicht allein durch ihr geschmackvolles Aeussere, sondern auch durch innere Zierlichkeit und Pracht. Diese kleine Kirche war ein Kckgebäu- de des grofsen nunmehr auch abgebrochenen St Calharinen- Hospitals, der St. Dionysius- oder llauptkirche gegenüber gelegen, welche ursprünglich im Jahre 1247 von den in den Orden des heil. Augustin aufgenoinmenen Brüdern und Schwestern zur Ehre der heil. Catharina erbaut wurde. Nachdem diese Kapelle baufällig geworden und die alte schon 235 Jahre gestanden hatte wurde sie mit Erlaubnifs des Bischofs * Derselbe, welcher auch die kostbarsten Kunstwerke im herrlichen Münster in Ulm serstürte. 5 » -, > >>o!j Jdafiiusöthav ^suuiajaw mnX, lolobtoH Iidiluiîlf- bno hî> i ••' .aiuw» iwY aälfaolcj^' Talquâ ai • iioillte'lf .1 ii 1*1 bmf mii^bW . ib»h'i ..nos at ü,»a j»-x j. ->.wh . ^ .rtO'.iéiiv». i’mJH Ô£ lofeo M . G Jvioftf' J .nîC 4fljÄuA .h5 .Mirsi't /lirfjïî 0r ïâ{n> .ni 06 .01 B' iaiqe'I- .>aidj Iwj. Jîtiiloü .t»ij,.ioy rfambdA .U .i/ .i%8 êt .iîd46 S ia}*»id .ft Miqtt'f''J wî- alambd J9I .i'A . Tg2 Ut .ilrij8 S isbo -t .6 nsiqT .-uan. r B „ „ „ .Yi .-l’/ï *? * ig* fi»*** ’ ' a»-***-. ft çt tt jflii fioz stîcsnA ^n' 10 . 1301311 , JH/u, w^alo^Iftanii m^h ni Tj/mtiiS- frfößi*! loh zwh JßM JtlJtefmAA . S'Illdo 9 t 9 Î l l , ll luit II 8 lffl»ll!!lilI - o o y a a a y isadaisiax /' m r • . ; *> , - , . TÂAflHTQâ. MOHô ^ - J .sJifoiibäs boa Jâbï /lalMllirtA ibI laïtalaîiiff oui >.as ^.ilhU i*te*>.wiMai ai3 .uislshalqun. liiü^ JiK .. i ,j •_. — ' - '• ; .' v'- ' v - .sqqcM ni r/uino’ï- oilcrl - i9iif h3 .noorf .iMJH S ï»bo .im OS .6 JJ mggo/.y 11 ui J 9d*yuA Jn&} jtsùivfl . ilrîifl t- ''il;Ü8aniij3 >ik ajM-jMA .11 n .0081 isdotoO air t %t»6iniVC >*y^!SVfjp.çwA' vr »'*—» * 99 ^ i DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft 1 / r - /V; . •§ te^MMMiBEteK3ljKa m üvi' WMlJII w- fjy i DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS •f MxmSz *rf » rÿ yiîiàat •-Nfi X j \ j . a;- ^* 34 -^ v BTIrv .1!iil. r*-7 ?Xv', / »Atf ^ Wv DIE ORNAMENTIK MITTF!,Al,TKR Heft I P! \ rz'/iim si f DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS 3 s . w *r?t •*Ä1 ^%äiF; 'SjfiB S>\ .••V'feî- 1 . V? *^fe3vî^ i t'^' liWj’î; '/„v-ff! y_>rî wéêM • • / ' DIE ORNAMENTIK DE iS MITTELALTER S AN Die ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft. I f - S v\% maß. WMSW SjfÊiâ toem "J 2i*K ît —- . i 1 }.' . äT V- 'i TV/*.+ DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft I jf jfc’i W •T- M 5 ?; jö“- •' .r* -j €3 * o3. ! -ilKrg ,^a » S m'ftéfà jjhÉ Kf”B Ph. Walther sc. Nb$- iji iii7iiiiiniw8b K , . • H 4 - . * T-*/ '=>' i- ^ r. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS \ K ,\V DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS 1 ’ tiefTlf William!!! i ii mit SB» mt Ph Waîthw \mn HUHU mm ltlltlluml^ uiunuii,uunu$ mam fl. a. . r-fc DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft H, mm w?./ mmmt iw?*** 'vT V* ?>àWh • • ^ » -• -æ Jï' DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft H. mm i mnrJQî TTIiBHT ;,v'S À, • / n* gw . »> 4 ' ' KM >%* v 7{ *P * > /y DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft II. Miiiiitw. W,mxr . *V! j \ ; W-Y * 1 r VJ? W 4-J'll s o' MH'âwjn. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS, Heft H. ll I '[! r. 11 l !! , ! l 'j! »si mililin J '.Lnll W JtÉMV* A-a- lü^. ; 1 ^ Heft IL — i! Heft JE. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS. H 2. f?\ ff mm o ; K- .y MK y 1 a DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS. HeftHL H 3 SS3! Hl//, WS ' i i 1 c i i ^£. $£ctfl€4**4.£e/ JU -* tr“ .— * * ~ - i a- - • i i; ftU/ wem -'-rtï avm ’v . r-i •» ? , ; bV , S’*'? =!5_ • ; isr _i * v " >l C'A »SfiÆ . r .K, DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft BE .mis» . * 3 I *£'' ai. . » rrtÊ'/jjè aSé* ' i».-* ISfÜI -\ ; ^ *MQrt t H!Bi -.' ^r r c .? 1 1 “• a. 'ÄpÄfW» .•i. r â >* - Heft in. v '.*,•* y $1 •Jü&ààiïi f ’f ., \ ^ *iÉftai * rin * k î. üî-Â-r. UC& itf-ri a*-r K ? Säf^ DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS. HeftU VV". vir irfv? . * > i ' _ j -4 " * l?'"' , *.T fi’l' 3 M lÄlÄr, ù- Sff’L fü söfW. m JlSv-^cij iss DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heff\ST \ yf'iiür JiliMüllilÜrlÄ'J iimiWHii; Wut* f 42 Ihiwiim^ ifcusvl' i \ v£, SM fSSÆ Vy >'V“ >.v v A > ^.' a "îj? ' y 4yt i V-'- tV'Vff 5-3 m>- *s \ Kt1*l =4C ;i JääS'H * lim v&w i flit-*-. I > W 4 *1' Heft 17 DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS IHM» HÄ mmm I T I * feUWiMjl •>“ v- rf> • 4*v— r ya'! Aa'v '-yJjSut* +% -. 9l5&;sr v- -vmv^ ' • • t 'vlpA f I .-.' v? .-, .0 ;; ;v y ••v...r ! .-*•'•• ••».• _y- .. ' t-. ,., ' .• ;£•& äSHfriiSiL'- f- > ffjy*,-. -VirV * • ’ , '• SÜK v2 &/r*i mmi »'MM Heft r a ,»,► .y- 1 >- > _• j* *? •/ r >. î DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft F * ►> „ tfCrr-j i"T". '•m -i t >o >'/ r ^ ' ' 14 V N> , .ÏJtWj ;,' ÄV" ^ •' 5 j [ W . -ii- a ££>5». &3$ft *$&*•&! Mr i*-vrf-. äs- .***$ ...y* **, . . ' -V 1, '“ \f 7 "i V.*, * kjT i*\4^ v! • J-V*; ; T *- vÿ-^ .'•.* .*- • ** ... 'Tr / V /** ->^ * *Tii ?-TA \ V’ ~rv,,\ ..X ^ ? .5v,''^ îrW, -»- •* * iv/'- i ^ s&'.'-iiZL;**’? 1&v.'V ., J^'5y.. • -. -'>** x*-k*M^ - v * a A xT ' * ' '+$£'* i> '''*' -\ Jv % -r 1 * >- -. •’ "'i'Jf ,*V , . _'- , ’ -•?* • ;- ^;v > ' ^ T ’. ’ït . 4 ^ tef-* .%'..? r • it ' '{Ä, ,^'U* U Vj^Av - *- " • 3 . 4 'v* ^ ”*?*•*£ , . -^>v ' X . »&.- VjT* H'v * s». r £.viV -• .. >'?& V *, >^'Ä ' V, * • ^  4À V ... ; fe^ ^ 4 - - > 4 . >*, -/^Vvw . - - 4_ '.'•.pW . * V àÿy.'. W • -4 • v->... •**. ». ' À i m ' % /* * ••.J, '^-> 5 • • *' f.. •%>.'’• • ?*v t 1 ' •>.- - /.. -•. /. I/' •/ r*v *.- * . • -Î*’-' -w.'.- • f**". • V >.ç -s ^ •" ' ^ .•; .• * ..,•** •-. * ,- v,. .TV ä-s . ./. .-.. v 1 > * ' .• ' \ ,/ • ..&;$$!' v. ^ ;.', . Vr ;> ',; ... - ' ' ^ ; v è V^ä, ,r v - V V-.'- v ; f i^-t 7 ** ,* * ' V '?*+.* 4 • , '. ' . .-• .... \ '• *- . / ... M •*' ' • . - >• ' •- . . * * . , -J ' Y-ViB'.¥ ? * . , - ^ r w v • .; • - .*}’ .-^ • ' . • *•'•** ' - % ' r * V- /r “ V. *..• ;-" . »* • r - ’> I -. s.'vH v T. ?•'., -v i v..,- • j ••.. . ?r *s • >?’ - . 7 - - , ; /'V.., . i -V. •;• ,•••. . .. V . '..ä-' • î> '*. ' •-•• v'ä ,.' . •• . .* .- -»'^'v- . - V ->••• y ' ... 9 .. t». €• r*S»f ^ DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft 17 ~?CnteM, - uÜiiiiÄi, IÏKÏl DIE O RNA MENTIK DES MITTELALTERS Heft W. WZ» WêhÊk DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTER Heft IV. x - rç J, f ^ fei. mm JUÿ "J" js* £Ëû»û^ \!V •• v ' . ->/v .., ' ^ . vVA i^ BS 4 ^ ÜIEI K ’Ï ' 'V. * • ’*$ r ^ V. / ù '. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS Heft iv 1 hii Wlfli,'.- srr •H C.'jnî A» LvJ* i>i>-\Jf -£ i sa friviVl. ->,.- Va-, ’\r-4 l' rt'ï iWjyj Hürjv twm • ?>v IHjffft DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. r> > x „ k iàsâfcr v - f , - wil ' ^ t y .-. ' > ! / J ' •' ;ia **- & H '1 iViV* ~ ji f. r ' riikwtffi] ~T~ J>tt^-L... , ,j..r,... . r__ SW .-W. MC . ' *“•' ' ïLi' U 'ÈmÊmrnmtB VtWFi èp%0- SWJ DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heit V. /Sj, WjL .t• ! . r Mi' i ^CoucCÇ2 . '•J %&+,/ îltl» Af ; .,-V/.A /r, mmmm ÿ^.l* >r*-?f r î/ ? ; v » Ww ! DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft V. C i*' J B 1 wa* rn-!S -'j yÈtk? r \ 'wm % Au jftW S'-»; , t - &' » H ,V*? ;> jt. ' • - * v wa? S'ï J ,li-’ !t! j 'fflmm %/î •,VJî ? . ., '" J / , . DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON Heft V. H '-M /JUy“ 'WWi DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft V. [TI ME 1 iii Iffiluiftüiii s lÄI'lMifelltl TT il illllllllillli \mm MÈEMÎmiE] Tim 'EL-' mm SS il ê ' \vvvhJ &C7. 'm- ’ô- . 'rifBwsri'Si' J /x -...* . -ïHCâPS^ -4 Sj/ *! J ' 11 i .' i. r ÂK'W ici /jXmmL"-* '' rÂr\ tül M&J&m F TzznzgZ }mmm 'k?4ï? m. ' "v* -*X& *3 r >'.*' - '/> ' W'fti 0Mf$ 1 ny\ mm ï\J-ilft M wï&fc-» F-» .1 w MÏ-ÂÔ .'. -Vu DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON REIDEL OFF Heft j ti "' fei' % UiLj. rTjfS ÉÉrt Ui-,. ; - s a». WtUtÀsr sc DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft VI. »Ml mmmm 4 ' %>' ft v-f *5' i ' -% ',i4 ► 7> a&S S. - W*r LU r.;iÇ *>7;-' cl *. sh**, ' W^ïm 1 = ;iàî* lü P'-' UaÛ&È$ p» SM* K**. •- ,v^ ; s » £ r*» ? DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft VI f im iji i Hi i,i H in m ►• b ,. v * ï . iSHin! '•h mmim mun nimm II P'* K DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VONT HEIDELOFF. Heft. "VI i jr a BP g ARA, ?*5&U i;æ*H=p SSSliiBB» SiSiKi'ÆÈH mtsnu Äteliaill Kifiiwiisin d Carl Ai*u/*r sÄuJisf Anstalt Fr* 'Z 'f rÜf*' . ; . Îs-jh * H* *.!£,' ji{; " ** • t/., ' •' VW;, *. ; -, .- -ni. ' y *i, , V. ; — -a&v ’ir.*. - V .' 1 •> 2 $-'c- •/ V'’V^ •../. . 1 ', . A-^V- y ' '. j . * * • ; >!• ',*» *• .-•• **->• >' .sA-i*- = if ti?. O du LES % » , MOYEN ACE. OOQ jQj OOO» Eine Sammlung auserwälilter Verzierungen und Profile byzanti- nisclier und deutscher Architektur gezeichnet und herausgegeben von CARL HEIDELOFF, Architect und Königl. Professor der Baukunst an der polytechnischen Schule und König. Conservator der Kunst- und Baudenkmale des Mittelalters in Nürnberg, Ritter des Königl. bayer. Verdienst-Ordens vom heiligen Michael, des Königl. portugiesischen Militair - Ordens von Mariä Empfängnis von Villa Viçosa, des Ilerzngl. sächs. Ernestinischen Haus-Ordens, des Königl. belgischen Leopold-Ordens und des königl. schwedischen Wasa-Ordens, Mitglied des historischen V'ercins von Mittel- und Vnterfranken und Ehrenmitglied des würtemhergisclien Altcrthum-Vereins. Der deutschen Gesellschaft zur Erforschung vaterländischer Sprache und Altertliümcr in Leipzig, des böhmischen Vereins zur Ermunterung des Gewerbsfleisses in Prag und des ! Hennebergischen Altherthuin-Vereins in Meiningen wirkliches Mitglied, und Correspondent du Ministère de l'instruction publique pour les travaux historiques à Paris etc. etc. j II. Band oder VII. — XII. Heft. Mit 48 Stahltafeln und 7 1 /, Bogen Text in deutscher und französischer Sprache. 1 * l Nürnberg, Verlag von Johann Adam Stein. 18 4 6 . & I free- Ti * j 1 ; f ' ~î .ïrf Préface. Vorwort. lËepuis nombre d’années nous jouissons des bienfaits de la paix; favorisés par elle, l’industrie et les beaux arts ont pris un essor prodigieux, l’architecture n’est point restée en arriére, les styles gothiques et byzantins se perfectionnant de plus en plus cherchent et produisent journellement de nouveaux motifs ; il faut donc tâcher de fournir sans cesse à l’architecture de nouveaux dessins qui satisfassent le bon goût tout en restant parfaitement d’accord avec le genre et le style auxquels ils doivent appartenir. C’est avec une vive satisfaction que l’auteur a remarqué l’accueil favorable fait à son livre, le voeu assez généralement expliqué de voir continuer cet ouvrage n’a pu que le flatter; mais, quoiqu’il soit prêt à essayer de satisfaire ce désir, il ne se dissimule nullement la difficulté de la tâche qu’il s’impose. D’après le plan de l’ouvrage, il ne doit y pa- I pose. In der neuesten Zeit, wo in Folge des wohlthäti- gen Friedens Kunst und Industrie sich ungehindert aasbreiten können, kann auch die Baukunst nicht Zurückbleiben, und bei ihrer Hauptrichtung, den byzantinischen und den altdeutschen Styl allseitig auszubilden, wird ein stetes Streben nach neuen Motiven der Kunst diese Geschmacksrichtung scharf bezeichnen; aber in diesem Streben liegt auch die Weisung, der Baukunst, durch ihre Berufenen, immer mehr und mehr Neues zuzuführen, was den Geschmack befriedigt, ohne den reinen Styl und Cha- rackter zu beeinträchtigen. Es war dem Verfasser sehr erfreulich, seine Ornamentik mit Anerkennung aufgenommen zu sehen ; es war ihm sehr schmeichelhaft, den Wunsch nach einer Fortsetzung seines Werkes ausgesprochen zu hören, und so bereitwillig er solcher Aufmunterung entgegenkommen möchte, so schwierig stellt sich eine solche Aufgabe heraus; denn, dem ur- S IV f raître aucun dessin qui ait déjà été publié, mais seulemeut des dessins nouveaux; or si l'on considère que d’un côté depuis plusieurs années les administrations publiques, chambres des finances etc., ainsi que les innombrales légions de brocanteurs juifs ou chrétiens ne font que démolir, dévaster et fouiller les ruines d’anciens monumens, de l’autre, que l’auteur, retenu par ses nombreuses occupations, est dans l’impossibilité de mettre des bornes à ce Vandalisme, on concevra qu’il existe des grandes difficultés à se procurer sans cesse de nouveaux matériaux. De plus il faut beaucoup de goût et encore plus d’habitude pour savoir reconnaître la beauté des détails d’architecture souvent mutilés au point, qu’ils ne sont reconnaissables que pour l’oeil exercé du connaisseur. Et pourtant, grâce au zèle assidu des artistes du moyen âge qui nous ont laissé un si riche héritage, grâce aussi à l’amour des beaux arts qui paraît s’être réveillé depuis quelques années, qui s’oppose de plus en plus à la detsruction de ces chef d’oeuvres précieux et cherche à les protéger et conserver, l’auteur, pendant ses courses archéologiques dans sa patrie, si riche en souvenirs artistiques du moyen âge, en Suisse et dans le grand duché de Baden , a réussi à récolter une ample moisson de matériaux. Sa collection s’est aussi considérablement augmentée par les envois de ses élèves et de ses amis; de manière qu’il se trouve en état de présenter au public une suite de dessins du plus grand intérêt. Ce second volume donnera, comme le premier, beaucoup d’objets entiers ou composés, mais outre cela l’auteur se rendra au voeu exprimé par plusieurs architectes et autres artistes et fera paraître plus de profils et de détails d’architecture que jusqu’à présent. Sa première intention était de réserver tous ces détails pour un futur ouvrage, intitulé Principes de l’architecture gothique, dans lequel tout ce qui a rapport à ce sujet sera traité minutieusement; maintenant il s’est décidé à retrancher de l’ou- -»XJ -*£3 sprünglichen Plane gemäss, soll nicht schon einmal da gewesenes, sondern nur immer Neues und Neues aufgenommen werden, während cammeralistisches Treiben und Trödeljuden eifrigst bemüht sind, vorhandene Ueberreste alter Kunstdenkmale rastlos zu zerstören, oder zu verschleppen, und der Verfasser durch Amts- und praktische Baugeschäfte abgehalten ist, überall zu sein, um gedachtem Treiben zu steuern; auch ist es nur dem ausgebildetsten Geschmacksgefühl möglich, an oft halb zerstörten Kunstgegenständen die oft herrlichen Motive zu erkennen; doch, Dank sei es dem reichen Schaffen einer künstlerischen Vorwelt, das uns noch immer ein so reiches Erbtheil hinterlassen hat, und Dank einer humanem Gegenwart, die immer mehr, und kräftiger der Zerstörungswuth steuert, und jene künstlerischen Ueberreste schützt und zu erhalten sucht; so ist es denn auch dem Verfasser gelungen, auf seinen archäologischen Kunstwanderungen durch sein, an Kunstschätzen der Vorzeit so reiches Vaterland Würtemberg, so wie in Baden und in der Schweiz eine reiche Kunsternte zu halten ; viele Beiträge erhielt er auch von seinen ehemaligen Schülern und Freunden, was nun als ein Gesammtgut betrachtet und als solches in ergänzenden Abbildungen dem Publikum durch diese Blätter mitgetheilt werden soll. In diesem zweiten Bande, der hiemit dem Publikum nun übergeben wird, sind schon viele zusammengestellte interessante Gegenstände aufgenommen, aber der Wunsch vieler Architeckten und plastischen Künstler geht dahin, dass in diesem Werke mehr Profile Schablonen der Bau - und Ornamenten- Glieder angegeben und sie darüber belehrt werden möchten; der Verfasser wollte zwar diesem besonderen Wunsch in seinen „Grundzügen altdeutscher Baukunst“ entgegen kommen, in denen alles nur Erdenkliche dieser Kunst aufgenommen werden soll, doch soll nun, da er den byzantinischen Baustyl nicht besonders behandeln will, derselbe allein der Orna- v ! vrage projetté l’architecture byzantine et de la traiter ici. Tous les traits caractéristiques de ce style intéressant seront présentés successivement et fourniront ainsi de précieux matériaux aux artistes et aux amateurs de cette école. D’après les progrès que l’architecture gothique allemande a fait dans le monde entier, d’après la manière dont elle est cultivée depuis plusieurs années en Allemagne, en France et en Angleterre, les adeptes et amateurs de cette école, parmi les- quels se range l’auteur, qui depuis quarante ans s’y est complettement voué, sont autorisés à espérer que ce style d’architecture reprendra bientôt le rang qu’il occupait autrefois et qu’il remportera une victoire complette sur les formes froides et rudes de l’architecture moderne, qui ne parle ni au coeur ni à l’imagination ! L’auteur s’efforcera de faire un bon choix de dessins soit dans le style byzantin, soit dans le style gothique afin de montrer l’esprit et le caractère des deux écoles dans toute leur variété et leurs formes, ornemens, ustensiles, meubles, etc. etc. Enfin l’auteur annonce à ses lecteurs que, selon la promesse qu’il leur a faite dans la sixième livraison du premier volume, il a fait faire par son frère, le professeur Manfred Heideloff, le dessin du magnifique autel du couvent de Blaubeuren. Cette copie, qui a déjà effrayé plus d’un dessinateur, était effectivement un traveil fort difficile et fort compliqué, car l’autel en question, chargé des détails d’architecture les plus riches, a près de quarante pieds de hauteur-, pour rendre les proportions dans toute leur justesse, il a fallu en mesurer exactement chaque partie; par conséquent y consacrer beaucoup de temps et faire un ?en J mentik überlassen bleiben, und mit ihr vorgetragen werden, so zw-ar, dass alle Glieder nach und nach darinnen Vorkommen und dargestellt werden, und somit dürften diese Materialien dem Architekten, wie dem Liebhaber byzantinischer Baukunst eine willkommne Gabe sein. Die erfreulichen Fortschritte, welche die deutsche Baukunst durch die ganze civilisirte Welt macht, die Art und W'eise wie sie, — namentlich in Deutschland, Frankreich und England gepflegt wird, gewährt ihren Verehrern — worunter der Verfasser, der sich bald 40 Jahre, mit Liebe und Eifer diesem Baustyle widmet — die frohe Aussicht, dass dieselbe wieder bald ihren alten Rang behaupten und die kalten, steifen und langweiligen Formen einer modernen Kunst, ohne Halt und Regel, nur in einem sinnlos aufgefassten, neugeschaffenen Style prunkend, und eine nichts sagende Ornamentik zur Schau tragend, wieder in den ihnen gebührenden Hintergrund treten werden, denn die allgemein höchste Richtung, welche jetzt die Baukunst verfolgt, ist, Anwendung des byzantinischen und altdeutschen Styles. Daher wird der Verfasser alles aufbieten, um in Beiden die schönste Auswahl zu treffen, um Geist und Charakter Beider, in allen ihren Varietäten und Formen, in Bauverzierungen, Geräthschaften, Möbels u. s. w. vorzuführen und bemerkt noch zum Schluss, dass er den im VI. Heft des I. Bandes versprochenen herrlichen Altar des Klosters Blaubeuren von seinem Bruder, dem Professor Manffred Heideloff, hat zeichnen lassen, eine Arbeit, die in Betracht ihres Umfanges schon manchen Zeichner abgeschreckt hat, denn der mit vielen und complicirten architektonischen Formen überreich versehene Altar ist fast 40 Fuss hoch, musste nach Maas und Raum genau aufgenommen werden und nur durch einen längern Aufenthalt des Zeichners an Ort und Stelle konnte diese schwierige Aufgabe gelöst werden. s ? T i f>cct t— VI •î ' ï assez long séjour sur les lieux mêmes. Le format de mon livre ne permettant pas d’y recevoir ce dessin, il a été convenu avec l’éditeur, qu’on le ferait paraître en format grand-folio; la gravure en sera éxécutée par deux artistes distingues, Messieurs F. Wagner et P. Walther; les détails et profils par- contre, ainsi qu’une description détaillée de ce superbe morceau d’architecture paraîtront dans l’ouvrage même. Charles IleldelolF. Das Format meiner Ornamentik erlaubte die Aufnahme dieses Altars nicht, daher wurde, in Ueber- einkunft mit dem Verleger beschlossen, diesen Pracht Altar in grossem Folioformat erscheinen zu lassen; der Stich wird von vorzüglichen Künstlern, Friedrich Wagner und Ph. Walther, in Kupfer ausgeführt; die Detaile aber in der Ornamentik aufgenommen, in der sich auch eine beziehende ausführliche Beschreibung dieses Kunstgegenstandes befindeu wird. Carl HeldelofF. -*C ^>XJ ! VII. Cahier. Explication des planches. Style byzantin. PL 1. Fig. a. b. c. Q ^KHÎt j O _ 2 _ PI. 2. J Fig. a. La frise du vaisseau latéral de l’église à coté de la tour. 6. Un profil pris à l'église de St. Sébalde à Nuremberg; à ce profil sont joints c. et d. Des variations des consoles des cintres qui sont presque toutes différentes 1 es unes des autres. e. Remplissages des cintres des portes et du choeur St. Pierre. f. Profil de ce dernier, g. Console des fûts de colonne, continuation de la planche I. g. h. i. A en juger par la ressemblance des profils, des détails d’architecture etc. l’église prévotale de St. Sébalde doit être, ainsi que nous venons de le dire, de la même époque que la cathédrale de Bamberg; car on reconnait au premier coup d’oeil que la partie occidentale de l’édifice ainsi que les deux tours jusqu'à une certaine hauteur sont beaucoup plus anciennes que les vaisseaux latéraux avoisinons et que la partie orientale de l'église en général. Les fenêtres cintrées qui l’on apperçoit au dessus du toit du vaisseau latéral et la frise Fig. a. qui les surmonte, prouvent évidemment que la fondation de cette église remonte au 11 siecle. Le choeur octogone est de la même epoque, excepté pourtant les ouvertures des fenêtres, qui ont été pratiquées au 14 siècle. Indépendamment de ses beautés généralement connues, cette vénérable église de St. Sébalde en possède encore dont on ne se doute presque pas, et qui seront indiquées dans les cahiers suivans de cet ouvrage. Elle avait autrefois treize fort beaux autels; et il parait, à en juger par un dessin existant encore, que le maitrc autel dédié au Saint dont l’Eglise porte le nom était surtout d’une beauté remarquable ; à tous ces autels étaient attachés de riches bénéfices; le célèbre Sébald Schreier en fonda plusieurs, et le magnifique missel, qu’il donna pour le maitre autel existe encore, ainsi que la bannière labaruin qu’a la fête de St. Sébalde ou portait en procession de même que les reliques du Saint conservées avec soin au château ci devant impérial, maintenant royal de Nuremberg. Cette bannière est en soie pourpre et peinte en or par Albert Durer. Les amateurs d’ornemens du moyen âge auraient trouvé sans doute de quoi satisfaire leur curiosité en examinant les magnifiques vases, les chasubles, les ostensoirs, les mitres etc. que cette église possédait en grande quantité; mais lorsque Nuremberg cessa d'étre ville libre et fut incorporée à la Bavière, les commissaires bavarois s’emparèrent de tous ces objets précieux et les vendirent à des Juifs. PL 3. Fig. a. b. c. Chapitaux et autres parties du superbe portail de l'ancienne chapelle des Burgraves au couvent de Heils— bronn en Bavière, chapelle que l'on a maintenant converti en i uronn V3 >31 -*£5 5 brasserie. Continuation de la planche IV caliier I Fig. a — ri. Profil et proportions, c. Profil de l’astragale. Une ancienne tradition nous apprend que cette curieuse chapelle a été bâtie par un chevalier de Heidcck qui, attaqué de la fièvre, fut guéri à l’instant après avoir bu de l'eau d'une fontaine que l’on voit encore. Pénétré de reconnaissance, le chevalier érigea la chapelle, existant encore actuellement et dans laquelle il est enterré; plus tard l'Empereur Louis de Bavière remit ce couvent sous la protection des Burgraves de Nuremberg, de la famille de Ilolienzoliern, et la chapelle devint le lieu de sépulture des princes de cette maison. Saint Otton, l’apotre de la Poméranie fit en 1132 l’inauguration de ce couvent fondé par les frères Robert et Conrad d’Abcnberg et donné par eux à l’ordre de Citeaux. On voit encore dans l’église les deux inscriptions suivantes en lettres d’or „H ic domus Ottoncm colit et coinitem Rapothonem presul funduit. Cornes liane opibus comulavit, qui cornes Abenberg fuit hic presul quoque Bamberg his jungat comitum dominum Conrad juniorum Mechtildis jacia conjugaturquc Sophia.“ „Post M. C. Christi triginta duos locus iste aunes fondâtes Hcilsbronn qui vocatur virginis atquc piae inatris sub honore Mariae, ac sancti Jacobi qui major Zebedaci de veriam sanctis deus nie requie tibi functis.“ Le portail de cette chapelle offre des traces distinctes de polychromie, mais il est malheureusement fort à craindre que cet bel et curieux édifice ne soit bientôt entièrement endommagé par l’humidité inséparable d’une brasserie et il certain qu’en vendant cette chapelle et en permettant qu’elle fut employée à cet usage, Messieurs les commissaires du Margrave n’ont fait preuve ni de bon goût, ni d’amour pour les beaux arts; non seulement ils n'auraient jamais du sacrifier ainsi un édifice remarquable par son âge et la beauté de son architecture, mais en livrant les restes vénérables de cet intéressant monument à toutes les chances d’incendies, auxquelles l'expose sa destination actuelle, ils ont commis un véritable acte de Vandalisme. En 1822 le prince de Hardenberg forma le projet de sauver cette chapelle d’une ruine certaine, il se proposa de l’acheter et de la faire restaurer d’une manière digne de la mémoire des illustres princes qui y reposent; cette restauration devait être confiée à l’auteur de ces lignes, mais la mort de l’illustre ministre fit manquer ce projet. Pendent un séjour que l'auteur fit à Postdam au mois de Juillet 1843, il essaya de faire revivre cette idée et Sa Majesté le Roi de Prusse daigna l’accueillir favorablement. Fig. /. Chapiteaux trouvés en 1837 en fort mauvais état à la place de l’ancien cloitre. Fortsetzung der Platte IV. lieft I. Fig. a. — ri. Profil und Maafs der Platte und c. Profil des Säulenreifs astragal. Ihre Erbauung verdankt, einer Tradition zufolge, diese interessante Cnpelle einem Ritter von Heideck, der, am Fieber leidend, aus einem auf der Stelle noch vorhandenen Brunnen trank und sich sofort von seinem Uebel befreit fühlte; zur Dankbarkeit erbaute er an dieser Stelle die gegenwärtige Capelle, in welcher er auch begraben liegt ; in der Folge wurde diese Capelle der bestimmte Begräbnifsort der Burggrafen von Nürnberg aus dem Hause Hohenzollern, als das Kloster diesen Burggrafen als Schutz- und Schirmherren vom Kaiser Ludwig dem Bayer übergeben worden. Otto der Heilige, der Pommern Apostel, weihte im Jahre 1132 dieses von dem Gebrüdern Rupert und Conrad von Aben- berg, gestiftete Kloster, damals Cisterzienzer Ordens. Es befinden sich noch zwei Tafeln mit vergoldeten Buchstaben in dieser Kirche, folgenden Inhalts „Hic donius Ottoncm colit et Comitem Rapothonem presul funduit. Cornes hanc opibus comulavit, qui cornes Abenberg fuit hic presul quoque Bamberg his jungat comitum dominum Conrad juniorum Mechtildis jacia conjugaturque Sophia.“ „Post M. C. Christi triginta duos locus iste annes funda- tus Heilsbronn qui vocatur virginis atque piae matris sub honore Mariae, ac sancti Jacobi qui major Zebedaci de veriam canetis dcus nie requic tibi functis.“ Am Portale der ftaglichen Capelle finden sich noch deutliche Spuren von Polychromie, um so mehr ist der gänzliche Ruin, der dieser w underscliönen merkwürdigen Capelle durch die immerwährende Feuchtigkeit droht, welche die darin eingerichtete Brennerei darüber verbreitet, zu bedauern ; durch den Verkauf dieser Capelle und zu solchem Zweck bat sich die damalige markgräfiiehe Verkaufs-Commission um Kunst und Kunstgeschichte eben keine Ehrensäule verdient, nicht genug ein durch Alter und Kunst bedeutendes Bauwerk mit gemeiner Knauserei aufgeopfert zu haben, so sind auch die noch vorhandenen Ueberreste und die benachbarte kostbare Klosterkirche bei den starken Feuern und den herum angehäuften Holzlagern dieser Brennerei stets einem Brandunglück ausgesetzt. Im Jahre 1822 fafste Fürst von Hardenberg den Plan auf, die Capelle durch Ankauf dem Verderben zu entreifsen, und solche als Andenken der glorreichen Ahnen des preufsischen Hauses durch den Verfasser dieses herstellen zu lnssen ; bei meiner Anwesenheit zu Potsdam am 12. und 13. Juli 1843 habe ich gegen Sr. Majestät dem Könige von Preussen diese Idee wieder angeregt, und Allerhöchstdenselben für die Ausführung ganz geneigt gefunden. Fig. /. Capitäle im Jahre 1837 in sehr zerstörtem Zustande auf dem Platz des ehemaligen Kreuzganges daselbst aufgefunden. 1 * ♦> vas 4 Cccfe - i ~ T i - - .. . .— -——-— - — - » i — 4 PL 4. Fig. d. e. Fats de colonne ornés, faisant partie du portail ci dessus mentionné, f. Ornement de la tablette supérieure. i. Ornement de fenêtre, j. Le plan Fig. 4. Chapiteaux tirés de l’église de couvent, prés du choeur. L’auteur publiera plus tard plusieurs autres détails fort curieux de cette église. Les fondateurs de l’église ayant, ainsi que le chevalier de Heideek, reconnu les propriétés salutaires de la source, une foule de peuple vint y chercher la guérison et elle acquit une telle célébrité, que le couvent devint un des plus riches et des plus célébrés de l’Allemagne. On cultiva et on embellit les environs, de beaux édifices s’élevèrent de toutes parts, des artistes de tout genre furent appellés et l’on trouve encore ça et la quelques traces de leurs talens en peinture et en sculpture, malheureusement pour ces chefs d’oeuvre la réformation survint et il est assez connu, que ses partisans n’épargnaient rien de tout ce qui avait rapport au culte qu’ils détestaient et dont ils clierchaint à déteruire jusqu’aux emblèmes. Plus tard l’église^se trouvant trop grande pour la commune et le ministre se glaignant de ce que sa voix se perdait dans cette vaste enceinte, on a bâti intérieurement une seconde église qui pous vrai dire, ressemble davantage à une grange qu’a un temple. Mais cet outrage n’est pas le seul qu’ait éprouvé ce bel édifice car outre qu'il a été a plusieurs reprises badjgeoné en blanc, on a blacé, dans le cheour un méchant monument en marbre orné d’emblèmes en bronze, imitant des caducées, des rouleaup de papier etc. etc. le tout formant un ensemble aussi dépourvu de gont que de sens. Ce chef d'oeuvre de mauvais gont a été érigé par un Magnat de Hongrie, nommé Carnea Steflanes en mémoire des relations de parenté qui existaient entre la maison d’Autriche et le Bur- grave Frédreic, le pauvre homme n'a pas compris que son monument dérange complètement l'harmonie de l’église et la défigure, ce qui se fit sentir encore bien davantage lorsque l’on enleva le beau maitre autel et qu'on environna le choeur d’une grille d’un style entièrement en désaccord avec les autres ornements de l’église. 11 ferait fort à désirer dans l’intérêt de l’art et du bon goût, que l’on enlevât au plus vite ces lourds et fastidieux objets. Fig. g. Profil de la planche principale appartenant à la Fig c. — Fig. h. L’ustragal vu en grand. Fig. a. Un magnifique chapiteau tiré du célèbre couvent des Augustins prêcheurs d Esslingen , dessiné en 1812. L'église de ce couvent était un des plus beaux innnumens d’architecture de la ville d'Esslingen et des environs, n ais le myr- midons de la bureaucratie, les plumitifs de la bande noire l’ayant classée sous la rubrique, des „batimens inutiles,“ PI. 4. Fig. d. c. Verzierte Säulenschäfte des vorher beschriebenen Portais, f. Verzierung am obern Gesimse, i. Fenster-Verzierung von daher, j. Oer Plan Fig. 4. Capitale aus der herrlichen Klosterkirche, nächst dem Chor. Aus dieser Kirche, welche die schönste Ausbeute darbietet, werde ich in der Folge noch manches Interessante mitthcilen. Nachdem die Stifter der Kirche und des Klosters, gleich dem Kitter von lleideck, auch an sich die Kraft dieses Heil- , brtinnens erprobt hatten, wurde dieses Kloster so berühmt, dafs es als das wichtigste in Deutschland angesehen wurde, sein Heilwasser, seine schöne Lage, machten cs auch bald zu dem reichsten, denn von nah’ und fern strömten Leidende zu seiner Heilquelle, aber nun wurde auch die Umgebung verschönert, die Gebäude prächtiger ausgeführt. Künstler aller Art wurden hieher berufen und hie und da spricht noch Steinwerk und Malerei ihr Talent aus, schade nur, dafs der damalige Geist der Deformation der Kunst so feindlich gesinnt war und wo er sie bei der ältern Glaubensparthei antraf, nicht selten vandalisch behandelte. In der Folge war dieKirche für den Ort zu grols und da der Pfarrer klagte, seine Stimme könne in dem weiten Hauin nicht wohl vernommen werden, so wurde in diese Kirche noch eine Kirche gebaut, die aber mehr einer Bauern-Spelunke als einem Bethause gleicht; diese schöne Kirche hat aber noch mehrere Unbilden erfahren müssen, namentlich durch einen öftern weifsen Anstrich, vor allem aber durch ein den Chor verunzierendes höchst unpassendes, und noch schlechter styli- sirtes postamentartiges Monument von Marmor, mit sinnlosen Bronzeverzierungen als Merkurstab, Papierrollen etc. Dieses Kunstwerk hat ein ungarischer Magnat, Namens Carnea Stef- funeo, zu Ehren der Verwandtschaft des österreichischen Hauses mit dem Burggrafen Friedrich gestiftet, aber wahrscheinlich ohne zu fühlen, dafs dadurch dem Charactcr und der Harmonie der Kirche bedeutender Eintrag geschieht, was noch fühlbarer wurde, als dei'shalb der schöne Hochaltar entfernt wurde und jetzt der Chor mit einem unpassenden nichtssagenden Gitter umschlossen ist; es wäre im Interesse der Kunst und des guten Geschmacks sehr zu wünschen, wenn diese massiven Störungen bald wieder eutfernt würden. Fig. g. Profil der Capital-Platte zu Fig. e. — Fig. 7i. Der Säulenring oder Reif im vcrgröl’sertem Maasstabe. Fig. o. Wunderschönes Capital in dem berühmten Augustiner Prediger-Kloster zu Esslingen. gezeichnet im Jahre 1812. Diese Klosterkirche gehörte zu den schönsten Bauwerken Esslingens und der Umgegend, aber nachdem es einmal von den Schreibern in die Rubrik „überflüssig“ gesetzt worden war, so ütt 5 C^-»i tc~-—- elle fut des lors rouée au pillage et à la destruction. Les courent était si célèbre, que plusieurs princes et comtes y firent profession. L’auteur publiera plus tard quelques motifs tirés de cette église. L'aspect grandiose et pittoresque de la rille d’Esslingen, telle qu’on la roit encore représentée dans la Cosmographie de Mérian, a disparu, et bientôt elle n’offrira plus que celui d’une petite rille de prorince, ourerte, et composée de bati- mens modernes, sans style et sans goût. Style gothique. PI. 5. Fig. a. Le couronnement ou faite de l'ancien bureau de controlle, Schau-Amt actuellement la grand-garde, à coté de l'église de St. Sébalde, ris à ris de l’botel de rille à Nuremberg. Ce bel et intéressant édifice, dont le caractère offrait une heureuse harmonie arec celui des bntiinens voisins, fut en 1811 sacrifié à l’ignorance et au mauvais goût; on le démolit pour bâtir à sa place un corps de garde, dont l’architecture offre un contraste frappant arec l’hotel de ville et l’église de St. Sébalde, qui l’enrironnent. L’ancien édifice une chapelle fut bâti en 1522, époque à laquelle l’église de St. Sébalde était encore entièrement environnée d’un cimetière, et restauré en 1529, 1652, 1716 et 1778. A l’instar de l’hotcl de ville, cette chapelle était couverte de peintures, éxécutées lors de son érection par Jean Graf et renourellées ou peut être changées en 1579 par Thomas Ocl- gast Elles furent restaurées en 1679 par Leonard Heberlein et les figures du faite ont probablement été peintes et restaurées aux memes époques et par les mêmes maitres que le reste. Le couronnement de l'horloge, le petit clilochcr, les sept Electeurs et l’Empereur Charles Quint, ainsique les figures représentant les sept planètes connues à cette époque, Mercure, ténus, Mars. Jupiter, Saturne et Cran us étaient en pierre, le cadran de l’horloge en cuivre doré représentait le soleil. Les deux gardes à coté du chlocher étaient également en cuivre, mais toutes ces figures étaient peintes et l’on voyait au dessous de celles représentant des papes, des cardinaux, des princes et des juges, des inscriptions comme cellesci ’ * L’auteur est redevable de ce dessin à feu son oncle, le professeur Aloys Keim artiste distingué décédé en 1835, et qui l’avait pris sur place en 1796 et 97. Ce bureau de controlle était le lieu, ou, lorsque Nuremberg était encore une ville libre, on examinait et contrôlait l’argent; plus tard il fut converti en bureau de payement de la chambre des finances Losungstube. On y changeait les emblelnes d’or et d’argent, avec lesquels les bourgeois de Nuremberg payaient leur contribution Losung contre de l’argent monnayé. Toutes les années pendant la semaine avant le Mercredi des —-vmdf^O war es auch der Beraubung und Zerstörung verfallen. Dieses Kloster war so berühmt, dafs sich viele Fürsten und Grafen darin aufnehmen liefsen. Aus der Kirche werden noch weitere ausgezeichnet schone Motive folgen. Nun ist Esslingens grandioses malerisches Aussehn, wie es noch in Merians Cosmographie zu sehen ist, verschwunden, und immermehr reduzirt es sich zu einer einfachen offeneu l’rovinzial-Stadt mit nichtssagenden modernen Gebäuden. Altdeutscher, gothigeher Styl. PI. 5. Fig. a. Krönung des ehemaligen Schau Amts, jetzt Hauptwache, neben der St. Sebald’s Kirche und ris à vis dem Rathhause zu Nürnberg. Dieses höchst interessante und schöne Gebäude, welches mit dem Typus seiner Umgebung im reinsten Einklang stand, fiel im Jahre 1811 als ein Opfer der Unwissenheit, des Ungcschmacks und der Rohheit, um eine Hauptwache hinzustellen, die mit ihrer Umgebung, der St. Sebaldskirche, dem Rathhause etc. im schreiendsten Contraste steht. Das alte Gebäude eine Capelle wurde, als noch der Kirchhof um die Sebnldskirche herumging, ira Jahre 1522 erbaut, und in den Jahren 1529, 1652, 1716 und 1778 renorirt, und wie das alte Rathhaus bemalt war, so soll auch diese Capelle gleich nach ihrer Erbauung durch den Maler Hans Graf und im Jahre 1579 durch Thomas Oelgastgeinalt worden seyn. Im Jahre 1679 restaurirte es Leonhard Heberlein; durch diese Meister wurden auch gleichzeitig die Figuren an der Krönung erneut und bemalt. Der Aufsatz der Uhr, das Glockcnthürmclien, die sieben Kurfürsten mit dem Kaiser Karl V. uml die damals allein bekannten 7 Planeten, Merkur, Venus, Mars, Jupiter, Saturn und Uranus personifizirt, waren von Stein im Zifferblatt der Uhr war die Sonne aus Kupfer getrieben und im Feuer vergoldet, auch die beiden Wächter an den Glockentliürm- clien waren von Kupfer, diese beiden, so wie alle hier genannten Figuren waren bemalt; auch befanden sich unter den Figuren der Päpste, Cardinäle, Fürsten und Richter, Inschriften , wie folgende * * Die Abbildung verdanke ich meinem im Jahre 1835 verstorbenen Onkel, Professor Aloys Keim, eines ausgezeichneten Künstlers, welcher es in den Jahren 1796 und 97 an Ort und Stelle zeichnete. Die sogenannte Schau war eigentlich der Ort, wo in den ältern Zeiten das Geld geschaut oder probirt wurde, das Zahlamt der Losungsstube Finauzkammer als Nürnberg noch eiue Reichsstadt war. Es wurden darin die goldenen und silbernen Symbole, mit deneu man die Losung bürgerliche Abgabe entrichtete, gegen baares Geld eingewechselt. Alle Jahre in der Woche vor Aschermittwoch txc 6 Tyrannischer Gewalt Und der Aprillen Kalt Werden beyde nicht alt, Un pouvoir tyrannique et le froid au mois d’Avril ne durent longtems ni l'un ni l'autre. Gewalt mit Gerechtigkeit Barmung und die Weisheit, Bestant gar lange Zeit. Le pouvoir uni à la justice à la miséricorde et à la sagesse est fondé sur des hases durables. Grofs Gewalt, Er und Gut Ansyn und weyser Mut Das schwer zerinnen thut Grand pouvoir, honcur richesse Autorité sagesse et courage Sont choses de longue durée. Ein kindisch Regiment Ein Schober Heu, der brennt, Nimmt hedes bald ein Ent. Un gouvernement insensé et un tas de foin qui brûle sont choses qui finissent très vite. PI. fi. Fig. a. Une superbe et intéressante porte de l’époque du commencement du règne du duc Ulric de Wurtemberg, trouvée par l’auteur dans les combles de la plus ancienne partie du vieux chateau de Hohentübingen et dessinée par lui. D’après des renseignemens obtenus cette porte a été vendue à l’enchère avec d’autres curieux objets d'art du moyen âge. Une fort belle collection de vieilles armes, que l'auteur lui même se rapelle encore avoir vu, a eu à peu près le même sort. Une petite partie se trouve au petit chateau moderne d’Emichsbourg, dans le parc de Louisbourg; le reste a été mis au vieux fer et vendu comme tel. Centres chaque citoyen était obligé de promettre par serment qu'il paierait régulièrement cet impôt et c'est cet acte que l’un nommait „Losungen oder Losung schwören.“ Lorsque l'epoque de prêter le serment était venne; les sergens de ville Stadtknechte revêtus de l'ancien costume mi parti blanc et rouge parcouraient toute la ville, frappaient les volets de leurs longues, baguettes blanches de noisetier, sonnaient aux portes et criaient à haute voix „Quand l’hor- lege aura sonné 2, 3, 4 etc. heures, vous viendrez h l’hotel de ville prêter le serment!“ — Quand les habitans d’nn district de la ville avaient fini et que les citoyens d’on autre district devaient se présenter à leur tour, ou donnait depuis l’hotel de ville un signal aux mar- guilliers, qui faisaient tinter la cloche de l’église du quartier. — C’était aussi à ce bureau que l’ou portait les ustensibles et les bijoux d’or et d’argent pour être examinés et marqués de l’estampille. Le proposé à cette opération était même tems essayeur des monnaies M&nzwardein pour tout le cercle de Franconie. Voyez l’Almanach nurembergeois de Roth. Vol. 2. Nuremberg chez Schräg 1813. Tyrannischer Gewalt. Und der Aprillen kalt. Werden beide nicht alt. G’walt mit Gerechtigkeit. Barmung und die Weisheit, ßestant gar lange Zeit. Grofs G’walt Er und Gut. Ansyn vnd weysen Mut. Das schwer zerinnen thut. Ein kindisch Regiment. Ein Schober Heu, der brennt. Nimmt beedes bald ein Ent. PI. 6. Fig. a. Interessante und prachtvolle Thiire aus der frühesten Regierungszeit Herzog Ulrichs von Württemberg, vom Verfasser im Jahre 1808 auf dem Dachboden des ältesten Theils des alten Residcnzschlosses Hohentübingen gefunden und gezeichnet. Diese Thüre soll nach Erkundigungen nebst manchen andern Merkwürdigkeiten und Kunst-Ueherresten vor Jahren im Aufstrich verkauft worden sein. Gleiches Schicksal hatte eine merkwürdige alte Waffensammlung, welche der Verfasser selbst noch gesehen hat; was nicht davon in der modernen Emichsburg im Ludwigsburger Schlofsgarten als Spielerei aufgestellt wurde, ging als altes Eisen weg, oder wurde sonst verschleudert *. mufste ein jeder Bürger eidlich geloben, diese Vermögens- und Gewerbsteuer richtig einliefern zu wollen, welchen Akt man das Losungen, oder Losung schwören, nauute. Die Stadtdiener, Stadt- kncchte genannt, in halb weifs und rother altcrthümlicher Kleidung durchzogen zur Schwörzeit die Stadt, schlugen mit langen, weifsen Haselstöcken an die Fensterläden, zogen die Hausglocken an und riefen mit lauter Stimme „wenn die Glocke 2, 3, 4, etc. schlägt, auf das Rathhaus zum Losung schwören“ —; so oft die Reihe des Schwörcns an eine neue Gassenhauptmannschaft District kam, wurde den Thürmeru vom Rathhaus aus ein Zeichen gegeben, die Uhr anzuschlagen. In diesem Schaugebäude wurde auch das neugefertigte Gold- und Silbergeschirre geschaut und erhielt sodann das Probezeichen. Der Amtmann der Schau war zugleich Spezial-Münzwardein deB fränkischen Kreises, s. Roths Nürnberger Taschenbuch 2. Band. Nürnberg. Bei Schräg 1813. * Diese herrliche WalTensammlung befindet sich noch, aber halb verrostet, auf der sogenannten Ruine. »f — 7 On ne peut savoir au juste de quel appartement cette porte faisait partie, mais il est possible qu'elle appartint à l’une des chambres du duc Ulric. Quand à moi je ne partage point l’opinion de ceux qui pensent que cette porte ait été construite de 1535 à 1540, par conséquent après le retour du Duc de son exil. Il est vrai qu'à cette époque ce prince fit rebâtir la plus grande partie du chatcau, mais alors il n’aurait certainement plus fait peindre les armoiries de son épouse sur les panneaux de cette porte; d'ailleurs on y retrouve évidemment, tout comme à la célèbre porte du vieux chatcau de Cobourg, le caractère du quinzième siccle, et, tout bien considéré, je crois pouvoir affirmer, que cette porte est du tems d’Eberardl., qui ne cessa d’antretenir le chateau palatinal de Tubingue eu très bon état et qui meme l’arrangea et le meubla royalement lorsqu’il se fut décidé à résider pendant quelques années dans sa chère ville de Tubingue qu’il aimait beaucoup, dont il protégeait spécialement l’université et dans laquelle il passa effectivement ces dernières années jusqu’à sa mort qui eut lieu en 1490. Il est possible que, lorsque quinze ans plus tard, le duc Ulric se fiança avec la princesse Sabine, fille du duc Albert de Bavière et qu’il célébra ses noces à Stuttgart avec un luxe et une pompe inconnus jusqu'alors, il est possible, dis je, que, lorsque à cette époque les appartenons du chateau de Tubingue furent arrangés pour la réception des nouveaux époux, les armoiries du duc Eberard aient été enlevées du panneau de la porte et remplacées par celles d’Ulric et de Sabine. Cette porte, que j’ai trouvée démolie en quatre morceaux dans les combles du vieux chateau, est en bois d’érable, la corniche sculptée et ouvragée en marqueterie, le feuillage est doré, les cannelures sont peintes en r-ouge et en bleu. Les panneaux sont aussi en érable, recouverts d’un coté en velours rouge et ornés d’une garniture de clous dorés à têtes en rosette, disposés en losanges. Les liens ou ferrures, sur les quelles on voit des armoiries, des chasses etc., sont à jour, dorrées et doublées en velours noir. La plaque qui recouvre la ferrure, le loquet, le bouton de porte, tout cela est en fer doré et orné de peintures en vert. Le tout était dans le plus triste état du monde, le velours était déchiré et couvert de moisi, les ornemens étaient en grande partie arrachés et brisés ; bref, ce ne fut qu’avec beaucoup de peine qu'il me fut enfin possible de retrouver quelques traces de sa splendeur passée. Dans ce même grenier se trouvaient encore une quantité de vieilleries , surtout beaucoup de boiseries couvertes de fort belles sculptures du 14 me et 15mesiècle; l'auteur en a dessiné plusieurs, qu’il fera paraitre plus tard, ainsi que des panneaux ou portes d’autel et des images de Saints fort curieuses. Le vieux chateau palatinal de Hohentubingen parait avoir été autrefois un fort beau batiment en style gothique ; mais il est W elchem Gemache diese Thüre angehörte, ist wohl nicht zu ermitteln, doch ist es wahrscheinlich, dafs sie von einem der Wohnzimmer des Herzogs Ulrich ist, aber diese Thüre, welche gleich der berühmten auf der Veste Coburg den Styl des 15. Jahrhunderts trägt, in den Jahren 1535—40, also nach der Rückkehr des Herzogs aus dem Exil verfertigt wurde, wo dieser Fürst allerdings fast das ganze Schlofs neu baute, ist sehr in Zweifel zn ziehen. Das Wappen seiner Gemahlin hätte er auf keinen Fall mehr hineinmalen lassen, und schon dieser angeführte Umstand bringt mich zu der Behauptung, dafs diese Thüre aus der Zeit Herzogs Eberhart I. ist, welcher die Pfalzburg immer in gutem Zustande erhielt und sogar fürstlich einrichten lieis, zumal, da er die letzte Zeit bis zu seinem Tode im Jahre 1496 in seiner geliebten Universitäts-Stadt als treuer Pfleger rcsidirte. Doch ist es möglich, dafs, als fünfzehn Jahre später, Herzog Ulrich mit Prinzessin Sabina, Tochter des Herzogs Albrccht von Bayern sich verlobte und zu Stuttgart seine Hochzeit mit einer vor und nach seiner Zeit nie gesehenen Pracht feierte, und die Gemächer des zweiten herzoglichen Residenzschlosses zum Empfang der Neuvermählten in Stand gesetzt wurden, die Eberhardschen Wappen herausgenommen und die der neuen Herrschaften hinein gemalt worden sind. Diese Thüre, welche ich in vier Stücke auseinander gelegt auf dem Boden des ältesten Schlofstlieiles fand, ist von Ahornholz, die Krönung mit Fournirung und eingelegt; das Laubgewinde vergoldet, die Hohlkehlen roth und blau bemalt; der Thürflügel ebenfalls von Ahornholz, auf der innern Seite mit purpurrothem Summt überzogen, und mit kupfernen, im Feuer vergoldeten Rosetten-Nägeln, rautenförmig beschlagen. Die Bänder, auf welchen Wappen und Jagden abgebildct, sind von durchbrochenem Eisenblech, vergoldet und mit schwarzem Sammt unterlegt; das Schlofsblech gleichfalls von Eisen, ebenso der ThürgrilT, alles vergoldet und grün ausstalTirt; leider fand ich diese Thüre in so bufswürdigem Zustande, der Sammt in Fetzen zerrissen, mit Moder bedeckt, fast ganz ihrer Verzierungen beraubt, so dafs ich nur mit Mühe noch einen Schlufs auf ihre alte Herrlichkeit machen konnte. Auf diesem Boden lag noch viel altes Gerümpel, besonders vieles Getäfel mit den herrlichsten Verzierungen aus dem 14. und 15. Jahrhundert, von denen ich manches gezeichnet habe, was ich in der Folge veröffentlichen werde, besonders interessirten mich mehrere Altarflügel und Heiligenbilder. Die alte Pfalzburg Hohcntübingen mufs eine stattliche Burg im mittelalterlichen Style gewesen seyn, ihre vielen Holz-Con- M— 8 ÿMM- probable que les constructions en hois qui en faisaient partie n’étaient pas du goût du duc Ulric, car il rebâtit le chateau • entièrement en pierres, dans le style de la renaissance, que l’on retrouve à tous les édifices bâtis par ce prince depuis son retour de l’exil, et que son fils Christophe conserva. Sous le règne du duc Frédéric 1. ce genre atteignit le plus haut degré de perfection et d’élégance et le chateau de plaisance bâti à Stuttgart par le prince en est une preuve; malheureusement on a indignement gâté ce bel édifice en y établissement le théâtre *. La magnifique porte du chateau de Hohcntiibingen est aussi du tems de Frédéric I., mais ce beau monument a partagé le sort de la plupart des batimens contemporains; les Barbares du 19 me siècle l’ont mutilé en y perçant des fenêtres. Dans un tems ou partout on fait une guerre à mort à tout ce qui est ancien et respectable, on aurait pu espérer du- moins que dans une ville ou il existe une université il se serait trouvé quelqu’un qui aurait élevé la voix pour empêcher de pareils actes de Vandalisme. 11 est à regretter que cette ancienne et curieuse résidence ducale, le chateau de Tubingue, n'ait pas trouvé de monographe; Crusius, Gabelhofcr, Sattler, Steinhofer et autres ne nous donnent sur ce sujet que des renseignemens très imparfaits. Dans le dictionnaire géographique, statistique et topographique de la Souabe, Ulm 1791. on ne trouve également que fort peu de détails. Voici ce qu’il dit „La résidence des célèbres comtes palatins de Tübingue, l’an- ,.rien palatiura Pfalz était le chateau de Ilohentübingcn, bâti „sur une colline qui domine la ville, le duc Ulric le fit raser „et en 1535 en rebâtit un autre, qui existe encore etc. etc.“ — et c’est ainsi que je l’ai trouvé lorsque je l’ai visité en 1808. Depuis jue ce chateau a été donné à l'université, on y a de tems en tems ajouté quelque chose, en 1803 on y plaçer le cabinet d’histoire naturelle qui occupe maintenant la salle des chevaliers et les appartemens contigus. Le reste a été arrange en 1818—19 pour y mettre la bibliothèque. On a peine à concevoir comment , dans une ville consacrée à la science et aux arts on a pu manquer de goût à ce point et commettre de semblables bévues. C’est cette sorte de gens que Jean Paul nomme „des âmes enchainées au corps, „qui ne pensent à autre chose qu’aux soins matériels qu’exige „la bête et aux yeux desquels le goût et le respect pour les „beaux arts passent pour une manie, pour une espèce d'aber- ,,ration d’esprit.