Certainspourraient dire qu’ils n’ont jamais entendu Dieu leur parler. Par consĂ©quent, Il ne peut pas mentir. C’est oublier que la Bible est la Parole de Dieu. Ce qui veut dire que les

J'ai Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans une famille chrĂ©tienne, mon pĂšre Ă©tait trĂšs sĂ©vĂšre, surtout sur l'obĂ©issance. Quelques temps aprĂšs sa mort, nous avons tous abandonnĂ© l'Ă©vangile pour aller dans le monde lĂ  ou se trouve le chemin spacieux qui mĂšne Ă  la perdition Mat. 7 v 13. Nous nous sommes mariĂ©s dans le monde avec des paĂŻens, nous avons fondĂ© et aimĂ© chacun notre famille qui remplaça Dieu, sans nous soucier du cƓur de notre mĂšre que nous avons brisĂ©. Mais notre Dieu est un Dieu jaloux, personne ne peut prendre la place qui lui est due. Dieu est aussi un Dieu fidĂšle. Il nous a laissĂ© sa parole qui dure de gĂ©nĂ©rations en gĂ©nĂ©rations "Crois au Seigneur JĂ©sus et tu seras sauvĂ© toi et ta famille". Ce que sa parole dit sa main l'accompli en son temps. Ma mĂšre est partie auprĂšs de Dieu sans nous avoir vu retourner auprĂšs de Lui. AprĂšs des annĂ©es de souffrances inĂ©vitables loin de Dieu, j'ai criĂ© Ă  Lui dans mon dĂ©sespoir et dans sa fidĂ©litĂ©... il m'a rĂ©pondu. Nous sommes tous revenus au Seigneur, notre vie a dĂ©sormais changĂ©. J'ai eu 3 enfants qui ont donnĂ© leur cƓur Ă  JĂ©sus et 3 qui ont Ă©tĂ© rebelles, mais Dieu dans son Amour leur a fait grĂące. Maintenant, je ne pense qu'Ă  la fidĂ©litĂ© de Dieu et Ă  ses bienfaits. Ps Croyez ce que dit Dieu et ne doutez point car en son temps, il rĂ©pondra. Laissez-lui vos craintes et vos inquiĂ©tudes car elles ne font que dĂ©truire, sachez qu'il est un Dieu consolateur et un rocher sur lequel on peut s'appuyer en tout temps. Gardez toujours les yeux fixĂ©s vers lui et il agira certainement !! Soyez Richement BĂ©nis !! Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !

Lhomme n'est pas seulement un faisceau de dĂ©sirs et d'intĂ©rĂȘts : il doit prendre pour fin ce qui, en lui, rend possible la morale, le droit et la connaissance. C'est pourquoi le devoir de

Le titre de l’article d’aujourd’hui peut vous sembler Ă©trange, mais il est riche d’enseignement et de sens. Comme vous l’avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  remarquĂ©, Einstein est pour moi une source d’inspiration. Cet homme Ă©tait bien plus que le gĂ©nie qui a dĂ©couvert e=mc2 . Formule qui depuis s’est rĂ©vĂ©lĂ©e fausse Ă  une certaine dimension. Or, Einstein citait Spinoza. Ce qui a suscitĂ© mon intĂ©rĂȘt. Mais, dans quel contexte et dans quelle mesure le citait-il ? ✹✹ Quand Albert Einstein donnait une confĂ©rence dans les nombreuses universitĂ©s des États-Unis, la question rĂ©currente que lui faisaient les Ă©tudiants Ă©tait – Vous, Monsieur Einstein
 Croyez-vous en Dieu ? Ce Ă  quoi il rĂ©pondait toujours – Je crois au Dieu de Spinoza. Pour autant, vous avouerez que cela ne donne as une rĂ©ponse trĂšs clair sur la vision que Einstein pouvait avoir de Dieu. Personnellement, pour moi, cela n’avait pas de signification particuliĂšre. Alors, j’ai cherchĂ© Ă  investiguer la question. Et , je vous partage ici l’issue des mes recherches et rĂ©flexions. Mon cheminement a dĂ©marrĂ© par cette question Mais qui Ă©tait Spinoza ? Personnellement je connais peu de choses Ă  propos de Baruch Spinoza. Je sais qu’il a Ă©tĂ© un philosophe majeur du 17’ siĂšcle. Mais qu’est qui pouvait inciter Einstein a croire en le Dieu de Spinoza ? Évidemment, je ne pense pas qu’Einstein idolĂątrait Spinoza. Loin delĂ  ! Einstein Ă©tait un homme Ă©duquĂ© et charmeur. Un zĂšbre atypique et gĂ©nial. Il Ă©tait reconnu pour son excellence intellectuelle mais pas que. On disait de lui qu’il Ă©tait un homme trĂšs spirituel avec un esprit Ă©veillĂ©, un savant un peu fou mais trĂšs rationnel, bref un gĂ©nie dans toute sa splendeur. Sa prĂ©sence en sociĂ©tĂ© Ă©tait trĂšs apprĂ©ciĂ©e. Spinoza, lui, Ă©tait issue d’une famille juive qui vivait en Espagne Ă  la pĂ©riode de l’inquisition. Ça n’a pas dĂ» ĂȘtre simple de grandir, de grandir et de se construire dans un tel contexte ! Cela explique, entre autre ce qui a poussĂ© Spinoza a passer la majoritĂ© de sa vie a Ă©tudier les livres saints et la philosophie. En philosophie, Spinoza est, avec RenĂ© Descartes et Gottfried Wilhelm Leibniz, l’un des principaux reprĂ©sentants du rationalisme. HĂ©ritier critique du cartĂ©sianisme, le spinozisme se caractĂ©rise par un rationalisme absolu laissant une place Ă  la connaissance intuitive, une identification de Dieu et de la nature, une dĂ©finition de l’homme par le dĂ©sir, une conception de la libertĂ© comme comprĂ©hension de la nĂ©cessitĂ©, une critique des interprĂ©tations thĂ©ologiques de la Bible aboutissant Ă  une conception laĂŻque des rapports entre politique et religion. Il s’inscrit dans l’école de pensĂ©e philosophique matĂ©rialiste qui se distingue par une distance avec Platon ou Aristote. – extrait de la page Wikipedia dĂ©diĂ©e Ă  Baruch Spinoza. On rapporte que Spinoza aurait Ă©crit le texte controversĂ© qui suit et qui est explicite concernant sa vision de Dieu Mon but n’est pas de discuter le bout de gras Ă  propos de cette controverse. Je ne connais pas Spinoza ni Einstein. Ils Ă©taient morts avant que je naisse ! 🙃 Mais, j’avoue avoir plaisir Ă  vous partager ce texte qui je trouve inspirant et poĂ©tique. Je ne sais pas si Dieu a rĂ©ellement parlĂ© mais s’il le faisait, voici ce que je crois qu’il dirait au croyant – ArrĂȘte de prier et de te frapper Ă  la poitrine ! Ce que je veux que tu fasses, c’est que tu sortes dans le monde pour profiter de ta vie. Je veux que tu t’amuses, que tu chantes, que tu t’instruises
 que tu profites de tout ce que j’ai fait pour toi. ArrĂȘte d’aller dans ces temples sombres et froids que tu as construit toi-mĂȘme et dont tu dis que c’est ma maison ! Ma maison est dans les montagnes, dans les bois, les riviĂšres, les lacs. C’est lĂ  oĂč je vis avec toi et que j’exprime mon amour pour toi. ArrĂȘte de m’accuser de ta vie misĂ©rable, Je ne t’ai jamais dit qu’il y avait quelque chose de mal en toi, que tu Ă©tais un pĂ©cheur, que ta sexualitĂ© ou ta joie Ă©taient une mauvaise chose ! Alors ne me blĂąme pas pour tout ce qu’ils t’ont dit de croire. ArrĂȘte de ressasser des lectures sacrĂ©es qui n’ont rien Ă  voir avec moi. Si tu ne peux pas me lire Ă  l’aube, dans un paysage, dans le regard de ton ami, de ta femme, de ton homme, dans les yeux de ton fils
Tu ne me trouveras pas dans un livre ! ArrĂȘte de te faire peur. Je ne te juge pas, je ne te critique pas, je ne rentre pas en colĂšre et je ne punis pas. Je suis pur amour
 je t’ai rempli de passions, de limitations, de plaisirs, de sentiments, de besoins, d’incohĂ©rences
et je t’ai donnĂ© le libre arbitre
 Comment puis-je te blĂąmer si tu rĂ©ponds Ă  quelque chose que j’ai mis en toi ? Comment puis-je te punir d’ĂȘtre ce que tu es, si je suis celui qui t’ai fait ? Tu penses rĂ©ellement que je pourrais crĂ©er un endroit pour brĂ»ler tous mes enfants qui se comportent mal, pour le reste de l’éternitĂ© ? Quel genre de Dieu peut faire ça ? Si j’étais ainsi, je ne mĂ©riterais pas d’ĂȘtre respectĂ©. Si je voulais juste ĂȘtre vĂ©nĂ©rĂ©, je n’aurais peuplĂ© la terre que de chiens. .. Respecte tes semblables et ne fais pas ce que tu ne veux pas pour toi. Tout ce que je te demande, c’est que tu fasses attention Ă  ta vie, que ton libre arbitre soit ton guide. Toi et la nature vous constituez une seule entitĂ© 
. alors ne crois pas que tu as un pouvoir sur elle. Tu fais partie d’elle. Prends-soin d’elle et elle prendra soin de toi. J’y ai mis et rendu accessible tout ce qu’il y a de bien pour toi et j’ai rendu difficile d’accĂšs ce qui ne l’est pas. Ne mets pas ton gĂ©nie Ă  y chercher ce qui est mauvais pour cet Ă©quilibre. A toi de garder intact cet Ă©quilibre. La nature elle, sait trĂšs bien le garder, juste ne la trouble pas ! Je t’ai rendu absolument libre. Tu es absolument libre de crĂ©er dans ta vie un paradis ou un enfer. Je ne peux pas te dire s’il y a quelque chose aprĂšs cette vie, mais je peux te donner un conseil, ArrĂȘte de croire en moi de cette façon, Croire, c’est supposer, deviner, imaginer. Je ne veux pas que tu crois en moi, je veux que tu me sentes en toi. Que tu me sentes en toi quand tu t’occupes de tes moutons, quand tu abordes ta petite fille, quand tu caresses ton chien, quand tu te baignes dans la riviĂšre