“ * La ville de Stuttgart ne possédant aucun monument d’architecture du moyen âge, l’auteur fit en 1840 la proposition au Roi de Wurtemberg de restaurer le petit chateau, qui deviendrait par là un véritable ornement de la résidence. ——- structioncn wollten aber dem Herzog Ulrich nicht gefallen , er führte daher das feste Schlofsganz von Stein in jetziger Gestalt auf und zwar im Renaissance-Styl, welcher nach seiner Rückkehr aus der Verbannung bei allen seinen Neubauten angewandt, und von seinem Sohne Christoph fortgesetzt wurde; unter Herzog Friedrich 1. erreichte dieser Styl an Ausbildung und Zierlichkeit seinen Culminations-Punkt, wie das von diesem Fürsten in Stuttgart erbaute herrliche Lusthaus beweist, welches aber nun durch das hinein gebaute Theater schändlich profanirt worden ist*. Auch das herrliche Schlofstlior Hohentiibingens ist ein Werk Friedrichs 1., aber auch an diesem Ucbcrhleihsel alter Fürstenpracht haben Barbnrenhände des 19. Jahrhunderts ihren gewohnten Frevel durch Einbrechung von Fenstern verübt; wenn man überall gegen das ehrwürdig Schöne den Verwüstungs-Krieg führt, sollte es doch wenigstens in einer Universitäts-Stadt seine Vertheidigcr finden. Schade, dafs dieses merkwürdige Fürstenschlofs keinen Monographen hat. Weder Crusius, Gabelhofer, Sattler, Steinhofer, noch Andere geben genügende IVachrichten davon. Einzelheiten über die Erbauung seiner Festungswerke findet man in dem geographisch-statistisch-topographischen Lexicon von Schwaben. Ulm. 1791. wo es heifst „das Schlofs der berühmten Pfalzgrafen von Tübingen; das alte Palatium Pfalz war das Schlofs llohentübingen, das auf einem Berge über der Stadt war; Herzog Ulrich lieft es abbrechen und im Jahre 1535 ein anderes bauen , welches noch steht“ — u. s. w. und so habe ich es noch 1808 gefunden, als ich seine Räume durchstöberte; seit dieses Schlol's nach und nach der Universität überlassen worden ist, .wurde von Zeit zu Zeit immer Keues liineingellickt. Der Anfang wurde 1803 gemacht, wo das Na- turalien-Cabinct daselbst aufgestellt wurde, es nimmt in seiner jetzigen Ausdehnung die ehemaligen Wohnzimmer und den Rittersaal ein, welelie an einander slofsen; 1818—19 wurden diese Räume zur Bibliothek eingerichtet. Es ist nicht zu begreifen, wie man in einer Universitätsstadt, mit Verläugnung alles Kunstgefühls, solche Miftgriffe begehen konnte. Von solchen Menschen gilt was Jean Paul sagt „Seelen, die an der Kette des Körpers liegen, welche über der Sorge für Leib und Zopf keinen idealen Begriff pflegen konnten , in deren Augen , Achtung vor der Kunst natürlich Schwindelei war, wenn sich ein anderer einen BegrifT davon machen will.“ — * Da Stuttgardt keine Kunstbauten aus dem Mittelalter besitzt, so machte der Verfasser dem König von Würtcinberg im Jahre 1840 den Vorschlag, dieses herrliche Lusthaus als wahre Zierde der Stadt Stuttgardt wieder hersteilen zu lassen. 9 CSC io» PI. 7. Fig. b. Baptistère de l’église St. Amand à Urach. Ce beau morceau de sculpture porte la date 1518 et la composition en est aussi belle que l’exécution en est soignée. Très certainement il est du même maître, auquel on doit la chaire et les statues de Saints que l’on voyait autrefois aux piliers et au portail de l’église et que les Vandales de notre siècle éclairé n’ont pas manqué de détruire. 11 est à regretter, que le beau travail de ce baptistère foit presqu’entièrement caché sous les différentes couches de couleur qu’on lui a donné , et par lesquelles tous les détails de sculpture ont perdu la netteté de leurs contours. Ce baptistère a huit panneaux, sur chacun desquels on voit représenté un des personnages suivons, tirés de l’ancien Testament Moyse, Joseph, Iosué, lonas, Icrémie, Isaie, Salomon et David. Les têtes de ces personnages sont des portraits de seigneurs de la Cour ou de gens marquans du tems du duc Ebcrard le Barbu; lui même y est représenté enlosué; les autres ligures sont celles de Gabriel Biel, des deux chevaliers d’Ehingen, père et fils, du prieur d’IJrach, de l’abbé de Gutenstein et autres. Des rubans sculptés portent les noms de ces législateurs, rois, généraux et prophètes, mais la dernière couche de couleur dont on a enduit, le monument en 1817 lors de la fête de la réformation, a rendu ces inscriptions presque illisibles. A la même époque cette curieuse église a eu à essuyer encore bien d’autres outrages et une quantité d’objets furent détruits qui jamais ne pourront être remplacés. Les liabitans d’Urach ne le cédèrent en rien à leurs compatriotes d’Esslin- gen, de Reutlingen , de Schwäbisch Gmünd, de Schwäbisch Hall etc. etc La destruction de tant de beaux monumens, la démolition de tant d’anciens et curieux édifices, entrautres celle de la superbe porte, l’ornement de la ville d’Urach, sont des actes que l’amateur des arts ne pourra jamais leur pardonner. Cette porte en forme de tour surpassait en beauté et en antiquité le célèbre porte du couvent de Bebenhausen , elle était sans contredit un des plus curieux monumens du moyen âge et donnait à la ville un aspect tout à fait caractéristique. Au dessus de la porte on voyait un groupe, composé de trois statues en pierre, le Christ sur la croix, la Ste Vierge et St. Jean, environnés d’emblèmes et de détails d'architecture fort curieux. Cette porte de la ville der Oberthorthurm datait de l’année 11!5 et était d’un grand effet. Avant la réformation les figures faisaient partie de la chapelle St. Michel, lieu de pélérinage situé au haut d’une colline des environs, le Iloch- Pl. 7. Fig. b. Taufstein aus der Stifts-, nunmehrigen Pfarrkirche zu St. Amandi in Urach. Dieser wunderschöne Taufstein hat die Jahrzahl 1518 und ist mit viel Geschmack und vortrefflicher Ausführung in einer höchst interessanten Composition vorgetragen, er ist von demselben Meister, der die schöne Kanzel daselbst, so wie die vielen Standbilder der Heiligen, welche an den Pfeilern und an dem Portale gestanden haben, verfertigte, und welche der roheste Vandalismus unserer aufgeklärten Zeit muthwillig zerstörte, nur schade, dass die vortreffliche Bearbeitung dieses Taufsteins durch das öftere Uebertünchcn desselben fast unkenntlich geworden, und alle Verzierungen dadurch ihre ursprüngliche Schärfe und Reinheit verloren haben. Dieser Taufstein ist in acht Felder getheilt, die mit den alttcstamentliclien . Personen Moses, Joseph, Josua , Jonas, Jeremias, Jesaias, Salomo und David verziert sind. Die Köpfe dieser Personen sind Portraits , aus der nächsten Umgebung und Freundschaft Herzogs Eberhard im Bart, er selbst ist als Josua portraitirt. Gabriel Biel, der alte und junge Ritter von Ehingen , der Probst von Urach, der Abt von Gutenstein u. a. sind in den übrigen Figuren abgebildet. Fliegende Bänder tragen die Namen dieser biblischen Gesetzgeber, Könige, Feldherrn und Propheten, welche aber durch den am Reformationsfeste 1817 erhaltenen dicken Anstrich fast unleserlich geworden sind. Ueberhaupt hat diese merkwürdige Probsteikirche um diese Zeit die rohesten Unbilden erfahren müssen und manches kostbare Unersetzliche wurde zerstört. Die Uraclier hlieben in diesem Beginnen hinter ihren Landsleuten zu Esslingen, Reutlingen , Schw. Ginüuden und Schw. Hall u. s. w. nicht zurück. Die Zerstörung ihrer herrlichen Denkmale, ihrer grandiosen städtischen Bauwerke , namentlich den Abbruch des köstlichen schönen Thores, der Zierde Urachs, kann ihnen die Kunst weit nie vergeben ; an Alter und Schönheit übertraf es das Klosterthor zu Bebenhausen bei weitem, es war eines der merkwürdigsten Kunstwerke des Mittelalters und gab der Stadt ein bedeutungsvolles Ansehn. Die Gruppirung der drei Steinbilder Christus am Kreutz, zu beiden Seiten Maria und Johannes, befanden sich über dem Thorbogen in interessanter architektonischer Umgebung. Dieser Thorthurm liiess der Oberthorthurm, er war im Jahr 1115 erbaut, und wie schon erwähnt, von grofsem Effect. Die Figuren aber waren vor der Reformation an der Wallfahrts- Capelle St; Michaelis an der Hochbergspitze angebracht, und erst später an diesem Thurm befestigt worden, wo sie den Effect des Ganzen bedeutend erhöhten. In den Jahren 1830 — 31 hat sic der Verfasser noch gesehen, erst in der neuesten Zeit wurden sie, unverantwortlicher Weise abgebrochen; was uun weiter aus diesen wirklich cw- & tI I - 10 »MI berg, et ce n’est que plus tard qu’elles furent adaptées à cette tour, ou elles faisaient un effet merveilleux. L’auteur les y a vu encore en 1830 — 31; ce n’est que tout récemment qu'on les a enlevées sans que l’on sache encore ce qu’elles sont devennes" Heureusement l’auteur a pris le dessin de cette belle tour avant sa démolition ; il compte le faire paraître dans un des cahiers suivans de cet ouvrage et joindrey celui de la superbe fontaine avec sa pyramide datant du 15me siècle. Fig. a. Un simple baptistère tiré de l’église St. Georges à Kraftshof près de Nuremberg , fondée en 1315 par Frédéric Krcss, dont les descendans sont encore aujourdhui seigneurs et protecteurs de l’église. Elle contient plusieurs beaux autels et autres monumens, entre autres un fort beau candélabre en métal, sorti des atteliers du célèbre Pierre Vischcr, et dont le dessin paraîtra peut être déjà dans le prochain cahier. Ce baptistère, de très belle forme, mais fort simple, date du 15me siècle et ce n’est que depuis peu de tems qu’il a été rélègué dans un grenier pour faire place à un autre baptistère du genre dit rococo et du plus mauvais style possible. Au mauvais goût, dont les patrons de l’église ont fait constamment preuve dans toutes les réparations et les soi disans em- bellissemens que, depuis la réformation, ils ont fait faire à leur église, se joint depuis quelque tems une parcimonie bien mal entendue; toutes les réparations de l’église sont mises à l’enchère et données au moins offrant, lequel, comme de raison, les fait aussi mal que possible. PL 8. Un poêle, composé des fragmens trouvés dans le couvent des Frères prêcheurs à Nuremberg, et décrits dans le cahier V. de cet ouvrage. Ce magnifique morceau a été restauré par l’auteur et on en trouve au prix de 70 à 88 florins des copies excellentes en différentes couleurs chez les maîtres potiers Metzger et Gruber à Nuremberg. Le poêle entier à dix pieds de haut. kunstvoll gearbeiteten Standbildern geworden ist und wo solche hingekommen sind, konnte bis jetzt nicht ermittelt werden. Glücklicher Weise hat der Verfasser diesen herrlichen Thorthurm noch vor seinem Abbruch gezeichnet, und wird ihn wegen seiner bedeutungsvollen Verzierungen in den folgenden Heften aufnehmen ; auch der ausgezeichnet schöne Brnnnen mit seiner Pyramide aus dem 15. Jahrhundert soll nicht vergessen werden. Fig. a. Ein einfacher Taufstein aus der St. Georgen-Kirclie zu Kraftshof, ohnweit Nürnberg, gestiftet von Friedrich Kress im Jahr 1315, dessen Nachkommen noch heut zu Tage die Patronatsherrschaft über diese Kirche haben, welche viel Schönes an Altären und Monumenten ’nufzuweisen hat; unter diesen einen schönen metallenen Kronleuchter, aus Peter Vischers Werkstätte; dieses Kunstwerk soll vielleicht schon im nächsten Hefte aufgenommen werden. Dieser Taufstein , von schöner einfacher Form, ist aus dem 15. Jahrhundert und erst in neuerer Zoit hat er einem heillos schlechten Haarzopf das Feld räumen müssen ; damit nicht zufrieden, wurde er auf einen Schutthaufen geworfen. Der schlechte Geschmack der Patronatsherrschaft, den solche seit der Reformation in Verbesserung und Verschönerungen ihrer Kirche beurkundet hat, hat in der neuesten Zeit einen Zusatz von unpassender Knauserei erhalten, nach welcher Composition nun alle kirchlichen Bauten und Veränderungen den Wenigstnehmenden zur möglichst schlechten Ausführung überlassen werden. PI. 8. Zusammengestellter Ofen, von den im V. Heft Tafel VII beschriebenen Fragmenten, welche sich im Prediger-Kloster zu Nürnberg vorgefunden haben. Dieser herrliche Ofen wurde vom Verfasser dieses restaurirt, und ist in originalgetreuer Nachbildung bei den Hafnermeistern Mezger und Gruber in Nürnberg in beliebigen Farben für den Preis von 70 — 88 fl. rheinisch zu haben. Der Ofen misst 10 Fuss Höhe. 6 mm gTij 11 Huitième Livraison. Explication des Planches. VIII. Heft. Erklärung der Platten. Style byzantin. Planche I. Fig. a. Tombeau de LouU le Sauteur Comte de Thuringe, dam l’ancien couvent de Reinhardsbrunn en Thuringe, à trois lieues de Gotha, au pied de la montagne l’Inselsberg. Mon intention primitive en publiant cet ouvrage sur les ornemens du moyen âge, n’était pas d’y recevoir des mo- numens funéraires ; mais , comme à certaines époques du moyen âge les costumes sont pour ainsi dire inséparables des ornemens, et les monumens funéraires de ces époques sont éxécutés dans le style ornementaire ou de décoration ; comme en outre les artistes de notre temps sont souvent forcés de représenter des figures tellement entourées et enjolivées d’orne- mens, qu’on ne saurait les en séparer et comme enfin, en voulant donner une idée de ces anciennes et superbes productions de l’art il s’agit avant tout d'en rendre fidèlement l’esprit et le caractère, j’ai fini par me décider à publier aussi dans cet ouvrage des monumens funéraires, d’autant plus, qu’en agitant ainsi, je crois satisfaire les voeux de la plupart de mes lecteurs. Ce monument, aussi remarquable comme objet d’art, qu’il est intéressant sous le rapport historique, commencera la série que formeront peu à peu beaucoup de monumens de ce genre. Il sc trouve, ainsi que plusieurs autres , adossé à une vieille chapelle menaçant ruine, et malheureusement il n’est point à couvert, mais nous avons l’espoir , que bientôt cette chapelle sera rebâtie en style byzantin et qu’alors ces monumens y trouveront une place bien méritée. En 1829 j’ai déjà livré tous les dessins et les plans pour la restauration et les embel- lissemens de Reinhardsbrun , délicieuse propriété du duc régnant Byzantinischer Styl. Platte I. Fig- a. Grabmal Ludwig des Springers , Grafen von Thüringen in dem ehemaligen sehr berühmten Benedictiner- Kloster Reinhardsbrunn in Thüringen , 3 Stunden von Gotha, am Fufsc des Inselbergs am Flüfschen Hörsel. Grabmiiler in diese Ornamentik aufzunehraen, lag anfangs nicht im Plan dieses Werkes, da aber durch die verschiedenen Perioden des Mittelalters das Costüm oft mit Ornamentik verbunden vorkommt und namentlich Grabdenkmäler jener Zeit dekorationsartig dargestellt und gruppirt wurden, da ferner die Künstler unserer Zeit nicht selten gezwungen sind Figürliches mit der Dekoration verwebt darzustellen und da es sich auch vor Allem darum handelt, in einer solchen Zusammenstellung den Geist und Charakter jener nachzubildenden Kunstwerke nicht zu verfehlen, so habe ich nach reiflicher Ucberlegung die Aufnahme der fraglichen Denkmäler für geeignet und zweckmäßig gefunden, und angenehm ist es mir dadurch auch einem allseitigen Wunsche entgegen zu kommen, dem ich den besten Erfolg verspreche. Dieses für die Kunstgeschichte wichtige und sonst historisch höchst interressante Grabmal soll den Cyklus eröffnen, dem noch viele andere ähnliche Denkmäler nach und nach folgen sollen. Es befindet sich nebst mehreren anderen an einer alten baufälligen Capelle leider im Freien angelehnt, doch ist Hoffnung vorhanden, dafs diese Capelle bald in eine Kirche byzantinischen Styls umgewandelt wird, in deren Innerem dann jene Grabinäler ihre geeignete Stelle finden werden. Schon im Jahre 1828—29 habe ich die Zeichnungen zur Verschönerung Reinhardsbrunns, dieser herrlichen Besitzung des Iler- 3 - nu a i ^ 0-ec-£- - Champagne ? Kcriophe et Erlolphe confesseurs de Charlemagne, et consacré par eux au Saint Sauveur, à St. Sulpice et à St. Serrilien. Ce fragment était couvert de plâtre et a du être, regratté avant de pouvoir être copié. Fig. e. Ornement datant de l'époque la plus reculée de l'abbaye des Bénédictins à Heidenheim , dans l’ancien balliage de Hohentrudingen, tout près de la frontière de la principauté d’Oettingen Spielberg. Cette magnifique abbaye, bâtie dans le style byzantin et fort célèbre autrefois, contenait une foule de chefs d’oeuvre d’architecture et autres ; elle fut fondée en 750 par St. Wunibalde, fils du Roi Richard d’Angleterre et frère de St. Willibalde, premier évêque d’Eichstüdt. Voyez l’ouvrage intitulé Heideloffs Bauhütte, page 24. Nuremberg chez J. A. Stein. Fig. /. Ornement trouvé en 1807 dans l’ancien couvent wurtembergeois de Herbrechtingen et faisant probablement partie autrefois de la chapelle de St. Verain située dans cette même abbaye. Celle ci, qui maintenant ne présente plus guères qu’un morceau de ruines, fut, dit on, fondée en 1144 par le duc Frédéric de Souabe, consacrée à St. Denis, et desservie par des chanoines réguliers de St. Augustin; cependant, s’il faut en croire l’excellent ouvrage du savant historiographe Stalin intitulé „Würtembergische Geschichte 1841“ le couvent serait beaucoup plus ancien. Fig. g. Ornement trouvé à Herriden, petite ville de la Franconie située au pied de la colline de St. Martin que traverse la grande route d’ Ansbach. Cet ornement est d’autant plus intéressant, je dirai meme important, qu’il date d’une époque de laquelle il nous reste fort peu de monumens. Le couvent de Herrieden a été bâti sous le règne de Charlemagne et doit son origine à l’un des confesseurs de cet empereur, St. Deocarc, qui en fut aussi le premier abbé. Lorsque l’Empereur Louis le Vieux chatia son vassal rebelle, Krafft de Hohenlohe et lui reprit la petite ville de Her- rieden, il fit exhumer le cadavre de St. Dcocare, déposé dans un cercueil d’argent, et en fit cadeau à l’église de St. Laurent à Nuremberg, qui venait tout récemment d'êtrè construite; les restes du saint evêque furent placés dans l’autel des Apôtres, et y restèrent jusqu'à l’époque ou la ville de Nuremberg, fut incorporée à la Bavière; alors le cercueil de St. Deocare fut vendu à des juifs de Fürth et son contenu jetté on ne sait ou. Je me propose de donner plus tard à mes lecteurs une description détaillée de ce cercueil. Fig. h. Un ornement fort remarquable tiré de l’ancienne abbaye de Feuchtwangen fondée par Charlemagne , comme le prouve l'inscription suivante, trouvée dans un vieux missel - . . fus, Beichtväter Karls des Grofsen, sollen dieses Kloster im Jahre 764 gestiftet und zu Ehren St. Salvators und der Heiligen Sulpitius und Servilianus geweiht haben ; — dieses Bruchstück waukselir stark übertünclit, und mufste Behufs des Abzeichnens abgekratzt werden. Fig. c. Ornament aus der ältesten Zeit des Benediktiner- Klosters Heidenheim, im ehemaligen Oberamte Hohentrüdin- gen an der Gränze der Oettingen-Spielbcrgischen Lande; dieses, ehemals berühmte, herrliche, im byzantinischen Styl erbaute Kloster, hatte viele architektonische, und andere künstlerische Schönheiten aufzuweisen, und wurde von St. Wunibald , Bruder des ersten Eichstädtischen Bischofs St. Willibald im Jahre 756 gestiftet; beide Brüder waren Söhne des Königs Richard von England. — Siehe meine Bauhütte pag. 24. Nürnberg. J. A. Stein. Fig. /. Ornament, im Jahre 1807 in dem ehemaligen würtembergischen Kloster Herbrechtingen als Bruchstück gefunden, es ist wahrscheinlich aus der St. Verans - Zelle daselbst; dieses wenig bekannte Kloster, welches nun fast ganz zerstört ist, soll von Friedrich, Herzog von Schwaben im Jahre 1144 zur Ehre des heiligen Dionysius gestiftet worden sein, und wurde damals mit regulirten Chorherrn St. Augustins besetzt, aber nach des trefflichen Geschichtsforschers Professor Stälins Werk, „würtembergische Geschichte 1841“ ist es viel ältern Ursprungs. Fig. g. Ornament, gefunden in Herrieden, einem Städtchen in Franken, am Fufse des Martinsberges, über welchen die Ansbacher Strafse führt. Dieses interressante Ornament ist um so wichtiger, als es aus einer Zeit stammt, deren Kunstüberreste nur noch äusserst wenige sind. Dieses ehemals so berühmte Kloster wurde unter der Regierung Karls des Grofsen gestiftet, dessen Beichtvater, St üeocarus, der erste Abt des Klosters war, in dem er auch begraben lag. Als Kaiser LudwigderFromme, dem widerspenstigenReichs- herrn, Kraft von Hohenlohe, das Städtchen Herrieden wieder abnahm, liefs er den , in einen silbernen Sarg verschlossenen Leichnam des heiligen Deocarus herausnehmen, und verehrte ihn sammt dem Sarge der damals neuerbauten St. Lorenz- Kirche zu Nürnberg, wo er im Altar der Apostel so lange stand, bis die Stadt an die Krone Bayern übergieng; nun wurde dieser Sarg hinweggenommen , und an die Fürther Juden verkauft, die Ueberreste des Leichnams aber an einen profanen Ort geworfen. — Die Beschreibung dieses Sarges werde ich besonders in mein Werk aufnehmen. Fig. h. Merkwürdiges Ornament, aus dem ehemaligen Stifte zu Feuchtwangen, gestiftet von Karl dem Grofsen, wie folgende Inschrift eines alten Mefsbuclies angiebt. lO-Cfr »e cc .-—-»4 23 feer- - „Anno domini 810 fundata atque dotata est ecclesia col- „legiata beatae Maria virginis a Carolo M. Imperatore, „qui obiit postea a. 814 aetatis 72. Climacterico suo „28. Januar.“ Les restes de l’abbaye de Feuchtwangen offrent encore une quantité de détails et d’ornemens d’architecture de l’époque la plus reculée. L’ornement que nous offrons ici date très certainement de la fondation et se voit, malheureusement en fort mauvais état, dans un des murs de la tour. — Je compte donner plus tard dans cet ouvrage plusieurs détails tirés de l’abbaye de Feuclitwangen. Fig. i. Ornement tiré du célèbre couvent de St. Gall et communiqué à l’auteur par un de ses amisjd’enfance, le peintre Schlattcr de Schaffouse. Ce magnifique couvent n’a point été épargné par les Vandales modernes, qui l'ont dépouillé de presque tous les chefs d’oeuvre qu’il contenait. Fig. k. Superbe ornement en style grec tiré de l’ancienne et autrefois magnifique abbaye de Fulda. Lorsqu’on le trouva il était tellement recouvert par les différens badigeonnages qu’il avait subi, que, pour pouvoir le copier, il fallut d’abord le débarasser de l’épaisse couche de plâtre qui en cachait les détails. Fig. 1, Ornement tiré de l’ancienne abbaye de Kheinau ou Rhynau, dans l’evêché de Constance, sur les frontières des cantons de Zurich et de Schaffouse, non loin dé la célèbre chûte du Rhin et communiqué à l’auteur en 1834 par son ami Edmond Sharpe de Lancaster. L’abbaye de Rheinau est bien connue dans l’histoire; elle acquit déjà quelque célébrité en 878 par l’Irlandais St. Fintan. Les apôtres de la Suisse, Colomb an , Gall, et Pirmin la visitèrent et le dernier y établit des Bénédictins. Ainsi que la plupart des couvens supprimés, celui de Rheinau a été fort maltraité depuis le moment de sa sécularisation; tous ses trésors ont été dilapidés; il parait qu’il en contenait beaucoup, car le savant conseiller Zapf, qui le visita en 1785 en parle avec enthousiasme. Fig. m. Une console de la cathédrale de Rheims dessinée par l’auteur en 1826. Lors du couronnement de Charles X. tout l’intérieur de cette magnifique église fut peint en jaune, ce qui le gâta entièrement. Planche II. Fig. a. Le tombeau de Louis IV. surnommé le Bardé de fer, Landgrave de Thuringe et de Hesse ; il régna de 1149 à 1172 et fut enterré au couvent de Reinhardsbrunn ou son tombeau se voit encore. Voyez livraison VIH. planche 1 et 2. „Anno Domini 810 fundata atque dotata est ecclesia „collegiata beatae Mariae virginis a Carolo AI. Impera- „tore, qui obiit postea a. 814. aetatis 72. Climacterico „suo 28. Januar. Architektonische Fragmente und Verzierungen aus ältester Zeit findet man an den noch vorhandenen Banüberresten viele, das hier benannte Ornament ist bestimmt aus der Stiftungs-Zeit, und befindet sich in der Thurm - Mauer, in bedauerlich schlechtem Zustande. — Von Feuchtwangen werde ich noch viele beachtenswcrthe Kunstüberbleibsel aufnehmen, welche wirklich ausgezeichnet interessant sind. Fig. i. Ornament aus dem berühmten Kloster St. Gallen, von meinem Jugendfreunde, dem Maler Schlattcr aus Schaffhausen mitgetheitt. Dieses herrliche Kloster ist gegenwärtig fast aller seiner Kunstschätze beraubt, und vandalisch pro- fanirt. Fig. k. Sehr schönes Ornament; es ist im griechischen Typus gehalten, und wurde in dem ehemaligen großartig erbauten Kloster Fulda gefunden, aber so furchtbar übertüncht, dafs es, um gezeichnet werden zu können, erst von seinem häfs- lichen Ueberzuge befreit werden mufste. Fig. I. Ornament, aus dem ehemaligen Kloster Rheinau oder Rhynau, in dem ehemaligen Bifstlium .Constanz an den Zürchischen und Schaffhausischen Gränzen, nicht weit von dem bekannten Rheinfall, Laufen genannt, gelegen, von meinem Freunde Edmund Sharpe aus Lancaster im J. 1834 mitgetheilt. Rheinau war ein geschichtlich merkwürdiges Kloster, welches schon die Schweitzer Apostel Kolumban, Gallus und Pir- minius besuchten, und letzterer im 8. Jahrhundert mit Benediktinern besetzte, und durch den Irländer St. Fintan, welcher 878 starb, die erste Berühmtheit erhielt; das herrliche Rheinau wurde seit seiner Aufhebung, wie alle andern berühmten Klöster, barbarisch mitgenommen, und seine Schätze schändlich verschleudert; der berühmte fürstlich hohcnloliische Hofrath Zapf, der dieses Kloster im J. 1785 besuchte, kann nicht genug sagen, wie interessant dieses Kloster war. Fig. m. Console oder Kragstein aus der Cathédrale zu Rheims. Im Jahre 1826 vom Herausgeber dieses gezeichnet ; diese herrliche Kirche wurde in ihrem Innern zum Zweck der Krönung Carl X. durchaus gelb angestrichen und verdorben. f Platte II. Fig. a. Grabmal Ludwig IV., Landgrafen von Thüringen und Hessen, genannt „der Eiserne ;“ er regierte vom Jahr 1149 bis 1172, und wurde im Kloster Reinhardsbrunn begraben , wo dieses Grabmal noch zu sehen ist. — Siehe 8. H e ft Platte I und II. - » -nia 4M» '.-»K 1 lit'! iJif Iji fefü M[ MlJs — 24 t£y I ID-E-M- 26 Ct heim, seigneur de Neuenmuhr, baillif du Margrave d’Ansbach à Neustadt sur l’Aisch et sa femme. »-»o an der Aisch und seiner Gemahlin, welche beide mit diesem Orden dekorirt sind. Fig. d. L'ordre de la confrérie de St. Christophe, également sous l’invocation des 14 Saints assistans fondée en 1480 par le comte Guillaume de Henneberg au couvent de Vessra. Cet ordre est tiré d’un monument des comtes de Henncfcerg, qui se trouve dans l’église principale de Schleusingen, où je l’ai copié moi même. Le collier de l’ordre est formé par quatorze anges à ailes déployées tenant un ruban sur lequel on voit les noms des 14 Assistans; quelque fois le collier se compose d’anges à mi corps sur les vêtements desquels on lit les noms de Fig. d. Orden der Hcnnebergischen St. Christophs-Gesellschaft, oder zu den 14 Nothhelfern, Kloster Vesra von dem gefürsteten Grafen Wilhelm von Henneberg im J. 1490. Dieser sehr schöne und geschmackvolle Orden ist von dem Grabmale der Hennebergischen Grafen in der Schleusinger Stiftskirche entnommen, wo ich ihn abzeichnete. Die Ordensketteistaus 14 fliegenden Engeln gebildet, welche ein Band halten, mit den Namen der 14 Nothhelfer bezeichnet; auch kommt diese Kette öfters aus halben Engeln gebildet vor. — Fig. e. — auf deren in den Händen haltenden Gewändern jene Namen stehen, nämlich St. Erasme. St. George. St. Denis. St. Guy. St. Biaise. St. Pantaleon. St. Cyriaque. St. Christophe. St. Achate. Ste. Barbe. Ste. Catherine. St. Eustache. St. Gilles. Ste. Marguerite. Au milieu du collier se trouve l’emblème du St. Esprit, une colombe; elle tient dans son bec l’auréole de notre Seigneur Jésus Christ porté par St. Christophe placé sur une tablette portant son nom et de laquelle pendent des franges formées par huit petites cliaines, terminées par autant de clochettes* Celles ci sont l’emblème des huit béatitudes; que le son des clochettes devait rapeller au souvenir de celui qui les portait, lequel devait en l’entendant penser sans cesse à ses devoirs. Cet ordre était fabriqué indifféremment en or et en argent. Un de mes amis, Monsieur Bechstein, conseiller aulique et bibliothécaire de S. A. le duc de Meiningen , président de société archéologique de cette ville, se propose de consacrer à l’ordre de St. Christophe quelques pages de son grand et bel ouvrage sur les monuraens de la Franconie et de la Thuringe. Il y fera paraître le tombeau du fondateur de l’ordre, du comte prince de Henneberg Guillaume IV V dont la statue en porte le collier; puis un facsimile des statuts avec la gravure sur bois qui en forme le frontispice et plusieurs autres détails intéressans ayant rapport à cette confrérie. La charte originale est entre mes mains; mais si je voulais la communiqner ici, elle prendrait au moins trois feuilles de texte c’est à dire infiniment plus de place que nous ne pouvons en assigner à chaque sujet traité dans cet ouvrage. Je me permets donc de renvoyer ceux de mes lecteurs qui désireraient en savoir davantage, à l’ouvrage susmentionné de Mr. Bechstein qui possède non seulement une grande quantité de matériaux précieux, St. Erasmus. St. Georgius. St. Dionysius. St. Vitus. St. Blasius. St. Pantaleon. St. Ciriacus. St. Chritsophorus. St. Achatius. St. Barbara. St. Catharina. St. Eustachius. St. Egydius. St. Margaretha. In der Mitte der Kette ist der heilige Geist als Taube in Form einer Agraffe angebracht, er hält mit seinem Schnabel die Aureole des Christuskindes, St. Christoph, der es, wie bekannt, trägt, steht auf einer Signatur, die den Namen „St. Christoph“ enthält, und an welcher acht Kettchen mit eben so viel Glöckchen, Franzcn bilden. Die Glöckchen bedeuten die acht Seligkeiten, an welche das Getöne der Glöckchen stets erinnern und dem Ordensträger seine Pflichten ins Gedächtnifs bringen soll; dieser Orden wurde von Gold und von Silber getragen. Mein Freund, der herzogliche Hofrath und Bibliothekar Bechstein in Meiningen, Director des Hennebergischen Vereins der Alterthumsforscher daselbst, hat sich Vorbehalten, in seinem neuen, schön und würdig ausgestatteten Werke „Kunst- Denkmale in Franken und Thüringen“ dem St. Christophs-Orden ein besonderes Heft zu widmen, und in diesem, den Grabstein des Stifters dieses Ordens „Fürst Graf Wilhelm IV V. von Henneberg,“ dessen Statue mit der Ordenskette resp. Ordenskleinod geschmückt ist, dann das Ordens-Statut mit Fac-simile, den Titel-Holzschnitt, und sonstige interessante den Orden betreffende Mittheilungen vor Augen zu legen. Die Original-Urkunde liegt vor mir, ihre Mittheilung aber würde wenigstens drei Bogen Text erfordern, und somit weit den Raum überschreiten, den ich jedem Gegenstände in diesem Werke geben kann, daher ich meine kunstliebenden Leser auf das vorhin erwähnte Werk über Kunst-Denkmale von Bechstein verweise, der neben vielem und gutem Material auch noch mit der nöthigen Begabung zur geschickten Aus- 27 ^-tpecc-— - mais encore tout le talent et les connaissances nécessaires pour les employer utilement. wähl, und mit ausgezeichneten Kenntnissen fur diese Aufgabe ausgerüstet ist. IL. est â remaquer encore que les trois ordres dont nous venons de parler ont été fondés presqu’en même teras, comme aussi ceux de Ste. Dorotliee, de Ste. Cartlierine, de St. Antoine Es ist merkwürdig, dafs diese drei Orden fast zu gleicher Zeit in Deutschland gestiftet worden sind, eben so, wie die Ritter-Orden von St. Dorothea, St. Catharina, und St. Antonius u. a. m. et plusieurs autres. Platte VIII. Platte VIH. Fig. a. b. c. d. e. f. h. i. k. 1. Rosetten aus dem sogenannten Rosenzimmer im sogenannten Fürstenbaue der Veste Fig. a. b. c. d. e. f g. h. i. k. 1 . Rosaces tirées de I’ap- j portement, nommé la chambre â rosaces, an vieux château de Cobourg. Ces rosaces qui datent du 14 me siéble et que j’ai copiées en 1817 lors d’un voyage qui je fis a Cobourg avec mon ami et compatriote le professeur Mauch actuellement â Stuttgardt et l’architecte Durch mort en Amérique ont été enlevées depuis quelques années et remplacées par d’autres neuves, mais parfaitement conformes aux anciennes. J’en avais copiée encore bien davantage dans un de mes livres d’esquisses que j’ai perdu pendant que je surveillais les réparations du vieux chateau Impérial de Nuremberg. Coburg, aus dem 14. Jahrhundert. Diese Rosetten welche ich noch im Jahre 1817 mit meinen lieben Freunden und Landsleuten Profèssor Mauch jetzt in Stuttgart und dem Architekten Wilhelm Dürch gestorben in Amerika zeichnete, sind seit einigen Jahren, da ich von Coburg abwesend war, weggenommen und jetzt durch neue, aber nach den alten Zeichnungen ersetzt worden; noch eine grössere Anzahl aber hatte ich in mein Skizzenbuch aufgenommen, welches mir leider während der Herstellung der königlichen Zimmer auf der Kaiserburg zu Nürnberg abhanden kam. Dieses obengenannte Rosenzimmer war damals noch sehr gut erhalten. . Ich schätze mich glüchlich, dass ich im Jahre 1839 nach Je me trouve heureux d’avoir, lors de mon arrivée a Cobourg en 1839, pu prévenir la perte ou l’entière détérioration de plusieurs parties et détails précieux du vieux chatean. Les tems et d’autres causes encore avaient réduit les plus beaux appartements â un état de délabrement complet les belles boiseries s'étaient détachées du mur; la chambre a rosaces était dépouilée de presque tous les ornemens dont elle porte le nom etc. Je priai le duc de bien vouloir mettre uu terme à cette triste dévastation, je le suppliai de ne poiut consentir à la ruine complette du chateau, de ce beau monument laissé par ses glorieux ancêtres, et le plus bel ornement de Cobourg; j’eus le bonheur d’étré écouté; le duc me chargea de la restauration des appartenons endommagés. L’architecte Gürgel, mon ancien collaborateur, parfaitement versé dans la connaissance de l’architecture du moyen âge, et passionné pour la tâche qu’il allait entreprendre, fut l’homme que je choisis pour éxécuter cette restauration, qui lui fit le plus grand honneur et lui attira la pleine et entière satisfaction du duc. Il est juste de mentionner aussi les noms de deux de mes anciens élèves, Rothbart et Eberlein, qui assistèrent Görgel dans ses longs et difficiles travaux, et dont les talens lui furent fort utiles. Tons ceux qui visiteront le vieux chateau de Cobourg en seront satisfaits et conviendront qu’il est difficile de trouver son pareil ; les véritables connaisseurs seront forcés d’avouer due sa restauration est entièrement dans le style et l’esprit du moyen âge. der Veste Coburg kam, um noch zu rechter Zeit dem Verfall steuern zu können, womit so viel Herrliches bedroht war, die schönsten Zimmer boten ein Bild der Zerstörung dar, Zeit und andere Ursachen hatten hier arg gehaust, alle herrlichen Vertäfelungen hatten sich mehr oder weniger abgelöst, das Rosenzimmer war fast aller seiner Rosetten beraubt etc. Jetzt bat ich den Herzog um schleuniges Einschreiten, indem ich ihn beschwor, die herrlichen Denkmale seiner glorreichen Ahnen, Coburgs gröfster Stolz und Zierde, nicht vollends untergehen zu lassen; — ich fand, wie ich es voraus setzen durfte — ein geneigtes Ohr, und sogleich erhielt ich den Auftrag zur völligen Wiederherstellung des Fürstenbaues, in der Person des Architekten Görgel, meines ehemaligen Mitarbeiters an diesem und ähnlichen Werken, fand ich den Mann, der mit dem mittelalterlichen Styl vollkommen vertraut, und von seinem Gegenstand ergriffen, die gänzliche Wiederherstelluug der schadhaft gewordenen Gegenstände, bei möglichster Erhaltung und Benutzung des noch Vorhandenen so wie auf eine strenge Durchführung des mittelalterl. Styls zur gänzlichen Zufriedenheit des Herzogs, wie zu seiner eigenen Ehre, auf das Gelungenste ausführte, auch meine ehemaligen Schüler, die Künstler Rothbart und Eberlein, haben sich bei dieser Restaurirung ausgezeichnet und ihre Tüchtigkeit beurkundet. — Niemand wird diese Veste Coburg unbefriedigt verlassen, er wird gestehen müssen, nicht leicht ein zweites diesem Aehnliches gesehen zu haben, und ist er Kenner, so wird SJHJ 28 Le vieux chateau de Cobourg appartient déjà depuis 1353 à l’illustre maison de Saxe. Le Landgrave George, fils cadet de Frédéric le Guerrier, y établit sa cour pendant assez long- tems; ce fut l’Electeur Frédéric II., surnommé le Placide, qui fit construire les magnifiques appartemens qui, parfaitement restaurés, peuveut compter maintenant parmi les plus beaux de ce genre. Le duc régnant actuel, amateur et connaisseur des beaux arts, a reconnu la haute valeur du vieux chateau de Coburg sous le double rapport de l’histoire et de l’art, et a embrassé avec chaleur le projet favori qu’avait son auguste père de rendre à ce beau monument toute son importance historique et artistique et pour cela de la restaurer entièrement. Bientôt la maison de correction qui se trouve encore au chateau sera transportée aileurs et avec elle disparaitra le dernier obstacle qui empêche cet ancien bat ment de devenir le modèle des monumens de ce genre. Je ferai paraître une description détaillée de ce chateau dans un grand ouvrage qne je me propose de publier sur l’architecture allemande du moyen âge et spécialement sur celle des anciens châteaux et sur leur arrangement intérieur ; ouvrage qui sera orné d’une grande quantité de planches. *J*- er bezeugen, dafs diese Wiederherstellung ganz im Geist und Styl gedacht und ausgefiihrt worden ist. Die Veste Coburg gehörte schon von 1353 an dem erlauchten Hause Sachsen Landgraf Georg, der jüngste Bruder Friedrich des Streitbaren, hielt lange sein Hoflager auf dieser Veste. Vom Kurfürten Friedrich II., genannt der Milde, stammen die herrlichen Gemächer her, die jetzt vollkommen wiederhergestellt, unter die Schönsten ihrer Art gehören. Seine Hoheit der nun regierende Herzog, von dem geschichtlichen , und Kunstwerth dieser merkwürdigen Denkmale angeregt, und von eigenem Kunstsinn begeistert, hat die Lieblings-Idee seines hochseeligen Herrn Vaters, — der Veste Coburg ihre historische und artistische Bedeutung zu erhalten, sie in völlig bewohnbaren Stand zu setzen — kräftigst aufge- fafst, und bald wird die noch auf der Veste — befindliche Straf- Anstalt entfernt scyn; somit wäre denn das letzte Hindernils beseitigt, die Veste Coburg als Muster ähnlicher Bauwerke aufführen zu können. In einem besonderen Werke, über altdeutschen Burgbau und Burgeinrichtung, das mit vielen Kupfern ausgestattet werden soll, soll auch diese merkwürdige Veste Coburg aufgenommen, und ausführlich beschrieben werden. -KX frft3 36 $ Enfin en 1781 Jean Guillaume Roth, marchand de vin et propriétaire de l’auberge du cheval rouge, acheta la maison pour son ami, le négociant. Charles Ernest Heller, dont les héritiers la possèdent encore au moment. Planche VI. VII. VIII. Voyez la livraison X, planches 5, 6, 7, 8. Besitzer dieses Hauses, welches er von der Wittwe Ohmann für seinen Freund, den Kauf * und Handelsmann Carl Ernst Heller erkaufte, dessen Erben bis heute in den Besitz desselben sind. Das Profil der durchbrochenen Gallerieen ist in der Platte 2 unten angegeben. Ein Profil, welches in vielen steinernen Verzierungen in Nürnberg häufig vorkommt. Platte VI. VII. VIII. Siehe X. Heft. Platten 5. 6. 7. und 8. Fortsetzung. ? èoS - - Mi 37 — Livraison XII. Explication des Planches. Style Byzantin. Planche I. Fig. a. b. c. Chapitaux tirés de l’ancienne église abbatiale du couvent de Ste. Marie à Fourndau près de Göppingen voyez livraison V, planche V. Ces chapitaux ont été si souvent badigeonnés à la chaux qu’il était presque impossible d’en reconnaître les détails, ce qui était surtout le cas de celui représenté tig. b. Tous datent très décidément du tems de Luitprand, diacre de l’Empereur Louis II, qui dans l’année 605 a fait don de ce couvent à l’abbé de St. Gall. Fig. d. Chapiteau trouvé et copié par l’auteur en 1810 dans l’ancien couvent de Herbrechtingen. Ce magnifique morceau, dont une moitié est fortement endommagée, fait maintenant partie d’un mur de clôture; il a 20 pouces de hauteur et les détails d’ornemens dont il est couvert offrant beaucoup de ressemblance avec ceux des chapitaux de Fourndau et de Murrhardt, on peut en conclure qu’il est de la même époque et je suis parfaitement convaincu qu’il appartenait autrefois au petit couvent de St. Verain, que l’abbé Volrard de St. Denis prés l’aris, premier chapelain du roi Pépin, avait, conjointement avec la chapelle de St. Vitalis à Esslingen, légué par testament à son couvent de St. Denis. Le couvent de Herbrechtingen, dans l’ancien district do Ilcidenheim, était autrefois fort célèbre; fondé en 1144 par Frédéric de Hohenhausen, duc de Souabe, surnommé le Borgne, il fut plus tard aggrandi, doté et consacré à St. Denis , puis habité par les chanoines réguliers de St. Augustin. En 153fi il fut inquiété par les partisans de la réformation, qui plus tard, en 1555, en chassèrent les religieux et le dé- Zwölftes Heft. Erklärung der Platten. Byzantinischer Styl. Platte I. Fig. a. b. c. Capitale aus der ehemaligen Propstcikirche des Marienklosters zu Fraundau bei Göppingen, siehe V. Heft Platte V.. Diese Capitale sind so entstellend weifs mit Kalk überstrichen, dafs die richtige Zeichnung der Formen kanm verfolgt und die feinem Details derselben kaum zu erkennen waren, namentlich war dies beim Capital Fig. b. der Fall. Diese Capitale sind bestimmt aus der Zeit Luitprands, Diakon Kaiser Ludwig des Zweiten, der diese Kirche im Jahre 895 an St. Gallen vergabt hatte. Fig. d. Interessantes Capital, vom Verfasser im Jahre 1810 im ehemaligen Kloster Herbrechtingen gezeichnet. Dieses wunderschöne Capital, von welchem die Hälfte durch Abhauen zerstört worden ist, befindet sich in eine Hofmauer cin- gemauert, es hat die Höhe von 20 Zoll würtemb. Maafses und da es in seiner verzierten Platte und den übrigen V erzierungen so viele Aehnlichkeit mit den Capitälen in Fraundau und Murr- hard hat, so gehört es bestimmt derselben Zeit an und stammt eben so gewifs aus dem St. Veranus Klösterlein, welches der Abt Fulrad von St. Denis bei Paris, erster Caplan Pipins im Testamente seiner Abtei St. Denis, saramt der St. Vitalis Kapelle Efslingen vermacht hatte. — Dieses sonst berühmte Kloster bei Herbrechtingen in der ehemaligen Herrschaft Heidenheim an der Brenz gelegen, wurde im Jahr 1144 von dem Hohenstaufen Friedrich, dem Einäugigen, Herzoge von Schwaben vergröfsert, reich beschenkt und in der Ehre des heil. Dionysius geweiht, auch mit regulirten Chorherren St. Augustins besetzt. — Im Jahre 1536 wurde dieses Kloster von den I 'I I&ÇC4 38 ►MO molirent en partie. Pendant la guerre de trente ans, en 1630 ou 1635, il fut rendu à sa destination première, mais il se trouvait alors dans un état de dévastation presque complète. Ses nouveaux occupans étaient des moines du eouvent de Wal- tershausen; ce furent eux qui y érigèrent un autel dans le style de la renaissance portant la date de 1631, et que l’on y voit encore. A la paix de Westpbali le couvent fut incorporé définitivement au duché de Wurtemberg et les religieux en furent expulsés. Maintenant les Vandales de la finance ont réussi à détruire presque entièrement ce bâtiment et ce n’est plus que dans les pages de l’histoire nous retrouvons quelques traces de son ancienne splendeur et célébrité. Fig. e. /. g. Bases de colonne en style grec. fig. e. est dirée du couvent de Forch près de Schorndorf, fig. /. de l’église de Fourndau, fig. g . de l’ancien couvent de Bénédictins situé dans l’ile de Rheinau. Planche II. Fig. a. Chapitaux et fig. b. bases de colonne, communiqués par Monsieur R. Rothbart, peintre de la Cour de Cobourg. Voyez livraison XI, planche I. Style gothique. Planche III. Détails d’ornemens de la serrure et des ferrures de la porte du monument nommé la maison du St. Sacrement, dans l’eglise de St. Sébalde à Nuremberg. Cet intéressant et beau morceau est placé contre la muraille à droite du maître autel et se trouve maintenant en fort mauvais état. Les ferrures, les clous, la serrure de la porte sont dorés; la porte meme est peinte en rouge; le tout date de l'année 1315. Le feuillage courant de long de la cannelure dans le chambraule de la porte est particulièrement bien éxécuté. Plus tard nous donnerons à nos lecteurs une description complète de ce tabernacle , intérressant par ses détails aussi riches que gracieux. Planche IV. Superbes portes en bois sculpté et boiseries tires de la maison appartenant à la famille noble de Scheurl et située dans la rue du cliateau à Nuremberg. R est fort rare de trouver des boiseries sculptées d’une beauté aussi parfaite, que celles ci. Jusqu’à présent l’auteur ne connait que celles du vieux chateau de Cobourg et du con- vent de Blaubeuren dont le dessin paraîtra dans la prochaine Reformatoren beunruhigt, und zuletzt im Jahre 1555 den Chorherren mit Gewalt abgenommen, und theilweise zerstört; im 30jährigen Krieg im Jahre 1630 oder 1635 wurde es zwar wieder zurückgegeben, aber in einem höchst busswürdigen Zustande; seine neuen Besitzer waren Mönche aus Kloster Wattenhausen und von ihnen rührt noch ein Altar im Renais- sançe-Styl her, mit der Jahrzahl 1631; nach dem westphäli- schen Frieden kam cs definitiv an Württemberg und die Mönche mufsten auswandern. Pig. e. Säulenfufs, mit Schutzblatt vom Kloster Forch hei Schorndorf. Fig. /. Von der Kirche ven Fraundau. Fig. g. Im ehemaligen Bcnedictiner-Kloster auf der Insel Rheinau gefunden. Platte II. Fig. a. Gekuppelte Capitale und Fig. 6. Säulenfüfse, mitgetheilt vom Herrn Hofmaler Rudolph Rothbart in Coburg, siehe Heft XI. Platte I. Deutscher gothlscher Styl. Platte III. Reichgehaltene Schlofsverzierungen und Beschläge der Thüre des Sakramentshäusclisns in der St. Sehaldns Kirche zu Nürnberg. Dieser äusserst interessante Tabernakel befindet sich zur rechten Seite des Hochaltars an der Wand und zwar in sehr schadhaftem Zustande. Die Beschläge, Bänder, Schlofs, Nägel etc. sind vergoldet, die Thüre aber ist roth angestricheu ; die Zeit der Anfertigung ist das Jahr 1315. Vorzüglich schön ist das Laubwerk in der Hohlkehle der steinernen Einfassung besagter Thüre. Eine vollsändige Beschreibung dieses durch seine reichen Motiven so ausgezeichneten Tabernakels und seiner ganzen Form wird in der Folge vorgenommen werden. Platte IV. Wunderschöne in Holz geschnitzte Thüre nebst Täfelwcrk im adelicli von Scheuerl’schen Hause ,in der Burgstrasse in Nürnberg. In Holz geschnitzte Thürcn von dieser Kunstbedeutung sind sehr selten zu finden, der Verfasser kennt, von diesem Gehalte, bis jetzt nur die kostbaren Thüren auf der Veste Coburg und im Kloster Blaubeuren, beider Abbildung soll im 39 piece pi uresbvtèr piece puis les portes du vieux chateau de ,Salzbourg et du presbytère de St. Laurent à Nuremberg qui puissent leur être comparées. Dans un ouvrage fort intéressant intitulé, la maison Seheurl, Mr. le Major Baron de Soden, mon ami, a donné une description détaillée de ces portes et je crois ne pouvoir mieux faire que de citer ici une lettre qu’il m’a fait l’honneur de m’adresser sur ce sujet. „Vous désirez que je vous fasse parvenir une description historique topographique de la maison Seheurl à Nuremberg pour servir de texte explicatif d’un dessin que vous voulez faire paraître dans votre ouvrage sur les monumens du moyen âge. Je me rends volontiers à vos désirs, regrettant toutefois de ne pas posséder les matériaux sufiisaiis pour donner une description plus détaillée.“ „Cette maison, située sous le vieux chateau, No. 606 rue du chateau attire depuis quelques années l’attention particulière des gens qui s’occupent de l’étude de l’histoire et de l’archéologie de notre patrie. Le gouvernement même a pris des mesures pour la conservation de cet antique et intéressant monument. Depuis l’an 1485, donc depuis 360 ans, la maison dont nous nous occupons appartient à la famille patricienne de Seheurl; maintenant elle est la propriété de Monsieur de Seheurl, professeur à Erlangen.“ D’interessans souvenirs se rattachent à cette habitation qui peut être comptée parmi les monumens les plus remarquables du moyen âge. Elle a vu passer des siècles et des commotions de toute espèce sans en être ébranlée. Sans doute, partageant le sort de tout objet terrestre, elle a éprouvé bien des changemens; mais les fondemens qui la portent sont solides encore et, bravant les injures du temps, l'antique bâtiment nous présente encore sa robuste façade comme un des souvenirs historiques les plus curieux de son époque. La partie la plus remarquable de cette maison est une chambre datant du quinzième siècle, dont les boiseries richement sculptées représentent de magnifiques ornemens d’architecture et dont les deux portes, rondes du haut, sont également couvertes de sculptures. Ce fut Christophe Seheurl qui, venu de Silésie à Nuremberg, ou il finit par s’établir, fit construire ce petit appartement à la prière du duc Georges de Bavière qui lui offrit d’en faire les frais. Les vitraux peints représentaient les armoiries du duc et on avait donné cet appartement le nom de la petite chambre du comte palatin. La maison Seheurl a momentanément servi d’habitation à plusieurs princes régnants, hommes d’état et généraux. En 1489 et 1491 l’Empereur Romain Maximilian y établit sa des- C nächsten Hefte folgen, ferner die Thüren auf der Salzburg und im St. Lorenz-Pfarrhof zu Nürnberg. Diegje Thüre hat mein hochverehrter Freund, der pensio- nirte Major Baron von Soden in seinem interessanten Werkes „das scheurl’sche Haus“ besonders beschrieben und seiner Güte verdanke ich folgendes „Sie -wünschen von mir, werther Freund, eine historisch- ,,topographische Beschreibung des scheuerl’chen Hauses da- „hier, um sie als erläuternden Text zu Fig. 4 in Ihrem Werke „Ornamentik des Mittelalters“ aufnehmen zu können. Gerne „willfahre ich Ihrem Wunsche und bedaure nur, dafs der Man- „gel an hiezu nöthigem Material keine umständlichere Beschreibung zuläfst.“ „Das unter der Veste, jetzigen Burgstrasse, zu Nürnberg „gelegene mit Nr. 604 bezeichnete Haus hat in der neuesten „Zeit die besondere Aufmerksamkeit aller Freunde der Geschichte und vaterländischen Alterthümer erregt, und die königl. „bayer’sche Staats-Regierung trug die nöthige Vorsorge für Erbaltung des noch bestehenden, alterthümlichen Baues.“ „Dieses Haus ist nun seit 1485, also bereits 360 Jahre „in stetem unveränderlichen Besitze der ehemaligen Patrizier- „Familie von Seheurl, und jetzt Eigenthum des königl. Prozessors und Doctors von Scheuerl in Erlangen.“ „Erhabene, merkwürdige Erinnerungen knüpfen sich an „dieses Haus und es gehört mit Recht zu den merkwürdigen „Denkmälern deutscher Vorzeit.“ „Jahrhunderte und weltgeschichtliche Ereignisse gingen „an ihm vorüber, ohne die Grundveste seines Baues zu untergraben Manches wurde zwar im Laufe stürmischer Zeiten „und in Folge der Wandelbarkeit aller menschlichen Dinge in „seincmlnnern verändert, dessen ungeachtet steht es noch fest, „und trotzet kühn und muthig als historisches Denkmal entschwundener Jahrhnnderte dem alles zerstörenden Zahne der „Zeit.“ „Am merkwürdigsten aber ist das durch altdeutsches Schnitz- „werk sich auszeichnende Zimmer, das dem 15tcn Jahrhunderte „seine Entstehung verdankt. Die Wände dieses Gemaches „schmücken schöne architektonische Verzierungen ebenso auch „die beiden zur äussern und innern Verbindung dienenden Thü- „ren, welche oben rund sind. Der aus Schlesien in Nürnberg „eingewanderte Chrisoph Seheurl I. baute dieses Stübchen „im Jahre 1489 auf Antrag des Herzogs Georg von Bayern, „und auf dessen Erbieten, die Kosten zu übernehmen. Die „Fenster desselben wurden mit des Herzogs gemaltem Wappen „geschmückt und man nannte es nur dns Pfalzgrafenstüb- „chen.“ „Das scheurl’che Haus diente aber auch vielen Regenten, „berühmten Staatsmännern und Feldherren zur temporären „Wohnung. Der römische König Maximilian Vestung 40 IM**- meure, tandis que son père, l’Empereur Frédéric avait habité le château. Fendant son dernier séjour, Maximilian assista aux noces du patricien Etienne Tücher et d’Ursule Muffel. Lors de la grande Diète la maison fut occupée, indépendamment de l'Empereur, par le duc Georges de Bavière et après lui par le duc Albert de Bavière et par son gendre, le duc Ulric de Wurtemberg, En 1522 — 23 l’Empereur Ferdinand I y habita pendant son séjour à Nuremberg; le cabinet du comte ;palatin s’apella désormais le cabinet de VEmpereur, et s’appelle encore ainsi. En 1530 le duc Georges de Saxe choisit la maison Scheurl pour s’y établir momentanément et s’y plût à tel point, qu’il y revint plusieurs fois. En 1532 elle fut habitée par Albert de Brandebourg, cardinal et Electeur de Mayence; en 1540 par Otton de Truchsess,' qui se trouvait alors faire partie de la suite de l’Empereur Ferdinand et qui plus tard, en 1543, fut élu évêque d'Augsbourg. Fendant le séjour de Charles Quint à Nuremberg en 1541, le célébré Granvclla, chancelier de l’Empereur occupa la maison Scheurl avec les deux frères Perrenot, Antoine, evêque d’Arras et Thomas, seigneur de L’hautomai, et la même année, un peu plus tard, le Landgrave Philippe de Hesse y mit pied à terre. Le duc d’Albe se rendant en Saxe en 1537, passa par Nuremberg et habita la maison Scheurl et lorsque, en 1612, l’Empereur Matthias, après avoir été couronné à Francfort, fit son entrée solemnelle à Nuremberg, cette maison servit de demeure à Ottavio, grand écuyer et chambellan de l’Empereur et à son épouse. En 1621 la diète de Franconie tint ses séances dans q la maison Scheurl, et pendant le grand congrès, tenu à Nu- remberg en 1649 elle fut occupée par les colonels impériaux Jean Christophe de Wissenthal et Don Claude Francisque de Canou. En 1833 Leurs Majestés le Roi et la Reine de Bavière honorèrent la maison Scheurl de leur visite ; peu de tems après le ministère de l’intérieur chargea la municipalité de Nuremberg d’obtenir du propriétaire, Mr. de Scheurl, employé aux postes et de tous les membres de la famille un engagement formel de ne faire aucun changement à la maison, ni de la vendre sans en avoir préalablement donné connaissance à la municipalité qui, en cas de vente, doit avoir la préférence à prix égal. Ce traité est une sauvegarde contre toute atteinte qui aurait pu être portée à cet intéressant édifice, qui sera conservé dans toute son intégrité. La maison Scheurl est un curieux monument du moyen âge et son aspect rappelle les plus beaux momens de l’ancienne ville impériale de Nuremberg.“ -*© - „und 1491 zu seiner Herberge, während sein Vater, Kaiser „Friedrich bei seiner Anwesenheit im letzten Jahre die Burg „bewohnte. Der König beehrte damals mit seiner Gegenwart „die Hochzeit Stephan Tuchers mit Ursula Muffel. Während „des grofsen Reichstages im mehrgenannten Jahre bewohnte „auch mit dem Könige, Herzog Georg von Bayern mit das scheurl’- „scheHaus; nach ihm diente es dem Herzoge Albrecht von Bayern „seinem Schwiegersöhne, Herzog Ulrich von Württemberg zurHer- „berge. ln den Jahren 1522 u. 23 wählte es der römische „König Ferdinand I. während seines Aufenthaltes zu Nürnberg „zur Wohnung. Das Ffalzgrafenstübchen verwandelte sich in „das Kaiserstübchen, welchen Namen es noch bis heute führt. „Im April 1530 bestimmte Herzog Georg von Sachsen das „scheurl’sche Haus zu seiner Wohnung, die ihm so wohl ge- „fiel, dafs er sie oft hierzu wählte. Im Jahre 1532 bewohnte „es Albrecht von Brandenburg, Cardinal und Kurfürst von „Mainz. Als 1540 König Ferdinand in Nürnberg einzog, diente „dieses Haus den in seinem Gefolge befindlichen, 1543 zum „Bischof von Augsburg gewählten Otto von Truclisefs. Wählend der Anwesenheit Kaisers Karl V. im Jahre 1541 wohnte „im scheurl’schen Hause der berühmte Granveller, sein Kanzler mit den beiden Söhnen Anton Perennot, Bischof zu Avrers „und Thomas Perennot, Herrn von L’Hautomai. Im nämli- „chen Jahre wählte es auch Philipp, Landgraf von Hessen zu „seiner Herberge. Auf dem Zuge nach Sachsen 1547 berührte „Herzog Albrecht die Stadt Nürnberg und wohnte ebenfalls „in diesem Hause. Als Kaiser Mathias im Jahre 1612 nach sei- „ner Krönung zu Frankfurt am Main den feierlichen Einzug „in Nürnberg hielt, bewohnte dieses scheurl’che Haus der „kaiserl. Oberststallmeister und Kämmerer, auch Hauptmann „der Herrschaft Ungariscli-Altenburg Ottavio Caumirni mit seiner Gemahlin. Im Jahre 1621 wurde im schcurl’clien Hause „ein fränkischer Reichstag gehalten. Während des grofsen „Friedens-Congresses zu Nürnberg im Jahre 1649 wohnten „bei Georg Scheurl die kaiserl. Obristen Hans Christoph „Rernfft von Wissenthal und Don Claudius Franziscus von „Canou. Im Jahre 1833 beehrten J. J. M. M. der König und „die Königin von Bayern das scheuiTclic Haus mit ihrem „Besuche. Bald darauf liefs das königl. Staats-Ministerium „des Innern durch den Magistrat der Stadt Nürnberg, von dem „damaligen Besitzer des Hauses, Herrn Postoffizial von Scheurl „nebst sämintlichen Mitbesitzern, den schriftlichen Revers sich „ertheilen, keine Veränderung, noch weniger aber den Ver- „kauf des Hauses, ohne Wissen des Magistrats, vorzunehmen, „und diesem für den Fall das Einstandsrecht zu gönnen. Hierdurch wurde jede Gefahr der Veränderung des gegenwärtigen „Zustandes dieses merkwürdigen Hauses auf immer entfernt „und die umgeänderte Belassuug seines alterthümlichen Sclimu- „ckes verbürgt. Das schenrl’sclie Haus bleibt jedenfalls ein 0 41 CK-e w» ;*% r- !Sîiÿ. 5 âC-V iw»”!; >\jJ*H • ff »->?'• *. ÄY >.fc I * * fo * i ii- .'•* •rïfV k * v5W5- ' K-. t'v»."'r- '**•*. .H V ** . •= »V, yyt* ^ \;f;W 1 ' ' ' A K* ijj. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS TON HEIDELOEF. Heft VII iHiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiimiiiiiiiiiiinmiiiiimiiimiiiiiimiiiiKiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiKiimniiiiiiiiKifiiNiin ifiiti . 1 .' ..II. PLI U" up^.i J ifi l I. •.> 14 - ’M&ïSæï É-vy^ ÿi?V • '-V >v x*xvi> •' > '> *?• V £u t &î; ü'gÆd iü r&*X EPS* V >»'. mfmwf ',U fil .' ,' r ¥ >, C' 1 . * r 'Ä'.'.iAj'r;' Ä/V tms fxYki'/J- •tV LÆ » Heft M. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFK 'fr ïs\ V JNlVï V'&utï* ^ imilr ts aiaîi m ' të»- Hkt ÜgÜM ïiM-iï mFtàfr'zm . n^-V* ; "'-VS PRéI $$*ii S . Iff L tÀ Âi . ^ Süîÿï'kt gmiï* *&&.**•. I>r „voj? 1 IPWŸ ?L*iSfc&S v!', 8£sr. '. 'ÎSr *, .*»• ; f; ? * • ' -, ^Tî^' " iVR?? • safe ^yjÂ’VTr-y ,*Vf Vkrpè5?5! ,, ,' t> vr &.IA } », ^ ; ' / VV'ïv DIE ORNAMENTIK BES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft VE. JLTLr ' iti'jiüii ' 1 ! 7. r' » • »• • • • • • • * • • * M • •• •" i Ml • * 1 ' !»&£. mwm •*.*?*' ;M .^r- .T i-V^ Ff * ^ 4 . J*. .4 .,.• -iß- •v;v- ->* £*ÎH • T .* v»*- j - >V-\ SSÄir. ?>r tm» ;•.,**• 7 t. •. .^ipr !*.- 8BSÊ&& ; ?£&** . *§!&§£ »Æ&Âÿ,>î -1 MSili IS S ' fcfcsr! ï!»V • mm ;.'.i i. , »-p .ws-r. I . iii llfl . * 1 11 • itâm /•SA» mm ^i*. Ät.; Wk rfo'.*»''*-“ &tm> jm^-p SNVÿ'lî* * i»4fettKt "$Ï%W mwnÂÇ;\..l 3 rfFÀS^vr* SteWÂ* i »te-! $$fe , swwpt’i** i - ifâ'iil ,.^5*%» lï a* fJ i?AS,1 ÎÉSË sær SV' ÙteAfrijÉWitiHÊjtoE. »•.tFii- fejftsÇ; •/H ?• WP,?.] \ •rï ,. ; DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. i-V'i YaYm; \;v V- ^ V ' " * TV» iiîsîi ü'ja éw^ÂW*.?^ .•*ïir-!ti»' ?'? ! ÂvWsJz £*'** ïî * %? ifViî^ i' ; I ; .- -Wi ' >£*.» { ÜSI 1 *£6* * v I ?*& *S>&' > _ »V. 1 * Ä - .>= &KÄJ- " Mt Mis ; Mæ>vy iH“\ ;st^ »» V^S *?v IMS* k .»a!srç* œ& Cß$& ; MK’ l*îï V* - Y* *vÆü! !$$$ ÿ» i.’SV-V?', £»''*'j£ . *t. -àifw-' sss** 3M Çsstë £ü*w XXWi S 90 B ifV a-? > oac' l¥iW Heft VL tX?1K!ù jgU4à» mm *$1^ IliÉlf/f K,\>.\ ,.W V“, s-vi T', J '- 1 ï ,V ^V- ;'v r. , V* * v. ’.V J Âlî »1 ÿv r ^ t ; ' f’^Vi V*' r i ir • u- /Vi • » * J ?&'*'- r*r/u • y fl .-i i - *’ » 7 * flSiPgS V/v*c. vî ' * .{/ ï&m £**&*'}** ! v ' Sÿ- *â-m r »ï^* ' ikfokÿ!»*?-* 9 ' . ,? /*>vrr SK-'- !• •/* ï’jrL-r ti / n DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF ! r Heft'Vitt. b p m m 19 t-uVii'rUW" .;!' _fj n MM \r*t*9**&*t' K '' ••ÿ•,' » ;•;- *•»** J Lä* g Un %£&.? -siaW-J \F?Ï'? gSf» ->» >»»>» ^K^^cQïifc. y//> >’?^^7'vV V"’ ï\^ ^ Æ ~V» 13^4* S»*îs £*»*, Ssæ 1 'î;i ï*S3 KS *55 -_-*/!* i. issj}ww,r-; iV7 Wf, £w£, TTti * *j ; v *i “λ .* f Vi-*- L'Ss3 ï; Ssiii iaati'/i! WÎV. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft Vm Wm IW Um DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft VIII V S"t , r K \ ' ; Y ' f h* ' ,• .... . , " { ? DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. PL 6. 'I Heft vra m £- T + £>0 + »• -^S; .w; »ü • vV ! ÜS .VfsH* Si'-'» tifeCyjtl w>; - ^.-ï’,*•* r'f'Viv 2&K •tV. ?vT\ , ' r, ,/VVS Wf?*****^ I •Tv* ****** S I .it.i +. * i *fei-, ii •Âtfîyfi ï 1 mm- ï’-» s>iSâT' Itek ttevfc »,£ ! ! V*5V \ ;•; 5 , ; 7 ŸCÂÎ- L- ' ' . hftRsräfe VWVi '•*» u£î M *vJCi? ?•Tï»î' -V *.•>£ fî ' $5? 1 i SS r '*f SW -; fft - &* ' .V&&* *r\ tfb r f îf0?$yXfS \./ .i ii i ] im iiiii i ii iiii i ii i i u i i m i lj iii ii » iiiii i i i ïïïïwi wwiwiwiiiiiiiiiiiiiiuiiiiuiiiiiii • ^p» Y V 1. • ’l U'f" 1 » 1 l\ . .A ,. 2 i •*"» w-j V, ÎS'iÂV? v\, t ' r- kïïîh- va*. • \t * BS > r V ** y .Xw,M v 4 DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft IX '•ÄS if 1 S K l? irat Ji&l HK. 5>-, AVVJ .vÇkv/ •;] *w. i* a * . HIB»^ **93 ^ TT.** ’?**^4mnr*f 0 fèk " K ’ï* > - vUV MV I. Ly m.. *****'"irir >.., .vSST* Vv'»^ •• ' 'ky- - • v •>••,“r+ r *-' .••'• • "îfX'Fi DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft IX V' i y ; J • v. > 1 » i fei'Vîiâ 3ÂîV>.\k kriwir* •>.ww^*5æ ^j * Ï* v’V *** I '-• f»- >t I •i.;.'i.£ *, r ’ v! » Wi&SS&'kd ’S \ • 5 - • I DIE ORNAMENTIK DES MITTEI,ALTERS VON HEIDELOFF ' HeftK ÿâ àfh ih rS ; r i/tk rI I I j ! ! & Wr. äS»v» i ! , 'SIéI? ïiigr^ i3S£ ft, ; V £ • t • .v-l k * •* 'nsJr, v'K Hh îÆm iMms. > k> £ • • *V V 'W* . '. - *5* \ r r î> imm&vy ?***%- \* 7 .* \M Vf V ' .4 . -. t "v^Âv^â^ik -ISU-iT^ • Ä 198 &; r'^T'.-A.'^W. SSggjg&iigjj DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft K /ffy » WxSfft .g M . v_» .'' SS-i-Ä wi SfiSi-7 **£ i *&>$*! ÆK?*-.! *>.*'».> I »•*•' , '»'• *.?'•'• i f ,^e* 3 g. VKil v»** I 1 'iîRtÔ! i Ä,\ V'^îï’w • av ï >> 3 &Äl Sß&M rasa i - v *Vrt; ;'M ' •- .'. •• ,1 • ’; .•;• t .;¥' §ä$S~ g ÉMl^Jl-. »-.•/ *' . . > ; /, /> * V* w- •> v ? • DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HE IDE L OFF Heft IX y j rs- .'•V i '.i. •>*- rAS/fcjN? »SS IfOfsfÜ Aj&NR wVtf.'. A \n whs yv> r.'Al'.v’ V \'W.{.* ., vt Ww •.' V' ; V-W$ ’. &. ' DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft ]X. \ BgRäp f&M ,V'ï"S- 1 * 3 »* 4 •"»• N^i^*-'^- f -i £ U •i ; V ! £ „À?*W> -T»? tîijwyo^ m iÄSgsgy-i üA^rJTv P» &7&ÏÎ »>V v * a*. ;;* » **,> V> aÿf-tÿ ' i 5 »'. .*, T' •- *?v,V ',.*• l i â *."' Éfo'i&iké -. %. * 4 » - 'K Âfc**i 5 i'ïlv ' . w f\ m mmm *. ’*r;. •Rit*? *• *- ., A "t » &•.> . “ * . £i' *ï »•. , V£* S-Î'x Al-'. I 5 * ^ ?**? , v\; ,• 4,1^' ' >;y t '> •- '.* V-. .50 if ¥ j f • • ^ r '* •»».' ~t,, •• &••’•§*&'•* ;jâË TM * ' ' iÀS »✓.- ’ * ’ DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. ' lieft X. 4* !J ll . ' TI 3 Hi t i i*- a WTCf l.» H ;arï4j- jwjääfl M£ mm VÏH-j 1 ;i*aO.. .4 j v* 1 ’ V *- mm ' V. I iW— • * . •'ïX'WVVY'p .- \ \\mmv > ^ t ; 1 V- ; , 'Vï * x **> -• i» r . !*>*£ 3&$ I • t i I f ►.A » ..i i Hefëx M 1 * it DiK, ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VOM HEIDELOFF. K* i- -\ i WSû**,, J} hr -?V -ïîj A * SMSW> >’.n, tïVèi .v ••tri. V>" i LM'divtXl. mmr> •T*^ewr> fr******** Tf¥ 3-V ' /-.» HeftX /?9CÄS*sJ ,Äf& so^S^a 'ËfiZJwïk i*vj ;4* ' w - - V- g \.vs m- ri V* 'A*?*îk iiilôKàMaj DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HKIDELOLT HefrX £ 'J'S nr^nr^ SHX7/ arm ZmTII !WülM mmm R&S>Ä$I mm na r%7s iv. r B-N i ! M*â*r. -4-v.\ 1SÄI VW jV&W^V ? vf'^* V^V^ÎA * V Ua-Î \***%\C 4t. ^ ••' 4 A; f .TSJt£>X v'jf i; ' .f- l'ii ; -?A»l !- -»& - ;;; ç^if i *M,- I f&ÂS ! '»•$& ; *•> - *A'k •' ü r*£-f. w&w. k YWW3Wc x j 'Ç>v*-Ï ..Yai* f ^*5*r»^Â>.’t £. j£u . — ,*- . DIE ORNAMENTIK DES -MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft X SffiSIgfg 'ïsks ,0 • V r CY’ f 1/ V / Wj '» mmm / v / r > v SîmvsîS m&m TM * i WP?."!» fM-, .. . W* ' l */ï *fci I ' &'i »tîS ï *>- . " 4 ? " .'♦ ki&v SS*-' *». * ; -VY' -' r f».v-' i-prtTt Wjl DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFiV Heft-XL ê** klè&& ÎSSmmZSÊmfïgSBëm ms I W£dM mm 5 - ^ BEgfsm;. I 4 V ' '. / ',' » » Éfcr " ;ÜS ÏL = i*- fc v  w*i?^ T-r- .. .û •* ,»v . &$£ y **% i '• • *v -••***> L^t *V.» , T*,' i LâV% l i >•r^-jä^pr>^V-Cv r **? , ?* > • vtev’ -tf .-.v-; •W'^. uir-i - j'> ?. tÄviy\ tv j ki UT *JÜ- »• - £f. Sf* • ;'. . P . . .VwA • ? V .-•>»► DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF. wm 1311 mm ! Pli häM. ßfCl i 1 i i 1111 mm ©III ftw lllfj fesßliä n g •P>f*Vt •£ ' at*. v y* t* 3£ï» Æi»; a»»? Üij-'AMJ i.*A ► »*j£* ?*»• K*3? r*-., L'iVÿC ' ; ji . k*»"; ISn *.'il»*i M »"VV/S' iiï* •T* a » m%.\ Si Uffiir ; »,." J pgr*? Sk ">?W£ T-rf TT-W > ? -S&r? t >V DIE -ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. MS. " PI. 7 iS Wmm i KM iis Hl 88 feÉyüli 8 zssjt M »i fl» 8 IÜÉË m DIE ORNAMENTIK DES MITIELALTERS VON HEIDELOFF. ’t , j>v '••y v&m. 'w~*;.t\f* 9mfz*fç TOET IHE ORNAMENTIK DE S MITTELALTERS VOR HEIDELOFF !>•> IW*, r*i Ult Ifflii' 1 -4^4^' ISS';! i W^ y„ ...' miiiNiimi!niUHBiK^H Siiiüüi p{i!2! wmmm m- x m I IIIIMHIallMIIIHIIIH ,vw*'• !* -* ir ^ÿ'^k i >. lf ï&'&h Tri. irfcâ£ü£A i. - i .h il Jt>,W Jiii. i ^... J m ? ! Ei€*î Uk».**'ï Hv- StÀT ' t V p;4 ! » Rï* >Vî!ï ryStf. yr^-*^7''T , ^v WW AvVi’ L'itei £r*~ •*• Heften EIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF pi 4 iSliiifeattlliMälfflili! MB» BjjSl^SSBSi a à äisa 41 tx A-'gî^Æ' $ *7 _ ; 9 tÉWÎ mm ns 7 ilii- föipiitof . ijm fi 1 . 1 »IwaMifö. mm a» 3^» US» vs^te» ;>gL v -rri? ’W sss? ßi 99 î^HfflSSj L ti*î IW* äsgss a. **»•'. > it r ïïeftXlI DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. PI. 5. * ftfk rfli OL vT? * v hv 4 ' i I U '-*-**1 >?*v •/'i. ''NL^ 1 -'- 1, • ' ?V PÄ- Vaffr* If^ '• Srn ^ h»5 . L'f'tf! k/I . WLV ' *»'*! t%-2K ’ 4 *l Î. 4 ** *.v» V'. ; »£* * ?* j ;ffu. ’ \~JSH ***•*? ; üm- jAT "KH, ' i - Heft in. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF mim »filii I^Q_ •3 —Jn 1__ üaa» mm a&as ff' . Pf3KÄ iJ '-j; t- s.. Sel j -rr-r *'**'• DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS "VON HEIDELOTF. Heft 2H ft fà m Mt ^\v Jijl ifAVit mmm Pi SÜi BBtt 5 juu.'uiSSl hm». SÉff éirè »çrT^pe* ’^TTSTT’ »; *»>; -Ä- v />•,> . v 'f. ,*fc .^. m “ i 4 TT & & ; % » ' V v 4 ** "VU ’ > ’ >ï yv A - V ^ ''$”? T^r-'. Kj; ^ ;jK-v s .^ . • ....•X3 8 - Avec tant de belle* qualité* il cultivait un commerce amical et scientifique avec tou* le* homme* aillant* de aon temps, tel* que Conrad Celte, Pierre Dannhauaer, Willibald Pirkhei- mer, W'ohlgemuth, Veit Stoa, Adam Kraft; il viaita souvent le jeune Dürer qu’il occupait. Celte* en parlant de Schreier l'appelle „Magnificum, virum, Musarum hoapitem et patronum; Muaarum et Appollinia cultornm fidissimum. Ce fut Schreier qui, le premier, conçut l’idée du Mauiolée de St. Sébald, il en fit eaquiaier des plan* et de* dessins par le* artiste* le* plus distingués, notamment par Veit Stoss le dessin de ce dernier, exécuté sur parchemin m’est en propre. Mais la conception de Stoss étant formée sur un plan trop vaste, et trop coûteux par conséquent, ne put être admise, et il adopta le plan de Pierre Vischer. Les fonds furent fournis par une collecte auprès des nobles et des bourgeois. Il travailla avec amour et ardeur à la prospérité de établissements publics, mettant à profit le cercle étendu de es connexion* avec princes, et autre* personnages haut-placés de l’église, de la noblesse et de la bourgeoisie; presque toutes les villes libres briguèrent sa faveur; *on influence dans les convent* fut considérable; ces liaisons l’engagèrent à plusieurs fondations pour le dehors, de même qui’l sut intéresser le dehors pour sa ville natale, et ses entreprises pour elle trouvèrent du retentissement et des ressources dans toutes les provinces. Il affectionna par dessus tout l’église de St. Sébald , qu’il gratifia de plusieurs dons et fondations; mais dont la plupart furent sécularisées, dans les temps de vandalisme de 1806 à 1816. Schreier fonctionna jusqu’en 1503, en qualité de marguil- ler, avec un esprit d’ordre remarquable , avec une grande abnégation, ménageant le* intérêts de l’église, à lui confiés et sachant maintenir celle-ci au niveau de la première cathédrale d’une des plus grandes villes de l’Allemagne; en un mot l’administration de Schreier était au dessus de tout éloge. Il fit aussi donation de vases sacrés, et du superbe missel ,.Kogans huius librorie mnnificentiae piam aliquam agere me- moriam,“ qu’il fit illustrer par les premiers artistes. Ce fut encore lui qui conseilla au chanoine Melchior Pfinzing de St. Sébald de postuler un écusson pour la prévauté de St. Sébald, auprès du roi romain Maximilien, et à sa grande joie Max ordonna de poser St. Sébald sur l’écu d’Autriche. C’est avec ce sceau qu’on scella en 1479 l’acte de la réforme politique de la ville. Schreier motiva aussi la construction de l’hospice de St. Sébastian, en 1508 à 1516, ce qui lui causa tant d’ennui, mais sa persévérance surmouta tous les obstacles. Un évènement d’une autre espèce le terrassa l’orage naissant de la réforme religieuse , qui remplit les hommes de la stabilité et du respect pour l’ancienne croyance des plus sombres pensées. Il ne put se consoler de ce mouvement, qu’il jugea destructif aux Arts ... la ruine de sa patrie. Cette pensée lui rompit le coeur, il mourut le 22 Mai 1520, le dernier de sa noble race, il fut enterré en dehors du choeur de St. Sébald, dans une sorte de mausolée, vis-à-vis de l’hêtcl-de-ville. -—X> Oj östreichischen Schild zu legen. Im Jahre 1479 wurde mit diesem Wappen die L’rkunde über Abfassung der Nürnberger Stadtreformation gesiegelt. Auch veranlasste Schreier den Spitalbau zu St. Sebastian 1508—1516, welcher Hau ihm unsäglich viel Verdruss machte, seiner Beharrlichkeit gelang es aber dennoch alle Hindernisse zu besiegen, nichts konnte ein Werk nufhalten, aber ein andere* geistige* Ereignis* warf den starken Mann zu Boden, e* war das eben aufsteigende Reformation*-Gewitter, welches ihn mit banger Sorge um seine vielen und schönen Pflanzungen erfüllte, er sah in dieser unruhigen kunstzerstörenden Bewegung nur das Verderben seiner Vaterstadt. Diess brach ein treue* Herz; er starb am 22. Mai 1520 als der letzte seine edlen Geschlechts, und liegt aussen am St. Sebalds Chor in einem Prachtgrab gegenüber des Kathhauses begraben. Durch diese gedrängte Erzählung von Schreier's Leben und Wirken, von dem was er für seine Vaterstadt für Kunst und Wissenschaft und für die Menschheit überhaupt gethan, erfülle ich nur eine heilige Pflicht, die von den Schriftstellern seiner Zeit so sehr vernachlässigt worden ist, da seiner höchstens nur dann gedacht wurde, wenn einer gemeinnützigen Unternehmung erwähnt, Schreier nicht wohl dabei fehlen durfte, er hatte das Loos vieler grossen Menschen, die geräuschlos aber kräftig wirkten. Die Stiftungsakten Nürnbergs nennen ihn zwar rühmlich genug, und Arme, Kranke und Hülflose segneten seinen Namen, der Menge blieb er unbekannt, nicht einmal sein Porträt befindet sich in Nürnberg. In G. W. Panzers Nürnbergi- schem Porträt-Werk ist ein fabelhaftes Porträt von Schreier pag. 220 angeführt „Sebald Schreier, Stifter des Oelbergs St. Sebald? ohiit 1503?“. 4. Schwarzkunst. Verfertigt im Jahre 1746? aber äussert schlecht gezeichnet und geschabt. Ich muss es daher für einen Glücksfalt ansehen, Schreiers zuverlässiges Porträt auf Pergament gemalt zu besitzen, er hat es gewiss durch Hans Beuerlein malen lassen, dessen Manier und Haltung in diesem Bilde treu gegeben ist; es ist reich mit Gold docorirt. Die Veranlassung zur Auffindung dieses interessanten Stiftungsbildes, war die Entdeckung eines merkwürdigen Altars, in der Hauptkirche zum heiligen Kreuz in Schwäbisch Gmünd schon im Jahre 1800, als ich mich öfters bei meinem dort lebenden Onkel Major Müller aufhielt, war mir dieser herrliche Altar aufgefallen, so dass ich ihn zeichnete, und erst nach meiner spätem Bekanntschaft mit der Geschichte Nürnbergs wurde i ich mit der Stiftung dieses Altars bekannt, so dass ich im Jahre 1842 in Verbindung mit dem kunstsinnigen Geschichtsfreund,, Grafen Wilhelm von Würtemberg, die Sache genauer unter-, suchte, und bei dieser Gelegenheit das Bruchstück mit dem Ge- mälde Schreiers durch den Herrn Artillerie-Oberlieutenant vom Faber-Dufour, zum Geschenk erhielt. Dieses interessante Dop- pelporträt, welches ich von meinem Freunde Friedrich Wagnerr in der Grösse des Originals habe stechen lassen, ist auf Per- gament schön collorirt. Sebald Schreier ist mit einer schwär- zen Ehren-Schaube Kaths-Tappert bekleidet, welche zu seinerr Zeit gewöhnlich von gewässerten Schamlot und mit srhwarzem i S amrat verkrämt war; diese Schaube ist mit hellbraunem Pelz* gefüttert, selbst das Unterkleid ist schwarz, ebenso die Kopfbe- deckungHelmhaube, welche einNetz von sammtnen Schnürern und mit Gold-Brocat gefüttert ist, die Bekleidung seiner Frauu besteht aus einem faltenreichen schwarzen Mantel mit licht- blauen Atlas gefüttert, und eben die Futterfarbe hat auch dass Kleid, welches schwarz verbrämt ist; die obere Vcrbrämungg des Mantels aber ist ebenfalls lichtblau. Der Mantel ist mitit einem goldenen Knopf Agraffe befestigt, in den Händen hälllt sie einen scharlachrothen Rosenkranz mit goldenem Schilde. Dieie Kopfbedeckung Weihei und das Hals- und Brusttuch Wimpell ist weis*. Das Wappen Schreiers ist gelb und schwarz, undid das seiner Frau Silber und schwarz. F I »m llii 16 ►-*© jet de curiosité. Four quelques misérables florins on vend des livres de missel au poids à des brocanteurs juifs et autres, fournisseurs des batteurs d'or de Nuremberg et de Furth qui les découpent à des usages de leur métier. Moi-même je me suis convaincu que plusieurs objets d’antiquité ont été vilipendés du fait et du consentement de la commune et du pasteur, car ce qu’il y a de pis c’est que les églises protestantes qui possèdent de tels objets les vendent sous main, malgré la défense du gouvernement. Les moyens restreints d’un particulier ne lui permettant pas de s’y opposer efficacement ce serait au gouvernement d’y remédier, soit en achetant pour son compte ou de toute autre manière. Puissent toutes les sociétés d’antiquité faire des efforts pour faire cesser ce déplorable vandalisme. kauft und an die Goldschlager zu Nürnberg und Fürth abgelassen, welche diese herrlichen Bücher zerschneiden um das Gold zu schlagen. Eine grosse Anzahl solcher Blätter besitze ich selbst, aber der Zerstörung Schranken zu setzen, ist mir noch nicht möglich geworden, und wird mir auch nie möglich werden, nur die Regierung könnte hier — etwa durch Ankauf für ihre Rechnung — kräftig einschreiten, aber das grösste Uebel bleibt immer, dass die protestantischen Kirchen, welche ii ihren Bibliotheken noch solche Gegenstände besitzen, diese unter der Hand verkaufen, trotz dem Verbote der Regierung; ich selbst habe die Erfahrung gemacht, dass viele solche Alterthümer mit Willen und Wissen der Gemeinden und ihrer Pfarrer verkauft und verschleudert wurden. Möchten doch alle historischen und Alterthums-Vereine bemüht sein, dahin zu arbeiten, dass dieser so bedauerlichen Zerstörungswut! Einhalt geschieht, damit die noch übrigen Werke einer grossen Kunst-Vorzeit der Gegenwnrt wie der Nachwelt erhalten werden. il K- 0 livraison XV. Explication des Planches. Style byzantin. PI. 1. Fig. a. Entablement. Fig. b. Membre d’entablement. 11 sont tirés de la tour nommée „le Wendelstein“ de l’église de St. Jean à Gemund en Suabe. Ce superbe monument byzantin, d’une belle conservation est sans doute du temps des premiers Hohenstaufen. Il serait à souhaiter que cette très antique et remarquable tour fût deséinée en entier et qu’on en levât un plan architectonique. Après avoir soumis à nos abonnés ces fragments nous ne doutons point qu’ils ne soient déjà de notre avis sur le mérite considérable de cet édifice. La figure a , soit l’entablement supérieur est profilé très originellement de chiens gambadants et couronne merveilleusement bien l’octogone de la tour en encorbeillcment sur un cube. Les portes sont de même ornées de figures d’animaux, ce qui nous fait présumer que „la chapelle de la forêt“ dont il est fait mention dans l’histoire est identique avec cette église. Voir cahier V, planche 5, figure 6. c. d. Les décorations de ces membres rapellent involontairement le style égyptien, témoin les cntaillures et les bâtons runiques, subdivisés par des ornements prismatiques relevant si bien la totalité des préminences. Ce caractère se retrouve surtout dans la figure b, où dans les bâtons runiques il y a aussi des ornements entaillés prismatiquement. La transition du cube à l’octogone est amenée précisément par cet entablement; les huit angles sont ornés par des têtes de lion à deux corps. Nous aimerions pouvoir décrire toute la tour, mais sans le secours de représentations imaginaires nous deviendrions trop prolixes,'et nous nous bornerons à dire que cette église remarquable est de la même construction que l’église de St. Félagius à Rottweil et qu’elle est également une basilique, mais dont la voussure est supportée par des piliers et non pas par des colonnes. Ils sont d’une XV. Fünfzehntes Heft. Erklärung der Platten. Byzantinischer Styl. PI. 1. Fig. a. Dachgesimse und Eig. 6. Gesimseglieder des uralten und höchst interessanten Thurines, der Wendelstein in der St. Johanniskirehe in Schwäbisch Gmünd, ein herrliches byzantinisches Monument, welches gut erhalten auf uns gekommen ist, und das wir ganz gewiss den ersten Hohenstaufen zu verdanken haben. Dieser herrliche Thurm wäre werlh, dass er mit architektonischer Genauigkeit auf das vollständigste aufgenommen würde, und um diesen Wunsch zu rechtfertigen, habe ich diese Glieder mitgetheilt. Die Figur a. ist das oberste Dachgesims, originell profilirt und macht an und nebst dem achteckigen, aus einem Kubus berauswachsenden obern Theil des Thurms einen herrlichen Effekt. Originell sind auch die springenden Hunde, welche auf diesem Gesimse um den ganzen Thurm herum angebracht sind, und die sich wahrscheinlich auf eine in der Geschichte angegebene Waldkapelle beziehen, die vielleicht von den vielen an den Thüren angebrachten Thierfiguren ihren Namen erhielt. Siehe 5. Heft, Platte ä, Fig. 6, c. d. Die Ornamentik dieser Glieder erinnert unwillkührlich an den ägyptischen Styl, z. B. die Einschnitte um die Rundstücke, welche sich wieder durch prismatisch geformte Verzierungen theilen, wodurch die Freminenzien einen eigenthümlichen Charakter erhalten, besonders tritt dies bei Fig. 6. hervor, wo die Ornamente der Rundstäbe, ebenfalls prismatisch eingehauen sind ; dieses letztere Gesimse vermittelt den L’ebergang vom Viereck zum Achteck, und die acht Ecken sind mit Löwenköpfen verziert, welche zwei Körper haben. Ich hätte gewünscht, den Thurm zu beschreiben, aber ohne Abbildung müsste ich zu weit ausholcn, daher will ich mich nur noch ganz kurz über diese äusserst merkwürdige Kirche ausspreeben und bemerken, dass ich bei meiner erst kürzlich, im Monat Mai 1846_unternomme- nen Untersuchung derselben, ganz die nämliche Construction 18 ►-»Clw- belle conservation, quoique leurs moulures soient défigurées par les nombreuses couches de badigeonnage qu’on leur a appliquées dans la suite des siècles. Leurs chapiteaux sont assez intéressants et analogues à ceux de l’église de Rottweil, aussi datent-ils de la même époque. Voilà comme j’ai trouvé cette église à ma visite en Mai 1846. Quant à l’église de St. Péla- gius à Kottweil je la représenterai au cahier XVI. * 11 est prouvé par les dispositions intérieures de nos monuments sacrés que les plus anciens, surtout dans la haute-Suabe furent élevés sur les échantillons des basiliques, et qu’ils datent du 4. au 8. siècle. Tout en leur conservant le péristyle, de même que les niches des tribuns on ajoutait dans les bas-cétés d’autres niches plus petites, pour y placer les autels accessoires; quant au maître-autel ou le plaçait du côté des grandes niches. Voir „Leçons d’architecture sacrée par le docteur François Kugler.“ On regrette qu’aux 14 et 15 siècles, à l’occasion de l’agrandissement du choeur les niches aient été supprimées; c’est dommage aussi que. par les dimensions trop grandes des fenêtres, toute l’église ait beaucoup souffert. Fig. c. Entablement remarquable de la tour de l’église collégiale de St. Martin à Feuchtwangen. 11 est caractérisé par des ornements prismatiques comme ceux de St. Jean à Gemund. Il n’est pas moins ancien que ceux de cette dernière église. La construction de cette tour doit tomber dans 1 époque à laquelle de 1208 à 1214 le couvent fut transformé en église collégiale avec douze canonicats, dont le fondateur est sans doute l’empereur Otto IV, connu pour avoir pris cette église sous sa protection particulière. Fig. d. Entablement remarquable, par nous trouvé en 1845 à Saatfeld aux massifs du ci-devant hôtel-de-ville, maintenant transformé en pharmacie. Cet édifice est dépouillé de tous ses entablements à l’exception d'un membre de refend en partie caché sous le mur de la maison voisine. Vu son défaut de conservation il nous a coûté des peines d’en débrouiller les formes et les ornements telles que notre planche les fait voir. Ces quatre représentations prouvent que les entablements d alors ne saillaient pas considérablement. A cette occasion nous remarquerons que l'architecte Popp a donné a l’entablement restauré ou plutôt renouvelé du côté occidentale de la Métropolitaine de Bamberg le profil sterile et le style trop moderne, ce qui nuit au caractère du choeur et à l’effet général. - i il gefunden habe, wie solche in der St. Pelagiuskirche in der Altstadt zu Rottweil vorkommt, dass sie ebenfalls eine Basilika ist und zwar statt Säulen, Pfeiler wie die genannte Kirche hat, welche noch gut erhalten, freilich mit einer Gypskruste überzogen sind, aber übrigens interessant verzierte Gesimse tragen, welche wieder mehr oder weniger Aehnlichkeit mit denen in der St. Pelagiuskirche haben, wie sie auch wahrscheinlich aus einer und derselben Zeit herstammen. Diese letztgenannte Kirche werde ich im 16. Heft vorführen. Dass die ältesten christlichen Kirchen Deutschlands und insbesondere Oberschwabens im 4. und 8. Jahrhundert, nach dem Muster der Basiliken erbaut wurden, spricht sich durch die innere Einrichtung aas. Man behielt nämlich die Säulen- gängc und auch die Nischen des Tribunales bei, aber für den kirchlichen Gebrauch wurden in den Abseiten kleinere Nischen angebracht, um die Nebenaltäre hineinstellen zu können ; die grossen aber wurden für den Hochaltar benützt; — siehe Dr. Franz Kuglers Vorlesung über das System des Kirchenbaues. Schade, dass in der St. Johanniskirche im 14. und 15. Jahrhundert durch Vergrösscrung des Chores, die Nischen weggefallen sind, und dass durch grössere Fenster im altdeutschen Styl, die ganze Kirche sehr gelitten hat. Fig. c. Merkwürdiges Gesimse an dem Thurme der St. Martins- oder Stiftskirche zu Feuchtwangen, welches gewiss an Alter den vorbeschriebenen Gesimsen der St. Johanniskirche zu Schwäbisch-Gmünd nicht nachsteht, und gleich jenen durch prismatische Verzierungen charakterisirt ist. Die Erbauung des Thurmes fällt gewiss in die Zeit, wo das Kloster in den Jahren 1208 bis 1214 in ein Collegiatstift verwandelt und auf zwölf Canonicate eingerichtet worden; der Stifter ist wahrscheinlich Kaiser Otto IV., der diese Kirche in seinen besondern Schutz und Schirm nahm. Fig. d. Geschmackvolles Gesimse von mir im Jahre 1845 an dem alten, im byzantinischen Style erbauten, vormaligen Ratlihaus, nun Apotheke in Saalfeld aufgefunden. Dieses Gebäude ist aller seiner Dachgesimse beraubt, und nur ein kleines Eckglied, das in ein Nachbarshaus eingemauert ist, hat sich so weit erhalten, dass ich, obwohl mit vieler Mühe, im Stande war, seine Formen und Verzierungen herauszufinden und zu geben, wie in bezeichneter Figur zu sehen ist. Das Ganze liefert den Beweis, dass die Dachgesimse dieses Styls keine bedeutenden Ausladungen haben, was man auch an den vortrefflich erhaltenen Gesimsen der Domkirche zu Ellwangen und an den drei andern hier vorgeführten sehen kann. Das restaurirte oder vielmehr neuhergestelltc Gesimse der westlichen Seite der Domkirclie zu Bamberg wurde vom Architekten Popp zu plump im Profil und zu modern im Styl gehalten, der westliche Chor hat dadurch an Charakter verloren und der Eindruck des Ganzen leidet darunter. 19 PI. 2. Fig. a. b. c. d. Frises du susdit hôtel de ville, maintenant pharmacie à Saalfeld. Nul doulc que cet intéressant édifice byzantin n’appartienne aux coustructions les plus anciennes de cette ville. Sa transformation en laboratoire est un acte déplorable d'autant plus qu’elle a été exécutée de manière à en détruire entièrement le type ; les grandes fenêtres cintrées ont été murées et la pharmacie reçoit son jour par d’autres fenêtres percées dans le massif. Ces belles frises couronnent le premier étage, elles sont malheureusement si dégradées par le ver rongeur du temps que nous eûmes bien de la peine à les déchiffrer. 11 y a du plaisir pour l'artiste et l'archéologue de rencontrer quelques- uns de ces monuments de plus en plus rares, cachés sous des extérieurs modèrnes, derrière des maisons de particulier. Au reste Saalfeld possède plusieurs de ces monuments antiques, qui sous les auspices de son auguste souverain, le duc Bernhard de Saxe- Meiningen sont et seront l'objet d’une attention particulière; déjà sur son ordre on a restauré les vitraux peints de l’église métropolitaine, lesquels avaient été totalement abimés, les soins de ce prince s’étendent avec la même sollicitude sur tous les autres monuments de l’art de son pays. PI. 3. Superbe casque d’une haute antiquité, qu’on conserve au vieux château de Cobourg dans la salle des armes, restaurée par le feu duc Erneste de Saxe-Cobourg- Gotha. Il est du 13. siècle et faisait partie du cabinet d’objets d’arts de la ligne Ernestine, lequel provenait de la succession de l’électeur Frédéric en 1559. Cette collection fut fondée sur le vieux château de Cobourg par George, landgrave de Thuringue, margrave de Misnie, le plus jeune frère du prince-électeur Frédéric 1, nommé le vaillant. Cet électeur mourut en 1428, peu de temps après la bataille d’Aussig, que son parti perdit contre les llussites et qui fut si meurtrière qu’elle lui coûta la majeure partie de ses sujets. En souvenir de ce malheur il fit graver sur une des portes de son château de Cobourg les initiales d’une exhortation remarquable faite à ses enfants et dont voici les termes, d’après le baron Repert „Mais surtout veillez au maintien de la pax générale „et ne prenez jamais les armes qu’à la dernière nécessité. Je vous enjoins de maintenir la concorde chez „vous, de juger avec indulgence les actions des autres „et de vous pardonner réciproquement.“ En 1816 et 1817 l’auteur trouva dans les pièces voûtées du PI. 2. Fig. a. b. c. d. Frisen an dem ehemaligen Rathhaus byzantinischen Styls, nun Apotheke zu Saatfeld. Dieses interessante Gebäude ist unstreitig das älteste und beachtensvvertheste Bauwerk daselbst, leider ist es zum jetzigen Gebrauch verur- theilt und auf eine Art eingerichtet, wodurch sein ursprünglicher Typus fast ganz vernichtet ist; die grossen Bogenfenster wurden zugemauert, und andere eingclinuen, aber glücklicher Weise erkennt man noch deutlich die frühere Form. Die Friesen begränzen die Abtheilung zum ersten Stock, und sind leider so sehr verwittert, dass ich nur mit Mühe diese schönen Ornamente erkennen und zusammenstellen konnte. Es ist für den Künstler und Geschichtsfreund ein wahrer Genuss, solche immer seltner werdende Privat-Gebäudc zu sehen; übrigens ist Saalfeld noch immer reich an Denkmälern des Alterthums und unter der Aegide seines hoch und kunstsinnigen Fürsten Sr. Hoheit des Herzogs Bernhard von Saclisen-Meiningcn werden nun die geschichtlichen alten Denkmale besonders ins Auge gefasst; so wurden auf höchste Verfügung die zerstörten Glasgcinälde der Haupt- und Pfarrkirche wieder hergestellt und dicSorgfuItSr. Hoheit umfasst alle Kunst-Denkmale seines Landes mit gleicher Aufmerksamkeit. PI. 3. ln dem von dem vortrefflichen und kunstfreundlichen, nun hochseligen Herzog Ernst von Sachen-Coburg - Gotha neu her- gestellten Waffensaal auf der Veste Coburg befindet sich einer der ältesten und schönsten Helme, er ist bestimmt aus dem 13. Jahrhundert, und stammt aus der Kunstkammer des Erne- stinischen Hauses her, welche aus der Vcrlasscnschaft des Kurfürsten Johann Friedrich 1559 herkommt; ursprünglich wurde diese Waffensammlung von den Landgrafen von Thüringen, Markgrafen zu Meissen, Georg jüngsten Bruder des Kurfürsten Friedrichs I. genannt der Streitbare, auf der Veste Kobtirg angelegt. Kurfürst Friedrich 1, der bei Aussig die Schlacht gegen die Hus8iten verloren hatte, die ihm den grössten Theil seiner Landeskinder kostete, starb bald darauf im Jahre 1428. Er Hess auf eine Thüre einer neu hergestellten Burg Coburg die Anfangsbuchstaben einer denkwürdigen Vermahnung an seine Kinder einhauen, welche nach Baron von Repert also lautet „Lasset diess Eure erste Sorge sein, dass Ihr das „Vaterland bei Frieden erhaltet, zu den Waffen grei- „fet nicht eher, als wenn es die höchste Kolli erfordert. Ich vermahne Euch ernstlich, dass Ihr sollt „einträchtig sein, und Einer dem andern nachgeben „und vergeben.“ Im Jahre 1816 und 1817 fand ich in den Gewölben des aus- 3 * ty 20 château extérieur, transformé depuis 1782 en maison de force les plus belles armures pour hommes et pour destrier, mais presque mangées par la rouille, gissant sur le sol humide, abandonnées à la destruction. On les avait jetées dans ce recoin et condamnées à l'oubli. Mais en 1830 il attira sur ces pièces l’attention du duc. Appréciant aussitôt leur importance ce prince le chargea de dresser un plan pour la restauration et le placement convenable de ces anciennes armures et de proposer des hommes entendus dans ces sortes d’objets. En 1838 l’ordre nous vint d’envoyer à Cobourg le personnel que nous aurions choisi et de lui faire mettre la main à l’oeuvre sous la direction d’un de nos élèves, l’architecte Charles Goergel. A mon grand regret mort en 1846. Nous lui adjoignimes les peintres George Eberlein et George Rotlibart et l’armurier Distelbart, qui se réunirent aux artistes les plus distingués de Cobourg, parmi lesquels l’excellent peintre, professeur Schneider s’est surtout distingué. Moi-meme j’ai fourni plus de trente dessins pour la restauration et l’embellissement de cette importante construction. Les travaux furent poussés avec ardeur et bientôt ce siège princier devint le séjour favori du feu duc. C’est surtout la Salle des Chevaliers, nommée la Salle des Ours qui compte parmi les plus belles de son genre. Après la mort du duc les vues et les goûts n'ayant plus été les mêmes le château et la salle des armes tombèrent en oubli. Dans ces conjonctures fâcheuses nous désespérons de l’extension ultérieure de cette construction. — Le casque de notre planche est d’une parfaite conservation, serré qu’il était, ainsi que plusieurs autres armures dans le grenier bien sec de l’hôtel-de-ville; c’est que probablement il servait dans descortèges de la bourgeoisie, laquelle l’aura emprunté à cet effet de la collection d’armes du vieux château. Les formes sont remarquables et le bleu dont il est bronzé ressort encore très bien. Dans la célèbre collection d’armures de la ,,Nouvelle Bâtisse“ de Stuttgart consumée depuis par le feu se conservaient quelques casques assez semblables. Je possède plusieurs dessins de ces pièces d’armures, lesquels je tiens de feu M. D’Argent , graveur de la cour, fils de M. D’Argent, inspecteur de l’arsenal et armurier. Ces dessins seront publiés prochainement dans la „Art-Union,“ journal mensuel, paraissant à Londres. Style gothique. PI. 4. Fig. a. Cuve baptismale de l’église principale de la ci-de- vant ville libre de Wissembourg. seren Schlosses, wo jetzt leider das Zuchthaus ist, die schönsten Harnische für Ross und Mann, fast verrostet auf dem feuchten Boden liegend ; ohne alle Aufsicht waren sie hier der Zerstörung preisgegeben, und bei der Umwandlung der Lokalität zu einem Zuchthaus 1782 in diesen unpassenden Winkel der Vergessenheit übergeben. Im Jahre 1830 machte ich den hocli- seligen Herzog darauf aufmerksam, welcher den Gegenstand so lebhaft auffasste, dass er mir den Auftrag 'gab, einen Plan über die Herstellung dieser alten Rüstungen sowohl als über ihre zweckgemässe Aufstellung einzureichen und taugliche Subjecte für die hiezu nöthigen Arbeiten vorzuschlagen. Im Jahre 1838 erhielt ich nun die bestimmte Aufforderung meine Leute abzusenden, und sie unter der Leitung einer meiner Schüler, des Architectcn Carl Goergcl, der im Jahre 1846 leider starb, die Arbeiten beginnen zu lassen. Von mir kamen nun der Maler Georg Eberlein, der Maler Georg Rothbart und der Harnisch- Schmid und Plattner Distelbarth, alle aus Nürnberg, welche mit den ausgezeichnetsten Künstlern Coburgs, unter denen der treffliche Maler Profesoor Heinrich Schneider ausgezeichnetes leistete, sich vereinigten. Die Arbeiten gingen rasch von statten; ich selbst habe an 30 Blätter zur Herstellung und Verschönerung dieses wichtigen Baues entworfen, besonders dürfte der Rittersaal „Bärensaal“ genannt, unter die schönsten seiner Art gezählt werden. Bald wurde diese Fürstenburg ein Lieblings- Aufenthalt des hochseligen Herzogs; nach seinem Tode sind nun freilich andere Ansichten eingetreten, und Burg und Waffensaal stehen so ziemlich verwaist da. An eine weitere Fortsetzung dieses — auch für die Kunstwelt so wichtigen Burg- Baues ist unter solchen Aussichten kaum mehr zn denken. Der oben angeführte Helm ist im besten Zustande und verdankt die Erhaltung dem Umstand, dass er mit mehreren alten Waffen auf dem trockenen Dachboden des Rathhauses aufbewahrt wurde, wahrscheinlich diente er bei Bürgeraufzügen, wozu er früher aus der Waffensammlung der Burg entlehnt wurde; seine Form ist interessant und man sieht noch deutlich, dass er blau angelaufen. Ein Paar ähnliche Helme waren in der berühmten Harnisch- Sammlung, auch Harnischhaus genannt, des nun abgebrannten neuen Baues zu Stuttgart. Ich besitze von den Waffenstücken mehrere Zeichnungen, welche ich von dem in Stuttgart verstorbenen Hofkupferstecher D’argent, Sohn des Rüstkammeraufsehers und Plattners D’argent erhalten habe, und welche nächstens in dem Art-Union-Journal, welches monatlich in London herauskommt, erscheinen werden. AltdeutHclier gotlilsclier Styl. PI. 4. Fig. a. Taufstein aus der Haupt-Kirche der ehemaligen Reichsstadt Weissenburg. Dee- 21 ' •»M Fig. b. Cave baptismale de l'église de Munnerstadt snr la Laaer en Bavière. Je la dois à un de mes anciens élèves, l’architecte Ottmar Cramer de Nuremberg. Ces deux cuves sont sculptées en grès. Celle de Munnerstadt a été fondée par le comte Guillaume III de Henneberg. Quoique les beautés des anciennes églises et chapelles soient effacées en plus grande partie, l’archéologue trouvera encore ça et là de quoi s’émerveiller. Tous ces vestiges de l’église de Munnerstadt portent à croire que c’était anciennement une petite ville bien opulente. Il existe encore dans le dicton du peuple des vers burlesques sur ce district. Les voici Fig. b. Dergleichen aus dem Städtchen Munnerstadt an der Lauer in Bayern, mitgetheilt von einem meiner ehemaligen Schüler, dem Architecten Ottmar Cramer aus Nürnberg. — Beide sind aus feinemStein gearbeitet; der letztere ist von dem Grafen Wilhelm III. von Henneberg gestiftet. Die Schönheiten der alten Kirchen und Kapellen sind freilich grösstentheils verschwunden, dennoch wird der Alterthumsfreund noch manches Merkwürdige finden; alle diese Ueberbleibsel sprechen dafür, dass Munnerstadt einst sehr wohlhabend war. Es ist noch ein characteristischer Knittelvers über die sieben Rhönstädtchen im Munde des dortigen Volkes vorhanden , folgenden Inhalts Munnerstadt a l’opulence , Mellerstadt les guérets, Fladungen les forêts, Neustadt a l’arrogance, Koenigshofen le beurre fondu, Bischofsheim le travail assidu, Kissingue la saline Du cercle rhoenan voilà la mine. „Mellerstadt hat’s Feld, „Münnerstadt hat’s Geld, „Fladungen hat’s Holz, „Neustadt hat’n Stolz, „Kissingen hat’s Salz, „Königshofen hat’s Schmalz, „Bischofsheim hat’n Fieiss. „So hast’n Khönerkreis.“ PI. 5. Suite des portes de la chambre des empereurs de la maison Scheurl à Nuremberg. Voir cahier XII, planche VII et cahier XIII, planche VI. Diversifiées dans leur formes toutes les trois, elles sont l’une plus simple, les autres plus riches. PI. 6 et 7. Plans de la face principale et de la face latérale d’une très remarquable table du 15 siècle. C’est M. Goess, antiquaire à Nuremberg qui en fit l’acquisition du ci-devant couvent des Bénédictins à Weissenohe de la Haute-Franconie. D’après la tradition le grand-bailli de Cadolzbourg, chevalier de Hessberg l’an rait donnée à ce couvent. Déjà je comptais l’acquérir pour de château fort de Cobourg; quand la survenue de la mort de son restaurateur, le duc Erneste traversa mon entreprise. Depuis se superbe meuble fut vendu à un antiquaire de Ratisbonne sans que j’en eusse rien su. Il s’ouvre du côté de l’ais et il est pourvu de tiroirs secrets et d’autres compartiments. L’extérieur est orné de superbes sculptures et de placage. PI. 5. Als Fortsetzung. Thüre des Kaiserzimmers im von Scheurischen Hause zuNürnberg; siehe Platte VII und XIII. Heft, Platte VI meiner Ornamentik. Alle drei Thüren sind verschieden, die eine einfacher, die andre reicher. PI. 6 und 7. Ein Üu8ser8t interessanter Tisch mit Seiten - und Längenansicht aus dem 15. Jahrhundert. Er wurde von dem Conditor und Alterthumshändler Goes von Nürnberg aus dem ehemaligen Benedictinerkloster Weissenohe in Oberfranken gekauft und soll schon im Jahre 1508 von dem Oberamtmann von CadotzburgRit- er von Hessberg dahin verehrt worden sein. Ich wollte diesen Tisch für die, im mittelalterlichen Styl hergestellte Veste Coburg ankaufen, aber der Tod ihres Wiederherstellers des Herzogs Ernst vereitelte mein Bestreben und nun wurde dieses Prachtstück — ohne mein Wissen an einen Kunsthändler in Regensburg verkauft. Dieser Tisch war zum Aufmachen vermittelst der Tischplatte eingerichtet und innen mit verborgenen Schubladen und andern Fächern versehen, aussen aber mit herrlichem Schnitzwerk und eingelegter Arbeit verziert. PI. 8. PI. 8. I Nous ne donnons ici qu’un fragment du superbe Maitre Autel de St. Jean au couvent de Blaubeurcn, sculpté par George Surlein. Quant à l’autel en entier pour mettre au grand jour toute sa magnificence nous en avons publié une représentation dans un ouvrage supplémentaire en grand format. Mais notre Fragment von dem herrlichen Johannis - Altar im Kloster Blaubcuren von Georg Syrlein. Den Altar selbst habe ich als Supplement in grossem Format stechen lassen, um die ganze Glorie desselben vor Augen zu stellen. Gegenwärtiges Fragment gehört zum Baldachin über der Mutter Gottes mit dem •MX* 22 *>♦- fragment fait partie dn baldaquin an dessus de Ste. M. avec l’enfant Jésus. Ce baldaquin est tout doré, le* caanelnrei an aznr. Noua n’y avens pu produire les ornements dans leur plus grand détail, mais pour y remédier nous ferons suivre dans nn des cahiers prochains la représentation d'un autre membre de cet antel. L’une et l'autre ont été dessinées par le frère de l’auteur de l’ornemcntique, M. Manfred HeidelolT, professeur à l’école départementale des métiers à Nuremberg. La représentation de l’autel entier dont il a fourni de même le dessin a excité le plus grand intérêt Sa Majesté le roi de Bavière a daigné écrire à oe sujet à l’auteur le billet suivant Monsieur le conservateur Heideloff, „J'ai reçu votre lettre du 26 avril dr. par laquelle vous „me soumettez un exemplaire de votre feuille „le Maître- ,,Autel de Blaubcurcn.“ J’y reconnais avec plaisir une „nouvelle preuve du talent de votre main artiste. En „outre j’applaudis aux soins que vous employez à „la recherche et à la reproduction des antiques monuments architectoniques et artistiques à l’effet de „les conserver à la postérité. Recevez mes remerci- „ments de l’envoi de votre feuille et lu nouvelle assurance des dispositions gràciruses avec lesquelles je suis votre affectionné signé Louis.