. Exprime ta joie et habitue-toi Ă  prendre juste ce dont tu as besoin ! La seule chose sĂ»re, c’est que tu es lĂ , que tu es vivant, que ce monde est plein de merveilles
et que dans toutes ces merveilles tu es capable de savoir exactement ce dont tu as vraiment besoin. Ne me cherche pas en dehors, Tu ne me trouveras pas
. Je suis lĂ  
 La nature, Le cosmos
 C’est moi. 🌠{Baruch Spinoza}🌠 Alors, Ă  lire ce texte, je peux vous affirmer une chose J’ai la mĂȘme vision de Dieu que Spinoza. Si toutefois ce texte est bien de lui. Et, si ce n’est pas le cas, je partage la vision de son auteur. Et vous, quelle est votre vision et votre relation avec Dieu ? Cette question, nous l’avions abordĂ©e dans l’article Qui est Dieu et Ă  quoi ressemble-t-il ? Les temples de pierres n’ont jamais Ă©tĂ© la demeure de Dieu. Si vous aviez la possibilitĂ© de ressentir la vibration et l’énergie qui rĂšglent dans les lieux de culte, vous sauriez que ce ne sont ni la vibration ni l’énergie de Dieu qui y rĂšgnent. Les courants qui prĂŽnent la rigueur sans Joie ne sont pas de Dieu. Ce qui jugent, divisent, sĂ©parent et stigmatisent vont Ă  contre sens de Dieu. Car Dieu est la conciliation, la rĂ©conciliation, l’unitĂ©, l’unicitĂ© et l’interconnexion. Dieu, aime la rectitude, la joie et la simplicitĂ© de la Vie. Pourquoi oublier que Dieu a inventĂ© l’Art et l’Humour ? Et, il nous a fait nu et libre de jouir de notre corps et de notre esprit dans le respect de son caractĂšre sacrĂ©. Car, en vĂ©ritĂ©, le temple de Dieu est l’Homme et le temple de l’Homme est son corps. Commencez par vous aimer et vous respectez vous-mĂȘme sans Ă©goĂŻsme. Alors cĂ©lĂ©brez la Vie, la Joie
. sans excĂšs et vibrez la gratitude. LĂ , vous serez pleinement en Dieu. Je vous souhaite une lumineuse et joyeuse semaine. Soyez libre de poster un message via le module de commentaire. Bien Ă  vous, LĂŠtitia

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RĂ©ponse(1 sur 4) : q : Les hommes prient partout pour des Dieux qui n'existent pas, parce que le seul vrai dieu est peut-ĂȘtre une DĂ©esse que personne ne connaĂźt - en est-elle triste ? Parce que, selon vous Dieu serait un humain sexuĂ© ? Quand j'Ă©tais petit, on
Heijkoop Table des matiĂšres 1 - Me suis-je assez repenti ? 2 - La justice de Dieu 3 - Justification 4 - La rĂ©surrection, preuve de la justice de Dieu 5 - Dieu savait qui nous Ă©tions 6 - Nous avons la paix avec Dieu 7 - Mais je n’ai pas la paix ! Cher ami, Vous avez reconnu ĂȘtre un pĂ©cheur perdu et qui aurait Ă©tĂ© perdu pour l’éternitĂ©, si vous aviez dĂ» paraĂźtre comme tel devant Dieu. Vous avez aussi confessĂ© vos pĂ©chĂ©s devant Dieu, mais vous n’avez pas la certitude qu’ils sont pardonnĂ©s. Maintenant vous vous demandez si vous ne vous ĂȘtes pas assez repenti, si votre conversion n’a pas Ă©tĂ© assez profonde. Certains jours, vous ne pensez pas du tout Ă  ces choses, ou bien seulement avec indiffĂ©rence. Je vous comprends bien, car j’ai passĂ©, moi aussi, par les mĂȘmes exercices. Je savais depuis des annĂ©es Ă©tant alors encore trĂšs jeune que j’étais perdu. La journĂ©e, je n’y pensais guĂšre, mais le soir, une fois couchĂ©, je commençais Ă  avoir peur Si je mourais cette nuit, je serais perdu pour l’éternitĂ© ! ». Je confessais alors de nouveau mes pĂ©chĂ©s devant Dieu et le priais de me les pardonner. Mais je n’étais jamais sĂ»r qu’ils l’étaient. Un jour, ma sƓur aĂźnĂ©e me dit avoir trouvĂ© la paix. Je lui demandai comment elle avait fait ; le soir, j’essayai de procĂ©der exactement pareil — sans rĂ©sultat Ă©videmment. À 17 ans, assis dĂ©couragĂ© un soir sur le bord de mon lit, je me disais Prier ne sert donc Ă  rien. VoilĂ  dĂ©jĂ  tant d’annĂ©es que je demande Ă  Dieu de me sauver, et aucun changement ne s’est produit ». À ce moment, Dieu plaça devant mon esprit la pensĂ©e suivante n’est-il pas pourtant Ă©crit Si nous confessons nos pĂ©chĂ©s, il est fidĂšle et juste pour nous pardonner nos pĂ©chĂ©s et nous purifier de toute iniquitĂ© » 1 Jean 19. Serait- ce faux ? Non, bien sĂ»r, car Dieu ne ment pas, pensai-je. Le Seigneur me montra alors clairement ce que cela signifiait pour moi. Cela signifiait que mes pĂ©chĂ©s avaient Ă©tĂ© pardonnĂ©s dĂšs la 1° fois oĂč je les avais confessĂ©s avec droiture devant Dieu. Alors, la paix remplit mon cƓur ou, plus exactement, ma conscience trouva le repos. DĂšs ce soir-lĂ  j’eus la certitude que mes pĂ©chĂ©s Ă©taient pardonnĂ©s. Je n’en ai plus jamais doutĂ©, parce que Dieu l’a dit ! 1 - Me suis-je assez repenti ? Pourquoi m’a-t-il fallu tant d’annĂ©es avant d’avoir la paix ? Sans aucun doute, l’une des causes Ă©tait que j’avais trop peu le sentiment de ma culpabilitĂ© et la conscience de ce qu’est le pĂ©chĂ©. Non pas que Dieu Ă©tablisse un certain niveau et ne pardonne pas si la conscience que nous avons de nos pĂ©chĂ©s et si notre repentance n’atteignent pas ce niveau. Jamais aucun homme n’a eu, au moment de sa conversion, une repentance suffisante, une conviction de pĂ©chĂ©s assez profonde. Ce n’est qu’aprĂšs la conversion que nous apprenons combien nous sommes mauvais en nous-mĂȘmes. Dieu veut cependant que nous ayons une conviction prĂ©cise de notre Ă©tat de perdition. Plus cette connaissance sera profonde, plus notre conversion sera totale ; plus nous comprendrons le jugement que nous mĂ©ritions, plus la confession de nos pĂ©chĂ©s sera sincĂšre, et plus profonds seront le repos et la paix que nous Ă©prouverons ensuite. Aussi le Saint Esprit agit-il dans le cƓur du pĂ©cheur et cherche Ă  placer sa conscience dans la lumiĂšre de Dieu, pour l’amener Ă  voir son Ă©tat de perdition et la somme de ses pĂ©chĂ©s, et Ă  comprendre un peu quel jugement doit prononcer sur lui un Dieu juste et saint. Mais ce n’est pas lĂ  le cƓur de la question. Le facteur dĂ©cisif Ă©tait que je regardais Ă  moi et non pas Ă  Dieu. Sa Parole ne me suffisait pas. AprĂšs avoir considĂ©rĂ© mes pĂ©chĂ©s et avoir compris que j’avais failli en tout, j’aurais dĂ» prĂȘter l’oreille Ă  la voix de Dieu. La parole de Dieu ne laisse aucun doute Ă  ce sujet Si nous confessons nos pĂ©chĂ©s, il est fidĂšle et juste pour nous pardonner nos pĂ©chĂ©s ». Je cherchais l’assurance du pardon de mes pĂ©chĂ©s dans mon cƓur et dans ma vie, au lieu de recevoir la parole de Dieu qui assure Ă  celui qui confesse ses pĂ©chĂ©s qu’ils sont pardonnĂ©s. 2 - La justice de Dieu Dieu ne ressemble pas Ă  un juge de ce monde, au cƓur tendre, qui se laisserait flĂ©chir et punirait moins sĂ©vĂšrement celui qui aura Ă©veillĂ© ses compassions, que celui qui n’aura pas su s’y prendre ; car l’amour et la grĂące de Dieu ne peuvent jamais s’exercer Ă  l’encontre de sa justice. C’est lĂ  ce qu’il y a de merveilleux dans l’évangile le mĂȘme Dieu qui exĂ©cutera un jour sa justice Ă  l’égard de tous les pĂ©cheurs, montre aujourd’hui sa justice en pardonnant et en effaçant tous les pĂ©chĂ©s de ceux qui viennent Ă  Lui par la foi au Seigneur JĂ©sus. Car la justice de Dieu est rĂ©vĂ©lĂ©e dans l’évangile sur le principe de la foi Rom. 117. Afin de montrer
 sa justice dans le temps prĂ©sent, en sorte qu’il soit juste et justifiant celui qui est de la foi de JĂ©sus » Rom. 326. 3 - Justification En fait, Dieu ne peut agir que justement, qu’en plein accord avec sa justice. Aussi l’homme aurait-il Ă©tĂ© irrĂ©mĂ©diablement perdu, si le Seigneur JĂ©sus n’avait pas accompli l’Ɠuvre de la rĂ©demption Ă  Golgotha. L’amour de Dieu voulait sauver l’homme de la perdition Ă©ternelle ; mais c’était impossible, parce que sa justice exigeait la condamnation du pĂ©cheur. Et l’amour de Dieu ne peut en aucun cas se manifester en contradiction avec sa justice. Alors s’est produite cette chose merveilleuse dont il nous est parlĂ© en HĂ©breux 10 au Psaume 40 etc. La volontĂ© de Dieu Ă©tait que tous les hommes soient sauvĂ©s » 1 Tim. 24. Le Seigneur JĂ©sus devint homme et dit Voici, je viens