“ L’éditeur a dédié cette superbe feuille au prince royal de Württemberg, connu pour son profond sentiment de l’art et ses connaissances historiques. L’auteur a pris la liberté d’adresser à ce prince un exemplaire sur parchemin richement décoré en or, ayant duus son pourtour toutes les armoiries de tous les couvens et abbayes de Württemberg. La brochure soit le texte explicatif qu’on publie avec cette gravure a pour titre „le uiaitre-autel de Blaubcuren en Württemberg, sculpté en bois par George Surlcin en 1496, les peintures par Martin Schaffner et B. Zeitblom, taille-douce, gravée sons la direction de Charles Heideloff par F. Wagner et Ph. Walther d'après les dessins de Ms. Charles et Manfred Heideloff. Hauteur 26 pouces sur 16 de largeur. Nuremberg 1846, chez Conrad Geiger. L’auteur a recueilli à Ansbach dans une chapelle de l’église abbatiale de Saint-Gumbertus, dite la chapelle des chevaliers un autel non moins remarquable celui de l’ancien orde du Cigne. Le 24 mai 1846, au château de Sans-Souci, l’honneur lui a été réservé de faire hommage à Sa Majesté le roi de Prusse d’une peinture de cet autel, qu’il exécuta sur parchemin sur fond d’or. Kinde, und ist ganz vergoldet mit azurblauen Hohlkehlen. Die Kleinheit der Ornamente an dem dargestellten Bilde des Altais hat diess nicht genug hervortreten lassen, desswegen werde ich in den felgenden Heften noch eines der vorzüglichsten Ornamente anführen, welche mein Bruder Manfred Heideloff, Lehrer an der k. Kreis-Gewcrbsschule zu Nürnberg gezeichnet hat, von dem auch das hier beigegebene ist. Der von ihm gezeichnete Altar hat grosses Interesse erregt und Seine Majestät der König von Bayern hat desshalb unterm 8. May 1846 folgendes Schreiben, datirt München an mich erlassen Herr Conservator Heideloff! „Ich habe das Schreiben vom 26. April erhalten, mit „welchem Sie mir ein Exemplar Ihres Blattes „den „Hochaltar zu Blaubeuren“ darstellend, unterlegten. „Mit Vergnügen erkenne ich darin Ihre gewandte „Künstlcrhand, und lobe überhaupt Ihr Bestreben, alte „Kunst- und Baudenkmale wieder au das Licht zu brin- „gen und der Nachwelt zu erhalten. Mit meinem Dank „für die Mittheilung erneuere ich die \ ersicherung gnä- „diger Gesinnungen, womit ich hin Ihr wohlgcwogencr König Ludwig. Dieses herrliche Werk hat der Verleger dem geschichtskundigen uud kunstsinnigen Kronprinzen von Württemberg gewidmet, für den ich auch noch besonders auf Pergament, ein, reich mit Gold gemaltes, Exemplar ausführte, das der Verleger Seiner Königl. Hoheit dem Kronprinzen von Württemberg verehrte in diesem Prachtexemplar sind die Wappen aller an Alter- thüinern so interessanten Klöster und Stifter Württembergs angebracht. Diesem herrlichen Stich ist ein Commentar beigegeben, welcher lautet „Der Hochaltar zuBIaubeuren in Württemberg, in Holz geschnitzt Ao. 1496 von Georg Syriern, gemalt von Martin Schaffner und B. Zeitblom aus L’lm. — Gezeichnet von Carl und Manfred Heideloff, in Kupfer gestochen von Fr. Wagner und Ph. Walther. Höhe des Stichs 26 Zoll. Breite 16 Zoll, mitgetheilt von Herrn Ephorus Dr. Reuss in Blaubeurcn, Von Carl Heideloff. — Nürnberg; Verlag von Conrad Geiger 1846. Ein eben so merkw ürdiger Altar ist der von mir aufgefundene Schwanenorden-Altar, in der ehemaligen Hitterkapelle des St. Gumpertus - Stifts zu Ansbach, welchen ich für Seine Majestät den König von Preussen mit Gold auf Pergament reich ausgeführt habe, und den ich am 24. May 1846 in dem Lustschlosse Sanssouci Seiner Majestät zu überreichen die Ehre hatte. Sixième Cailler. Explication des planches. Sechzehntes lieft. Erklärung der P 1 a 11 e n. Style gothique Allemand. Planche I. Fijr. a Représente lin rare et très intéressant fleuron en pierre, qui se trouve sur la pointe du monument piramidal de la fontaine, située sur la place du Marché de la ville de Rot- tenburg sur le Neckcr. Cette vieille ville était autrefois chef lieu du Coi'uté de Hohenburg, et le siège de l’évègue, Wurtem- bergeois de* Rottenburg. Mon ancien éléve, l'architecte Georges Eberlein, est celui qui m'a fait connaître cet intéressant fragment d'architecture. Ce monument, couvert d'ornemens riches et compliqués, tirés des diverses lignes du triangle, se termine en exagone au dessus duquel së lève le fleuron partagé en trois parties et formant un cercle. Voyez la figure 6. qui endique l'entablement d'où sort le fleuron. Ce fleuron est taillé d'une seule pierre et a près de 3 pieds de diamètre. Fig. c. représente le profil de l'entablement sous le fleuron. Ce beau monument, quoique exposé aux éntempéries de l'air, est cependant bien consèrvé, et Eberlein l'a dessiné avec goût et exactitude dans de grandes dimensions — Je l'ai engagé à le faire parraitre del qu'il l'avait dessiné, afin de donner par là une idée de la diversité inépuisable de l'architecture allemande. — — - - Deutscher gothiseher Styl. Platte I. Figur a äusserst seltene und interessant gebildete Blume von Stein, welche auf der Spitze des pyramidalischen Brunnen- Monuments auf dem Marktplatz der alten Stadt Rottenburg am Neckar, dem Hauptort der ehemaligen Grafschaft Hohenburg, und Sitz des vvürttembergischen Bischofs von Rottenburg sich befindet, — mitgethcilt von meinem ehemaligen Schüler, dem Architekt Georg Eberlein. Das Monument ist mit sehr reicher und complizirter ornamentaler Gliederung, aus dem Dreieck construirt, und der Schluss geht in ein Sechseck aus, wie es der Grundriss des Schluss-Gesimses der Vialc Fi g b. augiebt, aus dem die Blume herauswächst, welche drei Hauptpartieen und zugleich einen Kreis bildet. Diese Blume ist beinahe drei Fufs im Durchmesser, und aus einem Stein gehauen; Fig. c. ist das Profil des Schluss-Gesimses und der Viale unter der Blume; obgleich den Einflüssen der Witterung ausgesetzt, ist sie doch noch vortrefflich erhalten. Eberleiu hat dieses wahrhaft schöne Monument in grossen Dimensionen wie ich es selbst gesehen auf das Genaueste ausgeführt, und das Ganze mit Geist und Geschmack behandelt; ich habe ihn aufgefordert, dasselbe in der von ihm gezeichneten Grösse herauszugeben, was um so mehr zu wünschen wäre, weil dadurch ein ausreichender Begriff von den unerschöpflichen Variationen des deutschen Baustyls zu erhalten wäre. Eberlein hat — zu meiner Freude — von dem Stadt-Magistrat den ehrenvollen Auftrag erhalten, dieses Monument zu restauriren, wodurch der alten nun Bischoffs-Stadt eine wirklich künstlerische Sehenswürdigkeit erhalten, so wie sie dadurch um 4 I ein historisches Denkmal reicher würde; der mit dem altdeut- ? ... 4 sehen Style vertraute Bildhauer Machold, den ich in meiner Oma- ^ - —-— bd Qi XVI. • 2 jii-i»*.-*-*- , Ebcrlein a été chargé par la municipalité, de l'a répara- ! tion de ce monument, dant la partie technique sera exécutée par le sculpteur Mac hold dant j'ai souvent eu l'occasion de parler. — De cette manière la ville de Rottenburg s'enrichira d'un monument historique, tout en conservant se précieux morceau d’architecture bâti en 1463 on en 1479 par la noble et spirituelle femme de l’Archiduc Albert VI. d'Austrichc, fière de l’empereur Friederic 111. — Cette Princesse avait épousé eupremières nocet le Comte Eberhard de Wurtemberg, et fut la mère de l'excellent Duc de Wuitcmberg Eberhard le Barbu. A la base du triangle se trouvent les statues hautes de 5 pieds del empereur Friederic III., de l'Archiduc Albert, surnommé le dissipateur, et de l'Archiduc Louis. — Au dessus on voit une statue de la Vierge, un St. Martius, patron de la Cathéde- rale de la ville, et un St. Georges, puis tout au sommet un Christ ecce homo, une Vierge comme Mater dolorosa, et enfin un St. Jean. Malheureusement le support d'une plaque commémorative a été gâté, sous prétexte de le reparer, et la détestable Statue de St. Florian ainsi que d'antres choses qui lui ont été substituée, font beaucoup perdre duprix historique de ccmouutnens. Au moment où j'allais terminer cet article, je reçois une lettre de Stutt- gardt qui m'apreud que le dessin de cette fontaine, si digne de figurer parmi les batimens les plus originaux du moyen âge est achevé, ensortc que je, vois m’occuper à le faire lithographier. Les Figures d. et e. représentent des consoles du St. Sépulcre, dans l’église de Notre Dame à Reutlingen. Elle sont adossies à un pilier, et se font remarquer par leurs sculptures, dont la fermeté et le tiné d'exécution est admirable. Ce beau monument, appartenant au 15*" sicéle, est du même maître que le baptistère qui se voit dans la même église, et dant la planche VII. du 3"* Cahier, portant la date 1449, donne la représentation. L’ange vis à vis des consoles tient l'écusson au trois couleurs de la ville de Reutlingen, et c'est à l'inspecteur des batimens, M. Rupp, qu'on doit la restauration de cette belle église de Notre Dame, ainsi que plusieurs autres monumeus intéressons du moyen âge. Fig. f. représente les consoles luttérales d'un caveau qui se trouve dans la chapelle, maintenant en ruines, du château de Waldburg. — Ce chateau, remarquable parle rôle qu'il a joué dans l'Iris- » toire, appartenait aux anciens Comtes de Zimmern Antiana Cim- mentik ein paarmal angeführt habe, wird das Technische dieser Restauration ausführen. Dieses wichtige Denkmal verdankt seine Entstehung der hochsinnigcii und geistreichen Gemahlin Erzherzogs Albrecht VI. von Oesterreich, Bruder Kaiser Friedrich III.; sie war die Wittwe des Grafen Eberhard des älteren von Württemberg, und Mutter des ersten vortrefflichen Herzogs von Württemberg Eberhard im Barte sic liess dieses Monument in den Jahren 1463 oder 1470 erbauen. Am Fusse des Dreiecks stehen die fünf Fuss hohen Standbilder des Kaiser Friedrich 111., Erzherzog Albrecht, des Verschwenders, und Erzherzog Ludwigs; hoher stehen die Standbilder der Mutter Gottes, St. Martius, Patron der nunmehrigen bischüfflichen Domkirche, und Ritter St. Georg; am Schlüsse, Christus als eccc homo, St. Maria als mater dolorosa und St. Johannes. Schade, dass ein Schildhalter mit einer Schrifttafel von einein Steinmetzen restaurirt, und das Meiste verdorben wurde, wodurch das genau Geschichtliche verloren gegangen ist; dieser Barbar stellte dafür den St. Florian, eine auffallend schlechte Figur, nebst noch verschiedenen unpassenden Anhängseln hin; — in dem Augenblick, als ich den Gegenstand schlossen wollte, schreibt mir Ebcrlein von Stuttgart, die ausgefiilirte Zeichnung des Marktbrunnens für Rottenburg sei nun fertig, colorirt, abgegeben und mache den erwünschten Effekt; es ist auch wirklich ein Original-Bauwerk, das sich an die prachtvollsten des Mittelalters reihen darf; für den Augenblick beschäftige ich den Lithographen, um dieses Werk, und zwar in Farbendruck, herauszugeben. Fig. d. und e Consolen vom heiligen Grabe in der Marienkirche zu Reutlingen, ebenfalls von Eberlein gezeichnet, sie stehen an einem Pfeiler, die Sculpturen sind von bewunderungswürdiger Ausführung, höchst geschmackvoll, durch Schärfe und Kraft ausgezeichnet, und gehören dem 15ten Jahrhundert an. Dieses herrliche Monument ist von dem Meister, der den Taufstein derselben Kirche verfertigte siehe III. Heft Platte VII. mit Jahrzahl 1499. Der Engel gegenüber hält den dreifarbigen Schild der Stadt Reutlingen, die in meinem hochverehrten Freund, den, für die Erhaltung und Wiederherstellung mittelalterlicher Baudenkmale eifrigst bemühten Bau - lnspector Rupp, den Wicdcrhersteller dieser herrlichen Marienkirche und anderer Denkmale, einen tüchtigen Mann aufzuweisen, und viel zu verdanken hat. Fig- 0 ist die Rippen- Console eines Kreuz-Gewölbes der nun ruinirten Burg-Kapelle, der ehemaligen, in geschichtlicher Beziehung merkwürdigen Waldburg der allen Grafen von Zimmern Antiana Cimbria, das später »Herren - Zimmern'' hiess, weil hier die nachmaligen Freiherren und Grafen von Zimmern ihren Hof hielten es liegt nicht weit von Rottwcil im Schwarzwalde ; ich könnte über diese äusserst romantisch gelegene i - -1 - 4 -* - bria, appelés plus tard messieurs Zimmern qtii y tenneent leur cour. Il est situe prés de Rottweil dans la foret moire, dans la position la plus romantique du monde, et je pourrais dire encore L bien des choses intéressantes sur ce château, si l'histoire des ' Comtes de Zimmern, écrite par mon ami, le recteur Henry Ruck- "eher de Rottweil, n'avait pas déjà donné sur ce sujet, tous les ji détails qu'on peut désirer. — Ce château, encore en très bon état il y peu d'années, devint la propriété de la commune, qui n’estimant aucunement ce monument historique, le vendit pour la valeur des pierres a un- prix fort minime. Un architecte de Rottweil, qui aurait facilement pu empêcher ce vandalisme, le laissa accomplir afin d'avoir l'occasion de se procurer quelques antiquités dont il avait envie. — La conservation des ruines qu’on voit encore, est due à la société d'antiquité de Stuttgardt; cependant les murailles nues, les escaliers et portes sans toit, dans lesquelles on devine en- ! cote la grandeur passée, finissent aussi par se détruire comme cela arrive dans tous les batimens abandonnés. Kberlein m'écrit, que le châtelain de ce vieux manoir, qui il y a 30 on 40 ans, le faisait voir aux étrangers, a survécu A toute cette dévastation ainsi qu'à la douleur quelle doit lui avoir causée. Fig. y. Représente le dosier des stalles du Choeur de jj l’église de Wilmadingen, située dans l'Alb Wurtembcrgcoise, et j prés du château de Lichtenstein que j'ai rebâti qour le Duc Wil- j hem de Wurtemberg. — Les ornemens de ces dosiers ne sont guères entaillés qu'à 3 lignes de profondeur; le fond est peint en noir, les armoiries sont coloriées, et on reconnaît encore facilement celles d’Uraeh, de Wurtemberg, de Tübingen, de Sulz, d'Autriche et de Klett- îfau. — Cette église, quoique privée défont ornement présente cependant, comme la plus part des anciennes églises, quelques beautés d'architecture. — Les armoiries ci jointes, sont entaillées dans une des stalles, et il est probable qu'on parviendra une fois ou l'autre à découvrir le fondateur de cet édifice. Planche II. Représenté un bas-relief de la Cathéderale de Stuttgardt. Cette précieuse relique des Ducs de Wurtemberg digne d'un Albert Durer par sa belle composition, se trouvait sur un pilier à l'entrée du Choeur, d'où il fut enlevé l'an 1811 pour pouvoir Burg noch vicies sngen, wenn hier der Platz dafür wäre, und wenn nicht die Geschichte der Grafen von Zimmern durch meinen hochverehrten Freund, Herrn Rector Heinrich Ruckgaber in Rottweil schon auf das Vortrefflichste dargestellt wäre. Diese Burg war noch vor wenig Jahren im besten Zustand erhalten und zuletzt Eigenthum der Gemeinde, die es in bc- klagcnswcrther Unwissenheit, Rohheit und Mangel an Achtung vor einem Denkmal ihrer grossen Vorzeit und Geschichte, für ein Lutnpengcld auf den Abbruch verkaufte; einen Rottwciler Baumeister, der den Unfug hätte verhindern können, lästerte es nach den Alterthiimern, und die Zerstörung wurde vollbracht, was noch, und wie es steht, verdankt man dem trefflichen Alterthums-Vereine in Stuttgart; — wie mir Eberlein schrieb, lebt noch der Mann, der vor 30 — 40 Jahren Burg-Kastellan auf dieser Burg war, und immer die Fremden hcrumfiihrte ; die kahlen Mauern mit Treppeuthiircn ohne Dach, und noch ziemlich viel zerbrochenes Mauerwerk und Thören stehen zwar noch, verschwinden aber nach und nach, wie alle vernachlässigten Bau welke im Strom der Zeit; die Gegend ist malerisch herrlich, ich habe sic stets mit Vergnügen gesehen. Fig. y Hölzerne Rückwände von den Chorstühlen der Dorfkirche zu W'ilmadingen in der ehemaligen Grafschaft Klett- gau, auf der würtembergischen Alb, nicht weit von der Burg Lichtenstein, welche ich für den Grafen W'ilhelm von Württemberg wieder herstellte. Die Verzierungen dieser Rückwände sind kaum drei Linien tief cingeschnitten, der Grund ist schwarz gefärbt, die Wappen sind colorirt, und man erkennt noch leicht die Wappen von Urach, Württemberg, Tübingen, Sulz, Oesterreich und Klcttgau ; die Kirche ist zwar alles Schmucks beraubt, aber sie hat, wie fast alle alten Kirchen, architektonische Schönheiten aufzuweisen. Das beigedrucktc Wappen ist an dem Gestühle eingeschnitten, und es wiid wohl noch zu ermitteln sein, wer der Stifter dieser Kirche war. Platte II. Kostbares Basrelief aus der heiligen Kreuz - oder Stiftskirche zu Stuttgart. Diese wiirtcmhergische Fürsten - Reliquie, in der Composition eines Alb. Dürers würdig, befand sich an einem Pfeiler der Halle, um Chor, welcher den Chor schloss, und wurde im Jahre 1811 wegen Aufstellung der berühmten Orgel vom Kloster Zwiefalten weggebrochen. Dieses kleine Basrelief war lange Zeit durch die Ilüeklchne eines hochgestellten Betstuhls verdeckt, der nicht weit vom ehemaligen Pfarr- Altarc stand, es verhielt sieh damit, wie mit jenem, welches ich bei der Renovation dieser Kirche im Jahre 1840 aufdeckte; dieses Basrelief hatte eine Inschrift, die ich — zu meinem grössten Verdrus-s — ahzuschreiben vergessen habe; dasselbe ist 2 Fuss 8 Zoll hoch, und 18 Zoll breit, ans einem Kalkstein gleich dem Solenhofer, und war so dick mit Kalk überdeckt, dass ich ll-l »-»-»-t-l- 28 - placer le célèbre orgue de Zwiefalten. Ce petit bas-relief fut longtcms caché par le baut dossier d'une stalle, dans le voisinage de l'autel, et avait une inscription que j'ai malheureusement oublié de noter. — Sa hauteur est de 2 pieds 8 pouces, sur 18 pouces de largeur; il était taillé d'une pierre calcaire, pareille à celle delà carrière de Solenliofen, et on l'avait peint etmême doré, mais quand je le découvris, il était couvent d'une couche dechaur si épaisse et si dune, quelle ne fut qu'avec grand peine que je parvins à retirer ce bas-relief de son enveloppe. Ce fut probablement le 8 Mai 1530, jour où la destruction de toutes les images de Saints avait été juiiée, que s'accomplet cette barbarie artistique qui fit tomber dans l'oubli un intéressant monument historique de la gloriouse liaison de Wurtemberg — Ce curieux monument existe probablement encore, quoique je n’en ait plus entendu parler depuis le ture où je l’ai découvert ; il est hors de doute d’après l’inspection des armoiries, que la plaque commémorative n'ait été fondée soit par Marguerite de Savoye, femme du Comte Ulrich le bien aimé, soit par ce Prince lui même dont la stalle était placée près de l'autel, ou bien peut-être encore en commémoration du 3“* marriage d’Ulrich, fondateur de l’égise actuelle. Ce bas-relief, tout à fait en harmonie avec les autres sculptures de l’église, représente S" Marguerite, soutenant les armoiries d’Ulrich et de sa 3"" femme; dans un des angles on voit cette même Sainte evec les armoiries des deux premières femmes du Comte. Ce Comte Ulrich le bien aimé, l'un des plus beaux et des plus remarquables Princes de sa famille, était l’ami et le protecteur des arts; il fut le second fondateur de Stuttgardt, et on lui doit beaucoup de batimens publics sans parler de la Catlié- derale nicntionée plus haut; la vieille ville, dont on voit encore les murailles d'enceinte le long de la Koenigsstrasse et de l’Eber- hardsstrasse, date aussi de son tems, de même que la rue d’Eslin- gen et le fauxbourg voisin. Ce Prince eut 3 femmes; la 1" fut Elisabeth, fille du Duc de Cleves et veuve de Guillaume, Duc de Bavière, qu’il épousa le 27 Janvier 1440, et qui mourut le 30 Mai 1444. — La 2 J * fut Elisabeth, fille du duc Henry de Landshut, surnomme le riche, et la 3“* fut Marguerite, fille d'Amédée Duc de Savoye, qui après avoir embrassé l'état éclésiastique devint Pape sous le nom de Felix V. et bâtit le couvert de Ripaille près du lac de Genève. Cette Marguerite avait épousé en 1" noce, Louis, roi de Sicile, puis un Electeur Palatin. -t-t'i t-1Qi Mühe hatte, ihn abzubrechen; ich fand, dass dieses Basrelief X bemalt und vergoldet gewesen war. Diese Verdeckung dessel- 1 ben ist bestimmt den 8. Mai 1536 vor sich gegangen, denn der I allen Heiligenbildern geschworene Untergang erfüllte sich aii diesem Tage auch hier, und somit wurde ein sehr historisch I ! merkwürdiges Document des glorreichen würtcmbcrgischen Regentenhauses in Vergessenheit gebracht. I Wahrscheinlich ist dieses interessante Bild noch vorhanden; ich habe zwar seither keine weitere Auskunft darüber erhalten können, aber es ist ausser allem Zweifel und nach den Wappen zu urtheilen gewiss, dass cs eine Gedenktafel ist, gestiftet von der Prinzessin Margaretha von Savoyen, Gemahlin [ des Grafen Ulrich, des Vielgeliebten, oder vom letzteren selbst, dessen Betstuhl, wie oben bemerkt, vor dem Pfarr-Altare war, ! oder auch zum Andenken der dritten Heirath Ulrichs, des Erbauers der jetzigen Kirche. Dieses Basrelief stimmt ganz mit den übrigen Sculpturcn der Kirche überein, auch die Wappen sprechen für das eben angeführte. Dasselbe stellt die heilige Margaretha vor, beide Wappen des Stifters der Kirche und das seiner dritten Gemahlin haltend. Graf Ulrich, der Vielgeliebte, war einer der schönsten und merkwürdigsten Fürsten Würtembergs, welcher den Künsten und dem Kunstgeschmack besonders huldigte, er war der zweite Erbauer Stuttgarts, und viele Bauten — ausser der Stifts-Kirche — sind noch von ihm vorhanden, auch die innere, oder alte Stadt, deren Umfang noch theil- weise durch Ueberrestc von Mauern längs der Königsstrasse, und Eberhardsstrasse, erkenntlich sind, ist aus seiner Zeit, sowie auch die Esslinger und die reiche Vorstadt unter ihm entstanden sind. Die dritte Gemahlin Ulrichs, die heilige Margaretha, erscheint hier als Schutzpatronin ; an den obern Ecken dieses Basreliefs erblickt man die Wappen der beiden ersten Gemahlinnen Ulrichs. Die erste hiess auch Margaretha , sie war die Tochter des ersten Herzogs von Cleve und Giafen von der Mark, und die Wittwe Wilhelms, Herzogs von Baiern; mit Ulrich zu Stuttgart vermählt den 27. Januar 1440, gestorben den 30. Mai 1444. Die zweite Gemahlin war Elisabeth, Tochter des Herzogs j Heinrichs von Landshut, des Reichen, die dritte Gemahlin endlich war Margaretha, Tochter des ersten Herzogs von Savoyen, Amadeus, welcher später sich dein geistlichen Stande ergab, und unter dem Namen Felix V. Pabst wurde, er war Erbauer der herrlichen Einsiedelei Ripaille am Genfer-See; Margaretha war die Wittwe des Königs Ludwig von Sicilien, dann des Kurfürsten von der Pfalz; beide waren schon jung gestorben. ^ Sie hielt ihr Beilager mit Ulrich den 0. Juli 1453 und starb ein ^ Jahr vor ihrem Gemahl den 30. September 1470. - •29 - X Tous deux moururent fort jeunes, et elle épousa Ulrich en ' 1453 et mourut en avant lui -en 1479 avec une grande réputa- ' tion de beauté et de vertu. La décoration des armoiries était supérieiisemcnt exécutée, et richement dorée — Dans les armes de Wurtemberg — le casque, ses ornemens ainsi que l'écusson étaient d'or, et la partie supérieure des orne- mens ainsi que le cor de chasse étaient couleur gueule. — Les armes de Savoye avec la croix, sont en argent en champ de gueule, de même que les ornemens. — Le casque et le cimier sont d'or, de même que l'auréole autour de S" Marguerite; le fond seul est siuoplc. Les armes de Clèves sont couleur gueule avec des sceptres d’or, placés en rayons autour du rentre, formé par un petit écusson d’argent en forme de coeur. La Bavière, a, comme on le sait, des losanges azur et argent dans ses armes. Planche III. Fig. a Représente une petite porte du Choer du superbe palais du prélat dans l'ancien Couvent de Mönchröden. — Cette intéressante Porte, encore bien conservée et qu'on voit depuis le palais, date probablement de l'abbé Bcnedictus de Rosenau, qui vécut dans le 15"* siècle et fut le restaurateur de ce couvent. La maison du prélat est maintenant habitée par un in- specteur. Ce couvent, déliccusement situé sur la route de Sonncbcrg et Saatfeld, est très ancien, et d'après la Chronique du célébré Jean Trithemius parrait être du nombre des priorés fondés par l'abbé Williem qui régnait de 1009 à 1091. — Le diplôme de cette fondation ne fut cependant inscrit que 100 ans plus tard dans les registres de l’évéque Hérold, sub Nuni. VIII. et le Burggraf Hermann de Meissen, son frère, le Comte de Stecher ainsi que son neveu Hermann de Wolfbach y paroissent comme fondateurs. 11 semblerait d'après ce la, que Monshröden devait être transformé en abbaye, tardis que sous l'abbé Williem elle n'était qu’un prieuré habité par des Moines de Hirschau, comme le couvent de Bénédictins Hasungen en Hesse ce lui de S 1 Pierre à Erfurt, et ce lui de Reinhards- brunn près de Gotha. En 1817, je parcourus tous les environs, et je trouvai quelques fragmens fort curieux d'un batistère appartenant évidement au 11** siècle, et que je publierai une fois ou l’autre dans ce livre. -—» J. Nauklerus rühmt sie als eine schöne, sittsame und tilgend- jî halle Fürstin; mit seinen drei Gemahlinnen lebte Ulrich sehr ver- " gniigt, besonders aber mit der letztem. Die Decorationeu der Wappen, besonders die Helmdecken, waren meisterhaft ausgeführt und reich vergoldet. Der Helm und die Helmdccke nebst dem Schild sind Gold, Roth ist am würtembergischen Wappen der obere Thcil der Helmdecken. Das Savojeschc Wappen mit dem Kreuz ist Silber, im rollten Felde, ebenso die Helmdeckc. Der Helm und Helmschmuck ist Gold, die Architectur ebenfalls Gold, so wie der Teppich - Vorhang und der heilige Schein; blos der Grund hinter dem Teppich ist blau, das Wappen von Cleve ist rotli mit strahlenförmig gestellten goldneu Sceptcrn, im Centrum ein silbernes Herzschildchen. Bayern hat die bekannten weifs und blauen Rauten. Platte HI. Fig. a Interessantes Pförtchen, an dem schönen Chor des Prülatur-Gebiiudes in dem ehemaligen Kloster Mönchröden, von dem Palast oder dem grüfsern Saale aus Zusehen; die Tliüre ist eine Zugabe von mir. Dieses noch gut erhaltene Pförichen mag wohl von dem Abte Bcnedictus, einem gebornen von Rosenau herstainmeu, welcher gegen Ende des 15len Jahrhunderts lebte, und dieses Kloster in besondere Aufnahme brachte. Die Prälatur ist nun die Wohnung eines Verwalters. Dieses höchst reizend gelegene Kloster am Wege nach Sonnenberg und Saatfeld ist sehr alt, und nach der Hirschuuer Chronik des berühmten Johann Trithemius kommt unter denen vom Abt Wilhelm errichteten Prioraten schon Mönchröden vor; dieser Abt regierte von 10i9 — 1091. Die Stiftung wurde aber als Diploma in dem Uikiinden-Buch des Bischofl's Herold sub. Kura. VIII. hundert Jahre später, nämlich im Jahre 1171 angenommen, wo als Stifter Burggraf lien mann zu Meissen, und sein Bruder, Graf Stecher, nebst seines Bruders Sohn, Herrmann vou Wolfsbach aufgeführt werden, was nicht in Abrede gestellt sein soll, wenn man anuimmt, dass vielleicht die Stiftung einer Abtei gemeint ist, dass Mönchröden vorher nur ein Benediktiner Priorat war, denn die Priorei war zu gleicher Zeit mit Hirschauer Mönchen besetzt, dass der Abt Wilhelm das i Beuediktinerkloster Hassungen in Hessen, St. Peter in Erfurt, und Reinhardsbrunn bei Gotha mit Mönchen von Hirschau versah, ist gewiss, und ich habe bei meinen Untersuchungen in Mönchröden viele Beweise gefunden, welche auf ein hohes Alter schliessen lassen. Im Jahre 1817 habe ich die Umgebung durchwühlt und ich fand das Bruchstück eines Taufsteins von j merkwürdiger Motive, welches ohnstreitig dem Ilten Jaluhun- j dert angehört; ich habe diesen Taufstein gezeichnet, und werde »* tQ 30 -1 -J i L'ancienne maison de l'abbé, présentant encore à l'oeil nn beau batiment, possède un superbe Choeur, qu'on peut compa- rer à celui de S' Sebald à Nuremberg. Moins riche en archi tecturc, mais beaucoup plus grandiose par sa hauteur qui va jusqu'au 3”' étage et n'est soutenu que par un élégant pilier, ce choeur possède aussi cette charmante petite sorte de la tig. a. ainsi qu’une console surmontée d'une figure énigmatique. La chambre, dans la quelle se trouve cette porte en question, doit avoir été originainement une salle dont les boiseries étaient sculptées, mais le réfectoire, Sommer Rcfectorium dont je donne un fragment dans la figure b. est particulièrement intéressent. — 11 compte six ou sept doubles croisées de front, et son plafond en bois est soutenue par une forte architrave. Son chapiteau, a été dessiné dans la fig. e. a cause de sa forme pleine de goût; le pilastre est en pierre, et parfaitement conservé quoique ce réfectoire serve maintenant de magazin et d'écurie. Ces couvcns méritent d'être examinés avec attention, et un conaisseur qui voudrait s'en donner la peine, y découvrirait sûrement en- ! core mainte chose curieuse, surtout AI'endroit où l'église et le corridor en forme de croix étaient bâtis. En 1523 les paysans détruisirent tout, mais aucun couvent ne fut autant maltraité que celui de Reinhnrdsbrunn consacré à la S'* Vierge et à S 1 ' Walburgis, et qui portait le nom de “unser lieben Frauen-Nöthen.» Les moines de ce couvent, d'abord Bénédictins et en suite membres de la fameuse congrégation de Burksfelder, étaient j sous la protection spéciale des Ducs de Coburg qui avaient été j investis de ce droit par l'empereur. Malgré ce protectorat, j ce couvent ne put se relever des déprédations qui y avaient J été commises en 1825 tant par ce que la noblesse des environs, qui était fort pauvre, mettait la charité des bons moines un peu trop à contribution, que par ce quelle les incommodait et tourmentait au plus haut digné pendant le tems de la chasse. Quoiqu'il en soit ces religieux considéraient comme une purition le séjour de ce couvent, quelque délicieuse que fut su situation au milieu du beau pays et des frais ombrages qui lui prêtaient tant de charmes. — La chronique parle encore des beaux tilleuls qui répandaient leurs ombres bien faisantes sur les eaux limpides des fontaines de ce vallon, ainsi que de 1 quelques arbres du même nom qu’on voyait autrefois à Mönchs* roden et qui sont chantés dans un ancien poème de ce tems là. — J k * T T û Le feu Duc de Coburg avait eu l'idée de transformer Mönchröden en chanteau de plaisance, comme il l’avait fait de Rciu- - - -t-il ihn bei Gelegenheit in meiner Ornamentik veröffentlichen. — Die ehemalige Wohnung des Abtes — welche heute noch ein stattliches Gebäude ist — hat einen sehr schönen, malerisch 1 geordneten Chor, noch malerischer als der berühmte Pfarrhof St. Sebald in Nürnberg, zwar nicht so reich an Architectur, ; aber grossartiger durch seine Höhe, getragen von einer schlau- 0 ken Säule, welche ihn bis zum dritten Stock hinaufhebt; in die- ; sein Chor befindet sich das niedliche Pförtchen mit den ruthseihaften Consolliguren ; das Zimmer, in welchem sich das Pförtchen I befindet, muss ursprünglich einen Saal oder Palast gebildet haben, welcher mit hölzernen Rücklachen Täfelwerk versehen war, aber besonders interessant ist der Sommer RalTcntha! Sommer - Rcfcctorium Fig. b. welchen ich als Fragment oder Bruchstück bei- !, geben habe, und soviel ich mich erinnere, ist dieser Sommerspei- l' sesaal i oder 7 Doppelfenster lang, und mit einer hölzernen Decke versehen, welche ein gewaltiger Durchzug unterstützt. Das Capital oder Aufsatz ist hei Figur e, wegen seiner geschmackvollen Form aufgenommen. Die Säule ist von Stejn, und vortrefflich erhalten, trotzdem, dass gegenwärtig dieser Raum als I Magazin oder Stall benützt wird diese Klosterrudcra verdienen wirklich alle Aufmerksamkeit, und mit Beharrlichkeit und Sachkenntnis liesse sich vielleicht noch manches Merkwürdige finden, besonders wenn inan den Platz in Angriff nähme, wo die Kirche und der Kreuzgang gestanden bat. Im Jahre 1525 wurde alles von den aufrührerischen Bauern zerstört und überhaupt wurde in diesem Kloster schrecklich gehaust, aber nirgends so arg als in Reinbardsbrunn. Das Kloster war anfänglich B. v. Maria und St. Walburgis zu Ehren gestiftet und führt den Namen "Das Kloster unserer lieben Frauen - Nöthen.» Die darin befindlichen Mönche waren ursprünglich Benedictiner. Nach der Zeit haben sie sich zu der berühmten Bursfelder Congrégation geschlagen. l'eher dieses Kloster haben sich die Regenten des Fürstenthums Coburg die Advokatic Vorbehalten, und sie sind auch von den Kaisern damit belieben worden, aber trotzdem konnte sich das Kloster nie mehr recht erholen, denn der Adel, der in dieser Gegend sehr arm war, nahm nicht nur fort und fort die Wohlthätigkeit des Klosters sehr in Anspruch, sondern er inkom- modirte auch noch zur Jagdzeit die armen Mönche dergestalt, dass sie als Strafe betrachteten, dort zu sein. Nach alten Mittheilungen sollen in diesem reizend gelegenem Kloster die ältesten und schönsten Linden gestanden haben, welches dem Aufenthalt daseihst so sehr vielen Reiz verlieh, besonders standen einige derselben am cristallhellen Brunnen ; in einem alten Gedichte “Die Linden in Möuchsröden» bemerkt diess ein Vers “Linden am brunnen Linden am kloster Frischet vor sunnen. » i Kfr-t-lr-ll Q 1 si hardsbrunn; en 1840 j'eus encore le bonheur de l'accompagner, dans une promenade qu'il fit dans ce couvent, avec son fils le Prince Albert, et nous trouvâmes ensemble plusieurs morceaux de sculpture qui sont maintenant réunis aux autres objects d'art qu'on montre à la forteresse de Coburg. Quel doinagc que la mort de ce Prince, dont la mémoire sera toujours chère et précieuse, ait amené un statu quo complet dans la restauration des batimens du moyen âge!! Planche IV. Représente une porte du chateau de Obcr-Kraiiiehfeld sur l'Ilme, dont elle portait l'inscription. Cette singulière porte, dont je dois le dessin au feu chanoine Dr. Sticgliz, était à peu près en ruines, mais je ne sais point si elle se trouvoit dans l'intérieur ou à l'extérieur du chateau. — Je ne connais pas Kranichfeld, situé dans le Duché de Sachse Meiningen ensorte que je ne sais pas si ce batiment est bien conservé, ni il quel usage il est maintenant destiné, mais d'après la sagitarii Hi- storia du Comte de Gleicher, écrite par Gaspari, il paraîtrait que l'euceiuitc de ce chateau était fort étendue. Une piorte presque semblable, et appartenant à la maison de ville de Neustadt sur l'Oilc, puraitra dans le Cahier suivant de cet ouvrage. — Planche V. Fig. aj Représente un fl euron du beau tabernacle en pierre de l'église de l'Hospital d'Esliugen, maintenant détruite. Ce fleuron dessiné ici à la moitié de ses dimensions est de Mathias Boeblinger, dont il est déjà fait fnention dans le cahier VI planche 7*'. — , La figure b. indique la partie de dessous de la frise, et la figure c. les sculptures entourant le tabernacle dont je donnerai le dessin tout entier dans les prochains cahiers de cet ouvrage. Planche VI. Fig. a Représente les colonnes de Ruhland, Signum Juris- dictionis, ou statues surmontées de baldaquins qui se voyent sur . l’escalier de l’hotel de Ville de Heilbronn. Diese Linden in Mönchröden müssen schon lange eingegangen sein, da nirgend etwas weiter davon erwähnt wird. Der liöchstseelige Hei zog Ernst von Coburg hat den Werth dieses schönen malerischen Punktes wohl erkannt; und ging immer mit dem Plane um, dieses Kloster — einmal wie Keinhards- bruiin — in ein herzogliches Lustschloss uiiizuwandeln. Iin Jahre 1840 noch begleitete ich den kunstsinnigen Herzog, mit seinem gefeierten Sohne dem Prinzen Albert, nachherigen Gemahl der Königin Victoria von England, bei einem Spaziergänge nach diesem Kloster, wo ich es nebst meinem Bauführer Gurgel mit Lust durchsuchte und nach und nach viele Sehnitzwerke fand, welche jetzt den übrigen Kunstsaehen auf der Veste Coburg angereiht sind, Schade, duss durch das Ableben des unvergesslichen Herzogs in der mittelalterlichen Baukunst eine Todcsstille eingetreten ist. Platte IV. Tliüre von Ober - Kranichfeld ; diese Thür-Porte eigener Art verdanke ich meinem verstorbenen Freunde, dem lehrtcn Dom -Propst Dr. Stieglitz, von welchem ich im Jahre 1828 diese Zeichnung für meine Sammlung erhielt. Sie hat die Aufschrift " Thiire vom Schlosse Ober-Krauichfeld an der 1Iiiic„, und wie ich von ihm erfahren, soll sich diese kleine alte Porte in einem sehr ruuiöscn Zustande befunden haben, ob diese Tluire innen oder ausserhalb des Schlosses gestunden, weiss ich nicht, da ich nie in Kranichfeld war, es ist jetzt Sachsen-Meiningisch, und nach Casparis Sagitarii historia der Grafschaft Gleichen, muss das Schloss von bedeutendem Umfang sein, ob es noch wohl erhalten und zu welchem Zweck es gegenwärtig verwendet wird, ist mir nicht bekannt. Eine ähnliche Thiire, vom Hathhause zu Neustadt an der Oi In, welche ich nach der Natur gezeichnet habe, wird im nächsten Hefte folgen. Platte V. Fig. a Diese höchst interessante Blume, welche hier halb so gross ist, als in Natur, ist von dem wunderschönen steinernen Tabernakel, der, gleich der Spitalkirchc zu Esslingen, in der er sich befindet, zerstört ist. Verfertiger ist- Mathäus Bö- blinger s. Heft VI. Platte 7., in der Beschreibung ist das Ganze angeführt. Fig. b, und c. Verzierungen, ebendaher. Fig. b. befindet sich am untern Friese. Fig. c. in der Einfassung des Monstranz - Behälters ; in den folgenden Heften werde ich diesen schönen Tabernakel in drei Blättern mittheilen. Platte VI. Fig. a. Rolands- oder Ruhlands-Säulen, auch signum juris- dictionis, dann, Tabernakel, Bilder-N'isehen benannt, auf der H-U 32 -»-»-r-1~ Ces colonnes, dont le nom vient d'un ancien mot signifiant cour de justice, représentaient ordinairement l’empereur. Charlemagne, et furent érigées à differentes époques dans presque toutes les villes importantes de l'Allemagne, surtout daus le Nord, comme un signe de l'autorité impériale. On eu voit encore aujourd ’liui à Magdeburg, Brandenburg, N’ordhausen, Halberstadt, Halle, Quedlinburg, Stadelberge, Brême, Hambourg, Wedel en Holstein uinsi qu'à Prague où elles ont été dei nierenient reparées. Des inonumens semblables se trouvent aussi en Bavière et en Souabe, mais la forme et la grandeur est très différente suivant les lieux et les tems. On les bâtissait autrefois dans le vieux style Allemand, avec une grande statue d'empereur ou de chevalier; quelques fois c'était simplement une colonne, comme à Prague et à Ha tisbonne. On en voit aussi dont la statue n’est pas couverte d’un dais, — mais à Zerbst, Brême, Halle, et Hcilbronn, ces colonnes Huhland portent le cachet particulier du moyen âge; elles ont pour la plupart outre le baldaquin, un manteau d'empereur, puis un écusson portant l'aigle impériale qui n'avait d'abord qu'une seule tête, tandis que plus tard on lui en ajouta une seconde comme on peut le voir encore à Rottiveil sur le dossier d’un grand fauteuil en pierre érigé en 1781 par un Baron de Freiberg Wallendingen président de la Cour de justice de l'empire. Quatre hauts tilleuls, et le fauteuil en pierre relevé encore par des gradins, indique la place historique où la justice a été vendue pendant tant de siècles. Dans ces occasions, le siège du Raugrave, président de la cour de justice au nom de l'empereur, était en bois ou en métal , comme on peut le voir dans dilïeréntes collections d'antiquités. Ces baldaquins ou dais, placés sur les statues avaient non seulement pour but de leur donner un air de grandeur, mais encore de les présetver des intempéries des saisons; aussi celles qui ornent l'hotel de ville de Hcilbronn et qui représentent deux porte-étendards couverts de leur armure en grandeur naturelle, sont encore parfaitement bien conservées. Ces colonettes de Ruhland étaient ordinairement peintes de différentes couleurs, dorées, et couvertes d'inscriptions. - Freitreppe des Rathhauscs zu Heilbronn am Neckar, von mir aus der Erinnerung gezeichnet, um eine geschichtliche Demonstration einer ähnlichen Säule, oder gerichtliches Monument in Zerbst bei Dessau, welches ich wieder hcrstcllte — beweisen zu können; es ist über diesen Gegenstand zwar viel geschrieben aber wenig bewiesen worden; und hier nicht an seinem Platze, diesen Beweis zu führen, wesswegen ich über diese Säulen in einem besonderu Abschnitt reden werde. Diese sogenannten Rolands-Säulen, oder wie oben gesagt, signum jurisdictionis, auch Ruhlands-Bilder, von Rugegericht abgeleitet, stellten ursprünglich Carl den Grossen vor, und waren zu verschiedenen Zeiten fast in allen wichtigen Städten des deutschen Reiches, vorzüglich aber im nördlichen Deutschland, alsein Zeichen der kaiserlichen Reichsautorität aufgerichtet; man fin- diese Gerichts- oder Rolands-Säulen heut zu Tage noch in Magdeburg, Brandenburg, Nordhausen, Halberstadt, Halle, Quedlinburg, Stadtberg, Bremen, Hamburg, Wedel im Holsteinischen, auch in Prag ist ein solcher Rogenstein, welcher erst kürzlich restaurirt wurde, und selbst in Bayern und Schwaben kommen sie vor, aber in anderer Form, sonst sieht man sic gewöhnlich im altdeutschen Styl gehalten, mit einem Ritter- oder Kaiser-Standbild, oder auch ganz einfach als Säulen, wie die ! zu Prair und Retrensbursr, welche letztere nun im Kreuzgang l » o n Î » p» j des Doms aufbewahrt ist, auch sicht man diese Standbilder, ,i ohne Bilderhäuschen .Tabernakel. Die zu Zerbst, Bremen, '' Halle und Heilbronn, welches derer zwei hat; Fig. a. — hat I noch mittelalterlichen Ausdruck 'Bilderhäuser,, oder Tabernakel, j Diese meisten aber sind, ausser dem Zerbstcr, mit dem Kaiser- Mantel und einem Schilde vorgestcllt, auf welchem der cinköpfige Reichsadler zu sehen ist, welcher bei spätem Rugsäulen auch zweiköpfig vorkommt, wie z. B. auf der Rücklehne eines grossen steinernen Stuhles, den ein kaiserlicher Hofgorichtsstatt- halter, Baron von Freiberg-Wellendingen im Mai 1781 durch den Magistrat der Stadt Rottweil hat machen lassen. Noch bis auf diesen Tag bezeichnen sechs hohe Linden und der steinerne, mit Treppen erhöhte Stuhl des kaiseiliehen Hofrichters diese hi- ! storisch denkwürdige Stätte, wo so viele Jahrhunderte hindurch I über die wichtigsten Angelegenheiten, der zum zweiten Juris- dictions-Brziik gehörigen hohen und niedern Stände gehemmt wurde. Beim Gebrauch dieser Gerichts-Säulen, war der Stuhl des Rüg-Grafen, Raugrafen als kaiserlichen llofgcrichts-Statthalter, von Holz oder Metall, von denen noch in mehreren Sammlungen Exemplare vorhanden sind. Diese Bildgehäusc oder Tabernakel sind Erfindung der deutschen Baukunst, um dem Standbild nicht allein Schutz gegen die Witterung, sondern auch mehr Würde zu verleihen; die beiden Bilder-Tabernakel auf der Freitreppe am Rathhaus zu Heilbronn, geben diesem Gebäude ein grossartiges würdiges Ansehen, und sind heute noch im besten Zustande vorhanden, sie stellen lebens- I . W-H-ll j». 33 ii -j ► • - Celles de Brème et de Zerbst avaient leurs baldaquins ornes de petites tours, de violes, fleurons et autres orncniens de l'ancienne école allemande mais cette deoniére qui setrouvait très endommagée, à été réparée il y a cent ans, de façon & gâter tout à fuit le cliaractère historique de ce monument par les ornrmens ridicules qu'on y a ajouté. Les magistrats de Zerbst, diriges par leur président Sintreis, résolurent de ne pas souffler la décadence complette de ce beau morceau de sculpture et s’adressèrent à moi en 1842, pour m'en confier la restauration. Je leur avais déjà livrés en 1824 des dessins pour décorer l'orgue de leur catliéderale, en sorte qu'à leur second appel je me rendis sur les lieux pour examiner le monument en question. Mon premier croquis n'ayant pas pu être exécuté par differents raisons je fus une autre ébauche qui fut agrée et la colonne sera reparée de la manière indiquée dans la figure b J — On pourra la voir de tous les cotés, et sur la partie de derrière plucer par la suite une ligure d’ange portant les armes de la chevalier avec les armes ducales, appuyées sur des consoles qui pourront recevoir des inscriptions. — Son Altesse, le Duc Leopold Frédéric, conaisseur et protecteurs de toutes les oeuvres de l'art, tient particuliérement à la conservation des monumens historiques contenus dans ses états. Mon plun de restauration a obtenu son assentiment, et dans le courant de l'été 1847, ce monument, placé sur un socle qui l’élève un peu au dessus de terre, et le préserve de l'humidité seèa, exécuté par le sculpteur Lorenz Rottermund. — C'est à l'architcctte Cortc, et à M. Kretzschmar, directeur des batimens qu'on doit l'idée du socle, qui donnera au tout en semble un air de grandeur et de dignité en harmonie avec le sujet. Cette colonne Roland consiste en une colossale statue de chevalier, armé de pied en cap, tenant à la nioin droite une longue épée, et au bras gauche un bouclier avec l’aigle impérial; à ses pieds, en voit un chien couchant, qui d’après l'idée de plusieurs personnes, doit foire allusion au chien galeux que Henry l'Oiseleur envoya aux Hongrois en place du tribut payé jusqu'alors. — Cet empereur en usa de même avec les Vandales, et leur enpédia aussi un chien engraissé. Cette statue toillée cnpierre d’un grain très fin, est dépourvue de casque, ce qui signifie que les juges se découvrent la tête pour prononcer leur sentence; l'épée nue indique le WM-e*-*- -— c-ig £ grosse geharnischte Bannerträger vor; die meisten dieser Ge- £ ricbls- Säulen waren polycliromiscli behandelt und vergoldet, Î auch mit Inschriften versehen. Die Bremer Rolandssäule war, nebst der Zerbstcr in ihrem Aufsatze reich mit Thürmchen, Vialcn, Krappen, Blumen, und andern altdeutschen Verzierungen versehen. Die Zerbster ist aber, — vielleicht schon seit hundert Jahren, verwittert und zerstört, und au die Stelle der Verzierungen sind nichtssagende Anhängsel, kindisch-lächerliche Zierrathen getreten, welche ohne allen künstlerischen Werth nur der Würde des Denkmals charakterstürend entgegjnstehen ; daher entschloss sich der für die Erhaltung vaterländischer Denkmale bemühte Stadtrath von Zerbst unter ihrem kunstsinnigen Vorstände Silit reis, dieses schöne Denkmal von dem gänzlichen Verfalle zu ictten, und gab mir den 24. December 1842 den Auftrag, die Restauration desselben zu übernehmen, nachdem ich schon im Jahre 1824 Zeichnungen zur Orgeldekoration für die dortige Hauptkirche geliefert hatte; im Jahre 1844 nahm ich von dem Zustande des Denkmals Einsicht, woraus sich ergub, dass mein erster Entwurf — zwar beifällig aufgenommeii — gleichwohl zu einseitig gehalten war, und von allen Seiten gesehen, nicht den gewünschten Effekt machen konnte, daher änderte ich die Säule so ab, wie sie Fig. b. angiebt, folglich von allen Seiten mit gleichem Effect gesehen werden kann; wo man in der Folge auf der Rückseite einen Schutzengel, der das Stadtwappcu hält, zu beiden Seiten Kitterfiguren mit den herzoglichen Wappen auf Consolcn, die mit Inschriften versehen werden können, sieht. Seine Hoheit, der durchlauchtigste Herzog Leopold F’ried- ricli, dem dieser Entwurf vorgelegt wurde, hat denselben mit grossem Wohlgefallen aufgenommen. Dieser hochherzige, kunstsinnige Fürst, welcher selbst die Kunst meisterhaft ausübt, trägt besonders die grösste Sorge, dass die historischen Kunstdenkmale seines Landes erhalten werden. Bis den Sommer 1847 wird nun dieses Monument, welches in Nürnberg von dem in mittelalterlicher Ornamentik bewanderten Bildhauer Lorenz Rottermund ausgeführt wird, in Zerbst aufgestellt werden, und den vereinten Bemühungen der Herren Oberbau-Director Kretzschmar und Hof-Banmeister Corte wird man es danken müssen, dass dieses Monument durch einen So- kel erhöht werden wird, wodurch es, da es gegenwärtig zu tief steht, mehr gegen alle Feuchtigkeit des Bodens geschützt wird. Diese Rolands-Säule ist ein kolossales geharnischtes Ritterbild, von feinem Stein gehauen, bat in der rechten Hand ein grosses Schwert, welches aber hier aus Versehen des Kupferstechers in der Abbildung verkehrt erscheint, an dem linken Arm einen Schild mit dein Reichsadler, zu seinen Füssen liegt ein Hund, J von dem einige behaupten, er sei eine Anspielung auf den scliä- 4 T bigen Hund, den Kaiser Heinrich, der Finkler, den Hnngarn 7 T ——- - -•—1-1' XVI. 34 Jd>w^ droit de liante justice; quant au Cingulum m il il are, ou ceinturon fermé par une agraffe ronde, on ne peut s’expliquer quelle est la signification d'une figure de femme ou d'ange jouant du luth, qui s’y trouve représentée. — Le graveur a, par mégarde, placé l’épée du chevalier du coté opposé ou elle se trouve réellement. Planche VII. — VIII. Représente la continuation de l'alphabet des Missalans, dont on voit la description dans le XIV Cacliier, planche 7 et 8. statt des bisherigen Tributs darbot, so wie er den Dalemincier- Wenden einen fetten Hund schickte; dass das Standbild ohne Kopfbedeckung abgebildet ist, bedeutet dass die Richter mit ent- blüsstein Haupte das Urtheil sprechen müssen, das blosse Schwert in der rechten Hand ist ein bekanntes Zeichen der Hals- und Handgerichte, merkwürdig aber ist das Cingulum inilitare, mit der runden Schliesse, worin sich ein auf einer Zitter spielender Engel oder eine weibliche Figur befindet, deren Bedeutung noch uncrklarbar ist. Platte VII. — VIII. Fortsetzung des Alphabets der Missalen, siehe Heft XIV Platte 7, 8 nebst Beschreibung. 1 » Öl-W {' l livraison XVII. Explication des Planches. Style byzantin. PI. 1. Fragments de la vieille église de Faurndau en Wurtemberg, voir cahier V, planche V et cahier XII, planche I. Fig. a. Le fronton de l’église, décoré d’une intéressante moulure. Fig. b. Le même fronton en profil. Ces décorations d’un goût si originellement exquis sont, par malheur, bien tombées en efflorescense, de sorte qu’il n’y a que l’oeil exercé de l’artiste qui puisse suppléer les contours, les membrures des colonnettes, les figures d’animaux et les mascarons. La fenêtre de la figure c. représente des contours et nervures de fenêtre pleins de goût et de caractère; les prismes entaillés, formant une guirlande de lauriers, flattent agréablement la vue. Fig. d. Autres ornements de la même église. Cette église ne cessera d'étre un des plus remarquables monuments de la noble architecture du huitième siècle, digne d’é trejvisité de tous les amis de l’art et de histoire. PI II. Chapiteau et hase de la colonne d’une chapelle baptistaire. Lu des anciens couvents les plus remarquables du Wurtemberg c’est celui de Comburg, à un quart de lieue de la ci- devant ville Impériale et libre de Schwäbisch - Hall. Ce couvent sécularisé avec le château - fort du même nom, ayant appartenu à la race puissante des Rothenburgeois, comtes fran- §iebenzehnte§ Heft. Erklärung der Platten. Byzantinischer Styl. PI. I. Zusammengesetzte Fragmente von der alten Kirche zu Faurndau siehe V. Heft, Platte 5. und XII. Heft Platte 1. Fig. a. Giebel der Kirche mit einem interessanten Giebel-Gesims. Fig. b. Profil derselben. Diese so eigens geschmackvolle Décoration ist leider sehr verwittert und nur das geübte Auge des Künstlers kann die richtigen Borturen und die Umrisse verfolgen um die Ornamente der Säulchen, die Thiergestalten und Fratzengesichter genau und in ihrem Charakter wiederzugeben. Aber eine der gesclimackvollst verzierten Einfassungen und Frofilirungen bietet das Fenster Fig. c., welches edel und charakteristisch gehalten ist; die concaven prismatischen Einschnitte in Form einer Lorbeer - Guirlande, sind dem Auge äus8erst angenehm. Fig. d. Andere Ornamente aus derselben Kirche. Faurndau in Württemberg bleibt immer eines der merkwürdigsten edlen Baudenkmalc des 8ten Jahrhunderts und verdient von jedem Kunst - und Geschichtsfreund besucht zu werden. PI. II. Kapital und Fuss aus der Tauf-Capelle zu Comburg, eines der merkwürdigsten Klöster in Württemberg, eine Viertelstunde von der ehemaligen Reichsstadt Schwäbisch-Hall, gelegen. Dieses nun aufgehobene herrliche Kloster und auch ehemals Burg der mächtigsten fränkischen Grafen-Geschlechter der Rothenburger, ist noch so reich an Denkmalen seiner »>t XVII. 36 r MMM pnnipfia coniens, eat riche en anciena monument» du plu» grand intérêt. C’eat aurtout la dite chapelle hexagone qui mérite attention. Sa voûte eat portée par la belle colonne de la pré- aente planche et ae distingue avantageusement par sea belles proportiona, son élégance et son goût exquis. Cea antiques monuments de Comburg ont inspiré le plug vif intérêt à notre ami et compatriote Mauch de Stouttgart. C’eat lui qui, dans le premier cahier annuel de la Société Wurtcmbergeoiae des antiquités, a fourni la belle porte restaurée et an description. Zeit , welche die allgemeinste Aufmerksamkeit verdienen unter welchen aich die sechseckige Tauf-Kapelle besonders auszeichnet, deren Gewölbe sich auf die hier angeführte schöne Säule stützt, welche sich durch schöne Verhältnisse, Zierlichkeit und Geschmack vortheilhaft hervorhebt. Das lebhafteste Interesse an den alten Raudenkmalen Com- burgs nahm ein Freund und Landsmann von mir, der Professor von Mauch in Stuttgart; im ersten Jahreshefte des württembergischen Alterthums - Vereins ist von ihm das schöne Thor im restaurirten Zustande mit Beschreibung gegeben. i PI. III. Très ancienne porte du côté nord de la chapelle de St. Nicolas, dans l’enclos dit cour de Heilsbronn à Nuremberg, dessinée par mon elève Mr. l’architecte Charles de Haller. Cette chapelle n’est pas sans intérêt et comme elle avoisine l'église de St. Laurent, elle formerait un groupe pittoresque avec celle-ci, si le mur du jardin dont elle est entourée venait à être abattu; ce groupe retracerait alors une image fidèle de l’architecture du moyen âge; malheureusement cette chapelle, non seulement est privée de ses ornements intérieurs, mais elle est aussi transformée en magasin à l’usage de la Banque Royale Bavaroise. A l’occasion de cette transformation on a ébréché plusieurs pierres de l’ouverture de la porte, ce qui est du plug mauvais effet. Il résulte de la scructure et des proportions de la porte, que cette chapelle n’est pas moins antique que la fondation du couvent; la chronique dit qu’elle a été consacrée à l’invocation de St. Nicolas par St. Otto, lors de son passage à Nuremberg, revenant de Heilsbronn, où il était allé consacrer l’église du couvent. Ce saint Otto, apôtre des Poméraniens était de la maison des comtes bavarois d’Andechs. De plus, la chronique dit que cette chapelle a été agrandie en 1482 et que le style vieux-allemand lui a été imprimé à cette occasion. L’ancienne race des Yolkamer, qui s’est immortalisée par de riches fondations à l’église de St. Laurent, a de même richement doté cette chapelle par des vases sacrés, ornements sacerdotaux et autres objets d’art, dont il ne reste plus que la statue de St. Nicolas, occupant une console du mur extérieur ; sur le dos de cette console on voit les armes de la famille Yolkamer. D’après les documents existants encore, plusieurs autres bourgeois de Nuremberg y ont aussi fait des legs. En 1461 entre autre, l’opulent Ulrich de Ochsenfelder nstitua pour lui et ses deux conjointes, Agnès et Elisabeth, ainsi que pour son père, Henri, et pour sa mère, Mechilde, PI. III. Die älteste Thür an der Nordseite der St. Nicolaus-Kapelle im ehemaligen Heilsbronner Klosterhof nächst der St. Lorenzkirche zu Nürnberg aufgenomraen und gezeichnet von meinem Schüler dem Architecten Baron Karl Haller von Hallerstein. Diese malerisch wie geschichtlich merkwürdige Kapelle bildet mit der Lorenzkirche eine herrliche Gruppirung wenn die äusserst störende hohe Gartenmauer entfernt wird; sie würde dann ein treues Bild mittelalterlicher Baukunst vor Augen stellen ; aber leider ist diese Kapelle ihres innern Schmuckes beraubt und wird gegenwärtig von der königlichen Bank als Magazin benützt. Zur Erreichung dieses Zweckes wurden die obern und untern Steine der Thür-Oeffnung ausgebrochen , wodurch natürlich die Thüre selbst verlieren mufste. Aus der Construction und den Verhältnissen der Thür geht hervor, dafs diese Kapelle so alt ist als die Stiftung des Klosters Heilsbronn selbst; nach einer Sage soll sie der heil. Otto, der Pommern-Apostel, BischofT von Bamberg, aus dem k. bayer. Hause der Grafen von Andechs zu Ehren des heil. Nikolaus eingeweiht haben, als er von der Einweihuug der Klosterkirche in Heilsbronn nach Bamberg zurückkehrte; so viel ich in der treffenden Geschichte habe auffinden können, ist diese Kapelle im Jahre 1482 vergrössert und in altdeutschem Styl umgeformt worden. Das alte Geschlecht der von Yolkamer, welches durch reiche Stiftungen in die St. Lorenzkirche seinen Namen unsterblich gemacht hat, hat auch diese Kapelle durch Stiftungen reichlich bedacht, worunter Kirchenge- fäfse, Paramenten und andere Kunstwerke gehören, von welchen nur noch die aussenstehende Bildsäule des heil. Nikolaus vorhanden ist, an deren Console das von Yolkamer’sche Wappen sich befindet. So haben anch noch mehrere alte Nürnberger Bürger in diese Kapelle geopfert, worüber noch Geschichtliches vorhanden ist ; z. B. im J. 1461 stiftete der reiche Ulrich Ochsenfelder für sich und seine zwei Weiber Agnes und Elisabeth, so wie für seinen Vater Heinrich und seine Mutter Mechtild eine ewige Messe, welche der im Heilsbron- - 37 T~ une messe éternelle, que desservait le moine demeurent dans l’enclos et qui était en même temps sacristain. Cette chapelle, se trouvant dans le même enclos que l’édifice de la Banque royale, dans ce moment en reconsl.'uction, aurait sans donte partagé le sort des chapelles de Ste. Anne au couvent de Ste. Catherine, de Ste. Anne et de Ste. Cuné- gonde près de l’église de St. Laurent, démolies toutes les trois, n’était un décret royal du 12. Avril 1836, qui garantit de destruction cette chapelle ainsi que tous Ie3 autres anciens monuments de Nuremberg. C’est la ferme volonté du roi Louis de Bavière, enthousiaste des arts et des antiquités, que les vénérables restes de l’art du moyen âge. dont Nuremberg ne laisse pas d’étre riche, restent intacts, afin d’être légués aux générations futures. Ce sont ces témoins muets d’une grande époque passée qui assignent à Nuremberg une des plus eminentes places parmi les villes allemandes. Tous les étrangers connaisseurs s’accordent à dire que Nuremberg a conservé le plus fidèlement le type de l’ancien temps. Il n’y a pas long temps qu’à ce sujet un de nos anus nous a écrit ce qui suit „Ce que j’ai vu en descendant le Rhin m’a beaucoup „satisfait, mais les trois jours que j’ai passés à Nuremberg ont été l’apogée de mon voyage. Là, on se voit „transporté comme par un coup de baguette dans les „admirables créations du moyen âge, attestées par les „monuments religieux et autres. Aussi les habitans de „Nuremberg, dignes, joyeux et hospitaliers se prêtent- ,,ils naturellement comme l’étofFagc le plus convenable de „ce tableau architectural. C’est sans regret que je quit- ,,te Vienne, Berlin, Milan et Bruxelles pour me diriger „vers les murs de l’antique Nuremberg.