 pour faire, ĂŽ Dieu, ta volontĂ© ». Il est allĂ© Ă  la croix et a rĂ©glĂ© lĂ  pour nous la question du pĂ©chĂ©. LĂ , il a Ă©tĂ© fait pĂ©chĂ© et le jugement de Dieu sur le pĂ©chĂ© s’abattit sur Lui ; et par ce jugement, la justice de Dieu a Ă©tĂ© pleinement satisfaite. Mais ce n’est pas Ă  cause de Lui-mĂȘme que le Seigneur a portĂ© ce jugement. Il Ă©tait le Saint, le Juste, Celui qui n’avait pas connu le pĂ©chĂ©. Il a portĂ© le pĂ©chĂ© comme Substitut de tous ceux qui, par la foi, le recevraient comme leur Sauveur. Et maintenant, Dieu peut dire Ă  tous les pĂ©cheurs Soyez rĂ©conciliĂ©s avec Dieu » 2 Cor. 520. Non seulement son amour, mais sa justice aussi exigent que tous ceux qui viennent Ă  Lui par la foi au Seigneur JĂ©sus, reçoivent le pardon. 4 - La rĂ©surrection, preuve de la justice de Dieu J’aimerais considĂ©rer ce point de vue d’un peu plus prĂšs. Le Seigneur JĂ©sus est allĂ© Ă  la croix et a portĂ© lĂ , en son corps, tous les pĂ©chĂ©s de ceux qui l’ont reçu et le recevront encore 1 Pierre 224. Il a aussi Ă©tĂ© fait pĂ©chĂ© et, comme tel il a subi le jugement 2 Cor. 521 ; Rom. 83. Les gages du pĂ©chĂ©, c’est la mort » Rom. 623, un Ă©tat d’éloignement de Dieu Apoc. 2014, 15. C’est lĂ  ce que le Seigneur JĂ©sus a dĂ» endurer sur la croix. Il a Ă©tĂ© abandonnĂ© de Dieu, pendant ces terribles heures de tĂ©nĂšbres ; et il est mort. Mais, sur la croix, il a pu dire C’est accompli ». Le Seigneur pouvait-il rester dans le tombeau aprĂšs avoir accompli l’Ɠuvre de la rĂ©demption ? La justice de Dieu, qui avait fait tomber sur Lui le jugement, exigeait maintenant qu’il sorte de la mort. L’Ɠuvre Ă©tait achevĂ©e ; le jugement de Dieu avait eu son plein effet, et la justice de Dieu Ă©tait pleinement satisfaite. Aussi Dieu l’a ressuscitĂ© d’entre les morts Éph. 120. C’est la preuve, aux yeux du monde et pour nous, que Dieu a acceptĂ© l’Ɠuvre en substitution du Seigneur JĂ©sus et a Ă©tĂ© satisfait Jean 168, 10. Si le Seigneur n’était pas ressuscitĂ©, cela prouverait que l’Ɠuvre n’était pas encore achevĂ©e. Et alors il n’y aurait pas de salut pour nous 1 Cor. 1517, 18. La rĂ©surrection se trouve donc au centre de l’évangile et toute attaque contre cette vĂ©ritĂ© ruine l’évangile. Ainsi nous lisons en Romains 425 
 lequel a Ă©tĂ© livrĂ© pour nos fautes et a Ă©tĂ© ressuscitĂ© pour notre justification ». Nous sommes dans l’ùre de la grĂące. Dieu dit de tous les hommes 
 tous ont pĂ©chĂ© et n’atteignent pas Ă  la gloire de Dieu ». Mais il dit Ă©galement Ă©tant justifiĂ©s gratuitement par sa grĂące, par la rĂ©demption qui est dans le Christ JĂ©sus, lequel Dieu a prĂ©sentĂ© pour propitiatoire, par la foi en son sang » Rom. 323-25. Le message est envers tous, et sur tous ceux qui croient » Rom. 322. Seuls y ont part ceux qui acceptent le jugement divin qu’ils sont perdus et qui en mĂȘme temps reçoivent par la foi le Seigneur JĂ©sus. Le Saint Esprit a donc agi dans votre cƓur, vous amenant Ă  reconnaĂźtre vos pĂ©chĂ©s et votre Ă©tat de perdition. Vous ĂȘtes venu Ă  Dieu et avez confessĂ© devant Lui ce que vous ĂȘtes et ce que vous avez fait. Dieu a dirigĂ© vos regards sur le Seigneur JĂ©sus ; il vous a dit Il est mort pour les pĂ©cheurs ; si tu le reçois, je t’impute son Ɠuvre ». Vous avez reçu le Seigneur JĂ©sus. Il vous faut maintenant aussi croire que ce que Dieu dit est vrai et que, par consĂ©quent, vos pĂ©chĂ©s sont pardonnĂ©s. Il ne s’agit pas de ce que vous ressentez, de vos sentiments, mais de ce que Dieu dit. C’est de cela seul que tout dĂ©pend. La nuit de la PĂąque Ex. 12, lorsque l’ange destructeur passait par toute l’Égypte, il ne s’arrĂȘtait pas aux maisons sur lesquelles il voyait le sang. Peu importait que le premier-nĂ© ou ses proches le voient. Il leur suffisait de faire ce que Dieu avait dit pour que tout soit en ordre ; mais pour avoir la paix, il leur fallait croire qu’ils Ă©taient Ă  l’abri parce que Dieu l’avait dit. Ce qui est merveilleux en tout cela, c’est que Dieu, lorsqu’il reçoit un pĂ©cheur, est glorifiĂ© Ă  tous Ă©gards. Que sa misĂ©ricorde, sa grĂące et son amour soient manifestĂ©s en cela, c’est Ă©vident ; mais ce n’est pas tout. Lorsqu’un pĂ©cheur vient Ă  Dieu par la foi au Seigneur JĂ©sus Christ, Dieu lui impute l’Ɠuvre du Seigneur JĂ©sus. Parce que le Seigneur JĂ©sus a subi le plein jugement dĂ» au pĂ©chĂ©, le pĂ©cheur peut dire Dieu me voit sans un seul pĂ©chĂ©. Il n’y a pas un seul pĂ©chĂ© qui doive encore ĂȘtre jugĂ©. Dieu est alors juste, en m’acquittant de tout jugement et en me justifiant. Ainsi la justice de Dieu est glorifiĂ©e, mais aussi sa vĂ©ritĂ© ; car Dieu a dit, dans sa Parole, qu’il voulait sauver le pĂ©cheur. La signification de 1 Jean 19 devient alors trĂšs claire Si nous confessons nos pĂ©chĂ©s, il est fidĂšle et juste pour nous pardonner nos pĂ©chĂ©s et nous purifier de toute iniquitĂ© ». 5 - Dieu savait qui nous Ă©tions Vous dites Mais je ne constate aucun changement. Je fais mĂȘme beaucoup plus de choses mauvaises qu’auparavant ». J’admets sans difficultĂ© que maintenant vous voyez beaucoup plus de pĂ©chĂ©s en vous qu’auparavant. Il ne peut pas en ĂȘtre autrement, parce que le Saint Esprit vous a ouvert les yeux. Mais Dieu savait dĂ©jĂ  ce qu’il en Ă©tait de vous lorsque vous ĂȘtes venu Ă  Lui. Il connaissait votre cƓur, votre vie, tous les pĂ©chĂ©s que vous aviez dĂ©jĂ  commis et tous ceux que vous commettriez encore. Il en savait et sait infiniment plus que ce que vous parviendrez Ă  connaĂźtre sur cette terre. La bontĂ© de notre Dieu Sauveur et son amour envers les hommes sont apparus » alors mĂȘme que nous Ă©tions de ceux dont il est dit Nous Ă©tions, nous aussi, autrefois, insensĂ©s, dĂ©sobĂ©issants, Ă©garĂ©s, asservis Ă  diverses convoitises et voluptĂ©s, vivant dans la malice et dans l’envie, haĂŻssables, nous haĂŻssant l’un l’autre » Tite 33 et 4. Christ, alors que nous Ă©tions encore sans force, au temps convenable, est mort pour des impies
 Mais Dieu constate son amour Ă  lui envers nous, en ce que, lorsque nous Ă©tions encore pĂ©cheurs, Christ est mort pour nous » Rom. 5 6 8 ; 2 Cor. 520. Étant ennemis, nous avons Ă©tĂ© rĂ©conciliĂ©s avec Dieu » Rom. 510. 6 - Nous avons la paix avec Dieu Ainsi, bien que Dieu ait parfaitement su qui vous Ă©tiez, il a donnĂ© le Seigneur JĂ©sus, afin que, par la foi en Lui, vous ayez la vie Ă©ternelle. Il a dit Si vous vous approchez de moi par la foi au sang du Seigneur JĂ©sus, vous serez justifiĂ© gratuitement Rom. 323-25. Il a dit que si vous veniez ainsi Ă  Lui, il vous acquitterait de tout pĂ©chĂ©, montrant ainsi sa justice. Cela prouve que depuis que vous ĂȘtes venu Ă  Lui, confessant votre culpabilitĂ©, il n’a plus rien contre vous. De son cĂŽtĂ©, tout est en ordre. Avez-vous donc vous-mĂȘme quelque chose contre Dieu ? Non. Vous ĂȘtes venu Ă  Dieu, parce que vous avez reconnu que vous aviez besoin de son pardon. Pourquoi alors n’avez-vous pas la paix ? Avoir la paix avec Dieu signifie pourtant bien qu’il ne reste plus rien Ă  rĂ©gler entre Dieu et moi tout est en ordre. Dieu n’a plus rien contre vous il vous a justifiĂ© parce que vous avez cru au Seigneur JĂ©sus, et vous avez par consĂ©quent part Ă  la rĂ©demption Ă©ternelle que le Seigneur a obtenue HĂ©b. 912 ; Rom. 51. Et vous n’avez plus rien contre Lui ; vous ĂȘtes rĂ©conciliĂ© avec Dieu 2 Cor. 520. Vous avez donc la paix avec Dieu ! Nous lisons en Romains 51 Ayant donc Ă©tĂ© justifiĂ©s sur le principe de la foi, nous avons la paix avec Dieu ! » 7 - Mais je n’ai pas la paix ! Et pourtant vous dites Je n’ai pas la paix ! C’est possible, parce que vous n’avez pas encore acceptĂ© que la paix a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© faite il y a longtemps. Le Seigneur JĂ©sus a fait la paix. Il est notre paix. Et il nous annonce cette paix Éph. 215, 14, 17. 
 Ayant fait la paix par le sang de sa croix » Col. 120. DĂšs le moment oĂč vous L’avez reçu, vous avez part Ă  cette paix. Mais pour en jouir, il vous faut croire qu’il en est ainsi. Vous aurez la paix aussitĂŽt que vous croirez que Dieu dit la vĂ©ritĂ© lorsqu’il affirme que le Seigneur JĂ©sus a fait la paix sur la croix. Vous ĂȘtes semblable Ă  ces soldats japonais sur une petite Ăźle de l’ocĂ©an Pacifique qui, cinq ans aprĂšs la fin de la guerre, vivaient comme s’ils Ă©taient encore en guerre. Ils s’attendaient Ă  des attaques de l’ennemi, etc., comme ils l’avaient fait durant la guerre et pourquoi ? Parce qu’ils croyaient que les hostilitĂ©s continuaient. La rĂ©elle, la profonde raison de votre manque de paix c’est que vous ne recevez pas la parole de Dieu sans rĂ©serve. Et cela Ă  votre grand prĂ©judice. Mais plus encore vous dĂ©shonorez grandement Dieu en ne croyant pas sa Parole. Dieu n’est pas un homme, pour mentir » Nomb. 2319. DĂšs que vous aurez cru Dieu sur ce point aussi, vous pourrez le remercier de tout ce qu’il vous a donnĂ©, de sa grĂące magnifique. Et alors, vous Ă©prouverez la paix dans votre cƓur — pas avant. L’homme dit D’abord voir, ensuite croire ! ». Dieu dit D’abord croire, ensuite voir ! » H. L. H.
Non Dieu n’est pas un homme pour mentir. Ce que Sa bouche a prononcĂ©, Il l’exĂ©cute ou l’exĂ©cutera toujours! Son conseil s’accomplit quoi qu’il arrive. En Dieu ne se trouve
Aujourd’hui, je te partage cet enseignement sur la puissance de l’amour et sa formidable simplicitĂ©. J’ai pour toi ce texte, deux vidĂ©os et mĂȘme un CD qui te permettra d’en apprendre davantage sur la clĂ© du miracle. Mon souhait est que tu dĂ©couvres Ă  quel point notre Dieu est Amour, et qu’à travers notre souffrance commune et la priĂšre, le miracle est tout Ă  fait possible. N’hĂ©site pas Ă  rĂ©agir Ă  cet article en laissant un commentaire ou en tĂ©moignant de ton expĂ©rience personnelle. Et si tu es connectĂ© Ă  un rĂ©seau social, merci de faire connaĂźtre cet enseignement Ă  d’autre personnes en le publiant Ă  l’aide des boutons de partage. Bonne lecture et bonne Ă©coute! Nous souffrons tous
 Il est bien difficile de mesurer la souffrance d’autrui. En fait, nous en sommes incapables. Dans une vie normale, bien des imprĂ©vus malheureux touchent les meilleures personnes au monde. Je pense Ă  la maladie, au cancer, aux peines d’amour, au dĂ©cĂšs d’un proche, Ă  une perte d’emploi, aux accidents, etc. Nous vivons tous ce genre de moments de grande vulnĂ©rabilitĂ© et nous cherchons des solutions Ă  tous ces drames. La solution la plus puissante! La priĂšre renouvelĂ©e du Nouveau-Testament est pour moi LA SOLUTION la plus puissante. La seule vraie! Je ne parle pas des priĂšres rĂ©pĂ©tĂ©es comme pourraient le faire des perroquets. Non, je parle d’une relation amoureuse simple, ouverte avec celui qui nous a créés, puis qui s’est fait nous entiĂšrement dans son humanitĂ©. Cette personne s’appelle JĂ©sus-Christ. Il est fils du PĂšre Ă©ternel, mais aussi fils de la Vierge Marie; pleinement Dieu, pleinement homme. Les jeunes d’aujourd’hui, et souvent les chrĂ©tiens plus ĂągĂ©s, peu importe le pays d’origine, ne savent pas vraiment prier. On dirait mĂȘme que la priĂšre rĂ©pĂ©tĂ©e revient en force. Pourtant, JĂ©sus lui-mĂȘme la condamne en disant que nous ne devons pas faire comme les paĂŻens qui agissent ainsi pensant recevoir plus de Dieu par leurs efforts. Matt 6, 7 Dans le Nouveau-Testament, la priĂšre est nouvelle, dynamique, communion, intimitĂ© et transparence. C’est une relation d’amour avec JĂ©sus, avec soi-mĂȘme, avec l’autre. L’amour est la clef du miracle. Je vous aime comme le PĂšre m’aime. Demeurez dans mon amour. Aimez-vous comme je vous ai aimĂ©s. Demandez tout ce que vous voudrez
 » Jean 15. JĂ©sus est le centre de l’Évangile Le point central de l’Évangile n’est pas une doctrine, une sĂ©rie de rĂšgles Ă  suivre, une philosophie nouvelle, mais bien UNE PERSONNE, oui, oui, un ĂȘtre souffrant JĂ©sus-Christ! RĂ©alisons ensemble que le christianisme est la seule confession ou religion existant dans le monde entier qui nous fait connaĂźtre un Dieu souffrant. Incroyable, mais vrai! Toutes les autres religions ou croyances telles le bouddhisme, l’hindouisme, etc. prĂ©sentent Dieu de la maniĂšre la plus aimable, gentille et la plus sublime aussi un Dieu en apothĂ©ose, un Dieu jamais malade ou souffrant, j’ose mĂȘme dire un Dieu de perfection totale. À la lecture du Nouveau-Testament, du vĂ©cu de JĂ©sus-Christ, le Fils de Dieu, tout est bouleversĂ©. Il suffit de quelques chapitres pour comprendre que le christianisme nous propose un Dieu qui souffre avec chaque malade, en l’accompagnant dans sa douleur, qui souffre de la mĂȘme souffrance. Un Dieu qui aime. Un Dieu qui se fait together », ensemble, totalement avec nous. Une vraie compassion issue de son amour pour chacun de nous. Prier, simplement Prier, c’est aussi simple que boire un verre d’eau. Prier, c’est s’unir dans la foi et dans la joie du cƓur Ă  notre Dieu-PĂšre aimable, bon, amoureux qui souffre de notre maladie ou de la douleur que nous avons de voir un proche malade, peut-ĂȘtre mourant, comme les deux jeunes rencontrĂ©s et dont je parle dans cette deuxiĂšme vidĂ©o. Avec JĂ©sus, ce n’est pas seulement un cƓur transpercĂ© qui souffre de la souffrance des autres, mais c’est Dieu qui souffre lui-mĂȘme. Une mĂšre ayant un enfant tombĂ© dans l’enfer de la drogue souffre de voir son enfant ainsi, mais souffre elle-mĂȘme autant, sinon PLUS que ce dernier. Ainsi est l’amour authentique, ainsi en est-il de la source du miracle l’amour avec un grand A. Un enseignement sur CD pour cheminer davantage Un CD, le numĂ©ro 116, La clef du miracle l’Amour! » peut vous conduire dans la priĂšre et l’enseignement beaucoup plus loin, vers la comprĂ©hension de cette facette trĂšs mĂ©connue de Dieu. Vous pouvez l’acheter en version MP3 dans la boutique en payant par carte de crĂ©dit. En vous procurant des CD, vous aidez directement l’oeuvre Ă  survivre. Merci de votre gĂ©nĂ©rositĂ©! Pierre Lacroix DIEU N'EST PAS UN HOMME POUR MENTIR. IL N'EST PAS UN HOMME POUR ÊTRE LIMITÉ. IL N'EST PAS UN HOMME POUR DÉCEVOIR. IL PENSE CE QU'IL DIT ET IL PROMET CE QU'IL PEUT FAIRE. SES PROMESSES SONT CERTAINES
Dieu n'est pas un homme pour mentir, ni un fils d'homme, pour se repentir aura-t-il dit, et ne fera-t-il pas ? aura-t-il parlĂ©, et l'accomplira-t-il pas ? Nombres 2319 {loadposition facecitations} Recevez gratuitement notre livre numĂ©rique "10 clĂ©s qui vous aideront Ă  adorer Dieu dans votre quotidien" Comment mettre Dieu au cƓur de sa vie, le Seigneur cherche des personnes qui l’adorent en esprit et en vĂ©ritĂ©. Ce livre aborde des thĂšmes comme la priĂšre, la louange, les relations, le pardon, la foi... Cet ebook vous encouragera Ă  aller plus loin avec Dieu. Votre adresse email sera uniquement utilisĂ©e par Rev’Impact pour vous envoyer votre newsletter. Vous pouvez vous dĂ©sinscrire Ă  tout moment en utilisant le lien de dĂ©sabonnement intĂ©grĂ© dans la newsletter. Pour en savoir plus et exercer vos droits, prenez connaissance de notre Charte de confidentialitĂ©. Auteur La rĂ©daction La vision d' est d'impacter les mĂ©dias via l'Evangile. Vous ĂȘtes tĂ©moin d'une actualitĂ©, informez-en la rĂ©daction Ă  redaction N'hĂ©sitez pas Ă  nous faire part de votre tĂ©moignage, de ce que Dieu a fait dans votre vie, en vous inscrivant sur le site. Passez sur autre article Newsletter Inscrivez-vous Ă  notre newsletter pour recevoir les derniĂšres nouvelles. NouveautĂ©s Aujourd'hui RĂ©cents Populaires Aucun article pour le moment. Advertise
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Dieun'est point un homme pour mentir, ni un fils d'homme pour se repentir. Est-ce lui qui dit et ne fais pas, Qui parle et n'exécute pas?