“ Et Nuremberg a droit d’étre jalouse de cette gloire de loyauté et d’hospitalité, comme d’un palladium qu’elle saura conserver; tout comme elle même doit la conservation de ses monuments architecturaux au goût artiste et à la ferme volonté de son souverain, lequel, fidèle à sa devise, ne cesse d’être juste appréciateur d’un grand temps qui n’est plus, mais dont il prend soigneusement le legs sous sa sauvegarde; car le respect des anciens monuments est une religion, quand même il ne s’agirait pas précisément d’objets d’arts, mais simplement intéressants par leur antiquité. 11 serait même à souhaiter que les instituteurs prissent à tâche d’inspirer à leurs élèves le respect des traditions d’une grande période, dont les trésors épars, quel qu’ils soient, commandent la vénération. Et de quel droit réclamerions - nous de la postérité le respect de nos oeuvres de fondations pieuses, si nous traitons si méchamment celles de nos ancêtres? Bien qu’une génération moderner Hofe wohnende Kloster - Bruder, der auch zugleich Kästner war , versah. Durch den im Garten des Heilsbronner Klosterhofcs nun angetragenen Neubau der k. Bank würde dieser Nikolaus - Kapelle das gleiche Schickiul der Kapelle St. Anna im Katharinen-Kloster-Garten, St. Anna bei St. Lorenz und St. Kunigunde eben daselbst gehabt haben; alle drei genannten sind abgebrochen worden und nun spurlos” verschwunden. Ein kö- nigl. Rescript vom 12ten Apri 1 1803 bewahrt die Nikolaus- Kapelle so wie alle noch vorhandenen Baudenkmale der Vorzeit Nürnbergs vor gleichem Schicksal. Aber es ist auch der feste Wille des für Kunst und Geschichte begeisterten Königs Ludwig von Bayern, dafs die ehrwürdigen Uebe reste mittelalterlicher Kunst, an denen Nürnberg immer noch so reich ist, möglichst erhalten und den kommenden Geschlechtern überliefert werden ; sind es doch dicie stummen Zeugen einer grofsen Kunstvergangenheit, die Nürnberg in dieser Beziehung zu einer der sehenswerthesten Städte Deutschlands erhebt. Alle Fremden , die diese Denkmale mit Kenner-Augen betrachten, sind darüber einverstanden, dafs Nürnberg am getreuesten den Typus jener Zeit bewahrt hat. Ein Freund schrieb vor Kurzem Nachstehendes an mich darüber „Meine ganze Reise den Rhein hinunter war höchst ge- „nufsreich, aber die drei Tage, die ich in Nürnberg „verweilt, sind doch die eigentlichen Glanzpunkte derselben , und wird man durch die herrlichen Bau - und „Kunstdenkmale gleichsam in das phantasiereiche Mittelalter versetzt, so liefern die wackcrn, fröhlichen, „gastfreien Nürnberger die würdigste Staffage zu diesem „höchst anziehendem Bilde , und gerne lasse ich wieder „Wien, Berlin, Mailand und Brüssel liegen und wende „mich dem mittelalterlich romantischen Nürnberg zu.“ Und diesen Ruhm hat Nürnberg auch für fernere Zeiten als ein Heiligthum zu bewahren, den Ruhm der Biederkeit, der Gastfreundschaft, wie es die Erhaltung seiner noch übrigen Kunst- und Baudenkmale, dem Kunstsinn und dem festen Willen seines Monarchen verdankt, der seinem Walilspruch getreu, auch gegen eine grofse Vergangenheit gerecht sein will, indem er ihre Vermächtnisse ehrt und solche beharrlich beschützt, denn es ist billig vor dem Altehrwürdigen Achtung zu haben, auch wenn es kein Kunstgegenstand und nur durch die Erinnerung geheiligt wäre, und cs sollte eine eigene Aufgabe der Erzieher seyn, ihren Zöglingen Achtung vor den Ucberliefe- rungen einer grofsen Kunstperiode cinzufiöfscn, deren zerstreute Schätze, die kleinen wie die grofsen, mit einer Art Ehrfurcht zu betrachten sind; und können wir mit Recht Achtung von unsern Werken, von unsern Vermächtnissen und Stiftungen fordern, wenn wir gegen die unserer Altvordern mit . » »j a 38 ne, irréfléchie et froide ait porté de» main» coupable» vers le» oeuvres de l'ancien art, nous avon» lieu d’espérer que nous •aurons conserver tout ce qui a été sauvé du naufrage; car la génération actuelle ne se montrera pas indigne de l'exemple d’un souverain ami des arts. Notre génération, qui se pique si fort de progrès, est appelée à veiller sur la conservation des antiquités et doit employer tou» les moyens en son pouvoir pour ne pas laisser tomber l’art en décadence. Une autre tâche de notre génération c’est de rechercher et d’étudier les restes d’une grande pérriode artiste, dignes d’être imités, afin que nous remportions, s’il est possible, la palme sur l’ancienne, que nous avons vue si souvent méconnue ou même maltraitée. Style gothique allemand. PI. IV. Fig. a. Carquois d’après un tableau d’Albert Dürer, dans la galerie de tableaux du Couvent de Landau à Nuremberg. Cet intéressant tableau à la détrempe est traité avec un soin extrême et représente un Hercule avec arc et flèche, poursuivant les Harpies. Ce remarquable carquois, qui lui pend au côté et parait figurer comme pièce principale, est traité avec une recherche extrême , si bien qu’on ne saurait douter qu’il ne fût peint d’après nature ; à en juger sur l’ornementique, il appartient au quinzième siècle. Ces carquois sont encore en usage de nos jours chez les Baskirs, Kalmuks et Mogols. Fig. b. Carquois d'arbalète, de la collection de M. le baron Erneste de Bibra, homme de lettres et ami des arts. Ce carquois rare et bien conservé est, d après son caractère et ses ornements, du quatorzième siècle, son couvercle supérieur représente la figure d’une femme nue 1 innocence, et pour écarter d’elle tout danger, elle est entourée d’une guirlande de chardons, inaccessible aux lions et autres bêtes féroces. Cette allégorie des chardons est très parlante et donne une idée favorable du profond sentiment artiste du compositeur. PI. V. Fronton très intéressant du toit dit ,,le toit d’or“ à In- spruck, dessiné par l’auteur en 1813, époque où ce fronton était encore de meilleure conservation qu’il ne l’est à présent. Dans notre dessin nous l’avons tenu restauré et nous y avons ajouté vandalischer Rohheit verfahren ? Und hat auch eine unverständige kaltherzige Vergangenheit frevelnde Hände an die Werke alter Kunst gelegt, so dürfen wir doch nun hoffen, das glücklich Gerettete behalten zu können, denn die Gegenwart kann hinter dem erhabenen Beispiel eines kunstsinnigen Fürsten ohnmüglich Zurückbleiben, aber immer wieder wird es eine Aufgabe unserer des Fortschritts sich rühmenden Zeit sein, das alte Erhaltenswerthe zu erhalten, es mit allen Hütfs- mitteln der Kunst vor gänzlichem Verfall zu schützen, es wird ferner eine Aufgabe unserer Zeit sein, das Nachahmenswerthe einer grofsen Kunstzeit aufzufassen und ws möglich zu überbieten, damit endlich das Neue mit dem so oft verkannten ja mifshandelten Alten würdig um die Palme ringen möge. Deutscher gotlilsclier Styl. PI. IV. Fig. a. Bogen - Köcher nach einem Gemälde Albrecht Dürers in der Gemälde-Gallcrie des Landauer’schen Klosters. Dieses interessante Gemälde ist in Leinfarbe mit ausserordentlichem Fleifs gemalt und stellt einen Herkules vor, der mit Pfeil und Bogen die Harpien verfolgt. Dieser merkwürdige Köcher hängt ihm zur Seite und scheint die Hauptsache zu sein, da er mit besonderer Aufmerksamkeit behandelt ist, so dafs man nicht zweifeln darf, er scy nach der Natur gemalt; der Ornamentik nach zu urtlieilcn gehört er dem 15ten Jahrhundert an. Achnlichc Köcher haben noch heut die Baskiren, Kalmücken und Mongolen. Fig. b. Pfeilköcher eines Armbrustschützen aus der Sammlung des kunstsinnigen und gelehrten Baron Ernst von Bibra in Nürnberg Dieser merkwürdige äusserst seltene und noch gut erhaltene Köcher ist seinem Charakter und seiner Ornamentik nach unstreitig aus dem l4ten Jahrhundert, und in der Abbildung getreu wiedergegeben. An dem Deckel ist eine nackende Frauengestalt die Unschuld abgebildet, welche zu ihrem Schutze, und um jede Gefahr von ihr abzuhalten, mit einem Distel-Ornament umgeben ist, das die Löwen und anderes Kaubwild abhält. Diese Allegorie der Disteln ist sehr sprechend und läfst auf den gebildeten Kunstsinn des Compositeurs schliefsen. Die Ornamentik ist in Eisen getrieben und geschnitten, eben so der Deckel ; der Köcher selbst ist von starkem Holz und mit einem Dachsfell überzogen. PI. V. Der äusserst interessante Erker, das sogenannte goldne Dach in Insbruck, vom Herausgeber im J- 1813 gezeichnet, wo er noch etwas besser erhalten war als jetzt In der Zeichnung habe ich ihn durchgängig restaurirt gehalten und den klei- I f M6- la petite fontaine saillante, qui est en métal. Quant au style de la maison, qui est à présent modernisée, je me suis permis de lui donner un air antique. Ce fronton très pittoresque se trouve au grand Marché et fait un merveilleux efTet, il est barriolé sur fond blanc; nous regretons seulement qu'à cette époque nous ne nous soyons pas informé de sa partie historique, omission qui nous prive aujourd’hui du moyen d’expliquer les divers bas-reliefs, les décorations analogues, les emblèmes ainsi que les armoiries. Au reste c’est un fait historiques que ce fronton a été édifié par l’archiduc Frédéric IV. surnommé, Frédéric à la bourse vide, et que ce prince, dans le but de faire mentir ce sobriquet, a dépensé 30000 ducats pour la dorure de ce toit, de plus il est un bruit traditionnel à Inspruck que depuis long temps des industriels ont gratté de ce toit une telle quantité de dorure que la valeur de ce qui reste se trouve amoindrie de moitié. Du reste l’archiduc Frédéric était ami des arts, et Inspruck conserve encore avec reconnaissance la mémoire de tout ce qu’ il a fait pour la ville. HJ»- f nen metallenen Köhrbrunnen angebracht; auch habe ich mir erlaubt dem nun modernisirten Gebäude ein älteres Ansehen zu geben. Dieser üusserst malerische Erker steht auf dem Ilaupt- markte und macht einen wunderschönen EfTect ; er ist auf weis- sem Gruud bunt bemalt, nur bedauere ich , dafs ich mich damals um das Geschichtliche dieses Baudenkmals nicht bekümmert habe, um die vielen Basreliefs, analogen Verzierungen und Embleme, so wie die Wappen erklären zu können. Uebri- gens ist es historisch ermittelt, dafs dieser Erker von Erzherzog Friedrich dem IV. genannt „mit der leeren Tasche“ erbaut wurde und dafs dieser Fürst 30,000, einige Schriftsteller behaupten gar 200,000 ? Ducaten auf die Vergoldung des Daches daher das goldene Dach verwendet haben soll, um jenen Spottnamen zu widerlegen; auch geht noch bis zu diesem Tag in Insbruck die Sage, man habe von der dick aufgetragenen Goldmasse vor langen Zeiten eine solche Menge abgeschabt, dafs der Werth desselben sich um die Hälfte verringert habe. Uebrigens war Erzherzog Friedrich ein kunstsinniger Fürst und Insbruck hat ihm heute noch viel zu verdanken. PI. VI. PI. VI. Antique siège, tiré du ci-devant arsenal de Nuremberg, du temps de l’empereur Maximilien I. Ce siège fut dessiné par l’auteur en 1825, chez l’antiquaire Rittberger, qui avait acheté cette antiquité en 1800, comme dernier reste de cet ancien arsenal. Il est en bois de chêne, mais bien fracturé. Probablement ce siège était jadis occupé par la figure de l’empereur Maximilien pour faire pendant avec une autre figure du même arsenal, que possède M. Rupprecht, fondeur en cuivre de la même ville et qui représente le roi de Suède, Charles XII. D’après une tradition, ce roi aurait laissé à cet arsenal son habit de guerre, son chapeau et son épée; celle-ci se trouve à présent en possession du roi de Bavière. Ein alter Stuhl aus dem ehemaligen grossartigen Zeughause zu Nürnberg aus der Zeit Kaiser Maximilians I., von dem Herausgcbar im J. 1825 bei dem Antiquitätenhändler Rittberger gezeichnet, der diesen Stuhl im J. 1800 erkaufte, als der letzte Rest vom Inhalt des alten Zeughauses unter den Hammer kam. Dieser Stuhl war von Eichenholz aber schon sehr zerbrochen als ich ihn zeichnete. Wahrscheinlich hat einst eine Figur den Kaiser Maximilian vorstellend darauf gesessen, ähnlich jener Figur, welche der hiesige Rotligiefser- meister Rupprecht aus demselben Zeughause besitzt und die den Schwedenkönig Karl XII. vorstellte. Karl soll einer Sage zufolge seinen Kriegsrock sammt Hut und Degen dem hiesigen Zeughause verehrt haben; der Degen dieses Königs ist nun im Besitz des Königs von Bayern. PI. VII. PI. VII. t l Petite porte du dortoir détruit maintenant du couvent du saint Tombeau à Denkendorf, dessiné par l’auteur en 1810. Quoique ce couvent, remarquable sous tous les rapports, eût subi plusieurs dévastations, surtout du temps de la guerre des paysans, il conservait encore de superbes monuments, qui tous méritent d’étre recueillis. Cette superbe porte est en bois de chêne, très proprement sculptée ; elle harmonisait parfaitement avec le lambris Kleine Thüre des ehemaligen nun zerstörten Dormiteriums im Kloster zum heiligen Grab in Denkendorf vom Herausgeber im J. 1810 gezeichnet. Dieses in jeder Beziehung merkwürdige Kloster, obschon es viele vandalische Zerstörungen besonders in dem letzten Bauernkrieg 1525 erlitt, besafs dennoch viele hcrliche Denkmale aus frühem und spätem Stiftungen, welche alle gesam- malt zu werden verdienen. Obbenannte Thüre ist von Eichenholz, sehr rein geschnitten, J und stand mit dem Getäfel und dem Gesimse über der Thüreinfas- I ♦Ml 40 »M et leg chambranleg. Cea lambris sont analogues à ceux da couvent de Blaabeuren ; il est fort à craindre qu’anjourd’bui il n'en existe plus rien, toutes ces localités appartenant à 'présent à des particuliers, qui les ont transformées en fabriques. Ce qn’il y avait encore d’intéressant, c’est qu’au do des battants se trouvait la figure de St. Félagius, patron du couvent, que nous regretons de n'avoir pas copié. PI. VIII. Projet non-exécuté du piédestal du monument érigé à Albert Dürer à Nuremberg, dont la statue a été modelée par le professeur Rauch à Berlin. / L’auteur a composé ce piédestal projet par ordre de la municipalité de Nuremberg, laquelle l’a agréé et qui entendait le faire exécuter par le sculpteur et fondeur Burgschmidt et par les scu’pteurs Howald et Rottcrmund, mais feu le directeur Gartner, chef du Comité des arts, le trouvant trop riche, ne l’approuva point. Four satisfaire aux demandes multipliées des amis des arts et de nos anciens élèves, nous avons cru, en l’incorporant dans notre Ornementique, devoir le soumettre au jugement du public. L’idée et les symboles de ce piédestal sont tenus dans le style du siècle d’Albert Dürer et expriment non seulement le mérite de cet homme célèbre mais aussi son histoire et celle de ses élèves. C’est pour cette raison que ses pieds se trouvent environnes, aux quatre angles du piédestal, et en guise de couronnement des baldaquins, de petits lions, symboles de la force et delà constance allemandes; lestions portent des génies ailés, qui au son des trompes publient la gloire de l’artiste au monde entier. Suivent sur les quatre faces les décorations principales la Peinture, la Sculpture, l’Architecture et la Gravure allégorisées, de plus les armoiries dont Dürer a été gratifié par l’empereur Maximilien, ainsi que ses armoiries de famille, suspendues par de petits génies. Aux côtés il y a, deux à deux, les statues des huit élèves les plus distingués de Dürer, sur la même base que les figures allégoriques et en posture amicale. Voici leurs noms Jeannot Wagner de Culmbach, Albert Aldegrevers, Albrecht Aldorfer, Jeannot SchâufTelein, George Penz, Jeannot Burgmaier, Jeannot Sebald, Behaim et Martin Grünewald. Le deuxième compartiment contient en guise de médaillons les quatre élèves moins distingués d’Albert Dürer Evrard Schön, Jeannot Spring n Klee, Jacques Biek et Albrecht Glocken- sung in Verbindung und zwar in durchaus schöner Harmonie ähnlich dem aus derselben Zeit stammenden Getäfel im Kloster Blaubeuren ; wahrscheinlich ists, dafs von allen diesem vielleicht auch von dieser schönen Thüre nichts mehr vorhanden ist, da alle diese Räume nur Privaten gehören und zu einer Fabrik eingerichtet sind. Die Flügeltliüre hatte auch noch das Interessante, dafs auf einer Rückseite der heilige Pelagius, der Patron des Klosters gemalt war, den abzuzeichnen ich leider versäumt hohe. PI. VIII. Project des nicht ausgeführten Fufsgestelles zu Albrecht Dürers Denkmal in Nürnberg, dessen Standbild Professor Rauch in Berlin modellirte *. Dieses Fufsgestell, welches der Herausgeber im Auftrag des Magistrats von Nürnberg verfertigte, der es auch genehmigt und von dem Bildhauer und Erzgiefser Burgsrhmidt in Verbindung mit den Bildhauern Howald und Rotermund ausgeführt wissen wollte, wurde von dem verstorbenen Director von Gärtner, damaligen Chef des Kunstausschusses iu München, als zu reich gehalten nicht gut geheifsen; vielfach nun aufgefordert von Kunstfreunden und ehemaligen Schülern finde ich mich veranlafst es in meine Ornamentik aufzunehmen und es so der Ansicht und Beurtheilung des Publicums zu übergeben. Die Idee und der Sinn des Postamentes, welches nicht allein die Verdienste Dürers, sondern auch seine Geschichte und die seiner Schüler ausdrücken soll, ist im Style des Zeitalters Dürers gehalten, daher sind zunächst den Füfsen Dürers und zwar an den vier Ecken des Postaments als Krönung der Baldachinen kleine Löwen angebracht, Sinnbilder deutscher Kraft und Ausdauer; auf den Rücken dieser Löwen sitzen geflügelte Genien, die mit Posaunen den Ruhm des Künstlers in alle Welt verbreiten. Nun folgen auf den 4 Seiten des Postaments die Hauptverzicrungen desselben allegorische Vorstellungen der Malerei, Bildhauerei, Architectur und Kupferstichkunst, mit dem Wappen, das Albrecht Dürern vom Kaiser Maximilian verliehen wurde, nebst seinem eigenen Familien-Wappen von Genien als Kinder gehalten. An den Seiten stehen je zwei kleine Bildsäulen der acht berühmtesten Schüler Dürers mit den allegorischen Figuren auf gleicher Grundfläche und Höhe, in freundschaftlicher Stellung; ihre Namen sind Hans Wagner von Kulmbach, Albert Aldegrevers, Albrecht Aldorfer, Hans SchâufTelein, Georg Penz, Hans Burgmaier, Hans Sebald Behaim und Martin Grünewald. Die zweite Abtheilung enthält in Medaillons die Portraits der *> Diese Statue hat Director und Gemälde-Konservator A. Reindel nach der Natnr gsieichnet und gestochen. i I 41 thon. Finalement il y a au socle plusieurs décorations et les armories de lu ville de Nuremberg. A l’appui du retentissement que notre idée a trouvé, nous nous référons au témoignage de M. le professeur Rauch , artiste d’un mérite généralement reconnu, ainsi qu’à celui du maître par excellence, feu M. Schinkel, directeur intime d'architecture. Nous allons faire parler ici M. Rauch lui-méme dans sa lettre à feu notre ami le docteur Frédéric Campe, en date du 0. Mars 1828 „A l’égal de tous ceux qui ont vu le beau dessin du „piédestal, mon ami Schinkel est enchanté de cette su- „perbe composition. Il trouve ce travail admirable et j'au- „rais été bien aise que HeideloiT eût été présent pour qu’il „eût pu entendre de la bouche même de mon ami ses pa- „roles de raisonnement et d’applaudissement. Heideloff se „serait sûrement senti récompensé de ses grands travaux. „J’aurai bien de la peine à donner le même degré de „perfection à la statue pour laquelle l’ami Heideloff „fournit ce piédestal.“ Rauch ne s’est jamais démenti de ce jugement et tous les artistes et amis des arts de Berlin le partagent. Le 14. Juin de la même année M. Schinkel m’écrivit ce qui suit „Monsieur et ami, „Par la communication de M. le professeur Rauch j’ai „été réintroduit dans votre belle sphère. Le superbe ,,dessin du piédestal d’Albert Dürer, que vous avez projeté, augmenterait encore, si cela était possible, mes „sentiments d’estime et de respect; si bien que vous me „pardonnerez de vous en réitérer ici l’expression. Je „confie ces lignes à un bien loyal ami et collègue, monsieur le premier architecte Schmidt, qui est désireux „de faire votre connaissance personnelle.“ minder 4 bedeutenden Schüler Dürers Erhard Schön, Hans Springin Klee, Jakob Bink nnd Albrecht Glockenthon. Den Beschluss am Sockel machen Verzierungen und die Wappen der Stadt Nürnberg. Zum Beweis, welchen Anklang diese Idee gefunden ha , berufe ich mich auf den anerkannt bedeutenden Künstler Professor Rauch und den nun verewigten Bau-Director Schinkel. Ich lasse hier Rauch selbst reden und zwar in einem Briefe an meinen verstorbenen Freund Dr. Friedr. Campe in Nürnberg, de dato 9. März 1828. ,,Mein Freund Schinkel, wie alle, welche die schöne „Zeichnung des Piedcstals gesehen haben, sind entzückt „über diese herrliche Composition; ersteren gefällt diese „Arbeit so sehr, dafs ich gewünscht hätte Heideloff hätte „die eigenen Worte der Beurtheilung und des Beifalls „hören können, um für die grofse Bemühung um die „Sache sich belohnt zu fühlen. Ich werde Mühe haben, „so viel Interesse in das Standbild zu legen als Freund „Heideloff schon im Entwurf des Piedestals desselben „errungen hat. Von dieser Ansicht ist Rauch nie abgewichen und alle Berliner Künstler und Kunstfreunde theilten dieselbe mit ihm. Am 14. Juny desselben Jahrs schrieb mir Schinkel folgendes Sehr geehrter Herr und Freund. „Durch Herrn Professor Rauchs Mittheilung bin ich „wieder in Ihren schönen Wirkungskreis eingeführt wor- „den; und die herrliche Zeichnung, welche Sie für das „Fussgestell zu der Statue Dürers entworfen haben, al- „les diess hätte meine Hochachtung und Verehrung für „Sie, wenn es möglich gewesen wäre, noch vermehrt, „so dafs Sie es mir wohl verzeihen werden , Ihnen „diese Gesinnungen hier einmal auszusprechen. Ich „vertraue diese Zeilen einem sehr biedern Freund und „Collegen, dem Geheimen - Oberbaurath Schmid an, „welcher die Freude haben wird , Ihre persönliche Bekanntschaft zu machen. 42 Albrecht Dürers Reissfeder ; mit seinen Spielkarten und etwas Geld im Dürers Hause aufgefunden und im Besitze des Herausgebers. An Albrecht Dürers Reissfeder gedichtet am 26. Febr. 1829 in Meiningen ron Ludwig Bechstein. I Voll tiller Ehrfurcht grüss ich Dich Du lieiligthcures Alterthum! Wie Geisternähe weht* um mich Von Albrecht Dürer* Kruft und Ruhm. Ich wufste kaum wie mir geschah. AI* ich bewundernd Dich erfasst; Es trat die alte Zeit inir nah Ein wunderbarer, ernster Gat. Die Fülle der Gestalten quoll Au* alten Bildern, licht und frisch Au* Monumenten, wundervoll, Sprang blühende* Leben zauberisch. Auf Schwingen, wie der Cherubim Sah ich den Ruhm im Sonnenglanz, Und seine Tuba klang von Im Und seine Hand hielt Dürer* Kranz. Dich hielt des Künstlerfürsten Ilamd, Reliquie, durch Ihn geweiht! Du schönerst nicht, wie Modetand , Bist einfach, stark, wie Dürer* Zeit, In seiner Hand hast Du geruht, Wenn er um Bilder Rahmen zog, Und seliger Empfindung Glutli Durch seine edle Seele flog. Du prungtest nie iin engem Raum, Was er so gross und schön gedacht; Du zogst um manches Bild den Saum, Das seine Schöpferhand vollbracht. Du warst gewiss ihm lieb und werth, Denn Künstler schätzen ihr Geräth, Und ungern hat *r Dich entbehrt, Und wieder fandest Du dich spät. Ein Künstler war’* der Dich verlor , Dich fremder Hand geglaubt zu Staub; Ein Künstler hob Dich nun empor, Aus des Vergessen* dumpfen Staub, Wenn Amulet und Todenbein Ein frommer Glaube brünstig küsst, Wie werth musst Du des Schmuckes sein, Die heiliger als jenes ist! Ein Künstler, dessen Forscherblick Von Dürers Fleiss das Werkzeug fand. So gab ein lohnendes Geschick Dem würdigsten Dich in die Hand. oes- I 43 livraison. X VIII. Explication des Planches. Style byzantin. PI. I. Fig. a. Chapiteau, figure b. piédestal d'une colonne, faisant partie de la nef intermediaire de l'ancienne église du couvent de Heilsbronn en Bavière. On sait que, peu de temps après la reformation, des mains impies ont exercé des dévastations dans cette superbe et remarquable église, lieu de sépulture des ancêtres de la maison de Prusse; de même il est à la connaissance de tous que, par suite de cet acte, la solidité de tout l'édifice a reçu de rudes atteintes, l’église ayant perdu ses contre-forts par la destruction du beau transept, de telle sorte que les massifs menacent de s’entre-ouvrir, à moins qu’on n'y remédie encore à temps. S’il y a profanation que la superbe chapelle byzantine serve de brasserie; il est honteux aussi que de cette manière on la laisse marcher d’autant plus rapidement vers son entière ruine. Le défunt roi Guillaume trois, voulant faire restaurer le sépulcre de ses ancêtres, nous avons, de 1820 à 1822, par son ordre, levé des dessins de tout le couvent, ce qui nous a mis à même de réuuir In plus grande partie des monuments encore existants et de les entreposer dans l’ancienne chapelle, dite de lleidegg, mais il est plus que temps qu’on mette la main à leur restauration et qu’on leur assigne des places convenables. Le chapiteau de la figure a est de la plus ancienne église du couvent celle dont Otto le Saint, évêque de Bamberg fit donation à l'ordre Achtzehntes lieft. Erklärung der Platten. Hyzaiitlnidclier Styl. PI. I. Fig. a. Kapital und Fig. b. Fuss der starken Säulen des Mittelschiffs der alten Klosterkirche zu Heilsbronn in Bayern. Bekanntlich ist diese herrliche merkwürdige Kirche, das Erbbegräbnis der Vorfahren des k. Preuss. Hauses, bald nach der Reformation auf das ruchloseste zerstört worden, wobei die Festigkeit und Würde dieser Kirche unendlich gelitten hat, besonders durch die Zerstörung des sehr schönen Kreuzganges, durch welche die Kirche ihre Widerlager verlor und nun auseinander zu bersten droht, wenn nicht schleunige Hülfe geleistet wird, auch ist es eine Schmach, dass die herrliche byzantinische Kapelle immer noch ein Bräuhaus ist, eine Bestimmung, die sie ihrem gänzlichen Verschwinden schnell entgegen führt. Ich habe in den Jahren 1820 bis 1822 das ganze Kloster im Auftrag des verstorbenen Königs Wilhelm III. aufgenommen, welcher projectirte das Erbbegräbnis seiner Almen im baulichen Stande zu erhalten. Bei dieser Gelegenheit hatte ich fast alle noch Vorgefundenen Denkmale zusammengetragen, und sie in die ehemalige Heidecker Kapelle bringen lassen , wo sie noch aufbewahrt stehen, aber auch da gehen sie ihrem Verderben entgegen, wenn sie nicht bald re- staurirt und aufgestellt werden. Das Kapitäl, wovon ich in Fig. a. eine Abbildung vorführe, ist noch von der ältesten Klosterkirche, welche Otto der Heilige, Bischof von Bamberg, 4 »»4f 44 »o des Bernardini en 1132. Les colonnes, analogues à celles de l’église du courent de Hirschau de la forêt Noire ont été par malheur, et dans un temps moderne, recrépies et mêmes recouvertes en plâtre, si bien qu’on ne reconnaît plus la membrure originaire. Les chapiteaux, de formes simples et dénués d’ornements plastiques, semblables en cela à ceux deHirschau, avaient été en couleurs- Dans quelques endroits nous avons fait tomber le plâtre et nous avons trouvé que le jaune formait le ton principal, les ornements accessoires étaient en vert, ou en violet, les rinceaux en rose. Les piédestaux, moderni sés par les gens de la période du style de rococo, sont encore bien conservés sous l’enveloppe de plâtre, aux tores près, que ces gens out coupés, et dont on voit à peine encore les fanes L’intéressant travail de profil du piédestal de la figure c. est également défiguré. Les bases des colonnes du choeur figure e et /. accusent une haute antiquité et sont si originelles que nous n’en connaissons point de pareilles; la base, représentée dans la figure d. mérite égalemcnl une mention, de même que les ornements de la figure g, que j’ai découverte en 1820 scellée dans le mur. PI. II. Fig. a. Intéressante frise avec consoles, dans un palais maure à I’alèrme, dessinée d’après nature, et à nous communiquée par l’architecte Ottmar Cramer, actuellement à Méran. Cette frise, pleine de goût, date pour sur du temps du roi Roger 1136 —1142. Fig. 6. et c. Chapiteaux à Krautheim ; figure d. Chapiteaux de la chapelle du château de Hohenlohe en Saxe. Fig. e. Chapiteaux et bases Nr. 1 de la chapelle supérieure du ruineux château de Hohenlandsberg, à trois lieues de Leipsic. Fig. f. Nr. 2 de l’cglise du St. Léonard à Francfort sur le Mein. Fig. g. Chapiteau et base Nr. 3, trouvés en 1812 sur le vieux castel de Lobern sur la Moselle; ce castel est très remarquable par son ancienne chapelle des Templiers. PI. III. im J. 1132 dem Cisterzienser Orden weihte ; diese Säulen, ganz ähnlich denen der Klosterkirche zu Hirschau im Schwarzwalde, sind leider durch profane Hände in neuerer Zeit nicht allein übertüncht, sondern auch mit Mörtel überzogen worden, wodurch ihre ursprünglichen Glieder modernisirt, oder doch unkenntlich gemacht worden sind. Diese einfachen , und von aller plastischen Ornamentik entblössten Kapitäle waren wie die Hirschauer Kapitäle bemalt, wovon ich beim Abkrntzen derselben Spuren gefunden habe, welche denen bei Fig. a. ähnlich waren, ich fand vorzüglich Gelb als Grundfarbe, die Verzierung grün, auch violett, und rosenfarbene Blätter. Die Säulenfüsse, welche in der barocken Zeit modernisirt wurden, sind unter dem Mörtel noch gut erhalten, mit Ausnahme der Wülste, welche bei dem Lebertünchen zerhauen wurden, so, dass man die Schutzblätter an den vier Ecken kaum noch erkennt; auch das interessante Profil des Fusses Fig. e. ist kaum noch erkennbar. Aeusserst merkwürdig sind noch die Säulenfüsse an dem Chorpfeiler Fig. e und /. wie ich ähnliche fast noch nirgend gefunden habe , jedenfalls verrathen sie ein hohes Alter; — auch der höchst originelle Säulenfuss Fig. d. ist beachtenswerth , ebenso das Ornament Fig. g., welches ich im Jahr 1820 eingeraauert gefunden habe. PI. II. Fig. a. Interessanter Fries mit Kragsteinen an einem maurischen Palaste zu Palermo, nach 'der Natur gezeichnet und mitgetheilt vom Architekten Ottmar Cramer, gegenwärtig in Meran. Dieser geschmackvolje Fries ist bestimmt aus der Zeit des Königs Roger 1136 —1142. Fig. b, c. Kapitäle von Knautheim. Fig. d. Kapitäl aus der Burg-Kapelle zu Hohenlohe in Sachsen. Fig. e. Kapital und Fufs Nr. 1 von der obern Kapelle, der Doppel-Kapelle, auf der ruinösen Markgrafenburg Hohenlandsberg , 3 Meilen von Leipzig. Fig. / Kapitäl und Fuss Nr. 2 an dem Innern der St. Bernhardskirche zu Frankfurt am Main. Fig. g. Kapitäl und Fuss Nr. 3 aufgefunden im Jahre 1812 auf der alten Burg zu Cobern an der Mosel, welche Burg, durch ihre alte Templer-Kapelle sehr merkwürdig ist. PI. III. Pierre tumulaire dans l’église de Beutelsbach, canton de Schorndorf en Wurtemberg. Ce monumnnt est le plus ancien et le seul qui ait été épargne lors de la période de destruction sous Conrad deWcinsperg en 1309. Nous regretons qu’on sache si peu l’apprécier et si peu le garantir, par une sorte de cage défectueuse, laquelle n’empéche point que les paroissiens ne marchent dessus et qu’il ne soit tellement émoulu que le bas- relief finira bientôt par n’étre plus reconnaissable. Cette piirre Fig. a. Das älteste Denkmal des k. Wûrtembergischen Hauses, in der Kirche zu Beutelspach, im Amte Schorndorf; das einzige Denkmal, welches noch aus der Zerstörungs-Periode unter Konrad von Weinsperg im Jahr 1309 übrig geblieben ist; aber leider ist dieses Denkmal 'so unbeachtet geblieben, dass es diesen Tag noch am Boden liegt, und obwohl verdeckt, ist dennoch dadurch noch keine Bürgschaft für seine Erhaltung gegeben, da immer noch, bei jeder Gelegenheit darauf her- ang o 1 er- X - **îî 45 ©*• tnmulaire, par malhenr dépourvue de toute inicription, est aux armoiries wurtembergeoises les plus anciennes. Les trois bois de cerf ont, chacun, trois chevilles, tandis qu’ils on out quatre dans les armoiries modèrnes. L’écu est triangulaire par en bas et penché du côté gauche comme tous les écus du neuvième et dixième siècle. Cet écu est surmonté d'un casque à long bec avec un lambrequin, mais qui est entièrement défiguré, et il n'y a que l’oeil exercé du connaisseur qui en puisse encore reconnaître les contours. Sur [le casque il y a le cor de chasse avec trois plumes dans l'embouchure. Or c'était déjà un usage chez les Romains et antres peuples plus anciens encore que de mettre des plumes dans les embouchures des instruments à vent, el ils voulaient les préserver par là de la poussière. Chaque plume est d’une autre couleur, qui sont le blanc, le rouge et le bleu. En 181- nous avons dessiné ce rare monument pour le feu roi Frédéric I, qui prenait un vif intérêt à tout ce qui concerne l’histoire de sa maison. 11 aurait désiré que ce monument occupât une place plus convenable à sa conservation et qu'en même temps toute l’église fût restaurée. Sur son ordre nous dessinâmes en la même année toute l’église et nous nous mimes à la recherche de tous les autres monuments encore existants, que nous dessinâmes de même, mais la guerre ayant de nouveau éclaté, il ne fut donné point de suite au projet de ce prince. Nous représentons ici ces monuments co nme déjà restaurés, et tels, qu’a- près un examen exact, nous croyons qu’ils ont été exécutés originairement. Dans l’église de Markt - Groeningen on rencontre nn autre sépulcre remarquable, celui du comte Hartmann de Wurtemberg, il porte l’inscription que voici ANNO. DOM MCCLXXX. IN DIE Cb HARTMAN COMES DE GRVNINGEN. Dans l’écu il y a des bois de cerf à quatre chevilles. Un examen des autres écus wurterabergeois nous a démontré qu’ anciennement on n’y regardait pas de si près sur le nombre des chevilles. Souvent le troisième bois, qui est celui d'en bas, a trois chevilles seulement, par la simple raison que, les anciens écus triangulaires, se rétrécissant par en bas, il a fallu de même amoindrir le nombre des chevilles, et de trois lions, par exemple, postés les uns sur les antres, il faudrait aussi que celui d’en bas fût le plus petit. Dans l’église de Bcutels- bach j’ai trouvé encore deux autres pierres tumulaires, également évasées par les pieds des passans , et dont l’une fait reconnaître assez distinctement un personnage, qui, à en juger umgegangen wird, so dass es dergestalt abgeschliflen ist, dass das Basrelief dieses Grabsteins nur noch in sehr schwachen Umrissen zu erkennen ist. — Dieser Grabstein enthält nun das älteste würteinbergische Wappen, aber leider, ohne alle Umschrift. Die drei Hirschgeweihe dieses Wappens haben hier durchans drei Zinken Enden während in dem jetzt üblichen deren viere sind, nur das unterste Geweihe hat drei Zinken. Der Schild ist dreieckig nach unten zugespitzt, wie alle Schilde des 9 —10. Jahrhunderts, und nach der linken Seite geneigt. Der Helm, der auf dem Schilde steht, ist ein Stechhelm aus der vorgenannten Zeit, mit einer Helmdecke, welche aber so stark abgetreten ist, dass sie ganz unkenntlich geworden, und als nicht zum Helm gehörig erscheint, nur das geübte Auge des Kenners kann hier entscheiden. Auf dem Helm steht das Jägerhorn, aus dessen Mündung drei Federn ragen — eineVerfahrungsweise der ältesten Völker, namentlich der Römer, welche, um die Mündungen ihrer Blas-Instrumente vor Staub zu bewahren, Federn hineinsteckten, die zugleich als Zierden dann betrachtet wurden. Im württembergischen Jägerhorn sind drei Federn in den Farben, weiss, roth und blau angebracht. Dieses seltene Monument zeichnete ich im Jahre 1812 für den verstorbenen König Friedrich I, welcher sich für alles, was die Geschichte seines Hauses betraf, sehr interessirte, er wollte diesen ältesten Grabstein seiner Ahnen in der Kirche zu Beutelspach zu weiterer Erhaltung würdig aufstellen lassen, wobei zugleich die Kirche wiederhergestellt werden sollte ; und so musste ich im genannten Jahre nicht allein die Aufnahme der Kirche besorgen, sondern auch alle vorhandenen Denkmale aufsuchen und zeichnen. — Die damaligen Kriegszeiten verhinderten die schon beschlossene Ausführung. Nach genauer Untersuchung habe ich dieses Wappen im restaurirten Zustande gezeichnet. Merkwürdig ist auch das Grabmal des Grafen Hartmann von Würtemberg in der Kirche zu Markt- Gröningen mit der Umschrift ANNO. DOM MCCLXXX IN DIE FRXgISSI. Cb HARTMAN COMES DE GRVNINGEN. an welchem Wappenschild durchgängig vierendige Hirsch- Geweihe Vorkommen, zwar habe ich bei näherer Untersuchung dieser würtembergischen Wappenschilde gefunden, dass damals die Anzahl der Zinken nicht so genau genommen wnrde; dass ferner das dritte Hirsch-Geweihe nur drei Zinken hat, kommt daher, weil die alten dreieckigten Schilde unten enger waren als oben, dieses unterste Geweihe daher kürzer gemacht werden musste; in einem ähnlichen Schilde mussten z. B. von drei übereinander stehenden Löwen, der unterste auch kleiner werden. In der Kirche zn Bcutelspach fand ich noch zwei Grab- 46 - in >4t iur l’habit, représente un chanoine, inr l’antre il y a tout simplement un calice. Nous sommes allé aux informations à ce sujet, en nous adressant au pasteur Scholl de Beutelsbach, qui nous a donné les renseignements que voici „Depuis la réception de vétre lettre j'ai pris à tâche de „répondre aux désirs que vous m'expriméz, et voici ce „que je puis vous mander Quant à la figure I. les ar- moines je me référé à la Topographie du Royaume de ,,Wurtemberg par Sattler, où vous trouverez à la page „40 la représentation du monument, et à la page 140 „les renseignements y relatifs. Quant à la figure II. il „parait bien qu’il s’y rattache quelque nom célébré, à en „juger du moins par les caractères de l’inscription , et „je pense que, dans un temps postérieur, ce monument „fut érigé à quelque noble, à la mémoire du seigneur „de Schnait peut-être, car Schnait était en effet une an- ,,nexe de lleutelsbach. Mais il est douteux qu’on réussisse à déchiffrer entièrement l’inscription, quoi qu’il en „soit il faudrait d’abord déplacer les stalles dont ce monument est en partie envahi. Quant au calice de la „figure III. il a déjà souvent fixé mon attention, si bien „que quelques renseignements positifs sur sa signification ,.m’eussent fait plaisir ; voici l’idée que je m’en suis for- ,,mée. Le symbole du calice signifie nu un doyen de ,.l’abbaye, déposé sous cette pierre, ou il signifie dans „un sens général la sépulture d’un ecclésiastique. A en , juger sur l'inscription , je crois que la deuxième pierre „est du lime siècle; il est inconcevable que les historiens „wurtembergeois n’aient eu aucun souci de la significa- „tion d’un monument national et qu’ils n’aient en aucune „façon empêche la destruction de ces monuments ; car „dans aucun de leurs écrits ils ne se recrient ni sur les „avanies du temps ni sur celles pires encore des hommes. Figure b. Croix en pierre sur le fronton de l’intéressant couvent des religieuses de Fraucrrotha, de l’ordre des Bénédictins, sur les frontières de Fulda, vers Bischofsheim, à trois lieues de Kissingue. De Ekhard conte dans sa „Description du vieux château de Saltzbourg,“ que Gisela, veuve du comte d’Unwans et fille du duc de llassio, lequel a embrassé le christianisme en 775, y bâtit déjà en 788, un petit monastère, pour sa fille Rotrude , et qu’on l’avait nommé alors „bâtisse de Karagoltes dans le canton de la Saale.“ L'église, encore passablement conservée, ne laisse pas de renfermer beaucoup de monuments intéressants, notamment les sépultures du comte Otto de Bodendrauben et de son épouse de la maison des comtes de Heimeberg, dont le tombeau de famille était dans ce couvent. steine, ebenfalls sehr zertreten, davon einer noch deutlich eine Figur erkennen lässt, die der Kleidung nach, einen Probst vorstellt, auf dem anderen ist ein einfacher Kelch ; ich schrieb deshalb um Auskunft zu erhalten an den damaligen Pfarrer Scholl in Beutclspach, der mir folgendes darauf antwortete „Ihren Wünschen, in Absicht auf die mir zugesandten „Zeichnungen zu entsprechen, — habe ich so weit es „möglich mir seitdem angelegen sein lassen, zu Fig. 1. „das abgebildete Wappen betreffend kann ich Ihnen ,,Sattlers Topographie des Königreichs Wurtemberg „nennen, wo Seite 40 die Abbildung des Monuments, „und Seite 140 das Köthigste zur Erklärung des Denk- ,, mais sich vorfindet *. Fig. II. mag irgend eine Celebri- „tät gehabt haben, man schlierst aus den Charakteren „der Umschrift, so weit sich nämlich entziffern lässt, „dass dasselbe aus späterer Zeit, irgend einem Adeligen ,,— vielleicht von Schnait — gewidmet sein mochte; „denn [Schnait war wirklich einst ein Filial von Beu- „teUpach. Uebrigens ist es zweifelhaft, ob sich diese „Umschrift vollständig herausbringen Hesse, auch müss- „ten Kirchenstühle beiseite geschafft werden, um den „Anblick der Umschrift vollständig zu erhalten. „Der Kelch ist mir oft aufgcfallcn, und ein Aufschluss „über seine Bedeutung wäre mir sehr erwünscht gewe- „sen, was ich darüber vermutlie, ist folgendes entweder ,,bezeichnet das Symbol des Kelches einen Probst oder „Chorherrn des Stifters, der unter diesem Steine begraben liegt, oder es bezeichnet im allgemeinen die Ruhestätte eines Geistlichen ; meines Dafürhaltens, und nach „der Schrift zu urtheilen ist der zweite Stein aus dem „eilften Jahrhundert ; es ist nicht zu begreifen [wie die „Geschichtschreiber Württembergs sich so wenig um die ,,Bedeutung eines vaterländischen Denkmals bekümmern „konnten, und warum sie eigentlich gar nicht dem Verball, oder der Zerstörung dieser Denkmale entgegenbraten, denn in keiner ihrer Schriften wird über die „Unbilden der Zeit, oder über die noch schlimmeren „von Menschenhänden, geklagt.“ Fig. b. Steinernes Kreuz, auf dem Chorgiebel des äusserst interessanten Frauenklosters „Frauenrotha“ auch „Frauenrot“ Fraurot Benedictiner - Ordens an der Fuldaischen Gränze, gegen Bischoffsheim zu, drei Stunden von Kissingen. Von Eckhart erzählt in seiner Beschreibung der alten Salzburg, dass Gisela, die Tochter, des im Jahre 775 zum Christenthum über- •J Sattlers Beschreibung konnte mir inzwischen keine gesügende Auskunft geben; aus den Federn in der Mündung des Jägerborns macht er eine iränklscbe Hellebarde, and aus den Lilien an dem byzantinischen Ornament Sogar französische Lilien, und leitet dann davon die französische Abkunft ab. flt 47 Fig. c. Croix sur l’angle supérieur du fronton, et console de l’ancienne église de Meirichstadt, sur la route de Würzbourg vers la Saxe. Cette croix est du temps du comte Golt- wald de Ilenneberg, qui a fait beaucoup de dons à cette église. Fig. d. Croix sur l'ancien fronton de la tour de l’église de Ilrend - Lorenzen , autrefois du territoire de l’évêque de Wurzborg, à une demi lieue do Neustadt sur la Saale, Cette église est aussi ancienne que remarquable par son architecture, ses inscriptions et monuments. Les têtes à l’extérieur de cette j 1 église, voir figure /. et g. par le caractère antique qui leur ;j est imprimé, prouvent son ancienneté, laquelle se reconnaît de jj même, dans la fenêtre de la tour. L’histoire nous apprend jj que Pipin, père de Charlemagne a donné cette cure à Wurtz- bourg et qu’en 974 elle fut remise ainsi que celle sur „la Saltzbourg“ par l’empereur Otto an prieuré d'Ascliaffenbourg. Fig. e. Croix sur le fronton, frngmcnt de l'église de Beutelsbach, retrouvée en 1812, de même que la tête de la figure i, exécutée dans le même style que celles de l’église de Brend- Lorcnzen. Ces deux objets attestent la haute antiquité de l’église de Beutelsbach laquelle fondèrent les ancêtres de la maison de Wurtemberg; la croix était mi-partie fracturée mais nous avons trouvé le faite du fronton, terminant en croix, et nous supposons à cette croix une hauteur de trois pieds et demi; quant à l’endroit qu’elle occupait, il ne nous a pas été- possible de le déterminer. Fig. k et {. Chapiteau jumeau du ci-devant chtUeau impérial de Nuremberg. Ce chapitean, que nous avons découvert en 1833, en restaurant ce château pour sa Majesté le roi Louis de Bavière, est de marbre blanc à gros grains et décèle encore des traces d’ancienne peinture. getretenen Herzogs llassio, und Wittwe des Grafen Vnwans, für ihre Tochter Rotrude, schon 788 ein Klösterlein daselbst erbaut habe, welches damals Karagoltes - Bau im Saalgau ge- ! nannt worden sei. Die noch so ziemlich erhaltene Kirche, birgt nach viele interessante Denkmale, namentlich die Grab- ij mäliler des Grafen Otto von Bodendauben und seiner Gemahlin aus dem Hause der Grafen von Henneberg, deren Erbbegräbnis in diesem Kloster war. Fig. c. Kreuz, auf der Spitze des Chorgiebels, und Con- solen, von der alten Kirche zu Mellrichstadt an der Strasse von Würzburg nach Sachsen. Dieses Kreuz ist aus der Zeit des Grafen Gottwald von Henneberg, ein Gutthäter dieser Kirche. Fig, d. K reuz, auf der Giebelspitze des Thurmes an der Kirche zu Brend-Lorcnzen, auch Brennt und Brepnet genannt, ehemals Bischöflich - Würzburgisch in Cnterfranken, Stunde von Neustadt an der Saale. Diese Kirche ist sehr alt, und merkwürdig durch ihre Bauart, ihre Inschriften und Monumente; die Köpfe, welche sich am Aenssercn dieser Kirche befinden siehe Fig. f u. g beweisen das Alter, durch den antiken Charakter, der in ihnen ausgeprägt ist, und der auch in dem Thurmfenster Fig. h vorkommt; die Geschichte sagt, dass Pipin Carl des Grossen Vater diese Pfarrei an Würzburg geschenkt habe, und im Jalir 974 wurde die Kirche jener auf der Salzburg vom Kaiser Otto H. dem Kollcgialstifte zu Aschaffenburg übergeben. Die vorgenannten ß verschiedenen Zeichnungen, theilte mir mein ehemaliger Schüler, der Architekt und Maler Georg Ebcrlcin mit. Fig. d. Giebel-Kreuz, im Jahr 1812 als Bruchstück bei der Kirche zu Beutelsbach anfgefunden; eben so der Kopf Fig. i, der in demselben Charakter gehalten wie die Köpfe an der Kirche zu Brend-Lorcnzen; beide Gegenstände geben noch Zeugniss von dem hohen Alter der Kirche zu Beutelsbach, welche die unbekannten Vorfahren des Hauses Würtemberg stifteten ; das Kreuz war zur Hälfte zerbrochen, ich fand eben noch die Spitze des Giebels, in welchem die Verbindung des Kreuzes aufgeht, welches eine Höhe von 3 Fnss 6 Zoll gehabt haben mag, aber, wo es gestanden, konnte ich nicht ermitteln. Fig. fc und I. Länglicher Doppelknanf, aus dem ehemaligen kaiserlichen Reiclissclilosse zu Nürnberg, welchen ich im Jahre 1833 fand, als ich diese Burg zur Wohnung für Sr. Majestät dem König Ludwig von Bayern einrichtete. Dieser Doppelknauf ist von grobkörnigtem weissem Marmor, und trägt Spuren einstiger Bemalung, die Stellung der Säule war ähnlich dem Thurmfenster Fig. h in Brend-Lorenzen, und das Doppel- Kapitäl hatte seine ganze Breite in der Tiefe, so, dass die Vorderseite so anzugehen war wie Fig. I ausweisst. >> 'JJUi . >* • r^- i j'srs ri I- LI; L ivm -ji? , f m ma n &'V Gyi fe • V; Ifc/»** Â..À '*• ti iiÄ^ßFv’ t/l 'TE ORNAMENTIK Z E Ö 10 T TEL. J. ’/ON M*- HP** Vl i. Lffjisl», mà. WS&i t Cr ÆsâsS MSB sa J msÊGn MAV i-'.N *- » tr *r » LLL LLL> 'à, ', * W&. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. mmt Ijüiiij-;. ''Win- J,’ .tÜRl si .;,/! 1 J I f il i p üip .il' " i L,. F r- iüss a a L -HS DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON REIDEL OFF 'iSjiiHiW.'ii in viïiïy&f fê? ; a - pr iSü r '-^ ^ il/frr il I-L El ’.i , V!'V- ,,,i, ,'j -f ' j'kä'tr-b' DIB ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON Heft xn 'iK' L' r, l ! .Kii, V ii,;, ÊSlIÊn 1 mM ÜÊIÊW Silll -liiiin'iv . ’ .