RÉSURRECTION gr. anastasis, “action de s’élever” ou de “se lever” [de ana, “en haut, de bas en haut”, et de histĂȘmi, “placer debout”]. Dans les Écritures grecques chrĂ©tiennes, ce terme s’applique souvent Ă  la rĂ©surrection des morts. En OsĂ©e 1314, passage des Écritures hĂ©braĂŻques repris par l’apĂŽtre Paul I Cor. 1554, 55, il est question de l’abolition de la mort et de la dĂ©faite du SchĂ©ol hĂ©b. sheÊŒĂŽl; gr. haĂŻdĂȘs. Le mot sheÊŒĂŽl est traduit dans plusieurs versions par “tombe” ou “fosse”, et il dĂ©signe le lieu oĂč vont les morts Gen. 3735; I Rois 26; Eccl. 910. Comme en tĂ©moignent son usage dans les Écritures hĂ©braĂŻques et celui de son Ă©quivalent haĂŻdĂȘs dans les Écritures grecques chrĂ©tiennes, il ne dĂ©signe pas une tombe en particulier, mais plutĂŽt la tombe, la sĂ©pulture commune Ă  tous les humains ÉzĂ©ch. 3221-32; RĂ©v. 2013; voir HADÈS; SCHÉOL. Rendre le SchĂ©ol impuissant, c’est l’empĂȘcher de retenir ceux qui s’y trouvent, en un mot le vider. Bien entendu, il faut pour cela une rĂ©surrection, c’est-Ă -dire que les morts sortent de leur condition d’inexistence, de leur tombe. PAR JÉSUS CHRIST Ce qui prĂ©cĂšde atteste que la notion de rĂ©surrection n’est pas Ă©trangĂšre aux Écritures hĂ©braĂŻques. NĂ©anmoins, c’est JĂ©sus Christ qui “a Ă©clairĂ© la vie et l’incorruptibilitĂ© grĂące Ă  la bonne nouvelle”. II Tim. 110. Lui-​mĂȘme a dit “Je suis le chemin, et la vĂ©ritĂ©, et la vie. Nul ne vient au PĂšre que par moi.” Jean 146. Effectivement, c’est la bonne nouvelle concernant JĂ©sus Christ qui a rĂ©vĂ©lĂ© comment la vie Ă©ternelle et, mieux, l’incorruptibilitĂ© pour certains deviendraient rĂ©alitĂ©. Lorsqu’il Ă©tait sur la terre, JĂ©sus Christ a ressuscitĂ© des morts Luc 711-15; 849-56; Jean 1138-44. En fait, c’est seulement par lui que la rĂ©surrection en vue de la vie Ă©ternelle est possible. — Jean 526. UNE PARTIE DU DESSEIN DE DIEU QUI NE PEUT MANQUER DE SE RÉALISER S’adressant aux SadducĂ©ens, qui ne croyaient pas Ă  la rĂ©surrection, JĂ©sus Christ a montrĂ© que les Ă©crits hĂ©breux de MoĂŻse dont ils Ă©taient dĂ©tenteurs et auxquels ils prĂ©tendaient ajouter foi, rendaient tĂ©moignage Ă  la rĂ©surrection. Il a expliquĂ© qu’en se disant “le Dieu d’Abraham, et le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob” des hommes qui Ă©taient morts Ă  cette Ă©poque JĂ©hovah, qui est “le Dieu, non pas des morts, mais des vivants”, considĂ©rait bel et bien ces hommes comme vivants parce qu’il avait prĂ©vu de les ressusciter. Par sa puissance, Dieu “fait vivre les morts et ... appelle les choses qui ne sont pas comme si elles Ă©taient”. Paul souligne ce point quand il dĂ©crit la foi d’Abraham. — Mat. 2223, 31-33; Rom. 417. Dieu est capable de ressusciter les morts Pour celui qui a le pouvoir et la force nĂ©cessaires pour crĂ©er l’homme Ă  son image, avec un corps parfait et la capacitĂ© d’exprimer pleinement les qualitĂ©s remarquables implantĂ©es dans la personnalitĂ© humaine, la rĂ©surrection d’un homme ne pose aucun problĂšme insurmontable. Si les scientifiques peuvent utiliser les principes physiques Ă©tablis par Dieu pour conserver des images et des sons sur un magnĂ©toscope, il va de soi que le grand CrĂ©ateur et Souverain de l’univers n’a aucun mal Ă  ressusciter une personne en crĂ©ant un corps nouveau et en le dotant de la mĂȘme personnalitĂ©. Quand il a annoncĂ© que Dieu donnerait Ă  Sara, malgrĂ© son Ăąge, la vitalitĂ© nĂ©cessaire pour donner le jour Ă  un enfant, un ange a soulevĂ© cette question “Y a-​t-​il rien de trop extraordinaire pour JĂ©hovah?” — Gen. 1814; JĂ©r. 3217, 27. LA RAISON D’ÊTRE DE LA RÉSURRECTION La rĂ©surrection n’illustre pas seulement la puissance et la sagesse illimitĂ©es de JĂ©hovah. Elle rĂ©vĂšle aussi son amour et sa misĂ©ricorde, et elle le justifie en montrant qu’il sauvegarde ceux qui le servent I Sam. 26. Comme il dispose du pouvoir de ressusciter, il est en mesure de dĂ©montrer que ses serviteurs lui resteront fidĂšles jusqu’à la mort. Il est ainsi Ă  mĂȘme de rĂ©pondre Ă  cette accusation de Satan “Peau pour peau, et tout ce qu’un homme a, il le donnera pour son Ăąme.” Job 24. JĂ©hovah peut permettre Ă  Satan d’aller jusqu’au bout, au point mĂȘme de tuer certains fidĂšles dans l’espoir de confirmer ses fausses accusations Mat. 249; RĂ©v. 210; 611. Le fait que les serviteurs de JĂ©hovah sont disposĂ©s Ă  donner leur vie pour son service atteste qu’ils ne sont pas animĂ©s par des considĂ©rations Ă©goĂŻstes, mais par l’amour, comme en tĂ©moigne le cas de Job Job 275. Cela prouve Ă©galement qu’ils reconnaissent en lui le Tout-Puissant, le Souverain de l’univers et le Dieu d’amour qui est capable de les ressusciter. Cela dĂ©montre encore qu’ils tĂ©moignent un attachement exclusif Ă  JĂ©hovah pour ses qualitĂ©s merveilleuses, et non pour quelque motif Ă©goĂŻste tĂ©moin les exclamations de ses serviteurs consignĂ©es en Romains 1133-36; RĂ©vĂ©lation 411; 712. La rĂ©surrection est aussi un moyen par lequel JĂ©hovah veillera Ă  ce que son dessein vis-Ă -vis de la terre, tel qu’il avait Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© Ă  Adam, se rĂ©alise. — Gen. 128. Un miracle nĂ©cessaire au bonheur de l’homme Si la rĂ©surrection des morts est une faveur immĂ©ritĂ©e de la part de Dieu, elle n’en est pas moins nĂ©cessaire au bonheur des hommes et Ă  la rĂ©paration de tous les dommages, de toutes les souffrances et de toute l’oppression dont le genre humain a souffert. Toutes ces choses sont autant de consĂ©quences de l’imperfection, de la maladie, mais aussi des guerres, des meurtres et d’autres atrocitĂ©s que les mĂ©chants ont commis, Ă  l’instigation de Satan le Diable, pendant la quasi-totalitĂ© des 6000 ans qu’a durĂ© l’histoire humaine. Nous ne pourrions ĂȘtre totalement heureux si nous ne croyions pas Ă  la rĂ©surrection. L’apĂŽtre Paul le reconnaĂźt en ces termes “Si c’est dans cette vie seulement que nous avons espĂ©rĂ© en Christ, nous sommes les plus Ă  plaindre de tous les hommes.” — I Cor. 1519. DEPUIS QUAND L’HOMME ESPÈRE-​T-​IL EN LA RÉSURRECTION? AprĂšs que le pĂ©chĂ© eut fait encourir la mort Ă  Adam et, par voie de consĂ©quence, Ă  tous ses futurs descendants, Dieu a dit au serpent “Je mettrai une inimitiĂ© entre toi et la femme, et entre ta postĂ©ritĂ© et sa postĂ©ritĂ©. Il te meurtrira Ă  la tĂȘte et tu le meurtriras au talon.” — Gen. 315. La fin de celui qui a causĂ© la mort JĂ©sus a dĂ©clarĂ© un jour aux pratiquants du judaĂŻsme qui s’opposaient Ă  lui “Vous venez, vous, de votre pĂšre, le Diable, et vous voulez accomplir les dĂ©sirs de votre pĂšre. Ce fut un homicide quand il commença, et il n’a pas persistĂ© dans la vĂ©ritĂ©, parce qu’il n’y a pas de vĂ©ritĂ© en lui.” Jean 844. Comme cela ressort de ces paroles, c’est le Diable qui a parlĂ© par l’entremise du serpent. Ce personnage s’est comportĂ© en homicide dĂšs qu’il a commencĂ© Ă  mentir, Ă  calomnier. Dans la vision qu’il a donnĂ©e plus tard Ă  Jean, JĂ©sus Christ a rĂ©vĂ©lĂ© que Satan le Diable Ă©tait aussi “le serpent originel”. RĂ©v. 129. Satan a commencĂ© Ă  exercer son emprise sur les hommes quand il a incitĂ© leur ancĂȘtre commun, Adam, Ă  se rebeller contre Dieu. Ainsi, dĂšs la premiĂšre prophĂ©tie de GenĂšse 315, JĂ©hovah donnait l’espoir que ce serpent serait Ă©crasĂ© voir Romains 1620. Non seulement celui-ci serait meurtri Ă  la tĂȘte, mais encore toutes ses Ɠuvres seraient dĂ©molies, dĂ©truites ou dĂ©faites I Jean 38, MN; JĂ©; Maredsous. Pour que cette prophĂ©tie se rĂ©alise, il faut que soit dĂ©faite’ la mort inaugurĂ©e par Adam. Pour cela, il est nĂ©cessaire que les descendants d’Adam qui sont allĂ©s au SchĂ©ol HadĂšs, Ă  cause du pĂ©chĂ© originel dont ils ont hĂ©ritĂ© les consĂ©quences, en sortent par une rĂ©surrection. — I Cor. 1526. La libĂ©ration passe par la rĂ©surrection L’apĂŽtre Paul a dĂ©crit la situation que Dieu a laissĂ© se dĂ©velopper aprĂšs la chute de l’homme et la raison pour laquelle il l’a permise “Car la crĂ©ation, dit-​il, a Ă©tĂ© soumise Ă  la futilitĂ© [tous Ă©tant nĂ©s dans le pĂ©chĂ© et dans la perspective de la mort], — non de son plein grĂ© [les enfants d’Adam sont venus au monde dans cette situation, bien qu’ils ne l’aient pas voulu et qu’ils n’aient eu aucune part Ă  l’acte d’Adam], mais Ă  cause de celui [Dieu] qui [dans sa sagesse] l’a soumise, — en raison de l’espĂ©rance que la crĂ©ation elle aussi sera libĂ©rĂ©e de l’esclavage de la corruption pour jouir de la libertĂ© glorieuse des enfants de Dieu.” Rom. 820, 21; Ps. 515. Pour voir se rĂ©aliser cet espoir de libertĂ© glorieuse, il faut que les morts ressuscitent, qu’ils soient affranchis de la mort et de la tombe. Ainsi, en promettant la venue d’une “postĂ©ritĂ©â€ qui Ă©craserait la tĂȘte du serpent, Dieu a placĂ© une espĂ©rance prodigieuse devant l’homme. — Voir POSTÉRITÉ. Le fondement de la foi d’Abraham Le rĂ©cit biblique atteste que lorsqu’il a tentĂ© d’offrir son fils Isaac en sacrifice, Abraham croyait que Dieu Ă©tait capable de ressusciter les morts et qu’il entrait dans son dessein de le faire. Du reste, selon HĂ©breux 1117-19, il a bel et bien reçu Isaac d’entre les morts, “et ce fut une illustration”. Gen. 221-3, 10-13. Si Abraham croyait Ă  la rĂ©surrection, c’est parce que Dieu lui avait promis une “postĂ©ritĂ©â€. Gen. 315. De plus, Sara et lui-​mĂȘme avaient dĂ©jĂ  vĂ©cu un miracle comparable Ă  une rĂ©surrection quand Dieu avait ranimĂ© leurs facultĂ©s procrĂ©atrices Gen. 189-11; 211, 2, 12; Rom. 419-21. Le patriarche Job a fait preuve d’une foi semblable quand il a dit, du fond de sa douleur “Ah! si tu me cachais dans le SchĂ©ol ..., si tu me fixais un dĂ©lai et te souvenais de moi! Si un homme valide meurt, peut-​il revivre? ... Tu appelleras, et, moi, je te rĂ©pondrai. Tu languiras aprĂšs l’Ɠuvre de tes mains.” — Job 1413-15. “Une meilleure rĂ©surrection” À propos des fidĂšles du passĂ© Paul Ă©crit “Des femmes ont reçu leurs morts par rĂ©surrection; mais d’autres hommes ont Ă©tĂ© torturĂ©s parce qu’ils n’acceptaient pas de libĂ©ration moyennant quelque rançon, afin d’aboutir Ă  une meilleure rĂ©surrection.” HĂ©b. 1135. Ces hommes ont montrĂ© leur foi dans la rĂ©surrection, car ils savaient que leur vie dont ils jouissaient en ce temps-​lĂ  n’était pas la chose la plus importante. La rĂ©surrection qu’eux et d’autres attendaient viendrait par l’entremise de Christ, mais aprĂšs que celui-ci aurait Ă©tĂ© ressuscitĂ© et qu’il se serait prĂ©sentĂ© devant son PĂšre, au ciel, muni de la valeur de son sacrifice rĂ©dempteur. En effet, par cet acte JĂ©sus a rachetĂ© le droit Ă  la vie du genre humain, de sorte qu’il est devenu, en puissance, “PĂšre Ă©ternel”. HĂ©b. 911, 12, 24; És. 96. Il est “un esprit donnant la vie”. I Cor. 1544, 45. Il a “les clĂ©s de la mort et de l’HadĂšs [SchĂ©ol]”. RĂ©v. 118. Ayant dĂ©sormais le pouvoir de donner la vie Ă©ternelle, il peut en temps voulu opĂ©rer une “meilleure rĂ©surrection”, une rĂ©surrection qui peut dĂ©boucher sur la vie Ă©ternelle. Ceux qui en profiteront ne seront pas condamnĂ©s Ă  mourir Ă  nouveau. S’ils obĂ©issent, ils pourront continuer Ă  vivre. LA RÉSURRECTION CÉLESTE JĂ©sus Christ est appelĂ© “le premier-nĂ© d’entre les morts”. Col. 118. C’est le premier qui ait Ă©tĂ© ressuscitĂ© en vue de la vie Ă©ternelle. Il a Ă©tĂ© ressuscitĂ© “dans l’esprit”, pour la vie cĂ©leste I Pierre 318. En fait, il a reçu une forme de vie et une position plus Ă©levĂ©es que celles qu’il avait eues dans les cieux avant de venir sur la terre. Dieu lui a en effet accordĂ© l’immortalitĂ© et l’incorruptibilitĂ©, ce dont aucune crĂ©ature de chair ne peut jouir, de sorte qu’il est “devenu plus haut que les cieux” et que seul Dieu lui est supĂ©rieur HĂ©b. 726; I Tim. 614-16; Phil. 29-11; Actes 234; I Cor. 1527. C’est JĂ©hovah lui-​mĂȘme qui l’a ressuscitĂ©. — Actes 315; 530; Rom. 424; 109. Toutefois, pendant quarante jours Ă  compter de sa rĂ©surrection JĂ©sus est apparu Ă  ses disciples en diverses occasions dans divers corps de chair, tout comme des anges Ă©taient apparus Ă  des hommes des temps anciens. À l’instar de ces messagers cĂ©lestes, il pouvait former et dĂ©sintĂ©grer de tels organismes physiques Ă  volontĂ© afin de fournir des preuves visibles de sa rĂ©surrection Mat. 288-10, 16-20; Luc 2413-32, 36-43; Jean 2014-29; Gen. 181, 2; 191; JosuĂ© 513-15; Juges 611, 12; 133, 13. Ses nombreuses apparitions, notamment celle qui a eu lieu devant plus de cinq cents personnes, ont dĂ©montrĂ© Ă  l’évidence la rĂ©alitĂ© de sa rĂ©surrection. — I Cor. 153-8; 1221. La rĂ©surrection des “frĂšres” du Christ Dieu a promis aux “frĂšres” de JĂ©sus, Ă  ceux qui le suivent pas Ă  pas, qui sont “appelĂ©s, et Ă©lus, et fidĂšles”, et qui ont Ă©tĂ© engendrĂ©s de l’esprit pour ĂȘtre “enfants de Dieu”, une rĂ©surrection semblable Ă  celle de leur Seigneur RĂ©v. 1714; Rom. 65; 815, 16; HĂ©b. 211. L’apĂŽtre Pierre Ă©crivait Ă  ses frĂšres chrĂ©tiens “BĂ©ni soit le Dieu et PĂšre de notre Seigneur JĂ©sus Christ, car, selon sa grande misĂ©ricorde, il nous a donnĂ© une nouvelle naissance, pour une espĂ©rance vivante, grĂące Ă  la rĂ©surrection de JĂ©sus Christ d’entre les morts, pour un hĂ©ritage incorruptible, immaculĂ© et inflĂ©trissable. Il vous est rĂ©servĂ© dans les cieux.” — I Pierre 13, 4. Pierre dĂ©crit aussi l’espoir de ces Ă©lus en ces termes “Il nous a donnĂ© volontiers les prĂ©cieuses et trĂšs grandes promesses, pour que par celles-ci vous ayez part Ă  la nature