î*i .üiiUiiîr a gm ^rrr $ I m [\ w ji il! 1 ; Ili'; 1 , ÖSs- iü ra if-'i ' ; 1 I ' j ' /V* " •' • ; i,. lii'l \ " ' I • • ! li jf ;i '] - . ... !. , .'L iilC iätib. 7 ù/m HeftXm Heff XE DIfcl ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF TI 8 ///& I jlüuujl oü 'jjjWrn lÄr&J'X ij 3K l ! 5 j r/v ÜU C qpxl. ul >\\ > 1 éswm i ;T5i V**j»ï DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON Heft UV rnjftSte? 02* S&rV MM •'*WSi 3 Ç££Âa-j fini 11! illllljTi *$ ".xrrc fh/i rlâMJHIii SKÖÖ h, T'.F ORNAMENTIK DF K von hkidfx ; fTmTT? ,oTTj JJ y 'xàSÎb- ^TiglFjjjtîI .a a'.v; ïMâfë DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEI DELOFF b Heft UV si IS a m » aœ "TSÎlSiiP Heft XIV c DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. ï DIE ORNAMENTIK DE S MITTELALTERS VON HE IDE LO FF Heft SS! W> DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFE. Hoff XIV ' ~~ ' — /S+tT DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. 4 W $ Heft XV n r ; t a; IENTIK DES MITTELALTERS “VON HEIDELOFF b PLI. WMahmS SSB DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF ! Heft XV ' ” PI 2 j '* T 5 » ? 1 * *,3 [4 1 a ’l" i '1 "44 [Tb i ^ i T ^ v t^T ^ t * w ~r Lv"*H£Tm 1 » ^ » * * 'W IS Y 's! ra\ £t tj» mp • * Sw. li il DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF l Kvterhj. 2»i .\W ••***! DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFE 2L25E2SS2 rfTji.’Tarwy 25ZE25Z25H 2S25Z2 Dit’. ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON flLIDELOFF. CSSSSS5S IC™ 1 . * I > r a ** ^ AlS t J ^ tÂüf-.’âL/i Wi k*$> J DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF Heft XVI I VA yJ}L^ iiSPläfl -LEC üll WP ’üi! I 1 !; ?kd ’ïf&rtü 'I itw; m • J l .. . W ? ' Ipiuunn jUJIUUUIiJ de oknamkntîk des mitteialters von heideloke Ik'fl fil W4fwm r\J$ my-s Illllüv-I IMülili 'x’tvi't” 1 nmiii’»f ..i..»,». , !iiiimHUiiiiiiiiiiiiiiimiiiilliilllUli»] -f î ; îîSflifïîîf liüinHiîîj Heft XVI Dü'- ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF P] 3 Phil. WttltlwT f, Win '*47 fl» mm DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFE Hefr XVI rrr ü. r m DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft XVI DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HE1DELOFF Heft m 'i V ik > 4 ! ’ i?' • » ~7K~ ' mt l 1 Heft XVI. DIE ORNAMENTIK DES VON HETDELOÎY ÎT7 mm ! %r r M —/WiläUir^ ' /»/ DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft XVI /»J. ’i //y -niK dp V' .\ hMukId >kf 1 ...-"' J i- llji ' 1 jl ' D . j 1 ? !, ; ; ? I J I ' 1 ; ; 1 " ! * 1 ’-. V ' i' .1 pk- !rJrm*nÂ& /•*} DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft XVII üiiiHiif/ijj iilliffinü mm Än/fii "A*,/ ySjt*. MjlUillWiii rrtfi///- sippi l’KLi VA • 3ü'*r, . „ , j4 * r " “ lli’llll IlKifiS Hi .' 'hihi . f“ EliWj'llillH bis»» f A V VA V \ ^ N A ^ V f ' V VA.. A ' . x\ \ \ S 6 SS*>i iVxvc vvA A-vC 1 X T '.-/.T5ro? .tjvR/ r tfofifr* p ifT R ;t. ŸMtë cm ' p jj DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HE1DELOFF Heft .MI ihcitr/-. »? I 'pb ft\>% iBw^äl OTlÜSillHIlL'UH. rnßiMm iüH? mwiitwuiwiiHtim Kiiil» MiBiigi DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF I Ht'fi xvm Wk'lïMtl ll’mmll DU! III imiii/m ,ü i iili'h //// / / ////// ] llllllnl lilk+ II! mil! IllB MMWh fimmiiiiiiiiiii iilillEiilTII y**s*-i. DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF Heftivnr 4 PI 2 Äffest 1-8^ mm j$hi l! tollt ITncr^-'. yiiiiiiiijiiisifiiii iiiiir T*^ âàÛÉH r' AK\ Sir*- ifl!llWll l ll!l iiHB-iiiialsiäe »»» DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF Heftxvnr "b f à t/ Wää •;>V* 1 4 * f 1 DIE DES Mi Heft XVJü . ELALTERS VON HBIiS mm f mW 0 ?i&i . *} w*m 1* rSrÜ •v i >, .v r*- >! ; üw W.Rp' »§§ air > an' h.]l ! y;jiuw»r. k&rü sÇM* ttsgastte SÜSS Swïî* ••»sa»- / ÎK^s SSÏrëS* Igaffii f liitJHfill.* lu ^.;Â'ç S¥M H r- ; X, .m* IlsàS '*4 - Heit XVIII. " DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF iilllü jilpllB§i SÜn&J&ii »inîîj MfkÉ mm ÿfà&üi fTgjar jjjtdjjjjjÿiW 3 igigfasi Mm 3HU*- =mm m^sa ÜSiM'Sg??. ' -' • 1 " i- 1 du äNISNTIK des Eine Sammlung auserwählter Verzierungen und Profile byzantinischer und deutscher Architectur gezeichnet und herausgegeben VO I CARL HEIDËLOFF, Arehitect und Königl. Professor der Baukunst an der polytechnischen Schule und Königl. Conservator der Kunst- und Baudenkinale des Mittelalters in Nürnberg, Ritter des Königl. bayer. Verdienst-Ordens vom heiligen Michael, des Königl. sächs. Verdienst-Ordens, des Königl. portugiesischen Militair-Ordens von Mariä En- pfängnis8 von Villa Viçosa, des Herzogi. sächs. Ernestinischen Haus-Ordens, des Königl. belgischen Leopolds-Ordens und des Königl. schwedischen Wasa-Ordens, Inhaber der Königl. französischen grossen gold- nen Medaille für Kunst und Wissenschaft, Mitglied des historischen Vereins von Mittel- und Unterfranken und Ehrenmitglied des würtembergischen Alterthums-Vereins ; der deutschen Gesellschaft zur Erforschung vaterländischer Sprache und Alterthümer in Leipzig, des böhmischen Vereins zur Ermunterung des Ge- werbsfleisses in Prag und des Hennebergischen Alterthum-Vereins in Meiningen wirkliches Mitglied, Ehrenmitglied und Correspondent des Royal Instituts of british Architects in London, und Correspondent du Ministère de l’instruction publique pour les travaux historiques k Paris etc. etc. IV. Band oder XIX.—XXIV. Heft Mit 48 Stahltafeln und dem dazu gehörigen Text. • UTeue Auflage. Nürnberg?, Verlag von Conrad Geiger. ? à Livraison XIX. Explication des Planches. Neunzehntes Deft. Erklärung der Platten. Style Byzantin. Planche I. Décorations d’autel dans le goût byzantin, réproduites ici comme faisant partie de rornementique sacré. Originairement dans le Chapitre de Komburg près de Hall en Suabe. Fig. a. Broderie distinguée du 12e siècle. Pan quadrilatère, pièce intermédiaire et de rechange d’un rideau d’autel, haut de presque deux pieds sur autant de large, doublé d’une étoffe très forte. Chef d’oeuvre de broderie, quant au dessin et à l'exécution c’est la tête du Christ surtout qui est d’une expression vraiment sublime. Les encadrements et galons, brodés en or nuancé de rose, de bleu et de violet y tiennent par couture arrière-plan violet-foncé, second plan panneau d’or, quadrilatère posé de biais, orné de la tête du Christ de couleur naturelle, aux cheveux bruns, tirant sur blond relevé d’or. Cette tète est du caractère le plus noble et le plus sublime. On plaint l’absence des perles orientales mi-grosses dont la guirlande était enrichie. Cette broderie, tirée du Chapitre nobiliaire de Komburg, fut apportée en 1806 chez le père de l’auteur de l’Ornemen- tique dans le but, sans doute, de lui en proposer l’acquisition. A cette occasion nous en prêmes la copie reproduite par la figure a. Byzantinischer Styl. Platte I. ïi Fig. b. Ouvrage en argent battu et bosselé, représen- *7 tant une tête du Christ, ayant probablement fait partie de fr gjgjgg” - n Byzantinische Altar-Verzierungen. Diese waren früher im Ritterstifte Komburg bei ; sie verdienen in kirchlicher Berücksichtigung aufgenommen zu werden. Fig. a. Eine vortreffliche Stickerei ans dem 12ten Jahrhundert, das Slittelstück eines Antipendiums, zum Abnehmen zu diesem gemacht, um auf andere geheftet werden zu können ; es ist im Quadrat beinahe 2 würtemb. Fuss breit und hoch, und starkgefüttert. Die Ornamentik ist meisterhaft gezeichnet und gestickt, der Christuskopf besonders mit idealem Ausdruck. Die Einfassungen und gewundenen Borden sind aufgenähte Stickereien von Gold mit rosa, blau und violetten Sehattiruugen. Der Grund der 4 Ecken ist dunkel-violett, das Ubereckgestellte Quadrat mit dem Christuskopf hat Goldgrund, das Kreuz ist hochroth, der Kopf Naturfarbe und die Haare sind bräunlich blond gehalten und mit Gold aufgehöht. Der Kopf hat den edelsten und idealsten Charakter; der Kranz war mit halbgrossen orientalischen Perlen ausgeführt, welche aber leider abgetrennt waren. Diese Stickerei wurde im Jahre 1806 meinem Vater wahrscheinlich zum Kauf gebracht und da erfuhr ich blqs, dass sie vom Ritterstift Komburg herstamme. Ich zeichnete dieselben auf geöltem Papier durch und dieser verkleinerte Maasstab gibt nun das Original treu wieder. Fig. b. Wahrscheinlich auch von einem Antipendinm, denn mann konnte deutlich wahrnehmen, dass der abgeschnit- — - - 2 quelque rideau d’autel. Cette image, de dix pouces de diamètre seulement, ne vaut pas celle de la figure a, quant à l'entente de la tète, mais quant à la croix elle est bien du style de cette première figure. La chevelure, la barbe, la croix ainsi que l’inscription sont dorées au feu, le fond est velours, dont la couleurs, originairement violet sans doute, n'est plus définissable. L’église catholique compte dans son rite cinq couleurs le blanc; le rouge, le vert, le violet et le noir. Au carême du Seigneur, à la fête de la Vierge immaculée, à celle d’un confesseur ou d'une sainte Vièrge locale, l'église se vête du blanc sans tache. Au temps de la pentecôte; au jour de la commémoration des Apôtres et des .Martyrs, elle prend le rouge, car le saint Esprit apparut en langues ardentes et les Apôtres ainsi que les Témoins des Martyrs scellèrent de leur sang leur doctrine. De la Pentecôte jusqu'à l'Avent, l’église, dans l’attente de celui qui est assis à la droite du Père, se drape de la couleur verte, or le vert est la couleur de l’espérance. Le violet ayant été autrefois la couleur de la componction et de l’humilité, l'Eglise conserva cette couleur pour marquer le deuil durant tout le temps, de l’Avent, ou, dans les vieux temps, les Chrétiens se préparaient à la fête de la naisance du Seigneur. Vient finalement le noir, actuellement marque de deuil, et en usage dans les Messes pour les morts. Partant de là, il est à croire que la couleur de notre pan aura été le violet, le rouge ou le noir. C’est à Bamberg que nous avons dessiné cette figure, en 1832, chez notre respectable ami, feu le chanoine YVambold d’Umstadt, alors membre du chapitre nobiliaire de Kombuig. Quant à l'origine de cet ouvrage, il n’a pas pu nous donner des indications, mais nous l'avons reconnu parament du 14e siècle. Fig. c. Candélabre d'autel, en cuvre, du 12e siècle, richement ciselé et émaillé. II est doré au feu et d'un fini exquis; quant à la dorure, malheureusement elle est partie dans les endroits le plus exposés. C’est en 1826 que nous avons vu et dessiné ce trevail intéressant, chez un marchand d’antiquités à Cologne. Tout noirci du temps et malgré ses dégradation, ce candélabre nous intéressait si fort que nous plaignons encore à l’heure qu’il est l’impossibilité ou nous étions d’en tirer un plâtre. Son pied forme tirangle, les bandes diversement entrelacées sont à plusieurs émaux, et c’est surtout dans les concavités que le bleu tendre, le rose, le vert et le blanc sont du plus bel effet. Les roses à cinq feuilles formant couronne de couleur na- $ lene Grund von grösserem Umfang war. Dieses Bild hat nur 10 Zoll im Durchmesser und ist vom feinsten Silberblech getrieben, der Christuskopf ist nicht so ausdrucksvoll wie der gestickte in Fig. a., aber mit dem Kreuz fast in gleichem Styl. Die Haare, Bart, Kreuz und die Schrift sind stark in Feuer vergoldet, und auf Sammlgrund, welcher aber, weil sehr ahgeschossen, früher violett genesen sein muss Die katholische Kirche hat zu ihrem Gottesdienste fünf Farben, weiss, roth, grün, violett und schwarz. An den Fasten des Herrn, den Festtagen der unbefleckten Jungfrau, eines Beichtigers oder sonst einer heiligen Jungfrau kleidet sich die Kirche in das makellose Weiss. Am Pfingst- feste, dem Gedächtnisstage der Apostel und Märtyrer, nimmt sie roth an; denn der heilige Geist erschien in feurigen Zungen und die Apostel und Blutzeugen besiegelten ihre Lehre mit ihrem Blute; von Pfingsten bis zur Ankunft des Herrn Advent hoiït die christliche Kirche auf den, der in Herrlichkeit zur Rechten des Vaters sitzt; daher grün, die Farbe der Hoffnung. Das Kleid der Demuth und Busse ist violett, ehemals die Farbe der Trauer. Die Kirche bedient sich derselben zur Adventzeit, in welche die alte Christenheit sich durch Fasten und Büssungen auf die Geburt des Heilandes vorbereitete. Schwarz endlich ist jetzt die Farbe der Trauer und bei der Seelenmesse gebräuchlich, daher wird der Grund , dieses Bildes violett, schwarz oder roth gewesen sein. Ich j zeichnete dieses Bild im Jahre 1832 zu Bamberg bei mei- nem verehrten Freunde, dem nun verstorbenen Domkapitular Wambold zu Umstadt, er war Mitglied des Ritterslifts zu Komhurg, konnte mir aber nicht angeben wo es herstamme. Ich erkannte es als einen Altarschmuck aus dem I4ten Jahrhundert. i Fig. c. Ein Altarleuchter aus dem 12ten Jahrhundert, 1 von Kupfer, reich inusirt und mit Schmelz-Arbeit dekoiirt; das übrige ist stark in Feuer vergoldet und von ausnehmend schöner Arbeit, leider aber ist die Vergoldung an den er- ! habendsten Stellen abgekratzt. Diesen interessanten Altarleuchter habe ich im Jahre 1826 m Cöln bei einem Anti- i quitätenhändler vorgefunden und abgezeichnet. Obschon ziemlich beschädigt und vom Alter geschwärzt sprach mich i dennoch die originelle und schöne Form so an, dass ich nur bedauerte keine Gelegenheit gehabt zu haben dieses Kunst- i werk abformen lassen zu können. Der Fuss bildet ein Dreieck, die geschlungenen Bänder sind mit farbigem Schmelz- werk verziert, besonders aber sind die Vertiefungen in him- nielblau, rosa, grün und weiss mit vergoldeter Einfassung ^ 33 * 33 * ->83 H a9B * 3 turelle, cerclées d’or reudent de même très bien. La tige du candélabre ainsi que son chapiteau sont richement ciselés de raies et de carnes d’or. Le chapiteau termine en god- I ron d’or. » i - Fig. d. Autre candélabre d’autel de la même beauté J que le précédent, hauteurs trois pieds et trois pouces, tiré de la collection d’esquisses de notre ancien maître, Nicolas i de Thouret, architecte de la Cour de Stoutgart. Thouret était un homme des plus instruits et des plus entendus, dessinateur accompli, admirateur des Styles byzantin et gothique. Il parcourait longuement les pays, allant à la recherche du beau, ayant partout la main heureuse témoins les beaux dessins qu’il a laissés au mourant. C’est un grand regret qu’il n’ait pas indiqué le lieu d’origine de cet ouvrage distingué. Fig. e. Calice tiré de la même collection d'esquisses. Fig. f. Croix bénite, peinte en fresque, rouge, rechampi de jaune et de verdâtre. Dans chaque église bénité stationnent douze de ces croix, dont huit dans la nef et quatre dans le choeur. Sur une cheville, scellée au mur à l’endroit du milieu de la croix on fichait un candélabre de métal, puis oignait et encensait localité, finalement célébrait la messe devant l’autel sacré. Voir Kreuzer Les Cérémonies de la Messe. Cologne 1844. Nous avons dessiné ce motif dans le couvent démoli des religieuses Dominicaines à Weil ou Weiler près d’Esslingue. Fig. g. Autre croix sacrée. Fresque du Couvent des ! Dominicaines à Ste. Catherine de Nuremberg. Lors de la I restauration de cette église en 1846, cette fresque fut couverte d’une couche de baldigeonnage. L’arrière-plan était de vert, la croix de rouge à décorations en échiquier cou- I leur de briques. ! Dans l'église ainsi que dans le cloître il y a encore i plusieurs autres fresques. Planche II. vortrefflich; vorzüglich nehmen sieb auch die fünfblätterigen Hosen aus, welche einen Kranz bilden, sie sind von Rosaschmelzwerk mit goldener Randirung und goldenen Butzen. Schaft und Kapital ist von Musiv-Arbeit, reich verziert mit goldenen Linien und Kanten. Die Krause ober dem Kapitäl ist Gold. Fig. d. Gleichfalls ein Allarleuchter, eben so schön wie der vorher beschriebene, ist aus dem Skizzenbuche meines ehemaligen Lehrers, des Hof-Baumeisters Nicola von Thouret in Stuttgart. Derselbe war nach dem beigefugten Massstab 3' 3" würtemberger Mass hoch Thouret war einer der gebildetsten und tüchtigsten Architecten, ein regelfcster Zeichner, der den byzantinischen und altdeutschen Styl besonders achtete und liebte, was seine hinterlassenen Zeichnungen beweisen, die er auf seinen vielen Reisen nach der Natur aufgenommen hatte ; er verstand es. das Schöne überall aufzufindcn und es ist sehr zu bedauern, dass er nicht den Ort bemerkte, an welchem er diesen ausgezeichneten Kandelaber vorfand. Fig. e. Ein Messkelch, demselben Skizzenbuche entnommen. Fig. f Ein gemaltes rothes Kirchweih-Kreuz mit grünlich und gelblich schattirten Verzierungen. In jeder geweihten Kirche befinden sich 12, nämlich 8 im Schiff und 4 im Chor; in der Mitte wurde in einem hölzernen Diebel ein metallener Leuchterarm fest gemacht ; diese Stelle wurde dann gesalbt und geräuchert und zuletzt auf einem geweihten Altar das Messopfer gehalten siehe J. Kreuzer’s heilige Messopfer, Köln 1844. Vorbemerktes Motiv zeichnete ich im Jahre 1011 in dem abgebrochenen Dominikaner-Nonnenkloster zu Weil oder Weiler bei Esslingen ab Fig. g. Gleichfalls ein gemaltes Kirchweih-Kreuz aus dem Dominikaner - Nonnenkloster zu St. Katharina in Nürnberg. Dieses Weihezeichen wurde im Jahre 1846 bei der Wiederherstellung der Klosterkirche Uberstrichen. Der Grund des Kreuzes war grün, das Kreuz selbst — was in der Zeichnung dunkel angegeben ist — ist roth, schachartig abwechselnd, die Verzierung ziegelröthlich schattirt, die Hand uaturfarb und die Aermel roth mit weissem Umschlag. In der Kirche selbst und in dem noch erhaltenen Theil des Kreuzganges befinden sich noch viele Wandgemälde Platte II. Fig. a. Très intéressante fontaine de lavoir en bronze, du 14e siècle ou plus vieille, de la collection de M. Paul Fig. Interessantes Handwaschbecken von Bronze aus dem 14ten Jahrhundert aus der Sammlung^des Kuust-Anti- 4 Galimherti, antiquaire et propriétaire - aubergiste du Cheval Rouge à Nuremberg. Abstraction faite des emblème chrétiens que vous y voyez, la forme originelle et étrange de cette pièce nous porte è croire qu'elle fut commandée à l'artiste pour quelque synagogue juive, attendu qn'on peut encore voir de ces mêmes fontaines dans les synagogues d'ancienne date dans celle de Prague, de Rom et de Varsovie par exemple. Nous avons même sous les yeux la gravure d’une de ces fontaines juives du 15 siècle qui confirme notre parallèle. Ces fontaines se voient d'ordinaire au dessus d’une grosse cuvette de pierre ou de marbre. Elles sont toutes à deux robinets pour l'usage simultané de deux personnes. Le nôtre ne paraît pas avoir fonctionné dans le rite juif, les deux petits tuyeaux, terminant les geules de lion n'étant pas même encore forés En remplacement de ces faux robinets il s’y trouve un complet, adapté postérieurement et à l'usage du rite chrétien, il se trouve au dessous de l'image de la Ste Véronique. S’il n’est pas visible sur notre représentation, c’est que nous l’avons suppiimé à cause de ces proportions lourdes et peu agréables. Les images gravées dans la fontaine sont un travail additionnel du 16 siècle. Elles représentent la Mère de Dieu au centre, St. Jean l’Evangeliste à s» droite et St. Nieolaus à sa gauche; sur le socle St Véronique. Au revers il y la décoration de la figure b en grandeur naturelle. La figure c. représente les lêtes de lion ; la figure d les robinets et clefs de robinet de notre addition ; la figure e. la coupe de la fontaine, coupe qui fait voir quel est le fini de la fonte et de quelle manière s'adapte le couvercle. Style tilleniniiil gothique. Planche III. Très remarquable fleuron d’ostensoire, vieux-allemand du 15. siècle tiré du couvent des Dominicains à Rottweil, Les emblèmes sont disposés d’après le système d’Albert, oc- topode des nombres sacrés * Emblème de l’unité, dieu, le Père, occupant la pomme, donne la bénédiction, tenant quitätenhändlers und Gasthofbesitzers zum rothen Ross, Herrn Paul Galimberti in Nürnberg. Die originelle Form und fremdartige Architektur, welche sich dem byzantinischen Styl so sehr nähert, dass mir eine vor Augen liegende, gestochene Abbildung eines jüdischen Waschbeckens aus dem I5ten Jahrhundert die Gewissheit gibt, dass das Original unseres Bildes gleichfalls dem jüdischen Gebrauche angehörte, aber noch viel alter ist als oben angegeben wurde; denn solche Waschgefäfse sieht man noch in den ältesten Synagogen ; sie stehen gewöhnlich auf Stein oder marmornen Wasserschalen. Die Synagogen von Prag, Rom, Warschau etc. haben dergleichen aufzuweisen und zwar mit zwei Hähnchen, damit zwei Personen zu gleicher Zeit sich bedienen können. Das hier abgebildete Wassergefäss scheint aber nicht in Gebrauch des jüdischen Cultus gewesen zu sein, da die beiden Röhrchen in den Rachen der Löwenköpfe nicht gebohrt sind, sondern das Ganze noch in unverarbeitetem Zustand und erst zum christlichen Gebrauch eingerichtet worden ist, was der in der Mitte unter dem Bild der heiligen Veronika angebrachte Hahnen beweist, der aus neuerer Zeit herstammt und den ich wegen seiner plumpen und schlechten Form weggelassen habe. Demnach sind die christlichen Andeutungen an dem Körper oberhalb des Sockels erst später eingravirt worden und zwar anfangs des löten Jahrhunderts. Diese Bilder sind in der Mitte die Mutter Gottes, rechts St. Johannes, der Evangelist, und links der heilige Nikolaus, in der 31 itte des Sockels die heilige Veronika und an dem äussersten Ende der Ecken, welche nicht sichtbar sind, das Ornament Fig. b in Naturgrösse, beide in gleicher Form. Fig c. die beiden Löwenköpfe Fig. d. die Hahnen, w'elche von mir sammt den Rohren ergänzt sind. Fig. e. der Durchschnitt, welcher zeigt, wie scharf der Umfang gegossen und der Deckel aufgesetzt wird. Ü * Heideloffs kleiner Altdeutscher berg, Riegel und Wiessner. und II. Curs. Nurem- Deulsrher cothlsrher Styl. Platte III. Merkwürdige Wimperge-Blume einer Monstranz aus dem Dominikaner-Kloster zu Rottweil auf der mittleren Hauptfiale einer altdeutschen Monstranz aus dem 15. Jahrhundert mit figürlich symbolischer Grundlage nach dem Sinn des Albertinischen Achorts der heiligen Zahlen*. Oben * s. Heideloffs kleiner Altdeutscher berg, Riegel u. Wiefsner. u. II. Curs. Nürn- 3 $ à i en main le globe de la terre. A l'endroit des pommes sont les têtes des quatre Evangélistes entourées de rinceaux, comme représentant l'Unité, mais qui étaient surmontées de leurs emblèmes, entourés de bandes entrelacées. Ces quatre emblèmes sont l'ange, le lion, le taureau et l’aigle, mais dont je n’ai pu me procurer le dessin. Cet ostensoirs était de vermeil. Quant au dessin l’auteur de l’Ornementique le tient de feu son oncle, le professeur Alois Keim, auquel ce lavoir avait été vanté par le célèbre sculpteur Landolin Un- macht, déédé à Strasbourg, c’était lors du séjour de l'oncle de l'auteur dans Goellsdorf, où il possédait une terre, que Landolin dirigea son attention sur cet objet d’art, justement du temps de la paix deLuneville en 1802, où la ville libre de Rottweil tomba en partage au Wurtemberg, à titre de dédommagement pour ses posséssions dans l’Alsace et dans la Bourgogne; où l'on sécularisa les couvents et décréta les vases et ornements sacrés. C’était précisément chez le Commissaire d'extradition que M. Keim prit sa copie Ce commissaire était l'administrateur du couvent d'AIxirbach de Rottweil, M. de Kaufmann, son beau-frère. Cet osten- soire fut ou vendu ou transporté vers Stoutgart. C’est dommage que M. Keim n’en ait pns donné une description détaillée, soit quant aux dimensions, soit quant aux formes. Il n’y a que cettb simple notice que voici „Cet ostensoire „de presque deux pieds de haut est, comme tous ceux du „genre gothique, d’un grand fini, travaillé à jour et presque „comme de filigrane. Le piédestal est entouré d’enfants „ailés, tenant les armes de Besserer, Kraft et Baldinger, „patriciens d’Ulm'.“ Ce rare objet d'art, tiré du couvent des Dominicains à Rottweil est originairement d’Ulm et probablement du temps de la sécularisation des couvents par les Protestants en 1531, où la ville libre d'Ulm abolit la saint messe, les images, les orgues etc. Ces dominicains, leur Prieur, Grotius Diener, à la tête, emportant avec eux leurs vases sacrés et autres objets précieux, se réfugièrent à Rottweil, dans le couvents des dominicains, où ils furent fort bien accueillis, vu qu’ils était plus riches que les donneurs d’asyle. Les fondateurs et bienfaiteurs tutéluires de ce couvent ; érigé en 1248 ou 1287 étaient les comtes ou ducs de /r Teck, les ducs d’Uesslingen, les comtes de Lupfen et ceux de Zimmern, mais particulièrement le comte Berner de Zim- $ - auf dem Knopfe, das Symbol der Einheit, sitzt Gott Vater in segnender Stellung, die Weltkugel in der Hand; statt der Knöpfe, die Einheit an den vier Blättern die vier Evangelisten andeutend, sieht man die Köpfe der vier Evangelisten, wo oben in gewundenen Bändern ihre Symbole, Engel, Löwe, Ochs und Adler angebracht waren und wovon ich keine Zeichnung zu Gesicht bekam. Diese Monstranz war von Silber und vergoldet; die Blume selbst batte nur eine Höhe von *U Zoll Die Zeichnung derselben ist von meinem verstorbenen Onkel, dem Professor Alois Keim, dem es der berühmte Bildhauer Landolin Unmacht, getorben in Strassburg anrühmte und ihn darauf aufmerksam machte, als mein Onkel auf dem Gut seines Vaters, Göllsdorf bei Rottweil, anwesend war. Diess war zur Zeit des Luneviller Friedens im Jahre 1802, in welchem die Reichsstadt Kottweil als Entschädigung für den Verlust Mömpelgarts und der Herrschaften im Eisass und Burgund an Württemberg fiel. Damals wurden die Klöster aufgehoben und die Kostbarkeiten aus den Kirchen mussten ausgeliefert werden ; der Ueber- nahms -Commissür war der Pfleger des Klosters Alpirsbach in Rottweil, Schwager meines Onkels, Kameralverwalter von Kaufmann, und bei diesem zeichnete mein Onkel das fragliche Kunstwerk Es wurde entweder verkauft, oder nach Stuttgart abgeliefert,' schade uur, dass mein Onkel diese Monstranz nicht näher beschrieben und Form und Grösse angegeben hat. Nur eine Notiz neben der Zeichnung enthalt „dieselbe ist fast zwei Fuss hoch und wie alle gothi- schen Monstranzeu höchst fein und durchbrochen wie Filigran gearbeitet; an dem reichverzierten Fuss sah man von geflügelten Kindern die Wappen der Ulmer Patricier, Besserer, Kraft und Baldinger getragen.“ Dieses Kunstwerk aus dem Dominikaner-Kloster zu Rottweil stammte aus Ulm und wahrscheinlich aus der Zeit der Klösteraufhebung im Jahre 1531, wo die Reichsstadt Ulm die heilige Messe, die Bilder, Orgeln u. a. m. abschaffte und die protestantische Confession angenommen hatte. Die Dominicaner daselbst fluchteten sich mit dem Prior ihres Convents, Namens Grotius Diener, die Kirchengefässe und andere Kostbarkeiten mitnehmend, nach Rottweil in das dortige Dominikaner-Kloster, dessen ökonomische Verhältnisse nie besonders glänzend waren, daher war diese Ulmer Einwanderung dem Rottweiler Convent sehr erwünscht, da die Flüchtlinge reicher waren, als ihre nunmehrigen Schutzherren. Die Stifter und Wohlthäter des Klosters im Jahre 1248 oder 1287 waren die Grafen oder Herzoge von Teck , die 6 î !! mern. Il ne se voit plus rien de léglise ancienne du couvent, celle qui existe maintenant fut élevée en 1753 sous la conduite du subrogé Prieur Hermangild Linsemann. Depuis la prise de possession du territoire par la Couronne de Wurtemberg elle fut cédée au culte protestant. Planche IV. Ostensoire du milieu du I5e siècle, actuellement dans l'église catholique à Coburg. Avant la réformation appartenant à l’église de St. Maurice de cette ville, on le donna depuis, comme meuble inutile, et plusieurs autres ustensiles sacrés avec, en garde .... au grenier de l’hôtel de ville, jusqu'au commencement du 19e siècle, où la Municipalité le donna en présent au culte catholique. Le dessin fut communiqué à l’auteur par son ancien élève M. Bothbart, peintre à Cobourg. Cet osteusoire est travaillé en cuivre, richement doré au feu et d'un grand fini. La Municipalité conservait aussi un ciboire du même maître Elle le donna en présent de même aux Catholiques, mais par une inconcevable maladresse il fut vendu en 1806 à un fondeur de cuivre, qui le mit au creuset. Planche V. Parements d'autel, tirés des possessions du baron de Bibra, dans le ci-devant comté de Ilenneberg. Ce dessin, éxécuté en 1843 fut communiqué à l’auteur par son ancien élève, M. Eberlein, peintre et architecte à Stoutgart. Fig. a. et h. Console de battants d’autel, adossées au coffre. Elles sont plaquées d’argent et enluminées. Les émaux de la figure a portent exclusivement d’argent. Les contours des rinceaux sont de noir, émaillé de vert; le ton principal de pourpre est avantageusement choisi qour relever davantage la feuille d’acgent. Fig. h. Console analogue. Celle-ci porte de vert foncé à décorations d'argent, les rinceaux rechampis de noir dans le genre des verres peints des 15e et 16e siècles. Quant aux armoiries, les premières portent d’or au bièvre castor de gueuces, qui sont celles de la famille de Bibra, les secondes sont d’argent au bièvre noir, qui sont celles de son épouse, née de Bernklo. J. û Fig. c. Fragment d’un rideau d’autel. En soie; pans W noirs quadrilatères, croisés par encadrement, formé de m - —- Herzoge von Uesslingen, die Grnfen von- Lupfen und die Grafen von Zimmern; ein besonderer Wohlthäter dieses Klosters war Graf Werner von Zimmern. Von der alten Klosterkirche sieht man nichts mehr; die jetzige wurde im Jahre 1753 unter Leitung des damaligen Priorat-Verwesers Hermangild Linsenmann neuerbaut und seit der Herrschaft Würtembergs den Protestanten eingeräumt. Platte IV Monstranz aus der Mitte des 15ten Jahrhunderts in der katholischen Kirche zu Coburg, mitgetheilt von meinem ehemaligen Schüler, Herrn Bothbart, Hof-Maler in Coburg. Sie befand sich vor der Deformation in der St. Moriz - Kirche daselbst und wurde als unbrauchbar mit andern merkwürdigen Kircheugeräthen auf den Boden des Bathhauses aufbewahrt, his sie zu Anfang dieses Jahrhunderts vom Magistrate der katholischen Gemeinde geschenkt wurde. Diese Monstranz ist fein aus Kupfer gearbeitet und stark in Feuer vergoldet; es war auch noch ein Ciborium von demselben Verfertiger vorhanden, ebenfalls ein Geschenk des Magistrats, welches aber leider im Jahre 1806 an einen Coburger Kupferschmied als altes Kupfer verkauft wurde, der es einschmel- zeu Hess. Platte V. Altar-Verzierungen aus den Henuebergischen Besitzungen des Freiherrn von Bibra, im Jahre 1843 gezeichnet uud mitgetheilt von meinem ehemaligen Schüler, dem Maler und Architecten Eberlein in Stuttgart Fig. a. und b. Altar-Flügel - Consolen an dem Postamente der Altar-Schreine, beide sind versilbert und bemalt; bei Fig. a. sind die Farben ganz auf Silber getragen und lasirt, besonders der Grund des Ornamentes mit feurigrothem Purpur-Lack so aufgetragen, dass die Folie des Silbers dasselbe noch erhebt. Das Ornament mit dem Laubwerk ist schwarz conlurirt und mit grünlicher Farbe lasirt. Fig. b. ebenfalls Silber, aber mit dunkelgrünem undurchsichtigem Grunde ausgefasst; das Laubwerk schwarz wie die Glasgemälde des 15ten und 16ten Jahrhunderts gezeichnet und sebattirt. Von den Wappen ist das erste gelb mit einem rothen Biber, das der Familie von Bibra, das zweite im silbernen Felde ebenfalls mit einem Biber von schwarzer Farbe das seiner Gemahlin, wahrscheinlich einer von Bernklo. Fig. c. Fragment eines Antipendiums, von Seide gewirkt ; das Ornament bildet Quadrate ; deren etwas dunkel U I3tf^ bandes diagonales alternant de droite & gauche et de gauche a 1 droite, les unes de jaune les autres de rouge, aux angles ; rosettes en opposition longitudinale, jaune sur bande rouge et rouge sur bande jaune, rosettes cerclées de blanc, bau- des miniaturées de panneaux noirs. Fig. d. Passement à bord blanc, décoration en soie blanche, une raie Forme alternativement en serpentant deux champs, dont le supérieur de rouge et l’inférieur de noir; ; les rosettes de jaune ainsi que le menu remplissage. L’inscription „Dieu nous aide“ est en caractères noirs. Fig. e. Autre passement, blanc sur champ noir. Fig. f. Socle en chêne d’une armoire d’église. Champ noir à décorations blanches inbrustées, les oeils couleurs i de rose. Planche VI. Frises profilées, soit manchettes de moulure. Fig. a. Cette intéressante pièce d’architecture nous fut communiquée par un de nos élèves, M. Cramer, architecte de Nuremberg, décédé en 1848 à Méran. Il la copia sur le palais épiscopal de l’alerme, palais dans le style byzantin, et qui fut restauré à neuf en 1456 par l’archevêque Simon j Boulogne. i C'est à 'peine qu’aujourd’hui on y découvre quelques faibles restes du style byzantin, car tout l’édifice a été depuis reconstruit dans le goût moderne, et ce n’est qu’aux augles d’est qu’on rencontre quelques fragments qui, témoins muets de son antique graudeur rappelent le goût exquis de Simon, qui prédilectionnait si fort les fenêtres ogives et les belles frises dans le genre de notre représentation. Fig. b. e. i. De la collection de feu M. Manfred Hei- deloff, instituteur à l’école départementale des Métiers à Nuremberg, décédé le 10 Mai 1850, frère de l'auteur de l’Ornementique. Il dessina cette frise en 1846 sur l’invitation de M. Heller, antiquaire et historigraphe à Bamberg, qui nous recommandait que nous profiterions du moment des échafaudages dressés à l’effet de quelques réparations dans la Cathédrale afin de prendre d’un point de vue favorable et rapproché une copie exacte de ces pièces d’ornementique. angegebene Einfassung ist roth gegittert, auf schwarzem Grund, die Rosette gelb mit weisser Einfassung; die 4 Quadrate durchkreuzen gelb gegitterte Streifen auf schwarzem ! Grund, deren Rosetten rotb mit weisser Einfassung sind, die Quadrat-Füllungen haben schwarzen Grund mit weisser Einfassung. Fig d. Eine Borde mit weisser Einfassung, die Ver- j zierungeu sind von gelber Seide, die geschlungenen Halbkreise theilen sich oben mit rothem und unten mit schwarzem Grunde, die Rosette ist gelb, auch die Füllung oder der Grund ist gelb und die Inschrift „Hilf uns Gott“ ist in i schwarzen Buchstaben ausgeführt. j Fig. e. Gleichfalls eine Borde ; dieselbe ist weiss und der Grund schwarz. ] Fig. f. Der Fuss eines Kirchen-Schranks von Eichen- j holz; die weissen Verzierungen sind eingelegt, der Grund ist schwarz, die Augen rolh ; selbst die Verzierungen des Schrankes haben rotheu Grund. Platte VI. Gesims-Verzierungen, von den Franzosen Manchette de moulure Gesims-Krausen genannt. Fig. a wurde mir von meinem ehemaligen Schüler, dem nun leider im März 1848 verstorbenen Architecten Ottmar ; Cramer aus Nürnberg mitgetheilt. Dieses interessante Bau- i stück zeichnete er von dem erzbischöflichen Palaste zu i Palermo ab; derselbe war urspünglich im byzantinischen ' Style ausgeführt und von dem Erzbischof Simon von Bou- ! logne im Jahre 1456 erneuert. Gegenwärtig sind nur noch wenige Spuren des byzantinischen Styles daran zu sehen ; das ganze Bauwerk ist jetzt im modernen Geschmack umgebaut; an der östlichen Ecke finden sich indessen noch einige Ueberreste, die als stumme Zeugen alter Herrlichkeit zu betrachten sind und vom Simon’schen Geschmack Kunde geben. Dahin gehören nun dieses Gesimsstück und ein Spitzbogenfenster. Fig. b, e und i mitgetheilt und gezeichnet von meinem am lOten Mai 1850 verstorbenen Bruder Manfred HeidelofF, Architect und Lehrer an der Kreisgewerbschule in Nürnberg. Die Veranlassung dazu gab im Jahre 1846 der Kunst- und Geschichtsforscher Heller in Bamberg, der mich benachrichtigte, dass das im Augenblick wegen Reparatur der neuen Pfarrkirche in Bamberg aufgestellte Gerüst die schönste Gelegenheit darböte die herrlichen rein und scharf gearbeiteten Ornamente ganz in der Nähe abzeichnen zu können. 8 5 5 M. Heller lui-même s’émerveilla sur ce précieux travail, sur les rinceaux surtout. Fig. k. I. Les rinceaux de la figure précédente en échelle plus grande. Fig. c. Frices d’un couvent de Blaubeuren, dessinées de même par M. Manfred HeidelofT, en 1845. Fig. d. Fragment d’une frise. Fig. f. Décoration d’entablement, au couvent wurtem- bergois d’Alpirsbach. Cette chapelle fut démolie en 1840. Fig. h. Cul de lampe d'un balustre de la figure g. En échelles plus grande. -cfes t tOSBffi Heller selbst war erstaunt Uber die vortreffliche Arbeit, besonders Uber das Laubwerk, welches ich hier in Fig k uud . I deutlicher angegeben habe. Fig. c. Gesimsverzierung an einem Klostergebäude zu Blaubeureu ebenfalls von meinem Bruder Manfred im Jahre ! 1845 gezeichnet. Fig. d. Fragment eines Frieses, und Fig. f. 1 Gesimsverzierung, beide aus dem wurttembergischen Kloster Adelberg und Fig. g. vom Kloster Alpirsbach im Schwarz- , wald von der im Jahre 1840 weggerissenen Capelle. Fig. h. 1 ist der Schlussknopf von Fig. g im vergrösserten Haassstabe. Planche VII. Platte VII. Couronnement de tabernacle, tiré de la Cathédrale de Aufsatz eines Tabernakels aus der Domkirche zu Hal- Halberstadt. berstadt. Planche VIII. Fig. a. b. r. d. e. f. Six couronnements des stalles, dans le dôme de Halberstadt du temps de l’archevêque de Magdebourg et de l’évêque Erneste de Saxe. Les dessins des planches 7 et 8 nous furent communiqués de Halberstadt accompagnés d’une lettre. Celle-ci s’étant égarée nous regrettons fort de ne pouvoir citer le nom de la personue qui a bien voulu faire cet envoi. Platte VIII. Fig. a b. c. d. e f. Sechs verschiedene Krönungen, sogenannte Wangen, an den Gebet- oder Chorstuhlen des Domes zu Halberstadt, aus der Zeit des Erzbischofs von Magdeburg nnd Bischofs Ernst von Sachsen. Die Zeichnungen zu PI. 7 und 8 wurden mir von Halberstadt zugesendet, aber leider kam mir der dabeiliegende Brief abhanden, so dass ich jetzt nicht im Stande bin, den Namen des Herrn Einsenders anzugeben ; sollte sich derselbe in der Folge — wenn ihm dieses Heft zu Gesicht kommt — mir nennen, so wird sein Name in einem der nächsten Hefte nachgetragen werden. Hier nun aber dem unbekannten Herrn Einsender fur die Mittheilung dieser beiden Blätter meinen verbindlichsten Dank n n* U. £. Seb&ld’sche Buchdruckerei in Nürnberg. '• I Ml].* f î r;i ' /•* . ' II'* /I •' Livraison IX. Explication des Planches. Zwanzigstes Heft. Erklärung der Platten. -ff! Style Byzantin. Planche I. Fig. a. Cuve baptistère remarquable, de l’église de St. Michel à Altenstadt, bail läge de Schongau Haute-Bavière du 10e ou lie siècle, dessinée d’après nature par mou ancien élève, M. F. Franke de Saalfeld. S’ayant pas vu nous-même ce baptistère, ni l’église, ni la bourgade, il ne nous est pas donné d’entamer la partie locale et historique de ce monument. Far conséquent nous nous bornerons à l’explication de figures allégoriques, dont cette cuve est ornée. Ces figures représentent les éléments caractéristiques soit les emblèmes du saint Sacrement du baptême, d’après l’intuition de St. Cyprien. C’est une coupe, formée de q'natre pans sphéroïdes soit d’une fleur tétrapétale, forme qui rappelle l’unité de Dieu annoncée dans les quatre Evangiles. Le bord, qui par conséquent forme uu roud composé de quatre hémicycles, est de 3' 2“, le pas de 1' 10“ de diamètre. Les pans sphéroïdes, enlacés diversement par des cycles, bordes ainsi que ceux-là de larges bandes. Le prémier de ces pans est orné de l’image du Sauveur, debout dans l’eau du bain, les mains élevées, bénissant et paraissant s’écrier „il m’est encore réservé un autre baptême dont je serai baptisé“, faisant, par ces paroles, allusion à son expiration sur la croix. Deux anges lui tiennent le purificatoire. Le pan à droite représente St. Christophore, emblème du Byzantinischer Styl. ! Platte 1 Fig. a. Merkwürdiger Taufstein aus der St. Michaels- I kirche in Altenstadt, Landgerichts Schongau Oberbayern, ! aus dem lOten oder Ilten Jahrhundert, nach der Natur gezeichnet und mitgetheiit von meinem ehemaligen Schüler F. Franke aus Saalfeld. Da ich diesen Taufstein, Uber- ! haupt den Ort und folglich auch die Kirche, in welcher derselbe sich befindet, nie gesehen habe, so vermag ich freilich eine ausführliche Explikation oder einen geschicht- , liehen Commentar hier nicht zu liefern, sondern muss mich lediglich auf das beschranken, was die vorliegende Zeichnung erkennen lasst. Der Sinn des ganzen liesse sich etwa in Folgendem zusammenfassen. Dieses höchst interessante Denkmal — wirklich der oben angegebenen Zeit angehörig — ist eines der aualogen im Bereich kirchlicher Symbolik und enthalt Darstellungen der Elemente ; der heiligen Taufe nach der symbolischen Auffassung des heiligen Cyprian. Es ist eine kelchförmige zirkelrunde I Schaale von 3 Fuss 2 Zoll im obern und t Fuss 10 Zoll i im untern Durchmesser, die sich iu eine vierblätterige j Blume gestaltet, welche Form die feste Basis der Einheit I Gottes, die die Lehre der 4 Evaugelisten uns verheissen 1 hat, versinnlicht. Die vier Halbzirkel der Taufschaale, deren Punkt vou der tiefen Gährung aus bis zum run- ! den Fusse mit vier breiten Bandkreiseu versehen, welche 10 baptême, et qui, une nuit porta à travers l’eau un enfant, dont le fardeau s'alourdissait à chaque pas, car les épaules de Christophore portaient le Christ, disant „Ce n’est pas seulement le monde que tu portes, mais aussi celui qui a créé le monde.“ A ces mots il se sentit enfoncé bien avant dans l'eau et reçut le baptême. Le pan à gauche représente St. Jean-Baptiste avec l’agneau et la bannière, emblème du Christ, qui porte les péchés du monde; du doigt il indique de St. Esprit, emblématisé par une colombe, prenant son essor vers le ciel, montrant ainsi aux baptisés la route des bienheureux. En face de la Colombe se trouve, sortant d’un nuage, un ange, qui est sans doute celui dont parle Tertulien. Angelus arbitcr ba- ptismi superventuro spiritui sancto vias dirigit ablntione délictorum; quam fides i m- perat, absignata in pâtre, folio et spiritu sancto.“ M. Frank assure que sur le côté non représenté il y a également un ange, abattant un dragon. Cet ange est sans doute l’archange St. Michel, sujet de prédilection dans les premiers temps du moyen âge et qu'on aimait à représenter sur les baptistères, voulant par là leur donner la bénédiction, vu l’expulsion de l’ange réprouvé du Paradis. C’est lange de la Grâce, puisque c’est lui qui commande le peuple de la Grâce, Israël Dan. X. 21, et pisque c’est autour de la branche d'Israël que toute l’histoire de la Redemption s’enlaco comme histoire du monde. D’apres les anciens Hébreux, l’attribut de cet ange serait d’offrir les âmes pures en sacrifice à Dieu le tout puissant; il aura donc, dans notre représentation, les mêmes attributs, pisque c’est lui qui est le Patron de l’Eglise. Dans les quatres cyles inférieurs se voient les quatres Evangélistes, à têtes d’animaux; savoir l’aigle St. Jean, le lion St. Marc, le taureau St. Luc, l’homme St. Mathieu. Immédiatement au dessus de la frise du piédestal sont représentés quatre mascarons à cornes, dont les gueules font jaillir des flots d’eau; mais cette eau, sortant ainsi par des mascarons, est peu propre à représenter les quarte fleuves du Paradis; ces sortes d’emblèmes ne se trouvant point dans les monuments plus anciens de ce genre, où l'on voit des têtes d’anges, nourissant les dits fleuves de l’eau des amphores, ou des jouvenceaux, mais nou des mascorons témoin le célébré baptistère du village de Loosdunen en Hollande et la table d’autel en pierre, du temps de Charlemagne Voir livraison 8, planche 3 de l’Ornementique. Dans plus d’un livres de missel on ren- sich mit den vier guirlaudenförmigen grossem Halbkreisen vereinigen. In diesen vier Halbkreisen befinden sich vornan der Erlöser im Taufbad stehend, segnend die Hände emporhaltend und gleichsam die viel verheissenden Worte aussprechend „Ich habe noch eine andere Taufe, womit ich getauft werden muss,“ womit er auf seinen Kreuzestod hindeutet. Engel halten ihm das Reinigungs-Tuch. Rechts im Halbkreise siehet man den heiligen Christoph als analogen Gegenstand der Taufe, der einstmals in der Nacht ein Kindlein Uber’s Wasser trug, das zunehmend schwerer wurde; es war Christus, der zu ihm sagte „Du trägst nicht allein die Welt, sondern auch den, der die Welt geschaffen hat.“ Damit drückte es den Riesen tief in’s Wasser und gab ihm so die Taufe. Zur Linken siehet man St. Johann Baptista mit dem Lamm, als Symbol Christi, „das Lamm, das der Welt Sünden tragt,“ mit dem Kreuzpanier; er deutet auf den in Gestalt einer Taube symboli- sirten heiligen Geist, der sich gen Himmel schwingt und so dem Täufling den Weg aller Seligen bahnt. Gegenüber dem heiligen Geist befindet sich ein aus Wolken hervorschwebender Engel, wahrscheinlich nach der Bedeutung Tertullians — angelus arbiter baptismi superventuro spiritui sancto vias dirigit ablutione delictorum, quam fides imperat, obsiguata in patre, filio et spiritu sancto. Auf der Rückseite soll nach Francke’s Angabe ebenfalls ein Engel, der einen Drachen erlegt, befind lieh sein. Diess ist jedenfalls der Erzengel St. Michael, ein analoger beliebter Gegenstand des höhern Mittelalters, der im Hinblick auf I die Ausstossnng des gefallenen Engels aus dem Himmelreich als Weihe der Taufsteine angebracht wurde. Er ist der Engel der Gnade, weil er dem „Volk der Gnade“ Israel vorsteht. Dan. X. 21, und weil sich die Erlösungsgeschichte an der Linie von Israel herab durch die Weltgeschichte zieht. In der hebräischen Engellehre bringt er die reinen Seelen dem allmächtigen Gotte als Opfer dar, vorzugweise analog hier, weil er der Patron der Kirche ist. In deu vier runden Kreisen siehet man die altsymbolischen Gestalten der vier Evangelisten, statt der menschlichen Häupter grösstentheils mit Köpfen von Thieren, nämlich des Adlers St. Johannes, Löwen St. Markus, Ochsen St. Lukas, dann aber des Menschen St. Matthäus dargestellt. Unten am Fusse ober dem Ornament siehet man vier gehörnte Teufels-Larven, aus deren Rachen Wasser ausströmt, welche Bilder aber nicht geeignet sind, die vier Paradiesflüsse zu symbolisiren, da ich Symbole aBensg- 11 36 ^ “• .- er W contre de même les quatres fleuves, sortant d’une gueule de lion, mais non sortant de gueules de mascarons. ''J * Possible que ces mascarons ï cornes, étant travaillés assez grossièrement, dûssent représenter des têtes de lion, coif- r fées de la calotte égyptienne à cornes de la force et dans ce cas le problème serait résolu. Il y a des figures analogues et très remarquables aux murs de la vieille chapelle de Schwaerzloch à Tubinguen ainsi qu’aux murs de l’église de St. Jean i Gemund en Suab, lesquelles portent le type égyptien et la calotte, que les sculpteurs et peintres égyptiens donnaient aux prêtres, sphynx, éperviers et autres animaux sacrés. Voir les feuilles artistiques pour l’Allemagne, 1850, numéro 60, à l'article „Eglise de St. Michel à Altenstadt en Bavière.“ Fig. b. La coupe. Jii- Planche II. L'auteur de l’Ornementique tient toutes les figures de cette planche, de son cousin, M. Hermann Keim, architecte de Katisbonne, qui les dessina d’après nature. Fig. a. Blason à trèfle, sculpté en chêne, avec le millésime 1481, armoiries d’alliance des familles nurem- bergeoises Dill et Imhof. Ces sortes d’écussons occupaient les dossiers des stalles d’église, tels qu’on en voit encore en quantité aux stalles de Nuremberg. Il fut découvert dans une ferme du Haut-Palatinat, adapté comme couvercle à un pot à lait. En propre maintenant à M. Keim. Fig. b. et c. Crosses du 15e siècle, dans le goût de celles du mausolée métropolitain de la cathédrale de Ra- tisbonne. Fig. d. Armoiries des barons de Alt-Preissing-Wollen- zacb, dans la nef transversale de la même cathédrale. dieser Art an den ältesten Denkmälern nicht gefunden habe. Die gewöhnliche Darstellung waren entweder Engel, welche aus Amphoren die bezeichneten Flüsse ausgiessen, wie an dem berühmten Taufbecken in dem Dorfe Loosdunen in Holland, oder Jünglinge, wie sie an einer kleinen steinernen Altarplatte aus der Zeit Carls des Grossen zu ersehen sind. Siehe 8tes Heft Platte 3. der Ornamentik. Auch aus dein Rachen des Löwen habe ich die vier heiligen Flusse als Eckverzierung in Missalen abgebildet gesehen, nie aber in der oben erwähnten Darstellung, es möchte denn sein, das die fraglichen gehörnten Masken, weil sie, roh gebildet, idealisirte Löwenköpfe vorstellen sollen, mit dem Horn der Kraft an einer egyptischen Haube, wahrscheinlich den egyptischen behaubten Löwen nachgebildet und in diesem Falle wäre das Problem gelöst. — Merkwürdig sind die figürlichen Abbildungen an der alten Kapelle Schwärzloh in Tübingen und auch an der St. Johanniskirche in Schwäbisch-GemUnd, welche ganz den egyptischen Typus an sich und die Haube tragen, wie es die Egypter bei ihren Priestern, den Sphinxen, Sperbern und andern ihnen geheiligten Thieren in Malereien und Sculpturen angewendet haben. Uebrigens siehe auch das deutsche Kunstblatt 1850, Nr. 60. die St. Michaels-Kirche in Altenstadt bei Schongau in Bayern. — Fig. b. Der Plan. DeutMrlier *otlal»rher Styl. Platte II. Mitgetheilt und gezeichnet von meinem Vetter, dem Architecten Hermann Keim in Nürnberg. Fig. a. Ein Wappen aus Eichenholz geschnitzt vom Jahr 1481; dasselbe wurde in der Oberpfalz aufgefunden, wo es in einem Bauernhause als Deckel eines Milchtopfs diente; es ist diess das Alliance-Wappen der Nürnberger Familien von Dill und von Imhof und im Besitze des Zeichners. Dieses kleeblättrige Schildchen gehörte ursprünglich einem Familien-Betstand in einer Kirche an, wo es an der Rückwand des Stuhles angebracht gewesen, wie deren viele noch in den Nürnberger Kirchen vorhanden sind. Fig. b. und c. Bischofsstäbe aus dem löten Jahrhundert von dem bischöflichen Grabmale im Dom zu Regensburg. Fig. d. Freiherrlich von Alt-Preissing - Wollenzach’- sches Wappen im Domkreuzgang zu Regensburg. - -ä&tägri 12 Planclie III. Très intéressant battant d'autel, tiré de la chapelle sépulcrale tombée depuis sous le marteau des vandales modernes du bourgade Neuhaussen, appartenant aux écuyers- tranchants, nobles de Neuhausen, peu distant du ci-devant monastère „le saint Sépulcre de Denkendorf - à trois lieues de Stoutgart. Ce battant, dont la sculpture représente un chevalier armé le fondateur de l'autel? fut dessiné eu 1810 par l'auteur de l'Ornementique. A la même occasion il copia dans cette chapelle quantité de monuments sépulcraux en pierre, érigés successivement et par ordre de date aux Seigneurs de Neuhausen. Mais réservant alors toute son attention aux images et aux draperies, il omit de copier de même les épitaphes, ommission irréparable aujourd'hui que tout est détruit par le ver rougeur du temps. Les pierres sépulcrales, sous le point de vue artistique, non moins intéressantes que celles de Schoenthal, érigées à la ramille Berlichingen et que celles de la chapelle de Lorch, érigées à la famille Woelwarlh, offraient cependant une plus grande part d'orginalité et de diversité. Aussi en publierons-nous quelques-unes dans un des cahiers subséquents de l’Ornementique. Mais revenons à notre figure Ce battant malheureussement dépareillé du battant correspondant de 6 pieds de haut sur 2 pieds 3 pouces de large, travail très distingué, mais quelque peu détérioré par la défaveur du local, scellé qu’il était, moyennant quatre crampous, dans une paroi humide du côté du choeur, représentait donc nn chevalier armé, en bas-relief avec armoiries. Il est encore heureux que celte pièce se soit trouvée sculpture et non tableau, sans quoi elle eût partagé le sort des inscriptions, qui presque toutes étaient déjà éffacées. Par contre la dorure et les tous de la figure étaient dans un grand état de conservation, la cuirasse surtout, qui était or, écussion argent, lion de gueules, écol et cimier azur, lambrequins de gueules avec bordures argent à le croix de gueules et à l’anneau d'or, le tout sur champ damassé or, alternant mat et poli, manteau de l’arrière champ vert à franges alternant de rouge et de blanc, courbe richement doré, à son bout supérieur écusson argent à la tête de destrier sable, entouré d'une fasce avec l'inscription „Miserere mei Deus secundam mag nam mi se ri c or d ia m Point de millésime, mais, à eu juger sur le caractère de l’armure, cette figure appartient au 15e siècle. Quant au chevalier, c'est un baron de Neu- hausen, dont nous connaissions déjà les armes depuis la $ - - $ Platte III. JR Ein höchst interessanter Flügel eines Altarschreines * t aus der nun leider vandalisch abgebrochenen Begràbniss- Kapelle der edlen Truchsesse von Neuhausen im gleichbe- namten Marktflecken auf den Feldern unweit dem ehemali- gen Kloster zum heiligen Grab Denkendorf, 3 Stunden von Stuttgart. Es stellt dies ohne Zweifel den Donator des Altars, wozu der Flügel gehörte, vor. Verfasser dieses zeichnete diesen Flügel im Jahr 1810 mit noch vielen steinernen Grabmonumenten der Herren von Neuhausen, welche darin chronologisch aufgestellt waren, aber leider nur der Costume wegen und unterliess, die Umschriften nachzuzeichnen, weil er nimmermehr glaubte, dass dieselben mit der Zeit der Zerstörung unterliegen würden. Diese Grabmonumente waren eben so interessant, als die von Berlichingen’schen im Kreuzgang des Klosters Schönthal und die von Wölwarth’schen in ihrer Begräbuiss-Knpelle im Kloster Lorch, aber origineller an Costüm und mit grösserer Abwechslung; ich werde in der Folge einige der schönsten in meiner Ornamentik vorführen. Dieser wahrhaft ausgezeichnete Altarflügel, von dem bedauerlich der zweite fehlte, ist 6 Fuss hoch und 2 Fuss 3 Zoll würl- temhergisches Maass lang und befand sich an einer leider feuchten Wand auf der Chorseite ungefähr 8 Fuss hoch mit 4 sicheren Klammern befestigt, in einem bedauerlichen Zustande, so dass, wenn die Kitterfigur nicht ein Holzschnitzwerk in flach erhabener Arbeit gewesen wäre, die Malerei langst verwischt sein würde, denn von der Schrift war kaum etwas mehr zn erkennen, besonders am Fuss des Flügels, aber die Vergoldung und Farbengebung des Kitters war uoch vollständig erhalten, wie z B. der Har- nisch, welcher vergoldet war, das Wappenschild Silber, der Löwe roth, der gebogene Baumast blau, ebenso das Helm- kleinod, die Helmdecke roth und weiss gefuttert, die St. Georgen-Fahne weiss mit rothem Kreuz und goldenem King, Alles auf reich damastirten Goldgrund, Glanz und matt; der Teppich im Hintergrund grün mit roth und weiss abwechselnden Frausen; oben am Ecke des halbrunden reich verzierten Bogens befindet sich ein silberner Wappenschild mit einem schwarzen Rosskopf, umgeben mit einem weissen Spruchbande, das die Aufschrift hatte „Miserere mei Deus secundum misericordiam tuam.