divine.” II Pierre 14. Ces chrĂ©tiens doivent donc changer de nature, renoncer Ă  leur nature humaine pour obtenir la nature “divine”, en recevant un corps spirituel comme celui des personnes qui peuplent les cieux. Il leur faut pour cela mourir d’une mort semblable Ă  celle du Christ, dans l’intĂ©gritĂ©, en renonçant Ă  jamais Ă  la vie humaine, au sang et Ă  la chair. C’est alors qu’ils reçoivent un corps immortel et incorruptible semblable Ă  celui du Christ, par la rĂ©surrection Rom. 63-5; I Cor. 1550-57; II Cor. 51-3. L’apĂŽtre Paul explique que ce n’est pas le corps qui ressuscite. Il compare ce phĂ©nomĂšne Ă  une graine que l’on plante et qui germe, en ce que “Dieu lui donne un corps comme il a voulu”. I Cor. 1535-40. C’est l’ñme, la personne elle-​mĂȘme, qui ressuscite, avec un corps adaptĂ© au milieu dans lequel Dieu la fait vivre. JĂ©sus Christ, pour sa part, a donnĂ© sa vie humaine en sacrifice rĂ©dempteur pour les humains. Citant le Psaume 40, le rĂ©dacteur chrĂ©tien de la lettre aux HĂ©breux lui fait dire, quand il vient “dans le monde” en sa qualitĂ© de Messie de Dieu “De sacrifice et d’offrande tu n’as pas voulu, mais tu m’as prĂ©parĂ© un corps.” HĂ©b. 105. JĂ©sus lui-​mĂȘme a dĂ©clarĂ© “Vraiment, le pain que je donnerai, c’est ma chair pour la vie du monde.” Jean 651. Il s’ensuit que le Christ ne pouvait pas reprendre son corps Ă  la rĂ©surrection, car il aurait ainsi annulĂ© le sacrifice qu’il avait offert Ă  Dieu en faveur des hommes. Par ailleurs, le Christ ne devait plus rĂ©sider sur la terre. Sa “demeure” serait dĂ©sormais au ciel, auprĂšs de son PĂšre qui n’est pas chair, mais esprit Jean 143; 424. En consĂ©quence, JĂ©sus Christ a reçu un corps glorieux, immortel et incorruptible, car “il est le reflet de sa gloire [celle de JĂ©hovah] et la reprĂ©sentation exacte de son ĂȘtre mĂȘme [celui de JĂ©hovah], et il soutient toutes choses par la parole de sa puissance; et aprĂšs avoir effectuĂ© une purification pour nos pĂ©chĂ©s, il s’est assis Ă  la droite de la MajestĂ© dans les hauteurs. Ainsi il est devenu meilleur que les anges [qui sont eux-​mĂȘmes des esprits puissants], dans la mesure oĂč il a hĂ©ritĂ© d’un nom plus excellent que le leur”. — HĂ©b. 13, 4; 1012, 13. Les frĂšres fidĂšles du Christ, qui le rejoignent dans les cieux, renoncent Ă  leur vie humaine. L’apĂŽtre Paul montre qu’ils doivent recevoir de nouveaux corps, transformĂ©s et adaptĂ©s Ă  leur nouveau milieu. Il Ă©crit “Quant Ă  nous, notre citoyennetĂ© existe dans les cieux, d’oĂč nous attendons aussi avec impatience un sauveur, le Seigneur JĂ©sus Christ, qui transformera notre corps humiliĂ© pour qu’il soit rendu conforme Ă  son corps glorieux, selon l’opĂ©ration de ce pouvoir qu’il a.” — Phil. 320, 21. L’époque de la rĂ©surrection cĂ©leste La rĂ©surrection cĂ©leste des cohĂ©ritiers du Christ commence aprĂšs le retour de JĂ©sus Christ dans sa gloire cĂ©leste. À ce moment-​lĂ , le Christ s’intĂ©resse en premier lieu Ă  ses frĂšres spirituels. Il est lui-​mĂȘme qualifiĂ© de “prĂ©mices de ceux qui se sont endormis dans la mort”. Paul prĂ©cise ensuite que chacun est ressuscitĂ© en son rang propre “Christ, les prĂ©mices, puis ceux qui appartiennent au Christ durant sa prĂ©sence.” I Cor. 1520, 23. Ces derniers, qui constituent “la maison de Dieu”, sont jugĂ©s au cours de leur vie chrĂ©tienne, depuis la PentecĂŽte I Pierre 417. Ils constituent “une espĂšce de prĂ©mices”. Jacq. 118; RĂ©v. 144. En leur qualitĂ© de “prĂ©mices”, JĂ©sus Christ et ses frĂšres spirituels sont comparables, celui-lĂ  “Christ, les prĂ©mices” aux prĂ©mices de l’orge qui Ă©taient offertes par les IsraĂ©lites le 16 Nisan, ceux-ci ses disciples, “une espĂšce de prĂ©mices” aux prĂ©mices du blĂ©, qu’on prĂ©sentait Ă  la PentecĂŽte, cinquante jours plus tard. — LĂ©v. 234-12, 15-20. Comme ces fidĂšles chrĂ©tiens oints sont dĂ©jĂ  passĂ©s par le jugement, le retour du Christ marque le temps fixĂ© pour leur donner la rĂ©compense, tout comme celui-ci l’a promis en ces termes Ă  ses onze apĂŽtres fidĂšles la veille de sa mort “Je m’en vais vous prĂ©parer une place. ... Je reviens et je vous accueillerai auprĂšs de moi, afin que lĂ  oĂč je suis, vous soyez, vous aussi.” — Jean 142, 3; Luc 1912-23; voir RĂ©vĂ©lation 1117, 18. “Le mariage de l’Agneau” Ces chrĂ©tiens sont collectivement prĂ©sentĂ©s comme sa “[future] Ă©pouse”. RĂ©v. 219. Ils lui sont promis en mariage, et leur union Ă  lui dans les cieux constitue le “mariage de l’Agneau”. II Cor. 112; RĂ©v. 197, 8. L’apĂŽtre Paul espĂ©rait recevoir la rĂ©surrection Ă  cette Ă©poque-​lĂ  II Tim. 48; voir Jean 639, 54, oĂč il est question de la rĂ©surrection “au dernier jour”. Quand commence la “prĂ©sence” du Christ, il y a encore sur terre un certain nombre de ses frĂšres spirituels qui sont “invitĂ©s au repas du mariage de l’Agneau, Ă  son repas du soir”. Toutefois, ceux d’entre eux qui sont dĂ©jĂ  morts en bĂ©nĂ©ficient avant eux, grĂące Ă  la rĂ©surrection RĂ©v. 199. C’est ce qui est expliquĂ© en I Thessaloniciens 415, 16 “Car voici ce que nous vous disons, par la parole de JĂ©hovah que nous, les vivants, qui survivons jusqu’à la prĂ©sence du Seigneur, nous ne devancerons d’aucune maniĂšre ceux qui se sont endormis dans la mort; parce que le Seigneur lui-​mĂȘme, avec un appel de commandement, avec une voix d’archange et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel, et ceux qui sont morts en union avec Christ ressusciteront d’abord.” — Voir I Corinthiens 1551, 52; RĂ©vĂ©lation 1413. En RĂ©vĂ©lation 205, 6, la rĂ©surrection de ceux qui rĂ©gneront avec le Christ est qualifiĂ©e de “premiĂšre rĂ©surrection”. L’apĂŽtre Paul appelle cette premiĂšre rĂ©surrection “la rĂ©surrection d’entre les morts, ... celle qui doit avoir lieu plus tĂŽt [littĂ©ralement “l’hors-rĂ©surrection, celle d’entre les morts”]”. Phil. 311, MN; Kingdom Interlinear Translation. À propos de cette expression de Paul, un ouvrage Word Pictures in the New Testament, de Robertson, vol. IV, p. 454 dĂ©clare “Il semble que Paul ne pense ici qu’à la rĂ©surrection des croyants, d’entre les morts, d’oĂč le redoublement du ek ou ex [“hors de” ou “d’entre”] tĂȘn exanastasin tĂȘn ek nekrĂŽn. Par ces mots, Paul ne rejette pas l’idĂ©e d’une rĂ©surrection gĂ©nĂ©rale, mais il met l’accent sur celle des croyants.” Dans ses Commentaires sur Philippiens 311, Ellicott Ă©crit “La rĂ©surrection d’entre les morts’; c’est-Ă -dire, comme le contexte le suggĂšre, la premiĂšre rĂ©surrection RĂ©v. xx. 5, Ă  la venue du Seigneur, lorsque ceux qui sont morts en lui se lĂšveront d’abord I Thess. iv. 16 et que les vivants seront emportĂ©s pour le rencontrer dans les nuĂ©es I Thess. iv. 17; voir Luc xx. 35. Seuls les vrais