“ Leider fand ich nirgends eine Jahreszahl, aber nach dem Charakter des Harnisch zu urtheilen, gehörte die Zeit des interessanten Bildes dem Ende des täten Jahrhunderts an. I 13 chapelle mortuaire et depuis les monastères de Bébenhausen et de Grossingstingen. Dans ce dernier lieu on conserve encore, suspendu au dessus de la porte de la salle d'auberge, un écusson mortuaire de forme circulaire de trois pieds de diamètre. Quant aux armes de Bébenhausen, le prieur de ce couvent, Jean de Friedlingen, les fit renouveler en 1520, à la fête de Pentecôte, en l’honneur des nobles bienfaiteurs de ce couvent. Du nombre de ces derniers se trouvens plusieurs membres de la famille des Neuhausen. L'auteur de rOrnementique eut occassion de voir les mêmes armoiries, lors de la grande chasse royale du canton de Bébenhausen, chanté par Matthison en 1810. Ces armoiries-ci ainsi que celles de Grossingstingen lui ont fourni les émaux, omis dans les armes sculptées de la chapelle et que d’ailleurs il cherchait en vain dans les armoriaux II est donc sûr que le dit donateur n’est autre qu’un baron de Neu- hausen et sans doute le baron George, membre de la société de St. George, érigée par le roi Max, sous le nom „Ecu de St George“ et dont les écuyers visitèrent le tournoi de Stoutgart de 1484, mais à défaut de table généalogique nous ne pouvons rendre compte de l’écusson de l’angle supérieur, tout ce que nous en savons c’est que les barons de Plieningen Blieningen, dont le manoir était situé près de l’ancien et superbe château de plaisance du duc Charles, ont porté les mêmes armes. Les Neuhausen, race antique par toute la chevalerie de la Suabe, illustre, pieuse et admise aux tournois, devinrent plus tard les fidèles vassaux des comtes de Wurtemberg. La plupart des Neuhausen se vouèrent à l'Eglise, on en recontre beaucoup dans les collégiales, couvents et abbayes, tels qu’à Sindelfingen, Tübingen, Denkendorf. La guerre des paysans les éclaircit beaucoup. Bien des leurs tombèrent victimes des atrocités commises près de Weins- berg, où, par ordre d’un monstre, du nom Jaeklein, les barons Frédéric et George de Neuhausen ainsi que le comte Louis de Helfenstein avec 16 autres chevaliers de plus illustres de la noblesse wurtembergoise furent forcés de s’enfiler dans des lances. Les pierres tumulaires, érigées en leur mémoire, se trouvaient encore de bonne conservation dans la dite chapelle et, par bonheur, nous les avons copiées. Cette famille s’étant éteinte, le domaine de Neuhau- sen tomba en partage à la famille catholique des comtes de Rotenhan en Franconie, de laquelle il passa par achat au chapitre de Spire. La mi-part, était fief d’empire et $ g si und nach dem Wappen ist diese Ritterfigur ein Edler von Neuhausen, welches Wappen ich von der Begräbniss-Ka- pelle, dem Kloster Bebenhausen, und von Grossingsiingen aus kannte. Am letztem Orte befindet sich noch ein rundes 3 Fuss haltendes Todtenschild, welches sich im Tennen eines Wirlhshauses über der Thure der Wirlhsslube heute noch befindet Die Wappen, welche ich in Bebenhausen sähe, hat der Abt dieses Klosters, Johannes von Friedingen, im Jahre 1520 vor dem Pfingstfeste zu Ehren der adelichen Gutlhäter seines Klosters, unter welchen sich viele der von Neuhausen befinden, wieder erneuern lassen ; diese waren dieselben, welche ich zur Zeit der grossen, bei Bebenhausen gehaltenen königlichen Jagd, welche Mat- thisson 1810 besungen hat, gesehen habe. Diese Wappen und auch die zu Grossingstingen gaben mir die Blaso- nirung der Tinktur an, denn in keinem Wappenbuch konnte ich Bild und Beschreibung eines Neuhausen’sclien Wappens auffinden, und die in Stein gehauenen Wappen an den Grabsteinen der Kapelle trugen keine Spur einer Farbe wodurch ich zur Gewissheit kam, dass fraglicher Donator ein von Neuhausen ist, und vermuthlich ist es Georg von Neuhausen, welcher der St. Georgen-Gesellschaft angehörte, die unter dem Namen St. Georgen - Schild von König Max errichtet wurde, und im Jahre 1484 auf dem Turnier zu Stuttgart sich einfand ; aber in Ermanglung einer Geschlechtstafel der von Neuhansen konnte ich mir den am Obern Ecke befindlichen Schild nicht erklären, nur weiss ich, dass die Edlen von Plieningen Blieningen, deren Schloss nächst dem ehemaligen herrlichen Lustschlosse Herzogs Carl’s bei Hohenheim lag, dasselbe Wappen geführt haben. Die Familie der von Neuhausen war ein edles frommes, turnierfähiges altes schwäbisches Rittergeschlecht, sie waren in späterer Zeit getreue Vasallen der Grafen von Württemberg. Die meisten weiheten sich der Kirche; man findet deren viele in Domstiften, Klöstern und andern Stif- j ten, wie z. B. in Siudelfingen, Tübingen, Denkendorf u. s. w. als Geistliche. Der Bauernkrieg 1525 hat ihr Geschlecht damals sehr gelichtet, wer kennt die Gräuelthaten vor Weinsberg nicht, wo Friedrich und Jörg Wolf von Neu- hausen, der edle Graf Ludwig von Helfenstein an der Spitze, auf Anordnung eines verwilderten Scheusales, „Jäck- i lein“ genannt, mit noch 16 der Edelsten des Württember- gischen Adels durch die Spiesse gejagt wurden! Ihre ^ Grabsteine befanden sich in oben genannter Kapelle gut ^ M 14 $ contribuait au cauton de chevalerie du Kocher jusqu’en 1803, époque de l’incorporation au Wurtemberg. En la même année l’auteur de l’Ornementique y reçut sa confirmation par le co-évêque de Constance. erhalten und habe ich dieselben zum Gluck abgezeichnet. J Nach Aussterben dieser Familie kam der Marktflecken Neu- hausen an die katholische Familie der Grafen von Roten- han in Franken, welche es später an das Stift Speier ver- 1 kauften. Der halbe Theil war ein Reichslehen und sten- ! erte bis zur Einverleibung an Württemberg 1803 zum I Ritter-Kanton Kocher. — ln demselben Jahre empfing der j Verfasser dieses daselbst die heilige Firmung von Weihbischof von Constanz. I lanche IV. Platte IV. Intéressant lutrin, en chêne, de la Collégiale de Her- rieden, petite ville près d'Onolzbach, an pied du mont Saint-Martin, dout le flanc est traversé par la grande-route d’Ânsbach et près de l’Altmuhl. Cet endroit est historique, attendu que c’était dans l’orgine un couvent des Bénédictins. Le plus ancien prieur en fut saint Déocharus, qui en reçut l’emplacement par Charlemagne. Les ossements de ce saint existent encore. L’empereur Louis le Bavarois, lors de la guerre qu’il fit à Kraft de Hohenlohe en 1317, les donna en présent à l’église de St. Laurent de Nuremberg, laquelle les céda récemment à la cathédrale d’Eich- stadt. Il se voit encore de ces lutrins, dont le dossier représente un aigle emblème de St. Jean l’Evangéliste dans la plupart des collégiales, surtout en France et en Belgique, ou ces aigles sont d’ordinaire dorés. Ce lutrin parait appartenir à la fin du 15e siècle. L’architecte Hermann Keim le dessina d’après nature. Ein intéressantes Evangelienpult aus der Stiftskirche zu Herrieden, einem Städtchen bei Ansbach am Fusse des , Martinsberges, worüber die Ansbacher Strasse führt, an der ! I Altmühl. Dieses Städtchen hat einen historischen Werth, denn Herrieden war aus einem Benediktiner Kloster, dessen erster Abt der heilige Deocharus war, der den Ort ' dazu von Carl dem Grossen erhielt, hervorgegangen. Der Krieg des Kaisers Ludwig des Bayern mit Kraft von Hohenlohe 1317, bei welcher Gelegenheit Nürnberg die Ge- ! beine dieses Heiligen, welche dort beigesetzt waren, vom Kaiser zum Geschenk für die St. Lorenzkirche erhalten hat, und die sich nun in Eichstädt befinden, ist bekannt. — Diese Adlerpulte, welche analog dem Symbol des heiligen Evangelisten Johannes einen Adler vorstellen, werden in den meisten Collegialstiften heute noch, besonders in Frankreich und Belgien gebraucht, wo diese Adler meist vergoldet siud. — Dieses Pult ist von schönem Eichenholz geschnitzt und scheint dem Ende des täten Jahrhunderts anzugehören. Architekt Hermann Keim zeichnete dasselbe nach dem Original. Planche V. Platte V. Fig. a. Lustre de l’église de St. George à Kraftshof distant d’une lieue de Nuremberg, copié par notre appa- reilleur, Michel Geiger d’Almanshof près de Nuremberg. Ce lustre de bronze, aux armes de la famille des barons de Kress, de trois pieds de diamètre, ouvrage exquis de Pierre Vischer, fut fondé par la famille nobiliaire Kress de Kressenstein. Ce candélabre est à plusieurs pièces, ajustées les unes au bout des autres, qu’on peut démonter à l’effet de les écurer plus soigneusement. Les branche sont à chevilles, destinées à recevoir les cierges. f i Fig. a. Ein Kirchen - Kronleuchter aus der St. Georgen-Kirche in Kraftshof, eine starke Stunde von Nürnberg gelegen , gezeichnet von meinem Bauführer Michael Geiger von Almoshof bei Nürnberg. Dieser bronzene Leuchter, 3 Fuss im Durchmesser, ist eine zierliche Arbeit von Peter Viscber und wurde von der Patrizier-Familie der Herren Kress von Kressenstein gestiftet und ist daher auch mit dem Wappen der Familie geziert. Dieser Leuchter wird — um ihn blank putzen zu können, ganz bequem auseinander gelegt und sieht daher $ - 15 n ?ï Quant à l’église, fondée en 1315 par Frédéric de Kress; elle contient le tombeau de la famille et plusieurs curiosités précieuses. Fig. b. Plan de la branche du lustre. Fig. c. Coupe du lion soit du tenant. Fig. d. La moitié du plan. i i i , Planche VI. ! Table en marqueterie avec ornements sculptés, tirée du ci-devant couvent des Citaux à Kaisersheim Kaisheim, i couvent d’empire, près de Donawert en Suabe. Elle fut acquise par M. Hermann Keim, h qui nous en devons la copie, c'était saus doute la table du frère-trésorier, car sous le dessus, qui est à coulisses, se trouvent quantités de petits tiroirs, destinés sans doute à recevoir les diverses sortes de monnaies, soit les pièces et mennes monnaies déssamblées. Que de meubles précieux ne pourrions nous représenter, si, lors de la sécularisation des couvents, ou eût mis quelques bornes à la dilapitalion! ! auch immer aus, wie vergoldet. Die Lichter-Arme sind mit Zapfen versehen und werden mit denselben blos durch Einstecken befestigt. Die Kirche selbst, welche viele werthvolle Sehenswürdigkeiten aufzuweisen hat, ist im Jahr 1315 von Friedrich von Kress gestiftet worden, allwo auch die Erbgruft dieser altadelichen Familie sich befindet. Fig. b. Arm des Leuchters in seinem Maas oder der geometrischen Form. Fig. c. Profil des Löwen oder Wappenhalters. Fig. d. Die Hälfte des Grundrisses. i Platte VI Ein würdiger geschmackvoller Tisch mit eingelegten und geschnittenen Verzierungen; er stammt aus dem ehemaligen Kloster Kaisersheim Kaisheim, einem Reichskloster Cisterzienser Ordens, unweit Donauwörth im Kreise Schwaben ; von dort kam dieser merkwürdige Tisch in den Besitz des Zeichners desselben, Hermann Keim; es war wahrscheinlich ein Kassatisch des Pater Schatzmeisters, da sich in seinem Innern unter der zu verschiebenden Tischplatte eine Menge kleiuer Schublädchen befinden, die zur Sondirung der verschiedenen Geldsorten gedient haben mögen. Wie viele herrliche geschnitzte Möbels und andere Gerätschaften würden wir noch aufzuweisen haben, wenn mit der Säcularisirung der Klöster glimpflicher verfahren worden wäre. Planche VII. Platte VII. ! Détails de la blanche précédente. Fig. a. b. et c. Décorations des rebords. Fig. a. Décorations des deux rebords latéraux. Fig. b. Décoration du rebort. longitudinal avec l’écusson. Fig. c. Rebord correspondant. Fig. d. Décorations profilées au dessous de la serrure. Fig. e. Décorations conturnées au dessous des précétentes. Fig. f. Décorations au filet en marqueterie. Fig g. Marqueterie i de la corniche au dessous du rebord. Fig. h. Décorations aux saillies. Les marqueteries sont représentées en grandeur naturelle. d.' h i $ •a9SK*^ Details von den Verzierungen des vorgenannten Tisches. Fig. a. b. u. c. Verzierung der Zarge oder Fries-Rahmen der Tischplatte. Fig. a. Die Verzierung der Breite oder Tiefe; die Vorderseite ist wie die Hinterseite. Fig. b. Die Verzierung des Friesses auf der Länge-Seite mit dem Schlofs-Schild. Fig. c. Die Hinterseite. Fig. d. Vertiefte Verzierung unter dem Zarge mit dem Schlosse. Fig. e. In Umrissen geschnittene Verzierung unter der vorigen. Fig. f. Eingelegte Verzierung an dem Obern Rande der Tischplatte. Fig. g. Eingelegte Verzierung an der Stirne der Tischplatte. Fig. h. Eingelegte Verzierung an dem Vorsprunge unter der Zarge. Die eingelegten Verzierungen sind in natürlicher Grösse angegeben. i 1? U Planche VIII. Platte VIII. m Jfc f. Deux battants d’armoire, sculptés en bois de chêne et travaillés à jour, de 1' 3t" de haut sur 1' ’u" de large. De la collection de feu mon ami Hofstatt, auteur de l’alphabet gothique. Ce travail est d’origini française et du caractère moyen âge. Fig a. Armes avec écusson, casque, cimier, lambre- ' quins exquis, mais le toute san6 émaux. A defaut de ces derniers et d’armorial français du moyen âge, nous ne 1 sommes pas dans le cas d’y suppléer. Fig. b. Armes femelles posées de piais, avec le sur- le-tout d’alliance, arrière - champ en lambrequins, chiffres O. AI., le tout enclasé de bandes. Sans vouloir nous mê- 1er à déchiffrer le sens le ces lettres, nous croyous pourtant quelles doivent rappeler n O sancta Maria ora pro no b i s. “ Nous tenons ces deux plâtres exquis de Al. Keim, mouleur à Alunir. C’est un grand mérite de cet homme infatigable qu’il ait formé cette ample collectiou d’ornements distingués du moyeu âge. Ce bel établissement, ou l’amateur va achter i convenance, vient fort en aide, soit aux études privées, soit aux écoles de modelage et de dessin. Le même but se sont proposé les frères Laurent et Alichel Kotermundt, sculpteurs à Nuremberg, dont les ateliers représentent plusieurs modèles distingués du moyen âge, notamment d’anciens maîtres nurembergeois, tels que des Veit-Stoss, des Adam-Kraft, des Schonhofer, des Albert- Durer etc., modèles qui sont très recommandables. $ H Zwei niedliche in Eichenholz geschnittene und durch- brochene Schrankflügelchen von 1' 3 1 /*" Höhe und 1' */»" ! Breite aus der Sammlung meines leider verstorbenen Freun- 1 des Hofstatt, Verfasser des gothischen A. B. C. Die Schnitzerei ist französischen Ursprungs im damaligen mit- ! telalterlichen Charakter. Fig. a. Wappen mit Schild, Helm Helmkleinod und geschmackvoller ornamentaler Helmdecke, aber ohne Bla- souirung und Tinktur, daher dem Verfasser dieses unbekannt, da ihm keiue französische Wappensammlung des Mittelalters zu Gesicht gekommen ist. — Der zweite Flügel Fig. b ist eiu weiblicher Schild mit dem Alliance- Wappen im Uebereck gestellten Quadratschild, ebenfalls unbekannt, mit geschmackvoller Helmdecken - Verzierung, eiugeflocbtenem Band und ebenfalls eingeflochteneu Buchstaben 0. u. AI., deren Entzifferung ich Andern überlassen will, wahrscheinlich eine Andeutung auf „0 sancta Alaria ora pro n o b i s. “ Diese herrlichen Schrankflügelchen erhielt ich von dem Gypsformator Keim vou München als Gyps- Abgüsse. Dieser fleissige Alaun hat wirklich das grosse Verdienst, dass er mit vieler Aluhe eine bedeutende Sammlung herrlicher Verzierungen aller Art aus dem Alittelalter abformte und nun zum Verkauf darbietet, was zum Zweck des Studiums und zum Nachmodelliren und N’achzeichuen fur Schulen von bedeutendem Nutzen ist. Denselben Zweck verfolgen auch die Gebrüder Loreuz und Michael Hotermundt, Bildhauer in Nürnberg, bei deuen Ausgezeichnetes aus dem Alittelalter zu linden ist, und zwar meistens Nürnberger Kunslarbeiten von Veit Stoss, Adam Kraft, Schonhofer, Albrecht Dürer u. s. w., welche Alodelle sehr zu empfehlen sind. U. E. Sebald sche Buchdrackerei in Nürnberg. 17 i sstaaB Livraison XU. Explication des Planches. $ Style byzantin. Planche I. Portail latéral de l’église du couvent des Cîteaux de l’abbaye de Lilienfeld en Haute-Autriche voir les chapiteaux du cahier IV, planche I de l’Ornementique. L’auteur de l’Ornementique plaint beaucoup que, vu son passage trop rapide dans cette abbaye, il ne lui ait pas été donné de lever toute une série des nombreuses beautés architecturales de cet intéressant couvent. A tout prendre, la Haute-Autriche et la Basse-Autriche ne sont pas sans quantité de monuments d'architecture des temps antiques. C’est aussi l’avis de M. Quast, architecte en chef, notre très honoré ami, lequel, après une tournée faite l’automne dernier en Autriche et en Suabe a bien voulu nous montrer son admirable carton d’esquisses et de copies d'après nature. Il serait à souhaiter que 11. Quast vouloût bien les publier. Ce petit portail se distingue par l’originalité de ses formes; les consoles des chapiteaux surtout sont d’un effet très pittoresque. Planche II. Miniature sur parchemin, séparée a coup de ciseaux d’un code français du 12e siècle, en propriété autrefois à Einnndzwanzigstes Heft. Erklärung der Platten. Byzantinlaclier Styl. Platte I. Nebenthüre aus der alten Cisterzienser-Klosterkirche j des Stiftes Lilienfeld in Unterösterreich s. IV. Heft Platte I. jj der Ornamentik, wo einige interessante Capitale von da vor- geführt sind. Dieses Kloster hat so vorzügliche Schönheiten, dass es dem Verfasser dieses bei seinem dortigen nur kurzen Aufenthalt unmöglich war, mehreres von diesem gewiss merkwürdigen Kloster zu zeichnen. Ueberhaupt hat Ober- und Unterösterreich wirklich viel Vortreffliches aus der architektonischen Vorzeit aufzuweisen, worüber auch mein hochverehrter Freund Herr Oberbaurath von Quast, welcher diesen Herbst 1850 eine Reise durch Schwaben und Oesterreich machte, mit mir ein-, verstanden ist; bei seiner Rückreise Uber Nürnberg habe ich in seinem Reiseskizzenbuch seine vortrefflichen Aufnahmen und herrlichen Motive bewundert; es wäre sehr zu wünschen, dass er solche veröffentlichen möchte. Dieses hier vorgeführte kleine Portal aus der Kirche j von Lilienfeld zeichnet sich durch Originalität aus, besonders machen die Capitäl-Consolen einen höchst malerischen 1 Effekt. ! Platte II. ^ T f 1 ' Abbildung — nach einem aus einem französischen ^ Codex des 12ten Jahrhunderts leider herausgeschnittenen § - - 18 I I feu M. Kirchner, peintre et ami de l’auteur Nous calquâmes cette miniature en 1824. ce qui nous permet de la reproduire dans les dimensions de l'original. Cette intéressante image était si détestablement détériorée de même que l’écriture du dos quil fut presque impossible de déchiffrer celle-ci. Mais vu le grand intérêt de la chose nous nous permettons d’y fournir un commentaire, fondé sur nos études et expériences Nous avons reçu communication de notre ami, M. Kirchner, qu’il avait acquis ce parchemin d’un Français, marchand d’objets d’art, en échange contre des gravures. Ce marchand lui dit que, lors de l’incendie de l’abbaye de St. Germain des Près 20 Août 1794, transformée en Salpêtrière, la vaste bihliothèquç de cet établissement, étant menacée des flammes et toutes les mains se mêlant à vnidrr les localités plusieurs ouvrages auraient été détournées, puis à coup de ciseaux, privés de leurs illustrations, le dit marchand en acheta une quantité et notre miniature parmi. „L’Histoire de Paris“ par Félicien et le „Recueil des Historiens de France“ nous apprennent que le roi Louis VII. fut le patron et le généreux bienfaiteur de ce célèhre couvent, bâti au 6e siècle par le roi Childebert. Puis dans l’intéressant ouvrage „Histoire des rois de France“ on retrouve Louis VII dont le ressemblance au portrait de notre parchemin est frappante. Cette circonstance nous fait croire que ce dernier représente réellement Louis VII. Ce roi, surnommé le - Jeune, le-Débonnaire et Florus, né en 1120, fut, après le décès de son frère ainé et du vivant encore de son père couronné à Rheims par le pape Innocence II. Peu de temps avant la mort de son père il épousa Eléonore, fille héréditaire du duc Guillaume de •Guienne et de Poitu. En 1136 le 8. Août il fut couronné roi d’Aquitaine et â Noël suivant roi de France A la prise de Vitri il fit mettre le leu à une église ou 1300 hommes furent la proie des flammes, il tomba alors dans une langueur mortelle et dans un chagrin si fort que, sur le conseil de St. Bernard, pour expier la mort tragique des hahitans de Vitri il prit la croix résolu d’aller combattre les Infidèles. Il se mit en route en 1147 la semaine après celle de la pentecôte, suivi de son épouse Bernard mit une croix rouge sur l’écu du roi, fleurdelisé déjà des trois lis de France, même distinction fut donnée à son manteau. Louis Vil. fut le premier roi de France dont le blason Pergameutgemäldes, welches im Besitz meines verstorbenen Freundes, des Malers Kirchner, war; im Jahre 1824 habe ich dasselbe durchgezeichuet, und in Folge dieses Verfahrens liegt es jetzt in Naturgrösse vor Dieses merkwürdige Bild war aber so schändlich ausgeschnitten und verdorben, dass die auf der Rückseite noch etwas sichtbare Schrift kaum zu lesen war, inzwischen in- teressirle mich dieses Blatt so sehr, dass ich mir erlaube, wie es mir Studium und Erfahrung darboten, einen Commenter darüber zu liefern Von meinem Freunde erfuhr ich nämlich, dass er dieses Bild von einem französischen Kunsthändler gegen Kupferstiche eingetauscht habe, der ihm erzählte, dass bei dem Brande die Abtei St. Germains des Près am 20. August 1794, die zur Zeit der Revolution zu einer Salpeterfabrik eingerichtet worden war, die ganze dortige reichhaltige, und in dieser Zeit unbeachtete Bibliothek vom Feuer bedroht war; alles, was Hände hatte, wollte retten, in diesem Durcheinander kamen nun auch die wichtigsten Werke in unwissende Hände, und hier wäre er der Kunsthändler durch Kauf in den Besitz mehrerer alter herausgeschnittener Pergamentgemälde, unter andern auch zu diesem Bilde gekommen. Aus der Histoire de Paris par Félicien, und aus dem Recueil des Historiens de France ersah ich, dass König Ludwig VII diesem berühmten Kloster, welches König Childebert im 6ten Jahrhundert erbaut hatte — stets ein mächtiger Patron und grossmüthiger Wohlthäter war, und da in dem interessanten Werke „Histoire des Rois de Françe Ludwig der 7te vorkommt, und mit unserem Bilde viele Aehnlichkeit hat, so möchte ich fast glauben, dass dieses jenen König vorstellen soll. Ludwig VII , le jeune, der Jüngere, der Fromme, auch Florus genannt, geh. 1120, wurde nach Ableben seines älteren Bruders, noch bei Lebzeiten seines Vaters im Jahr 1131 den 25. Oclober zu Rheims vom Papst lunocentius II gekrönt; er war mit der Erbtochter des Herzogs Wilhelm von Qnienne un Poitou, Eleonore, kurz vor dem Tode seines Vaters vermählt [m Jahre 1136 den 8. August wnrde er als König von Aquitanien, und an Weihnachten darauf zum wirklichen König von Frankreich gekrönt. Bei der Eroberung von Vitry, wo 1300 Menschen in einer Kirche verbrannt wurden, verfiel er in solche Schwermuth , Gewissensangst und Kummer, dass er auf den Rath des heiligen Bernhard, um seine Sünden zu biissen, das Kreuz nahm, nnd sofort einen 19 i f -ss»aa portât d’azur aux trois lis d'argent dans l’écu. Nous ne doutons plus d’après cela que notre parchemin ne représente le dit roi. Il est assis sur son trône, s’appuyant sur le sceptre, tenant de la main gauche l'écu aux lis. Le blassonement des armes françaises n’est pas sans un profond sens emblématique et fut introduit sous Saint-Louis. Sous ce prince la France était grande et heureuse. Qui ne conuait la devise du peuple français „ G e n l i s Pater atque Custos M a n i b u s date, lilia plenis.“ D’après la légeude les anciens roi avent Clovis portaient de gueules à trois crapauds d’azur foncé Ce roi ayant reçu le baptême se mit à exercer des oeuvres de charité et de pénitence, pressé de sou épouse, la pieuse. Clothilde, laquelle allait visiter souvent certain pieux ére- mile à Possy, auquel un auge apporta un jour les armoiries nouvelles, portant d’azur aux trois lis d’argent dans l’écu. En mémoire de cette origine, l’ange fut adopté comme tenant des armes françaises et regardé comme porte-bonheur pour la France. Plus tard les lis furent émaillés d’or. La France prospérait, en grandeur, en civilisation, eu arts et eu sciences la cour et les couvents étaient des modèles pour toute l’Europe. Aujourd’hui les anciennes armoiries sont remplacés par le tricolor rouge, blanc et bleu-foncé. Le rouge et le bleu rappellent les ancieunes armoiries, le blauce rappelle les lis, emblème de l'innocence et de la pureté, mais le rouge rappelle involontairement le sang innocemment répandu de Louis XVI. Nous ajouterons quelques mots sur les couleurs de la miniature, tant qu’on pouvait encore les définir. Les couleurs sont à la gouache, comme dans les livres de missel des 9e et tüe siècle et couchées sur champ d’or. Le roi est assis sur un trône, tendu de bleu, revêtu d'un manteau de pourpre à doublure couleur ternie sans doute lilas, le manteau est chamarré d’or et parsemé de pierres précieuses, tunique violette à manches courtes, chamarrée de noir avec broderies en or. Le roi porte une espèce de pallium, tel que le portaient les évêques grecs et romains, qui est de même richement bordé d’or et de perles, le ruban qui descend le long de la poitrine et du dos est d'uue grande originalité ; la ceinture* est en or, le vêtement de dessous d'un vert-pâle, nuancé de bleu. En tête une couronne ouverte, telles qu’on les voit dans les anciennes images et sculptures des rois français. Cette couronne ainsi que le sceptre sont en or, de même que les bracelets. L'écu, omis ordinairement dans les images des Kreuzzug in das heilige Land unternahm, wohiu er wirklich im Jahre 1147 die nächste Woche nach Pfingsten in Begleitung seiner Gemahlin die Reise antrat ; das rolhe Kreuz heftete der heilige Bernhard auch auf den Mantel und Schild des Königs, auf dessen letzterem schon die drei französischen Lilien angebracht waren. Ludwig VII. war der erste König von Frankreich, welcher die drei Lilien im blauen Felde führte. — Aus diesen Nachrichten wurde es mir klar, dass unser Bild denselben König vorstellt; hier sitzt er nämlich auf einem Thron, gestutzt auf dem Scepter, in der Linken hält er deu Wappenschild mit den Lilien. Das französische Wappen war wirklich ein schönes bedeutungsvolles Emblem, und erhielt seine eigentliche Weihe durch Ludwig den Heiligen Frankreich war unter ihm gross und glücklich; wer kennt nicht des französischen Volkes Zuruf Gentis pater atque custus, mauibus date, lilia plenis.“ — Dieses Wappen verdankt seine Blasonnerie einer Legende; man sagt Die alten französischen Könige vor Chlodwig hätten drei dunkelblaue Kröten im rothen Felde als Wappen geführt. Seitdem aber Chlodwig getauft war, wird weiter erzählt, übte er auf Antrieb seiner frommen Gemahlin, der heiligen Clotilde, Werke der Busse und Liebe. Clotilde besuchte öfters einen frommen Einsiedler in Poissy. Diesem brachte einstmals eiu Engel das neue Wappen, drei weisse Lilien im blauen Felde. Zum Andenken wurde der Engel als Schildhalter des französischen Wappens aufge- nommeu, und vou den spätem Königen als heilbringend für Frankreich angesehen, endlich W'urden die Lilien golden. Frankreichs Grösse, seine Bildung, Kunst und Wissenschaft nahm zu, Hof uud Klöster waren Muster für ganz Europa ; heut ist au die Stelle des alten Wappens die Tricolore getreten, rotb, weiss und dunkelblau. Roth uud dunkelblau erinnert an das vorchristliche Wappen, weiss an die Lilien, Symbol der Unschuld uud Reinheit, roth aber erinnert auch un willkührlich au das uuschuldig vergossene Blut Ludwig XVI. Die Farben des Bildes — so weit diese noch zu erkennen waren, so wie die Erklärung einzelner Theile, will ich hier noch iu Kurze auführen. Die Malerei ist in Deckfarben — wie bei deu ältesten Missaleu des 9 und 10. Jahrhunderts üblich, und auf reichem Goldgrund gemalt. Der König sitzt auf einem blau gepolsterten Thronstuhl, an- gethan mit einem dunklen Purpurmantel mit hellem Futter — soll wahrscheinlich hell - lilia Farbe sein, der Mantel 20 >ses*?*v- - \ rois, est d’un grand intérêt, vu la croix rouge qu'il porte, laquelle rapelle sans doute la croisade du roi. Ces écus, arrondis aux trois angles, étaient généralement en usage chez les rois du 12e siècle ils étaient larges par en haut se terminant en pointe par en bas, moins lourds que les écus ordinaires, ils n'étaient destinés qu'à préserver la tête et la partie supérieure du corps. Ces écus étaient travaillés en bois de hêtre ou de tilleul et enduits, pour plus de solidité, de cuir bouilli de buffle ou de cheval, il n'y en avait jamais de fer massif, bien que quelquefois ce métal fût employé pour garnir et décorer les écus, selon le rang de chacun et pour pouvoir résister à la violence des coups d’épée, et voilà pourquoi les Troubadours dans leurs chants aiment tant à parler de l’écu vomissant le feu. Les écus des personnes éminentes étaient souvent montés et décorés en or ou en argent, rembourrés de cuir dans le creux et garnis d’anses. Comme les rois de France, en frappant certaines pièces de gros argent, faisaient mettre de même l'image de l’écu royal sur ce numéraire, il s’en suivit qu’on les nomma bientôt „écus“. Une arme défensive, analogue aux écus c’etaient les r al- fastars“, dont la description se trouve dans „ 1 ’ Art- Journals,“ rédigé par le Docteur Hall à Londres, dans un article fourni par nous et qui traite des costumes. Outre l’écu, le roi, ceint du ceinturon autour des hanches, tient aussi l’épée; la garde en or, les soliers brodés en or de même que l’escabeau dont le dessus est d’écarlate. L’arrière-champ est en or fleurdelisé d'argent, le portail or sur fond noir, les colonnes de marbre verdâtre, l’arcade or, les moulures or sur champ d’écarlate. Les ornements supérieurs de l'arcade posés sur champ lilas. Le champ de couleurs diverses rehaussées en or, les pétales blancs sur azur, de même que les autres parties de l’orncmentique, où toutes les diverses couleurs et nuances s’harmonient. Les moulures des circonférences sont des filets or et vermillion. Les chapitaux et les bases des colonnes sont richement décorés, les champs sont alternativement de bleu, de rouge et de vert. Les décorations sont miniaturées de couleurs voyantes, le socle or, les ornements courants et les panneaux internes alternant de bleu et de rouge bh -—- If selbst ist reich mit Gold und Edelsteinen verbrämt, die Tunika mit kurzeu Aermelu ist violett, ebenfalls reich mit Goldverzierungen auf schwarzem Grunde eingefasst ; der König trägt eine Art Pallium, nach Art der griechischen und römischen Bischöfe ; auch dieses ist reich mit Gold und Perlen besetzt, originell ist das herahhaugende Baud au der Brust und Schultern. Der Gürtel ist golden. Das erste Untergewand ist blassgrün, blau schat- tirt, und das zweite weiss mit blauer Einfassung. Der Kopfputz ist eine offene Krone, wie man solche an den alten französischen Königsbildern und andern Denkmalen sieht. Diese Krone ist, wie der Scepter, von Gold, ebenso die Armspangen; merkwürdig ist hier der Schild, den man fast niemals an den Königsbildern sieht, dessen rothes Kreuz aber offenbar auf den Kreuzzug dieses Königs hindeutet. Dieser an den drei Ecken abgerundete Ilerzschild écu der Könige und Fürsten war im 12. Jahrhundert allgemein im Gebrauch, oben breit, unten spitz; um weniger schwer zu sein als die gewöhnlichen Schilde, war er nur bestimmt, llaupt und Oberleib zu decken. Diese Art Schilde waren aus Buchen- oder Lindenholz gearbeitet, und der grösseren Festigkeit wegen mit gesottenem Büffel- oder Rossleder überzogen, aber nie massiv von Eisen oder Stahl, und wenn ja dieses Metall dabei in Auweuduug kam, so war dieses nur bei der Einfassung oder Verzierung, je nach dem Range seines Besitzers, und deswegen angebracht, um der Wucht des gewaltigen Schwertes widerstehen zu können und daher kommt auch in den Gesängen der alten Troubadours so oft „der funkensprü- hende Schild“ vor; bei hohen Personen war Einfassung und Verzierung nicht selten von Gold oder Silber ; inwendig war er mit Leder gepolstert und mit Armriemen versehen; unser Schild, wie wir ihn vor Augen haben, war mit dem königlichen Zeichen oder Wappen bemalt, daher noch heut zu Tage die französische Münze écu Thaler nach einem so bezeichneteu Schilde benannt wird; weil sie das Gepräge des Wappenschildes führt; ähnlich diesem Schilde waren auch die sogenanuten Alfastars ; eine ausführliche Beschreibung dieser Schutz»affe findet sich in meiner Costume-Beschreibung in den Monatsheften des Art Journals, welches Dr. Hall in London herausgibt. Nebst dem Schild hält der König auch das Schwert mit umgewundener Schwertkuppel, der Griff ist Gold, die Schuhe sind ebenfalls Gold, so auch der ; der Fuss- boden des Schemels ist zinnoberroth. rf? SÄ & -—-BsttöS* 21 a I Style geritiKiilque gothique. Planche III. Fig. a. Fragments d’une balustrade d’autel du ci-devant couvent des Dominicaines à Loewenthal ou Liebenthal, dessinés par l’auteur de l’Ornementique pendant ses excursions sur les rives du lac de Constance, en 1813. Ce couvent, intéressant autrefois, est situé sur la rivière d’Ach et près de Friedrichshafen Buchborn . Anciennement nommé Hi m mel s wo n ne , il est un des plus antiques de la contrée. Le nom du fondateur n’est plus connu, on sait simplement que le chevalier Jean de Ravensbourg, en 1250, fit reconstruire ce couvent, consumé par le feu en 1246. Ravensbourg fit de riches présents au couvent reconstruit et Gutta, son épouse, de la noble maison d’An- gelburg, en fut la première prieure. Il est à plaindre que le beau style de ce couvent ait été piteusement massacré par les renouvellements du 18e siècle, car la vieille église est tellement surchargée d’ornements du style ignoble qu’on ne s’y reconnait plus Néanmoins quelques coins retirés cachent encore des traces d’ancienne splendeur, tels que notre balustrade, du 15e siècle, en bois de chêne tout noircie du temps, mais élégamment et si diversement sculptée que chaque compartiment se trouve orné d’un motif nouveau, formé de rosaces délicatement sculptées à jour; les stalles que nous y vîmes, et qui sont de la même - - Der Hintergrund ist Gold mit weissen Lilien, das Por- tal Gold mit farbigem Grund, die gekuppelten Säulen sind 3 grünlicher Marmor, der Bogen ist Gold , die erste Orna- f menten-Einfassung grün auf zinnoberi othem Grund. Das obere breitere Bogen-Ornament ist auf dunkelblauem Grund, und lilla und grün mit Gold aufgehöht gehalten, die Kelchblumen sind weiss, auf Rosa-Grund, so auch die übrige Ornamentik, in der alle nur möglichen Farben - Nuançen harmonisch wechseln. Die äusserste Einfassung ist Gold mit zinnoberrothen Linien bezeichnet An Capitälen und Säulenfüssen, welche reich dekorirt sind, ist der Grund abwechselnd blau, roth und grün. Die Verzierungen sind mit bunten Farben besetzt; der Sockel am Schluss des I Bildes ist Gold ; das fortlaufende Ornament und die mittleren Quadrate sind ebenfalls Gold mit abwechselnd blauem und rothem Grund. Deutscher sotlilsrher Styl. Platte III. ; Fig. a. Fragment eines Altargeländers, Gallerie oder Chorschranken Kanzelte genannt, wo das Abendmahl gereicht wurde, aus dem ehemaligen Dominikaner-Nonnenkloster Löwenthal, auch Liebenthal genannt, von mir gezeichnet auf meinen Wanderungen am Bodensee im Jahre 1813. Dieses ehemals interessante Kloster liegt am Fusse Ach, seitwärts Friedrichshafen Buchhorn in der ehemaligen untern Landvogtei. Vor Alters hiess Löwenthal Himmelswonne, es ist eines der ältesten Klöster in dieser Gegend gewesen, dessen Stifter unbekannt ist, man weiss nur, dass Ritter Johann von Ravensburg im Jahre 1250 dieses Kloster neu j erbauen liess, nachdem es im Jahre 1246 abgebrannt war. Ravensburg beschenkte sein neues Kloster reichlich, und j seine Gattin, Gutta, eine Edle von Angelburg, wurde die i erste Priorin; leider ist der schöne Styl dieses Klosters ; im 18. Jahrhundert durch Erneuerungen ganz verzopft worden, und die alte Kirche ist vor lauter Rococco nicht i mehr zu erkennen, aber viele Spuren ehemaliger Herrlichkeit fand ich doch noch in den vergessenen Winkeln , so z. B. aus dem 15. Jahrhundert unser Altar-Geländer, von fast ganz geschwärztem Eichenholz, äusserst zierlich geschnitten und in Verzierungen so mannigfaltig, dass in ’ 1 jedem Fach eine andere Motive von fein durchbrochenen Tn Rosenverzierungen vorkommt; aus derselben Zeit müssen W 22 H Si époque à peu près, seront reproduits dans un des cahiers subséquents. Les monuments sëpulciaux de cette église, érigés aux comtes de Habsbourg, Montfort, Werdenberg, aux barons de Kavensburg etc nous étaient d’un grand intérêt. Fig. a. a. Hampes brolilées en échelle grossie. Figure b. Balustrade d'autel au couvent de Blaubeuren Wurtemberg j dessinée par le frère de l'auteur de l’Or- nemeutique, feu M Manfred Heideloff. On venait de la retirer d'un monceau de meubles d’église détruits. Elle servait probablement comme barre de séparation de la nef de l'église d’avec le choeur, où se trouve le superbe autel, ouvrage très renommé. Cette balustrade était richement dorée Fig b. b Les encadrements, eu échelle grossie. Pour démontrer la variété des sculptures nous en reproduirons encore deux, savoir Fig. c. Baltstrade de l'ancien couvent des Bénédictins Lah Monasterium Lacum près d’Andernach dans le pays de Trêve, dessinée par nous en 1815. Elle se trouvait dans une remise d’objets de rebut où, sur notre demande à voir des antiquités, ou nous aveit conduit. Nous y vîmes, à côté de toutes sortes de fragments d’autels et d'images sacrées, de même la dite balustrade, tombée presque en poussière. Elle était encore imposante par la richesse de la dorure et des couleurs. Le scabellon sur- tout, portant l’auge, nous intéressait; il est richement ' doré et à panneaux rouges et bleus; l’ange est eu couleur j robe blanche, chevelure et ailles dorées, il tenait un écri- 7 ! teau avec le mot „ Sa n c t i s s i m u s, * le mot correspondant i était sans doute sur l’écriteau de l'autre ange. Les deux ! scabellons, où l’on voit encore les gonds sur lesquels rou- j laient les battans, donnaient accès à •l'autel. Quelques- uns de ces meubles détruits portaient le millésime 1480 et notre balustrade appartient saus doute au même siècle, qui est celui de l’abbé Jean de Didesheim, ami des arts, j aux soins de cui ce couvent est redevable de divers embellissements; malheureusement il s’y introduisis plus tard le style de rococo et de tant de beaux objets les uns fu- ; rent écartés, les autres détruits. Le site pittoresque de ce \ couvent parle au coeur et à la faintaisie. Fartant du village de Brohl pour faire à pied la promenade vers le cou- j ' vent et descendant le revers des élévations, on est agré- ' ablemeut surpris eu découvrant l'élégante église du cou- veut à six tourelles gothiques et le lac austère avec son $ J — auch die daselbst von mir Vorgefundenen Chorstahle sein, welche ich in der Folge vorfuhren werde. Interessant waren mir hier die noch ziemlich gut erhaltenen Grabmaler der Grafen von llabsburg, Montfort, Werdenberg, der Freiherrn von Ravensburg und anderer mehr. Fig. aa. Rahmenverzierung des Geländers im vergrös- serten Maasstabe. Fig. b. Altargeländer im Kloster Blaubleuren, gezeichnet von meinem verstorbenen Bruder Manfred ileideloff. Dieses Geländer soll sich unter mehreren zerstörten Kirchenrequisiten vorgefunden haben; wahrscheinlich war es bestimmt, den Chor abzuschliessen, in welchem der bekannte herrliche Altar steht; dieses Geländer war reich vergoldet, und der Grund der Verzierungen blau und rotli gefasst. Fig. b. b. Die Rahmverzierung im vergrösserten Maas- f j I stab. Um die Verschiedenheit dieser Altargeländer darzu- thun, will ich noch zwei derselben vorführen und zwar Fig. c. aus dem ehemaligen Benediktiner - Kloster Laach lat. Monasterium Lacum unweit Andernach im ehemals Tiierischen, von mir gezeichnet im Jahre 1815. Dieses Geländer befand sich nicht mehr an seinem eigentlichen Platze, sondern in einem alten Gewölbe, wohin ich auf meine Nachfrage nach ähnlichen Gegenständen geführt wurde, und wo ich unter andern Trümmern von zerbrochenen Altären, Heiligenbildern, halb verfault auch dieses Geländer fand; es überraschte mich deurcli seine reiche Vergoldung und Bemalung besonders das Postament mit dem Engel ; es ist reich vergoldet mit rothen und blauen Füllungen. Der Engel ist bemalt im weissen Kleide, golduen Haaren und Flügeln, er hält einen Zettel, worauf „Sanctis- simus“ zu lesen war; die Fortsetzung dieses Zettels, wie des Worts trug wahrscheinlich ein zweiter Engel ; beide Postamente bildeten den Eingang zum Altar; man sieht noch an diesem Postament den Kolben der ThUrchen ; an andern zerbrochenen Gegenständen fand ich die Jahrzahl 1480 und bestimmt gehört unser Geländer dieser Zeit an ; und diess wär also die Zeit des kunstsinnigen Abtes Johannes vou Diedesheim, unter welchem dieses Kloster viele Verschönerungen erhielt; leider drängte sirh bei den vielen Erneuerungen der Zopfstyl ein, und manches Schöne wurde entfernt oder zerstört. Die Lage dieses Klosters ist äusserst romantisch, und spricht Phantasie und Gefühl auf das lebhafteste an, wenn mau vom Dorfe Brohl aus rivage, ou se trouvait le burg des ancieus comtes - palatins, lequels, par ce couvent, so nommaient Domini de Lacu ou Seigneurs de Lag. Ce paysagè, quoique privé du burg, brûlé par les Français, en 1689, ne laisse point d’exercer sur le contemplateur un charme indicible. Fig. c. c. La même décoration, en échelle grossie. Fig. d. Balustrade intéressante, de quelque autel, de l’église de la St. Croix à Cobourg, dessinée par mon ami et compatriote, l'architecte Guillaume Dürich, lors que nous étions occupés l'un et l’autre à l’élévation du château de Cobourg. Durich trouva cette balustrate dans le grenier de l’église, ou 22 ans plus tard notre conducteur de bâtisses du vieux .château, l’architecte Charles Goergel, trouva un plus grand trésor de sculptures de la dite église, lesquelles en eurent été retirées pendant la réformation en 1543. Elle se trouvent maintenant dans le vieux château reconstruit de Cobourg. Planche IV. Table intéressante par nous dessinée du milieu du 16e siècle. C’était le 3. Septembre 1814, que, par un temps de plus splendides, venant de Stoutgart, nous cheminions sur nos pieds vers Hohenstaufen, village avec l’église paroissiale, ou, par autorisation de la commune, le curé, M. J. F. Ammermüller nous avait mandé, pour nous charger de la restauration de l’image de l’empereur Frédéric Barberousse, peinte sur une porte d’église murée donnant vue vers les montagues. L’inscription dit que l’empereur, descendant de son château, passait souvent par cette porte dans l’église*. Nous nous chargeâmés d’autant plus volontiers de cette commission qu’elle nous * Voir Le Hohenstaufen par Ammermüller. Deuxième édition. die Wanderung tu Fuss nach Kloster Laach macht, wird man angenehm überrascht, wenn man von der Anhöhe heruntersteigt und vor sich die stattliche sechsthürmige byzantinische Klosterkirche erblickt und den unheimlich malerischen See, in dessen Nähe die Burg der alten Pfalzgrafen war, die sich von diesem Kloster Domines de Lacn, oder Herren von Lach oder Laache schrieben ; diese Borg wurde im Jahre 1689 von den Franzosen verbrannt, aber die unbeschreiblich schöne Landschaft mit dem Kloster am See übt noch immer ihren Zauber auf den Beschauer aus. Fig. c. c. Grössere Ansicht der Verzierung zur Verdeutlichung. Fig. d. Interessante Gallerie, wahrscheinlich eine Al- tar-Galleric aus der heiligen Kreuzkirche zu Coburg, vorgefunden und gezeichnet von meinem Freunde und Landsmann, dem Architecten Wilhelm Dürich, als wir zusammen im Jahre 1817 beim Schlossbau in Coburg beschäftigt waren; diesen Gegenstand fand Dürich auf dem Dachboden der Kirche, wo 22 Jahre spater mein Bauführer auf der Vestung Coburg Architect Carl Gurgel einen grossem Schatz von herrlichen Schnitzereien aus dieser Kirche fand, welche im Jahre 1543 bei der Reformation aus der Kirche entfernt wurden; diese befinden sich nun im Fürstenbau auf der Veste Coburg. Sie sind bestimmt aus der Zeit 1401, wo die Aebtissin Sophia des Benediktiner Nonnenklosters zu Veilsdorf auf St. Michelsberg an und des Dechanten Johann von Lichtenstein zu Meder ein Ort zwei Stunden von Coburg, welche die heilige Kreuzkirche der Stadt überliessen. Fig. d. d. Grössere Ansicht der Verzierung Platte IV Ein merkwürdiger interessanter Tisch aus der Mitte des 16. Jahrhunderts, \'on mir gezeichnet. Es war am 3. September 1814, als ich beim herrlichsten Wetter eine Fuss- reise von Stuttgart aus nach dem Pfarrdorfe Hohenstaufen machte, wohin mich der damalige Pfarrer J. F. Ammer- muller im Auftrag seiner Gemeinde berufen hatte, um das ruinöse und äusserst schlecht gemalte vom Pfarrer, Magister Walz im Jahre 1723 angeordnete Bildniss des Kaisers ! Friedrich Barbarossa an einer zugemauerten kleinen Kir- chenthüre, welche nach dem Berge zuschaute, wieder neu ! herzustellen. Die Inschrift dieses Gemäldes sagte, „dass Kaiser Friedrich oft durch diese Thüre von seinem oben liegenden Schlosse in die Kirche gegangen sei“*. Dieser * Siehe Ammermüller’ Hohenstaufen. 2. Aufl. 1814. Ï U 24 â tî paraissait Tournier le moyen de rectifier quelque grave anachronisme, conseruant le costume, attendu que l’ancien peintre avait prêté, à l'empereur celui du 16e siècle. De la grands débats avec les ténaces paysans, qui n’entendirent point que nous y apportassions quelque changement que ce fût, si bien que, le curé, se rangeant aussi de leur côté, force nous fut de rhabiller Barberousse du même costume qu’avait bien voulu lui prêter le bon peintre, notre prédécesseur. Quelque trente ans s’étant écoulés depuis ce temps il s’est vérifié une chose que nous prédisions car la nouvelle image se trouve déjà aussi délabrée que l’était ancienne du temps de notre visite. La paroi étant humide et l’eau y dégouttant par moments, il est impossible qu’au cun ouvrage s'y puisse conserver. Durant les trois semaines de notre travail nous demeurions dans la maison hospitalière du curé. De notre fenêtre, nous pouvions jouir, toute à notre aise, du bel aspect du couvent de Lorch - Hohenstaufen. Notre chambre à coucher était un véritable magasin de vieux meubles, là il y avait entre autre deux gros bois de lit à baldaquins, du 16e siècle, que nos Ancies appelaient étables de lit. Nous avons par devers nous des strophes germaniques avec le passage que voici „Ze einem bettstall binden si se Hiez ; „in der kementen nieman si bi ir liez.“ Dans cette chambre à coucher se trouvait la table de la présente planche, qui nous intéressait de préférenze, elle était de solide bois de chêne, presque noir, de vétusté, mais ornée de très belles sculptures avec les armoiries de la famille des Woellwarth ; ces armoiries surtout attirèrent notre attention. C’est un croissant de guèules passant sur argent, le même blasounement se revoit sur le héaume sur un coussin cramoisi à franges et houpettes d'or. M. le curé ne fut pas peu étonné de ce que cette table, dont personne n’avait en souci, nous occupait tant mais rendu attentif aux armoires, il en conçut une meilleure idée. Il nous dit que cette antiquité lui venait de sou prédécesseur, lequel, ne sachant comment, faire autrement, l’avait laissée, là. Le curé y mettait ses livres et ses dossiers. En 1827 nous montrâmes notre copie à notre ami, feu M. le lieutenant-général de Woellwarth, qui vint nous visiter à Nuremberg. Son avis était que, des châteaux de Lauterburg , Essiugen ou Laubach cette table avait pérégriné à Hohenstaufen. Finalement nous - Auftrag war mir um so angenehmer, als ich dadurch Gelegenheit bekam den Kaiser im Kostüm seiner Zeit abzubilden, aber nun bekam ich einen Kampf mit der Gewissenhaftigkeit des Pfarrers und der Unwissenheit seiner Gemeinde zu bestehen, die das Gemälde durchaus genau so hergestellt wissen wollten, als es ursprünglich gewesen war, und so musste ich denn — gegen mein besseres Wissen — im Costüm des 16. Jahrhunderts herstelleu, aber, wie ich vorhersagte, so ist auch mein Bild im Lauf von einigen dreissig Jahren eben so schadhaft geworden, als ich das erste angetroffen habe, die immer feuchte Wand, an der das Wasser manchmal herabläuft, zerstört fort und fort Arbeiten der Art. Ich blieb während der Arbeit an diesem Bilde drei Wochau in dem gastlichen Hause des Herrn Pfarrers, und konnte von meinem Fenster aus die herrliche Aussicht nach dem Hohenstaufer-Kloster Lorch in grösster Bequemlichkeit gemessen; mein Schlafzimmer war eine wahre Rumpelkammer alter Möbeln; unter andern standen hier zwei kolossale Bettstellen nebeneinander, beide aus dem 16. Jahrhundert, von unsern Vorältern Bettstall genannt, ich habe ein altdeutsches Gedicht von mir, wo solche Bettstellen, wie folgt, Vorkommen „Ze einem bettstall binden si se liiez; „in der kementen nieman si bi ir liez.“ In diesem Schlafzimmer befand sich auch unser Tisch, der mich besonders anzog; er war von festem Eichenholz vom Alter fast ganz geschwärzt, aber mit reinem schönen Schnitzwerk verziert, worunter mir besonders das mir längst bekannte Wappen der Familie von Wöllwarth auf- fiel ; es ist ein zinnoberrother Halbmond im silbernen Felde, was sich auf dem Helm, der auf einem rothen goldbordir- ten und bequasteten Kissen ruht, wiederholt, und zwar in der Art, dass auf dem Helm der gehörnte Mond aufrecht abgebildet ist. Der Herr Pfarrer war nicht wenig erstaunt, dass ich dem Tisch, den bisher Niemand beachtet hatte, so viel Aufmerksamkeit schenkte, bis er endlich auch das Wappen erkannte, und mir erzählte, dieser Tisch stamme von seinen Amts-Vorfahren her, welche dies altmodische Möbel keiner Beachtung werth hielten, und so blieb denn dieser Ti6ch als altes Hausmöbel stets im Pfarrhause stehen, und trug zu meiner Zeit die Bücher und Akten seines Besitzers. Im Jahre 1827 liess ich die Abbildung dieses Tisches meinem nun verewigten Freunde, dem Herrn Generallieutenant August Friedrich Freiherrn von Wöllwarth, der mich $ 25 â ivj ! I ! i tombâmes d’accord qu’elle avait du appartenir au chevalier Hans Conrad de Woellwarlh, qui était le dernier de ceux de sa race, déposé dans la chapelle du couvent de Lorch. A défaut de table généalogique nous ne sommes pas à même de définir le blasonnement de plusieurs armoiries femelles et armoiries d’agnation qui se trouvent de même sculptées dans la table. Les chartes de la famille après leur translation vers 1 Schorndorf, du temps de la guerre des 30 ans, auraient été consumées par les flammes, lors de la conflagration de cette ; ville, en 1634, comme croit M. de Woellwarlh. Sur la cheville transversale qui serre les jambes en croix de la table ; il y a des inscriptions très intéressantes. D’un côté on voit . „Malgré le nombre de ce qui m’envient „Les volontés de Dieu s’accomplissent.“ Et du côté opposé „Alton, bon courage, „Osons avec Dieu.“ I Les décorations sont un vrai chef-d’oeuvre sculptées avec grande entente, les deux grandes armoiries surtout ; ainsi que les lions et les mascarons. Le dessus est uni, 1 sans aucune distinction, il paraît appartenir à un temps plus moderne. M. le curé nous dit que l’ancien dessus avait été à marqueterie plus belle encore que celle des tiroirs, qu’on j peut tirer à soi des deux côtés. ] La famille nobilaire des Wôllwarth anciennement Well- ; warth, Woellwarth était une des premières et plus anciennes maisons nobles de la Suabe, où elle avait de vastes possessions, le droit de monnoyage, celui d’assister à tous les tournois, elle occupait les premières charges d’église, de robe et d’épée, affectait des fonds aux églises et couvents, j instituait des jours de commémoration pieuse et fleurit en- j core de nos jours. Quant aux dix monuments sépulcraux de Lorch, nous en avons introduit quelques-uns dans notre i traité sur les costumes, inséré dans „Art Journal“ de Londres. i Planche V. Fig. a. Armoirie intéressante et de belle conservation, dans la maisoo S. Nr. 807, appartenante à Me de Schaden à Nuremberg. Cette pièce, d’un goût simple mais exquis, date in Nürnberg besuchte, sehen, und dieser war der Meinung, der Tisch müsse von dem Wöllwarth’schen Schloss Lauterburg, Essingen, oder Lauhach nach Hohenstaufen gekommen sein; endlich kamen wir darin überein, dass dieser alte Tisch dem am 7. April 1567 verstorbenen Kitter Hans Conrad von Wôllwarth gehört haben musse, als dem Letzten, welcher noch in der Wôllwarth- Capelle der Hoh- henstaufer Klosterkirche in Lorch beigesetzt wurde, aus Mangel eines Geschlechtsbuches bin ich nicht im Staude, die Abbildungen mehrerer Frauen und Agnaten - Wappen, welche sich an mehreren Stellen des Tisches befinden, zu benennen; wie ich vom Herrn General erfahren habe, soll das Familien-Archiv im dreissigjährigen Kriege nach Schorndorf gebracht und im Jahre 1634 bei Einäscherung dieser Stadt verbrannt sein. Interessant sind die Inschriften an der Zarge und an dem Querholz, welches die beiden unteren Fusse des Tisches zusammenhält, und statt mit dem üblichen Keil durch eine versenkte Schraube befestigt ist, die erst durch Hinwegnahme des Wappenschildes sichtbar wird; man liest auf der einen Seite der Zarge die Worte Spes mea Christus, auf dem andern Omnia a Deo. An dem Querholz „Ob ich schon hab’ Neider viel, „So geschieht doch, was Gott haben will;“ i auf der andern Seite i y I „Frisch und unverzagt „Zu ! mit Gott gewagt.“ Die Verzierungen sind wahre Kunstwerke, geistreich gezeichnet und geschnitzt, besonders die beiden grossen Wappen, die Löwen und Larven an den beiden Füssen. Die Tischplatte ist glatt und ohne Auszeichnung, sie scheint von neuerer Arbeit zu sein ; der Herr Pfarrer sagte mir dass früher eine sehr schöne Tischplatte darauf gewesen sei, noch schöner eingelegt als die Schublade, die man auf beiden Seiden herausziehen kann. Die edle freiherrliche Familie von Wôllwarth — vormals Wellewarth, Woellwarth — gehörte zu den ältesten und angesehensten tumierfähigeu Ritter-Geschlechtern in Schwaben und hatte bedeutende Besitzungen daselbst; sic hatten Münzgerechtigkeit, und bekleideten oft die höchsten Stellen in geistlichen, militärischen und Staats-Aemtern. Sie waren grosse Wohlthäter der Kirchen und Klöster, und stifteten überall ihres Namens Gedüchtniss ; die Familie hat sich bis heute noch erhalten ; mehrere Abbildungen der zehn Grabdenkmale in Lorch habe ich in meinem Costumwerk im Londoner Art Journal vorgeführt. Platte V. Fig. a. Interessanter, noch ziemlich gut erhaltener w -, Wandschrank aus dem Hause S. Nr. 807 der Frau von Schaden zu Nürnberg, mitgetheilt und gezeichnet von mei- - - 26 1 e de 1480, elle était dorée et peinte en couleurs, les battans I ne s'ouvrent pas de toute la dimension du panneau. Le des- i sin eu fut levé par M. J. X. Ziegler, notre ancien élève. Ce dernier, cherchant à connaître les couleurs de la peinture trouva que tous les filets étaient dorés, les décorations de bleu, le fond de rouge, les fiches et l'écusson dorés. Actuellement elle se trouve peinte en simple blanc. Fig b. Ornement tiré de l'ancien couvent des Bénédictins de Moenchroth, dans le comté d’Oettingen De ce couvent, anciennement si renommé, il n'y a guère plus à voir quoi que ce soit, car il a partagé le sort de tant d'autres couvents, c'est à dire celui du pillage et de l'incinération en 1525 du temps de la désastieus guerre des paysans. A peine réédilié par le noble abbé Bottinger, il fut décrété et sup- j primé en 1558, par suite de la réformation. Les premiers l moines étaient de l’institut du célèbre abbé Guillaume de Hirschau, dans la Foiêt-noire Ils y furent mandés par le I comle Hei man de Leiningen. Le deuxième fondateur en 11 09 j était un comte Bruno de Brakenfeld ou Brakfeld, dès 1250. Le couvent avait pour patrons les comtes d'Oetlingen. Ce fut l'empereur Conrad IV qui déféra le patronage au comte Louis. Il est a plaindre que ce couvent, où il y avait encore du beau à voir, ait passé en possession privée. Le dernier propriétaire, la famille Schnell, le vendit en 1825 au prince Alois I d'Oetlingen pour la somme de 126,100 florins. $ Fig. c. Ornement sculpté sur bois, fragment d'un stalle d’église de l'ancien couvent des Bénédictins Irrsau Irrsen, Irsingen, dessiné en 1830. Ce couvent est si modernisé qu’il n’y a que l’oeil exercé du connaisseur qui découvre encore quelques traces du moyen âge. Il faut qu’il ait été très intéressant aussi sous le rapport de son site, il est situé dans la Suabe bavaroise à quatre lieues de Kaufbeu- reu. Fondé en 1182 par le magrave héréditaire des ancien ducs de Bavière, Henri de Bamsherg et par ses deux fils Godefroi et Berchtold, il fut sécularisé et supprimé, du temps de la sécularisation générale des couvents. Fig d Ornement sculpté sur bois de l’ancien abbaye des Cîteaux à Tennebach dans le Brisgaw Bade, trouve par hasard dans une .chapelle, démolie depuis. Ce couvent, fondé en 1158 par l’abbé Hesso de Frianis et par Cuno de Horn- win, sur l'avis du duc Berthold IV de Zaehringen, a partagé le sort de tant de couvents. Aujourd’hui il n’y a presque rien plus à voir de son ancienne magnificence, à moin qu’on u’atlle à la recherche des pierres sépulcrales. Un des habitants de ce couvent était aussi le comte Berthold d’Urach; abbé, décédé en 1226, dont on pouvait voir long temps la pierre sépulcrale. - g nem ehemaligen Schüler, nun Lehrer an der Baugewerk- schule dahier, F. X. Ziegler. ^ Dieser einfache, aber geschmackvolle Wandschrank gehört dem Jahre 1480 an; er war ganz vergoldet und bemalt, daher die Schrankthürchen kleiner als der Rahmen sind. Ziegler hat die Farben des Rahmens untersucht, und fand alle Stabe vergoldet, die Verzierung blau, und die Vertiefungen roth, seihst die Bänder und das Schlossschild sind vergoldet. Jetzt ist er ganz weiss überstrichen. Fig. b. Ornament aus dem ehemaligen Benediktiner- Kloster Mönchsroth in der Grafschaft Oettingen ; von diesem ehemals so berühmten Kloster ist wenig mehr zu sehen; denn es hatte das Schicksal der meisten andern Klöster in dem heillosen Bauernkrieg 1525 geplündert und verbrannt zu werden, und obgleich von dem edlen Abt Böttinger wieder hergestellt, wurde dieses Kloster dennoch in Folge der Reformation 1558 sequestrirt und aufgehoben; die ersten Mönche kamen aus des berühmten Abtes Wilhelm von Hirschau Institut im Schwarzwald; der Stifter, Graf Herrmann von Leiningen, lies* sie kommen. Der zweite Stifter im Jahre 1109 war ein Graf Bruno von Brakenfeld oder Brakfeld Die Schirmherren waren von 1250 au die Grafen von Oettingen. Graf Ludwig erhielt die Schutzgerechtigkeit über dieses Kloster vom Kaiser Conrad IV. Leider kam dieses Kloster, in dem noch viel schönes zu sehen war, in Privathände. Die Familie Schnell, welche das Kloster zuletzt besass, verkaufte dasselbe um die Summe von 126,000 fl. an den Fürsten Alois I. von Oettingen im Jahre 1825 Dieses Ornament war von Holz, wahrscheinlich war es ein Fries in einem Zimmer des Abtes; es ist im Styl des 16. Jahrhunderts. Fig. c. Ornament von Holz, es gehörte einem Betstande an und ist aus dem 16. Jahrhundert, gezeichnet im Jahre 1830, in dem ehemaligen Benediktiner-Kloster Irrsee Yr- sen, Irsingen; auch dieses Kloster ist fast ganz moderni- sirt, und nur ein geübtes Auge findet hie und da Spuren aus dem Mittelalter; dasselbe muss seiner Lage aach sehr interessant gewesen sein ; es liegt im bayerischen Schwaben, vier Stunden von Kaufbeuern, und wurde von den Erbmarkgrafen der alten Herzoge von Schwaben, Heinrich vom Ramsperg und seinen Söhnen Gottfried und Berchtold im Jahre 1182 gestiftet, und in jüngster Zeit hei der allgemeinen Kloster-Säkularisirung aufgehoben. Fig. d. Holzornament, gefunden in der ehemaligen Zisterzienser-Abtei Teunenbach im Breisgau Baden; auch dieses Kloster hatte das Schicksal des vorerwähnten, und es ist wenig mehr von mittelalterlicher Herrlichkeit zu schauen, wenn man nicht gerade nach Grabsteinen forscht. Ich fand es im Jahre 1815 zufällig in einer, nun abgerissenen Kapelle ; das, sonst so interessante, Kloster wurde 1158 vom Abt Hesso von Frianisberg und Kuno von Horn- 27 M il Fig. e. Console de voûte de l’ancienne église d'Owen sur le Lauter, au pied du célèbre mont Teck, où il y avait le magnifique château des ducs de Teck. Dans Oweu était leur résidence, dans l'église d'Owen leur sépulture. On y voit encore beaucoup de monuments sépulcraux delà famille des anciens ducs de Teck. En 1385 le duc Frédéric vendit au comte Eberhard de Wurtemberg la ville d’Owen et quelques villages. La plupart des monuments historiques de cette église, vénérable d’antiquité, ont péri dans la guerre des paysans et lors de la réformation. A notre dernière ] visite, en 1811, cette église, comme presque toutes celles du Wurtemberg, faisait l’effet d’un magasin de vieux meubles d’autres fatras. D’épaisses couches de badigeonnage à la chaux cachaient les nervures de voûtes et des colonnes. ; Notre console ne tenait déjà plus à sa place Pour aborder les magnifiques monuments sépulcraux, nous eûmes de la peine à nous faire jour au travers de l’amas confus de vieux j stalles et d’autres ustensiles. I Fig f. Console. Fig. g Moulure de l’ancienne église d’Oeffingen, église réstaurée à neuf maintenant. C’est un lieu catholique, à deux lieues de Stoutgart, ayant appartenu anciennement au chapitre d’Augsbourg. Quoique l’église soit de peu d'apparence et malgré les mutilations au 16e et 17e siècle elle ne laisse point de faire une bonne impression. On y trouva encore de traces de décorations distinguées, notamment la console de la figure f, que nous rencontrâmes dans le grenier. Elle est d’un grand fini de sculpture hauteur six pouces. Oeffingen était le berceau de notre grand-père, Chrétien Keim, architecte de cour, auprès du duc de Wurtemberg. Notre arrière grand-père, maître-charpentier de son état» habitait de même ce lieu. Oeffingen possédait les meilleurs charpentiers, travaillant presque tous pour la cour de Stoutgart, très entendus dans l’ornementique, qu’ils aimaient à ménager dans leurs ouvrages même de charpenterie. Le plus instruit et le plus distingué de ces derniers était Joseph Frischmann, beau-frère de Chrétien Keim. L’église actuelle d’Oeffingen est la plus ignoble échoppe qu’on ait jamais honnorée du beau uom d’église catholique. - - - wiu auf Angeben des Herzogs Berthold IV. von Zähringen gestiftet, in diesem Kloster war auch ein Graf Berthold von Urach Aht, der im Jahre 1226 starb, und dessen Grabstein lange zu sehen war. Fig e. Gewölb-Console aus der alten Kirche in Owen an der Lauter im Wurtembergischen Amte Kirchheim, am Fusse des beruhmtcu Teckerberges, auf dem ehemals die herrliche Burg der Herzoge von Teck stand. Dieses Oweu war ihre Kesidenzstadt, und in der Kirche- i ä war der Herzoge Begräbniss ; man sieht noch viele Grabmale von der Familie der alten Herzoge von Teck; der Herzog Friedrich verkaufte die Stadt Owen 1385 mit andern Dörfern an deu Grafen Eberhard von Wurtemberg. Im Bauernkriege und bei der Deformation sind die meisten geschichtlichen Denkmale dieser altehrwurdigen Kirche zu Grunde gegangen; bei meiner letzten Anwesenheit 1811 fand ich das Innere dieser, wie fast aller Kirchen Alt- Würtemberg, gleich einer Rumpelkammer voll Schmutz und Unrath, nur hie und da hundertmal überttincht, und diese Gewölbconsolen nicht einmal an ihrem Platz ; ich konnte vor all dem Gerümpel von Betbänken etc. nur mit Mühe zu den herrlichen Grabmälern kommen. Fig. f. g. Console und Ornament aus der alten, jetzt neu hergestellten Pfarrkirche zu Oeffingen, ein katholischer Ort, zwei Stunden von Stuttgart, ehemals dem Dom-Capitel zu Augsburg gehörig. Dieser hatte zwar eine unansehnliche Kirche, im 16. und 17. Jahrhundert ganz geschmacklos umgestaltet, sie machte aber mit den vielen herrlichen Liiideubäumen an dem Aufgang zur Kirche einen malerischen Effekt; man fand hier auch noch viele Spuren besserer Verzierungen, namentlich die Console f. Das Ornament fand ich auf dem Boden an einer Betbank ; es war sehr fein geschnitten, und seine Hohe betrug kaum 6 Zoll. Oeffingen war der Geburtsort meines Grossvaters, des herzogl. würtembergischen Hof-Architekten und Premier- Maschinisten Christian Keim, wo dessen Vater Zimmermeister war. Oeffingen hatte die besten Zimmerleute, welche fast alle fur den Hof zu Stuttgart arbeiteten ; sie waren in der Ornamentik sehr erfahren, und brachten sie häufig an ihren Zimmerarbeiten an. Der geschickteste und ausgezeichnetste war der Schwager meines Grossvaters Joseph Frischmann von Oeffingen. Die jetzige neue Pfarrkirche ist das unwürdigste Denkmal einer katholischen Kirche. Planche VI et VII. Fragment d’un monument sacré sculpté par Adam Kraft. Nuremberg, sa patrie, cette ville si célèbre, ne laisse pas d’être toujours riche en ouvrages, sortis de l’atelier de ce célèbre maître. D’abord, quant à la reproduction il n’y a pas encore la moitié de ces ouvrages qui soient publiés par la gravure, puis, quant à la découverte de ceux cachés encore derrière les masures, on continue d’en retirer de nouveaux. Du nombre U I Platte VI. u. VII Fragments eines Kirchendenkmals von dem berühmten Meister Adam Kraft. An Denkmalen von diesem berühmten Kleister ist Nürnberg ziemlich reich ; nicht die Hälfte davon sind durch den Stich bekannt, und immer noch werden neue von ihm in dem welthistorischen Nürnberg, wo er gelebt hat, entdeckt, wie z. B. der Oelberg an der Klara-Klosterkirche, welcher von ausgezeichneter Composition, aber leider sehr beschädigt ist. Dem fieissigen Murr - - iS I i 28 ff de ces derniers est le Mont-des-Olives. en dehors de l’église K du couvent des Clarisses, composition distinguée, fort endom- K magée au reste. Il fut découvert dans une échoppe, colée I contre le massif de l’église dés l’époque de la réformation et qui servait de bûcher II faut bien que laborieux antiquaire Murr n’ait pas en connaissance de ce Mont-des-Olives, puisqu'il ne le cite pas dans ses „Mémoires sur les Curiosités de Nuremberg.“ En revanche Murr y a introduit un monument sépulcral du couvent des Augustins, dont il dit „Une des plus belles pièces d'art du cloître c’est ,,1’ex-voto de la famille des Peringersdoerfer, il représente la Ste. Vièrge au milieu de deux anges. „A la base il y a plusieurs personnages saints et „autres, le tout supérieurement sculpté sur pièrre „par Adam Kraft. Grâces aux soins exemplaires „de M. de Winkler, il est a présent à l’abri de toute „dégradation.“ Ce monument superbe, se distinguant surtout par la richesse de son ornementique architecturale, sera .reproduit dans l'Oruementique. Pour en faire un commencement nous donnons ces détails. L’ensemble formera la fin du 4e volume. Nous ferons lever les dessins, plans et profils par notre ancien élève, M. F X. Ziegler, maître de dessin à l’école i des Métiers et d’Architeclure de Nuremberg, dessinateur entendu, ébéniste, sculpteur et connaisseur du style germanique. La figure de la planche VI. représente le socle du cadre, soit du portail dont Adam Kraft a entouré les saints personnages. Cet intéressent socle de colonne est posé de biais. On y voit les proportions du style germanique libre, eu vogue aux 15e et 16e siècles, les enlacements des tétrago- nes et des autres membres, se liant, disparaissant et reparaissant très artistement et laissant un très bel effet, tel qu’il est clairement démontré par le coupe. La confection de ces pièces était une sorte d’ardifice soit chef d’oeuvre, très estimé chez les anciens tailleurs de pierre et sculpteurs sur bois. Le profil a-a corréspond à la coupe a, le profil b-b à la coupe b. etc. La planche VII. fait voir le même socle de colonne, vue de front, ainsi que les coupes corréspondantes Ce superbe monument est transféré maintenant dans l'église catholique de Notre-Dame, pour être à l'abri de toute profanation, le cloitre des Augustins servant d’entrepôt et se trouvant en outre dans une état menaçant ruine. muss dieser Oelberg nicht bekannt gewesen sein, weil er dessen in seinen Denkwürdigkeiten Nürnbergs nicht erwähnt, seit der Reformation war eine hölzerne Schupfe darüber gebaut, die zugleich als llolzlage diente. Dagegen führt Murr ein Grabmonument im Kreuzgang des Augustinerklosters in folgenden Worten auf „Eines der schönsten Kunstwerke im Kreuzgange ist „das Gedächtniss der Feringersdörfer. Es stellt die „heilige Jungfrau zwischen zwei Engeln vor. Unten „sind viele Heilige und andere Personen, von Adam „Kraft, herrlich in Stein gehauen, und durch die „uachahmungswerthe Sorgfalt des jetzigen Herrn „Hauptpfiegers von Winkler, vor aller Beschädigung „gesichert.“ Dieses herrliche Monument zeichnet sich vorzüglich durch seine reiche Ornamental - Architektur aus, und soll deshalb in meiner Ornamentik vorgeführt werden ; ich mache daher mit den Details den Anfang, und die Zusammenstellung des ganzen Monuments wird den Schluss des 4. Bandes bilden. Gezeichnet ist dasselbe von meinem ehemaligen Schüler Franz Xaver Ziegler, Zeichnenlehrer an hiesiger k. Kreisgewerbschule, ein tüchtiger Zeichner, Kunst- schreiner, Schnitzer und Kenner des altdeutschen Styls, der den architektonischen Theil nach genauen Maassen sammt Schablonen auf das pünktlichste aufnehmen wird. Es stellt diess ein Pfeilerfragment des Rahmens oder sogenannten Portals des Heiligenbildes vor, man sieht hier deutlich die geometrische Auffassung des deutschen Styles, im Geschmack des 15 — 16. Jahrhunderts. Dieses interessante Pfeiler- Postament hat hier die Uebereck gestellte Ansicht. Die Verschlingurg der geometrischen Vielecken und anderer Glieder, welche sich ausserst künstlich in einander verbinden, sich durch- und hineinschieben und wieder zum Vorschein kommen und im Aufriss ein sehr dekoratives Ganzes bilden, .war ein beliebtes Kunst- und Meisterstück der alten Steinmetzen und Holzschnitzer. Man sieht hier Fig a. den Grundriss oder Schablonen von dem Theil a a. Fig. b. den Grundriss von dem Theil b. b. und so fort bis c- cc.— d—dd. In Platte VII ist dasselbe in der Frontansicht, wo auch die Grundrisse gestellt sind. Dieses herrliche Monument steht nun iu der katholischen Kirche zu unserer lieben Frauen, um solches vor Profauierung zu schützen, da der Augustiner-Kreuzgang als Magazin benützt wird, und auch sonst im ausserst ruinösen Zustand sich befindet, aber auch dort steht es leider zu sehr am Boden, und kann mehr mit den Händen betastet, als gesehen werden. Ich habe schon öfters darauf angetragen, es auf einen 5 Fuss hohen Sockel zu stellen. i i Flanche VIII. Fig. e. Colonne. Fig. a — b. La même colonne brisée, mais en échelle plus grande, b—b, et c—c. les Coupes. Fig. d. Couronnement d’une armoire d’église du couvent des Augustins de Nuremberg. Ces couronnements se voient dans les formes les plus diverses, mais celle que nous réproduisons est une des plus intéressantes. Fig. e. la coupe, qui, pour plus de solidité, monte presque jus’qu’à la hauteur des créneaux. Fig. f. Coupe des créneaux avec l’indication de l’entaillure, indiquée de même par la coupe de la figure dd. Platte VIII. Fig. a. b. Fragment einer Saule sammt Postament im vergrösserten Maasstabe, b. b. der Grundriss, c. die zusammengestellte Säule in ihrer ganzen Proportion, c. c. der Grundriss. Fig. d. Krönung eines Kirchenschrankes aus dem Augustiner-Kloster. Der Schrank ist von Holz, und die Art Krönungen, wie solche von mannigfaltigster Form im Mittelalter überall angebracht wurden, ist vorliegendes Muster eines der Interessantesten. Fig. e. ist der Durchschnitt der Wasserfalle, welche fast bis Uber die Zinnen hinaufgeht und deren Haltbarkeit zum Zweck hat. Fig. f. ist der Durchschnitt der Zinne selbst, mit Angabe des Einschnitts, welches auch der Grundriss Fig. d. d. verdeutlicht. I i C. E. Sebald’sche Bachdruckerei in Nürnberg. Livraison XXII. Zwei und zwanzigstes Heft Explication des planches. Erklärung der Tlatten. Style byzantin. Byzantinischer Styl. Planche 1. Platte i. Choeur, dit le choeur des Anges, au dessus du choeur de St. Pierre, dans l’église de St. Sébald, à Nuremberg. Dessiné et gravé par P. Walther. Cette chapelle haute, bien que très intéressante, et bien qu’on en puisse apercevoir la galerie depuis la nef principale de l’église, avait jusqu’à présent échappé à la publication, pour la raison, sans doute, que l’amateur n'y trouve accès que par une montée des plus impratiquables. Ce choeur faisait déjà partie de la première soit de l’ancienne église, bâtie sous Henri II., surnommé le Saint, ainsi que les vieux documents et les avis des archéologues s’accordent à le dire. L’église de St. Sébald fut construite sur l’emplacement d’une chapelle, dédiée à St. Pierre, chapelle dont l’origine remonterait aux temps de St. Boniface, convertisseur des Franks, à qui les anciens chroniqueurs revendiquent de même l’acte de la consécration de l’édifice. A en juger sur les anciens membres encore conservés du style byzantin, cette église est bâtie sur le modèle de la cathédrale de Bamberg, Il y a deux cryptes, l’une au dessous du choeur d'ouest et l'autre au dessous du choeur d’eàt, qui sont probablement dédiées à St. Pierre et à St. Sébald. La grande niche soit le chevet eucore existant du côté ouest forme demicercle à cinq faces latérales, flanqué des deux côtés, mais un peu eu retraite, des deux portails, dont les massifs portent les deux grands chlochers. La voussure de l'ancienne ne! est soutenue par deux étages de colonnades à croisées plein- ceintre au second et croisées ogivales au premier, dont la simplesse des nervures et des ornements ainsi que le peu d’élévation révèlent le style de la cathédrale de Bamberg; et comme de même les piliers principaux sont longés et profilés de colonneltes, il n’y a pas de doute que cet édifice ne soit du temps de Henri le Saint, tout aussi bien que les églises de Bamberg, Naumbourg, Mersebourg et Bâle, a la réserve toute fois des deux croisées latérales, qu’on reconnait au premier coup d’oeil appartenir à uu temps postérieur. Le massif forme octogone, aux flancs et au dessus des croisées actuelles on voit encore les vestiges des anciennes. D’après les chroniques, la tour du sud fut bâtie sur pilotis en 1300, millésime que nous ne saurions admettre, à la vue des plus beaux ornements byzantins aux massifs. Voir cahier Vil, planche II, Fig. a. et les chapitaux du choeur de St. Pierre, cahier I. planche I. Quant à la tour nord, on sait que la partie superposée soit la flèche est de 1345. De 1361 en 1377 on bâtit le nouveau choeur principal, à l’endroit même de l'ancien. Quelques membres de ce dernier, échappés à la démolition, frappent aussitôt la vue du connaisseur. Ces restes sont du temps de l'illustre empereur Conrad Trois, de la dynastie de Souabe, lequel régna de 1138 en 1149, accordant beaucoup de grâces à Nuremberg, ville à laquelle il portait une grande aiïection. Son successeur, Frédéric Barberousse, j ! j ! Der sogenannte Engelsnhor ober dem St. Peterschor in Nürnberg in der ehemaligen Probsteykirche zu St. Sebaldus, gezeichnet und gestochen von Philipp Walther. Diese interessante Kapelle ist der originellste Th ei 1 bei St. Sebaldus, welcher noch nie veröffentlicht wurde, da gerade dieser nicht Jedermann zugänglich ist, obschon er vom Hauptschiff der Kirche aus gesehen werden kann. Er gehört zum ältesten Theil der Kirche, welcher unter Heinrich dem II. dem Heilgen erbaut wurde, was stylistisch und technisch erwiesen ist. Die St. Sebalduskirche wurde an die Stelle einer dem heiligen Peter geweihte Kapelle gebaut, welche viele Chroniken unglaublich alt machen, indem sie sagen sie wäre bereits von dem heiligen Bonifacius, dem Bekehrer der Franhen, eingeweihet worden. So weit noch der alte byzantinische Theil sichtbar ist, ist diese Kirche nach dem Plaue des Bamberger Domes gebaut, mit zwei Krypten im westlichen und östlichen Chor, wahrscheinlich den beiden Heiligen St. Peter und St. Sebaldus gewidmet. * Diese jetzige alte Doppelchor-Nische schliesst sich funfseitig unmittelbar an die westlichen Thurme an. Im Innern aber ruht das ganze alte Hauptschiff unter den Rundbogenfenstern wieder auf fünf spitzen Scheidbogen, deren einfache Gliederung und geringe Hohe sogleich an den Styl des Bamberger Domes erinnert. Halbsäulen laufen an allen vier Seiten der Pfeiler herab, woraus hervorgeht, dass diese Kirche ursprünglich, wie Bamberg, Naumburg, Basel und Merseburg, unter Heinrich dem Heiligen erbaut sei, und der besagte westliche Chor derselben Zeit angehört. Ausgenommen davon sind die untern Fensteröffnungen, welche sich beim ersten Blicke auf das Mauerwerk als viel später eingebrochen zeigen. Dieses Mauerwerk ist aus dem Achteck construirt und hat auch noch mehrere wohl erhaltene alte rundgeschlosscne Fenster neben und über den eingebrochenen, welche dem Engelchor angehören, behalten. Dass der südliche Thurm nicht, wie Chronisten erzählen, erst im Jahre 1300 auf Pfahle gebaut worden sein kann, geht aus dem Entstand hervor, dass daran noch die schönsten byzantinischen Verzierungen sichtbar sind, von denen ich eine Abbildung in meiner Ornamentik, Heft Vll., Platte 2., Fig. a., gegeben habe, auch Capitale im Innern des Peter-Chors, Heft I. , Platte I Ebeu so wenig kann der nördliche Thurm 1345 gebaut sein; nur sein oberer Aufsatz gehört dieser Zeit au. Von 1361 bis 1377 ward der neue grosse Chor an der Stelle des alten gebaut; auch bemerkt ein Kenner viele Zusätze an den Erweiterungen dieser alten Kirche, welche aus den Zeiten des Erlauchten Schwaben Kaisers Konrad III sind, der von 1138 bis 1149 regierte und sich um Nürnberg besonders verdient machte, da ihm diese Stadt lieb und werth war, eben so blieb ’ Welche bei Erbauung des neuen Chors eingegangen sind. 30 I ayant continué les mêmes bons sentiments à la ville, on conçoit difficilement qu’un monument aussi imposant ait été simplement annexe d'une église aussi chétive que celle de Poppenreuth, oû il n’y apparaît pas les plus faibles traces d’une église antérieure. * Planche II. L’ascension de J. C., superbe ivoire sculpté, côté plat d’un livre des Evangiles, du 10e ou lie siècle, parchemin, texte latin à initiales supérieuiement bien enluminées, donation de la chanoinesse de Gandersheim, princesse Caro line de Cobourg-Saalfeld h la bibliothèque de Cobourg. Cette superbe sculpture est encurne ornée d’une bordure, garnie de pierreries, de 1555, mais dans le genre rococo, don additionnel de l’abbesse Madelaine, comtesse de Co- lumna, nommée en 1547 et décédée en 1577. Comme elle n’aurait guère relevé la pièce principale, on s’est abstenu de la reproduire ici. Il n’y a pas de doute que ce très ancien et très célèbre monastère des dames nobles de Gandersheim, si généreusement doté par munificences impériales et royles, n’ait renfermé quantité d’autres objets d’art. Nous ne pouvons nous dispenser de citer ici quelques détails sur le couvent, tels que les légendes et l’histoire nous les ont légués. L’abbaye séculière des dames nobles et le chapitre séculier de Gandersheim, tous les deux dans la petite ville du même nom, district du Hartz, distant à 2 lieues de Seesen et à 7 de Brunswick, furent fondés en 956 à l’invocation de Jean-Baptiste, de St. Anastase et de St. Innocence, selon les uns par l’empereur Üthon I., selon les autres par le duc Ludolf, souverain des pays de Brunswick, sur la demande de son épouse Oda, désirant y établir des dames nobles, qui voulussent, dans une sainte retraite, se vouer à la science et pratiquer les vertus de la vie religieuse. Les fondements furent posés sur l’emplacement même d’une maison de plaisance du dur et de la duchesse, et du nom de leur fils Bruno le couvent fut nommé Brunshausen ou Brunesterhuse. Le tout à la suite d’un songe d’Odn, où il lui apparut St. Jean, qui se disait content de cette sainte résolution. L’évêque Alfred de Hildesheim, qu’elle s’empressa de consulter là-dessus, la fortifia beaucoup dans sa sainte pensée. Elle fit le voyage de Borne, visita le pape Sergio, qui l'accueillit fort gracieusement et lui donna en présent les saints corps des papes Anastase et Innocence. Le couvent bâti, Ste. Hathimonde, comme la plus âgées des soeurs, en fut nommée soeur supérieure et abbesse, et la maison séculière eut des chanoinesses de la plus haute noblesse. Comme dès 856 le couvent ne pouvait plus contenir le nombre toujours augmentant des religieuses et comme la localité avait d’autres inconvénients, on se mit en quête d’un autre emplacement, sans troup pouvoir y réussir, ce qui causa grande inquiétude à la chanoinesse Hathimonde. Mais un jour des pâtres, faisant paître leurs troupeaux dans les environs du couvent, il leur apparut quantité innombrable de lumières, inondant de clarté tous les * Voir Ilist. diplomatica. Nuremh., p. 472, Murr, 33. $ - - kaiser Friedrich Barbarossa seinem Vorgänger nicht zurück. Häher ist es kaum glaubbar, dass eine solche imposante Kirche, wie die zu St. Sebaldus, ein Filial von der unscheinbaren und unbedeutenden Kirche von Poppenreuth, wo mau nicht die geringsten Spuren einer altern Kirche bemerkt, gewesen sein soll * und zwar bis 1413? — Diese herrliche Kirche war in alten Zeiten reich ausge- slattet und darüber Pfarrherrn gesetzt, welche Plebani hiesseu. Platte II. Abbildung einer interessanten Elfenbeinschnitzerei, die Himmelfahrt Christi vorstellend, mit herrlicher oruementaler Einfassung aus dem 10. oder 11. Jahrhundert, mitgetheilt von Herrn Hofmaler Rothbart in Coburg. Diese kostbare Buchdecke ziert ein ausgezeichnetes auf schönem Pergament im rein lateinischen Text geschriebenes und mit gemalten Anfangsbuchstaben geziertes Evangelium, im Besitz der herzoglichen Bibliothek zu Coburg, ein Geschenk der Decbantiu von Gandersheim, Prinzessin Carolina von Co- burg-Saalfeld. Diese Reliquie alter Kunst habe ich iu dieser Abbildung ohne die äussere Einfassung, welche von Silber und vergoldet und mit guten Steinen besetzt ist, gegeben, weil diese neue Zugabe, aus dem Jahr 1555 im Renuaissançe- Styl gehalten, unser Kuustw erk nicht gehoben haben würde. Diese neue Zugabe dieses äüsserst seltenen Evange- lienbuchs w urde von der damaligen Eigenthümerin, der Aebtissiu Magdalena, Gräfin von Clumen oder Cölumna, welche im Jahre 1547 erwählt und 1577 gestorben ist, gestiftet. Gewiss sehr viele interessante Schätze der Kunst muss diess älteste und berühmteste hochadelige Fraueuklo- ster Gandersheim besessen haben, welche so reich mit kaiserlicher und königlicher Munificeuz beschenkt wurde, und um davon einen Begrilf zu geben, kann ich nicht umhin, bei dieser Gelegenheit Einiges von diesem damals herrlichen, köstlichen Kloster ein kleines Bild zu entwerfen, wie es uns die Sagen und Geschichten aufbelialten haben. In dem braunschweigischen Städtchen Gandersheim, im Harz, district gelegen, wenige Stunden von Seesen, 7 Meilen von Braunschweig, war diese Frauen-Abtei und kaiserliches frei weltliche Stift gleichen Namens zu Ehren St. Johannis dem Täufer. St. Anastasii und Innocenti gestiftet. Gandersheim, auch Ganderisheim, Gandersen, lateinisch Gandersheimiuin oder Gaudesianum Coenobium, soll anno 956 Kaiser Otto I., nach andern Herzog Ludolph, Herr der braunschweigischen Lande, auf Veranlassung seiner Gemahlin Oda gestiftet haben, und zwar fur Fräuleins, die in der Stille leben, und sich den Studien und geistlichen Tugenden ergeben wollten. Der Ort, wo das erste Kloster gebaut wurde, war früher eine Villa des Herzogs ; dieser und seine Frau gaben dem Ort den Namen nach ihrem lieben Sohne Bruno Brunshausen oder Brunesterhuse, veranlasst durch einen Traum der Oda, in welchem ihr St. Johannis der Täufer erschien, welcher sie zur Erbauung dieses Klosters aufmunterte. Da zog sie zugleich den Bischof Alfred von Hildesheim zu Rathe, der sie zu diesem heiligen Bau noch mehr bestärkte, worauf die frommen Stifter nach Rom zum Papst Sergio zogen, welcher sie lieb- * llistor. diplomatica Norimh. pag. 472. und Murr pag. 33. - gg Sig&i 31 - & alentours le la forêt, si bien qu'ils en eurent grande peur, j •L Ils allèreut en avertir le duc, qui dans la nuit de la Tous- saint se fit conduire par eux à l'endroit marqué delà forêt. , y II lui apparut les mêmes lumières, et le jour étant venu, à I l'aspect du beau site, il en eut de la joie et reconnut cet endroit comme choisi par les légions des saints à la glorification de Dieu. Aussitôt il fit mettre la main à l’oeuvre. On abbatit la forêt et comme ou travaillait avec une ardeur infinie à la construction, en peu de temps le nouveau cou- ; vent commentait à prendre une certuine figure, quand tout- j i-coup, la carrière se trouvant épuisée, ou ne put poursuivre. Dans sa douleur llalhimonde invoque Dieu et tous j les saints. Une colombe lui apparaît sur une pierre. Elle i y reconnaît une révélation, rassemble les soeurs et les ouv- [ riers, et tous et toutes marchent en procession, suivaut des yeux la colombe. Voilà qu'elle s'abat sur le flanc d’uue montagne, y fouillant la terre avec ses pattes, et là on ; trouve une carrière si riche que non seulement elle fournit j de quoi bâtir l’église, mais aussi l'ahbaye et la collégiale. ! Tout fut achevé en 881 et le jour de la Toussaint eut lieu j la cérémonie de la consécration par l’évêque Wigbert de Hildesheim, en grande procession, venant de Brunshausen, . quantité de princes, dames nobles, chanoinesses, escortées ' par des chevaliers, les prêtres, portant les corps des saints . papes, avec flambeaux, cièrges et drapeaux. Il était ab- j soiument indépendant, ne relevant que du pape et jouissait j de privilèges princiers. Détruite des filles des maisons \ les plus illustres, empereurs, rois, princes, tous lui firent 1 • les plus belles donations. Le blason est parti, portant j sable et or à la couronne impériale, orné de l’aigle sable, crosse, épée, croix eu brillants, tête de mort émail à la croix noire. Dans les temps catholiques 24 chanoinesses ! et 12 chanoines occupaient toujours le couvent, qui, cel- I les-là et ceux-ci dans des choeurs à part tous les jours i chantaient les heures et célébraient la messe. En 1571 l'abbaye fut extradée aux Luthériens par ordre du duc .Iules de Brunswick-WoUIenbuttel, partisan zélé de la nouvelle doctrine. Eu 1568 déjà, le 2 Novembre, il leur avait fait interdire le chant de la litanie des saints et la messe. Il voulut leur imposer le prédicateur protestant llamelmaun, j ayant charge de les instruire dans la nouvelle doctrine, ! mais il fut si mal reçu qu'il se vit forcé d’y renoncer. Les importunités et vexations du duc étaient saus bornes, mais la chanoiuesse Madelaiue et tout le chapitre soutinrent l'ancienne religion et continuèrent le rite catholique sur le choeur haut. La chauoinesse sourtout repoussa avec indignatiou toutes les tentatives d'empiètement tout le temps qu'elle vivait encore. Près de mourir elle nomma coadjutrice sa soeur Marguerite, caractère très énergique, et qui fut nommée chauoinesse eu 1577. Elle repoussa courageusement les envahissements de la princesse Elisabeth, fille du duc Jules, qui voulait invalider sa nomination. Avec sa mort la série non interrompue des 36 chanoinesses ca- , tholiques était close. En I58D on nomma chauoinesse Anne- Erica, comtesse de Waldeck, favorable à la doctrine nouvelle, mais qui malgré sou influence ne put émpêcher la plupart des dames religieuses de rester adouées à la foi ancienne. Le feu ayant eu 1593 réduit eu cendres tout le couvent. Anne-Erica le fit reconstruire de ses deniers, et la réformation se consomma. Par là l’abbaye perdit ses t prérogatifs de corps d'état et ne relevait plus quedeBruns- wick-Wolfenbuttel. En 1713 on nomma chanoinesse-prin- W cière la princesse Elisabeth-Ernestine-Antoinette, fille du Jg duc Bernhard de Saxe-Meiuingen. En 1720 il ne resta - . .- -— reich aufnahm und sie mit den heiligen Leibern der Päpste Anastasius und Innocentius beschenkte. Die älteste Tochter der eigentlichen Stiften», die heilige llathumode, wurde zur ersten Aebstissin dieses Bruushauser Stiftes ernannt, das Stift seihst mit regulirten Cauonissinen aus dem höchsten Adel besetzt, aber bald sah mau ein, dass das Kloster nicht den hinlänglichen Kaum ge ähre, und dzss auch der Platz ungünstig läge. So kam es, dass mau schon im Jahre 856 sich nach einem bequemem Ort umsah, was anfangs nicht nach Wunsch gehen wollte, worüber die Aebtissin Hathumode in grosse Besorguiss gerieth, bis Hirten, die in der Gegend, wo jetzt Gundersheim steht, wohnten, in der Nacht vor dem Allerheiligen-Tage eine Unzahl von Lichtern sahen, welche die ganze Gegend im Walde erleuchteten. Die erstaunten Hirten begaben sich sogleich zum Herzog, welcher nicht säumte, mit ihnen in der Allerheiligen-Nacht in den beschriebenen W ald zu gehen, und wirklich alles so fand, wie es ihm die Hirten beschrieben. Er erfreute sich Uber die schöne Lage der Stelle, und erkannte, dass diess der rechte Ort sein müsse, den sich alle Heiligen zu Ehren Gottes ausersehen haben müssen; und liess sofort den W'ald ausrotten, und das neue vergrösserte Kloster funda- mentiren. Der Bau gieng gut von statten, aber bald fehlte es an Steinen und er war iu Gefahr zu stocken. Da rief Hathumode Gott und die Heiligen an, und siehe es sass auf einem Stein eine Taube, und sie erachtete dieses sogleich als eine glückliche Vorbedeutung, denn eine innere Stimme sagte ihr, der Taube zu folgen. Dies geschah und zwar mit ihrem ganzen Chor und den Arbeitsleuten, bis die Taube sich au einen beuachbarleu Berg niederliess und mit dem Schnabel in die Erde hackte. Und da wurde ein herrliches Steinlager entdeckt, welches so ergiebig war, dass sie nicht allein die Kirche, sondern auch das ganze Abteigebäude sammt den Stifts-Curien erbauen konnte Der Bau des neuen Stifts Gandersheim kam erst im Jahre 881 völlig zu Stande, io welchem Jahr dasselbe am Allerheiligen-Tage von dem Bischof Wigbert von Hildesheim mit vielen Solenuitaten eingeweihet wurde, bei welchem von einer grossen Procession mit vielen Pursten und Kittern die Chorfrauleius, welche ihr alles Stift Brunshausen feierlichst verliessen, begleitet wurden, und von den Geistlichen, welche die Leiber der heiligen Papste mit Lichtern, Kreuzen und Fahnen trugen. Dieses Kloster, sonst das bedeutendste, reichste und angesehenste iu Deutschland, war wichtig durch seine Privilegien, welche es von Papst Sergius und seinen Nachfolgern erhalten hatte. Es war durchaus unabhängig und bloss dem Papste unterworfen. Kaiser, Könige und Fürsten stifteten und beschenkten das Kloster reichlich, da es mit den Töchtern ihrer erlauchten Hauser besetzt war; auch hatte das Kloster fürstliche Hoheit, und das Wappen führte im Schilde Schwarz und Gold, senkrecht gelheilt, mit der kaiserlichen Krone geschmückt, mit dem schwarzen Adler als Schildhalter mit Abtstab und Schwert umhangt, mit einem Brillant-Kreuz, daran ein weiss emaillirter Tod- tenkopf, an welchem ein schwarzes Kreuz an schwarzem weissgestreiften Bande war. In katholischen Zeiten waren im Kloster immer 24 Canonissinneu und 12 Canonici, welche letztere wechselweise mit den Cauonissinen, jedoch ein jeder Theil auf einem besonderu Chor, die Iloras sangen und die Messe lasen. Im Jahr 1571 wurde dieses gefürstete Stift zur lutherischen Confession gezwungen und zwar von dem für die neue Lehre eifrigen Herzog Julius zu Braunschweig-Wol- 32 plus que la chanoioesse et quatre soeurs. La duchesse Augustine Dorothée de Bruuswick-WolfTenbuttel, en môme temps chanoisse de Quedlinbonrg, termina la série des chanoinesses protestantes. i i i i i - fenbullel, der am 2. November 1568 mit grosser Stregen W dem Stifte verbieten liess, die Suffragia de Sanctis zu sin- ilr gen und Messe zu lesen; und drängte ihnen den protestan- 4fr tischen Prediger llamelmann auf, der sie in der neuen » Lehre unterrichten sollte, den sie aber entschieden zurUck- wiesen, so dass er wieder abziehen musste. Aber die Zudringlichkeit des Herzogs hatte keine Gränzen und er wendete alle Mittel an, seinen Zweck zu erreichen. Doch sowohl ’ feïj Wifi liiiilili frit 1 . Heft XK. T K '.IKNAMENTIK DES MITTELALTERS TON HEIDELOEE Heft X mmm 'ÀW2 4 SRI ** s . i mu .4P-** rsæss Heft XX • DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF lieft" XX 'IKJJo-t HSt U>+' kmm t 'DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEE. 1 •rlan/i DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. TTeOX. “ • ... "—==f ŸJ a lau prn rrr non non! rc m 'j*.' 1 .’.T, ragg •x^sbSf?; DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft XXI •m, *. y — y'jZ,- -r-N^r V’ ♦ Vr-T y SffivAA •g^^4BE*agiw i >»ag¥l æiH rafflfttftte eancirciflP sine KDGIMDMBBn & r m mrnmm € 6 Vf 6 to +nz ^ r ^y ü w mm MV / i kee K^U jSSSSSÊSSS DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEJDELOFF ISv' IÄ». '-T Ififc?*.. 'fi p *V DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF. Heft XXI SÄ y * f **'%?> M2M DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft XXI PI. 6.'' 1 ; DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft XXI. MS J’Ai t ~tf£cfh*r - -TZf ftjHijji MISÉ! asiii'Ci Mm, ? 2T5? DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF Heft XXI f /,00 Air iiMliPliÜ mm ; t • V" r »K' »N b Sÿ^SgL/ÿï Æ Wl'-’ ^SR^tfe I ig wpnw V ** * i' •.;/- die; ORNAMENTIK DES VON HEIDELOFF Heft XXII MMimimm minim in i mim in mm i nn i m ir nniiiiinii mmiJin y E " . . v— — \?T'T " i ——T tr-f \{ '*- ' * * y i. i r » *. ' * & * \ 1 . m* * * v 4» Jftta JL'lt" J . 'f- ! LJ>' * '* * J vT .n v’i'- y. mniiiiini i i imi n I HM'hlIMl'HII IH1H I II I m 11*1 *1 H 4H illl IHI liHHtlHI Heft XXTT ! I DIE ORNAMENTIK DES MITTEL ! j I Mn Mm ËHI mm % ^cKj»Lâ*r iê£/ DIT. ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFE Heft XXII 'M l ' IjJJiliu jlMiitj}* T^iirafiOTnuriWii!!" / ' _ri -; mmm 1 ! . I' 'V, irjmhiüii!', c. I P ai J -kà*d ' • » 1 y»VWV£y>Wù>V ï»lli WMÏÏM h&tàfcwii ,wm vm- -ss&m. Wït Xi£ »TO OBj% Y*;/'!** f-" f *T n ' *• 'V;-, •f ••*§?! ,r^ v V f* \-j2*£iA'iK. nfc', *» ****! .»-J • n* 5 a BS 45 & *5 & i»! P DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF Heft XXH rrf 'f ineTma 7*jr/ •f/> a H ¥WWHfQ mm •• —*3 q3?ra» DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF à VOi .s nrr 'MM Illlllllllip. iw fck ?A Mû mmmssm HHiaHi £831 ij^iSÉ rasngæ WHlIll r »'IM 1 ! 9 tPi'püii î^i»K Fri'', a. v*;; •F v Vf!'' ' .'i „im r ",AiU ." •r. 'r msn SMâ \ p m '' '' . I i .. IM Jb^ô, mm v-rif rimw-'v 'sfe i'T W ityW W -v sä ' Hili BEI Vlii r Ll f l!F r î-uvî!; iiiii l 'ii'iu!i , .!n 11 » DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HE IDE LOFE Heft.™ fl mW ty? B5Œ&M DIE ORNAMENTIK DES MIXTEIALTERS VON HEIDELOFF DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heft XXm lim 1 - Hilf ji i !i l ir liuiiiiiiijlimilm iiiiii iiiuimrnim 11 1 H] Phil Vutttw* DIE ORNAMENTIK DE S MITTELALTERS VON HEIDELOI’F Heft XXIII mm -mm ISMIWi c=r*e J^XX^jsS-Anr^ /8 $4- DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS "VON HEIDELOJT HeftXXHT J HÜ r^gfiï -JI4* äj" J 11 ijjliä 3&À itilli kl mmm 'll&Mfrtl' l 1 **r .1 lUHWWWH .W WW ? , y »'i* t ^ '* ff. k. -À»-. »••, S\ „ ' s l v >r ;*? DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON .OFF Hrtt UHL MFi > ~t &\;! rvi w y' m r •.. CîtiîS f/- Fe . "ÎTI m v ^ %- 1 , • .-m N i -in £k. , iil!i' WW DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOFF Heftim WH Blfa nrjaiH if Ml SaB»i rt i rti t"ti I I i ~ ***“* - *_t_ V* L. _ \W*W, si-' f Heft TXTV ~ Dit Ornamentik res Mittelalters von heidelofe -v CT *A' > V n rvv te ïâ IJY es BR i. ’.v. ä SR SW* WM% wëâ£N •,=?! ' '1 l f -g&ä Tim M? 9tam rn !li$Mî -fff-.. mÖib^huJF” 1 ' .^+sjHr ;t^Œ KSÄ cfÇll ö-ar- '••r -~g£ -b ,*j . W », 1 V LS? feäsS'Siw î;;r;ï* WJ.» fcfe** £$Kiö "ÿîtalii'S el- ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELQFF Heft XXIV llllilill;! 1 MÆ mm pii i itt mm ïjiMsî&H mMu , i,J Wif H llllil iißiffli 1 Hi isj{ ? hmk iMiiiiiiiaiiiianiiiiHniiiiiiiiiiHL'-it »antig ff»; ;r* , tj}nij kii»iü teæâji liS [fifea ü3t* -ï’-'ttîit pRimiiHIUMIllü TBüfflÜS ci-' ' V i=»iÜrl .. 'm. TOT, ORNAMENTIK DES MITTELALTERS MON HEIDELOIT ; iJif 1 ’!! - , " illllllililli lll ll l ll 11 i ilillliWiliillUllillili e ’» Jt DIE TRNAMETJT1K DES MITTEI. VON HEIDELOEF Hef XXIV. Srt'Wl as* 'Wm. W ; fs'S; V DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS VON HEIDELOEF. I Heft W ONA. JuSHAJT/ S. 'tWW13H Ü3K \SiL£. __ ' r .m 'TT Li .*•* - XTjafc . fc- _ ä . TV 4 . ; t.\ ^ *>- *7 ^ Ä5£ i X, JWM öter ^'!7i fftstl- f VM-iZi iL ’5}x - * v?. - -»v \ annojsu mcccîc "vnÄH-arv'i'f USàBETKyRPVRmiCH £BRN Pi 5 . K ,*\ v V ' w ’ ' j C.'yif ’.- / j / > v'. w ** ;.v t • . . v v • -, -• •-' , .••• * ' ' • ••'• ..c • - 4 r 1 * .• . V v .-..-î ; • , / .- y.* . -, * .»'* * • ►. * \, . * * * ' *». -K ' ; . s .. • • • ."V . -v î. -,% •'•.*. 1 . * t- ' •.» • ,/. * % • * 1 . . • » » ^ 1 * * l s* Ifc^- äftU* ' .vâ-* '\ • '- ; »fi ymy’ DIE ORNAMENTIK DES MITTELALTERS TON H EIDELOEF. J Heft JW ' • i f» ' ijkffiÖfc'M* MEwaw h Heft XXIV DIE ORNAMENTIK. DES VON HEIDELGEF. - Jjg-’ m i -f ses dcscSSS5S^ Vj_ - 7* f VÄSÄ ÜÉg •j - a& i £.> fom ► I»! ItVV Mmmm Ê&M0 lüÿf mhkm tafâs ty&irZ! •h v .' '•'. v - J- _>• "»if!-*’ iifpsipü DIE. ORNAMENTIK DES 'ITTELALTERS “VON HEIDELOFE Heil XXL7 rSSTi BÜTA ÊÆM .vr.» »I fhfc. .'À'fV-' 'H .U'. .- 4.! ; Ef n yii iCM,* >1 Äi; ,&w} 1 1 '.“."te, .' S’ä! HOL \ i 'rt?L i. i 'M ' L » ; U-' i»;. • »jsa ^s • y j V 1 » £ * ? y; £>**£?' V 4>< \ ^ ^ ' V y à a,*Rfr~-aWlgm% TCommenttirer le meilleur parti de cette activité : Chantez en même temps que nos locuteurs natifs. Mimez la chanson si vous le souhaitez, selon le type de chanson. Travail de groupe:
Lundi matin l’empereur sa femme et le petit prince paroles à imprimer Lundi matin paroles de la comptine à imprimer Imprimez les paroles de la comptine Lundi matin l’empereur sa femme et le petit prince en cliquant sur l’image qui sera au format A4 en haute définition, prête à être imprimez, lue et chantée ! Lundi matin paroles à imprimer de la comptine Lundi matin L’empereur sa femme et le petit prince Sont venus chez moi pour me serrer la pince Comme j’étais parti le petit prince a dit Puisque c’est ainsi nous reviendrons mardi Mardi matin L’empereur sa femme et le petit prince Sont venus chez moi pour me serrer la pince Comme j’étais parti le petit prince a dit Puisque c’est ainsi nous reviendrons mercredi Mercredi matin L’empereur sa femme et le petit prince Sont venus chez moi pour me serrer la pince Comme j’étais parti le petit prince a dit Puisque c’est ainsi nous reviendrons jeudi Jeudi matin L’empereur sa femme et le petit prince Sont venus chez moi pour me serrer la pince Comme j’étais parti le petit prince a dit Puisque c’est ainsi nous reviendrons vendredi Vendredi matin L’empereur sa femme et le petit prince Sont venus chez moi pour me serrer la pince Comme j’étais parti le petit prince a dit Puisque c’est ainsi nous reviendrons samedi Samedi matin L’empereur sa femme et le petit prince Sont venus chez moi pour me serrer la pince Comme j’étais parti le petit prince a dit Puisque c’est ainsi nous reviendrons dimanche Dimanche matin L’empereur sa femme et le petit prince Sont venus chez moi pour me serrer la pince Comme j’étais pas là, le p’tit prince se vexa Puisque c’est comme ça nous ne reviendrons pas ………….. Illustrations Philippe Jalbert Chant Émilie Pouyer & Xavier Santamaria Musique Xavier Santamaria Regardez, écoutez et chantez la comptine ! Lundi matin une comptines avec les paroles à imprimer Les comptines s’exposent ! Lundi matin l’empereur sa femme et le petit prince et les autres comptines de la récré des ptits loups vous plaisent ? Vous avez une médiathèque, une crèche, une bibliothèque départementale ou un autre type de structures et vous voulez organiser une exposition interactive à destination du très jeune public ? Nous venons de créer une exposition interactive pour les tout-petits sur le thème des comptines dont vous trouverez le descriptif en cliquant ici. N’hésitez pas à passer par la rubrique contact si vous souhaitez des précisions sur le contenu ou la disponibilité de notre exposition comptines pour tout-petits.
aVGnM.