croyants bĂ©nĂ©ficieront de la premiĂšre rĂ©surrection qui, selon toute apparence, prĂ©cĂ©dera la seconde, celle des non-croyants et des incrĂ©dules .... Il ne saurait ĂȘtre question ici d’une rĂ©surrection purement morale selon l’idĂ©e de Cocceius.” L’un des premiers sens du mot exanastasis est l’“action de se lever de son lit le matin”. Ce terme peut donc dĂ©signer une rĂ©surrection qui a lieu tĂŽt, ce qui correspond Ă  la “premiĂšre rĂ©surrection”. En anglais, Rotherham traduit Philippiens 311 comme suit “Si je puis, par n’importe quel moyen, atteindre la rĂ©surrection qui a lieu plus tĂŽt, celle qui est d’entre les morts.” UNE RÉSURRECTION TERRESTRE Pendant que JĂ©sus Ă©tait sur le poteau, l’un des malfaiteurs qui Ă©taient pendus Ă  ses cĂŽtĂ©s a reconnu qu’il ne mĂ©ritait pas ce chĂątiment. AprĂšs quoi il lui a demandĂ© “JĂ©sus, souviens-​toi de moi quand tu entreras dans ton royaume.” JĂ©sus lui a rĂ©pondu “En vĂ©ritĂ© je te le dis aujourd’hui Tu seras avec moi dans le Paradis.” Luc 2342, 43. Ce qui revenait Ă  lui dire En ce jour sombre oĂč rien ne semble porter Ă  croire que j’aurai jamais un royaume, tu fais montre de foi. Eh bien, quand j’entrerai dans mon royaume, je me souviendrai de toi.’ Il faudrait pour cela que ce malfaiteur ressuscite. Cet homme n’était pas un fidĂšle disciple de JĂ©sus Christ. Il avait commis le mal au point de se rendre coupable de crimes passibles de la peine de mort Luc 2340, 41. Par consĂ©quent, il ne pouvait espĂ©rer avoir part Ă  la premiĂšre rĂ©surrection. Qui plus est, il est mort quarante jours avant que JĂ©sus monte au ciel, donc avant la PentecĂŽte, qui a eu lieu dix jours aprĂšs cette ascension, quand Dieu a oint par JĂ©sus les premiers disciples appelĂ©s Ă  passer par la rĂ©surrection cĂ©leste. — Actes 13; 21-4, 33. Selon JĂ©sus, ce malfaiteur allait ĂȘtre dans le Paradis. Ce mot signifie “parc ou jardin de dĂ©lices”. En GenĂšse 28, la Septante rend l’hĂ©breu gan, “jardin”, par le grec paradĂ©isos. Le paradis oĂč se trouvera le malfaiteur n’est pas le “paradis de Dieu” promis “au vainqueur”, selon RĂ©vĂ©lation 27, car cet homme n’avait pas vaincu le monde avec JĂ©sus Christ Jean 1633. Le malfaiteur ne serait donc pas membre du Royaume cĂ©leste Luc 2228-30, mais il serait un sujet de ce Royaume au temps oĂč ceux qui seraient passĂ©s par la “premiĂšre rĂ©surrection” s’assiĂ©raient sur des trĂŽnes pour rĂ©gner mille ans avec Christ en tant que rois Ă©tablis par Dieu et par le Christ. RÉSURRECTION DE VIE OU DE JUGEMENT JĂ©sus a fait cette promesse rĂ©confortante pour les humains “L’heure vient, et c’est maintenant, oĂč les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui ont prĂȘtĂ© attention vivront .... Ne soyez pas surpris de ceci, car l’heure vient oĂč tous ceux qui sont dans les tombeaux commĂ©moratifs entendront sa voix et sortiront, ceux qui ont fait des choses bonnes, pour une rĂ©surrection de vie, ceux qui ont pratiquĂ© des choses mauvaises, pour une rĂ©surrection de jugement.” — Jean 525-29. Un jugement de condamnation Dans les paroles prĂ©citĂ©es, le terme “jugement” traduit le grec krisis. Le Dictionnaire grec-​français d’Anatole Bailly Ă©d. 1950, p. 1137 en donne les dĂ©finitions suivantes “I Action ou facultĂ© de distinguer ... II p. suite, action de choisir, choix, Ă©lection ... III action de sĂ©parer, d’oĂč dissentiment, contestation ... IV action de dĂ©cider, d’oĂč 1 dĂ©cision, jugement [“Jour du Jugement”, Mat. 1015] ...; dĂ©cision judiciaire, jugement, condamnation ... 2 ce qui dĂ©cide de quelque chose, issue, dĂ©nouement, rĂ©sultat ... 3 phase dĂ©cisive d’une maladie, crise ... 4 explication, interprĂ©tation d’un songe [Dan. 236, LXX].” Un autre ouvrage de rĂ©fĂ©rence A Greek and English Lexicon to the New Testament, de Parkhurst, p. 342a, Ă©d. 1845 donne comme sens de krisis dans les Écritures grecques chrĂ©tiennes “I Jugement; II Jugement, justice, Matthieu 2323; cf. 1220; III Jugement de condamnation, condamnation, damnation. Marc 329; Jean 524, 29; IV La cause, le motif de la condamnation ou du chĂątiment. Jean 319; V Tribunal des Juifs. Matthieu 521, 22.” Si, en parlant d’une rĂ©surrection de jugement, JĂ©sus pensait Ă  un jugement qui pouvait aboutir Ă  la vie, alors cette rĂ©surrection ne s’opposerait pas Ă  la “rĂ©surrection de vie”. Par consĂ©quent, le contexte indique que le “jugement” annoncĂ© par JĂ©sus est un jugement de condamnation. Les “morts” qui ont entendu JĂ©sus parler JĂ©sus a laissĂ© entendre que lorsqu’il parlait, certains “morts” entendraient sa voix. Pierre a employĂ© une expression analogue quand il a dit “C’est pour cela, en effet, qu’aux morts aussi la bonne nouvelle a Ă©tĂ© annoncĂ©e, afin qu’ils soient jugĂ©s quant Ă  la chair du point de vue des hommes, mais qu’ils vivent quant Ă  l’esprit du point de vue de Dieu.” I Pierre 46. S’il en Ă©tait ainsi, c’est parce que ceux qui entendaient Christ Ă©taient morts dans leurs fautes et leurs pĂ©chĂ©s’ avant d’avoir entendu, mais qu’ils commenceraient Ă  vivre’, spirituellement parlant, grĂące Ă  leur foi en la bonne nouvelle. — Éph. 21; voir Matthieu 822; I TimothĂ©e 56. Jean 529 la fin de la pĂ©riode de jugement Pour bien comprendre Ă  quel moment se situent la “rĂ©surrection de vie” et la “rĂ©surrection de jugement”, il importe de se souvenir de ce que JĂ©sus venait de dire au sujet des vivants qui Ă©taient spirituellement morts voir la section Passer de la mort Ă  la vie’. Nous lisons “L’heure vient, et c’est maintenant, oĂč les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui ont prĂȘtĂ© attention [littĂ©ralement “ceux ayant entendu”] vivront.” V. 525, Kingdom Interlinear Translation of the Greek Scriptures. Manifestement, JĂ©sus parlait, non pas de ceux qui avaient simplement entendu sa voix, mais de ceux qui, aprĂšs l’avoir entendue, l’avaient reçue pour ce qu’elle Ă©tait vraiment. La Bible emploie trĂšs souvent les termes “entendre” et â€œĂ©couter” au sens de “prĂȘter attention” ou d’“obĂ©ir”. Voir OBÉISSANCE. Ce sont donc ceux qui se sont montrĂ©s obĂ©issants qui vivront voir l’emploi qui est fait du mĂȘme terme grec [akouĂŽ] “entendre” ou â€œĂ©couter” en Jean 660; 843, 47; 103, 27. Ils sont jugĂ©s, non sur les actions qu’ils ont accomplies avant d’entendre sa voix, mais sur ce qu’ils font aprĂšs qu’ils l’ont entendue. Selon toute vraisemblance, JĂ©sus Ă©nonçait une idĂ©e analogue quant au temps au sujet de “ceux qui ont fait des choses bonnes” et de “ceux qui ont pratiquĂ© des choses mauvaises”. Il parlait sans doute de leur position Ă  la fin de la pĂ©riode de jugement, considĂ©rant a posteriori les actes que ces ressuscitĂ©s auraient accomplis une fois qu’ils auraient eu la possibilitĂ© d’obĂ©ir ou de dĂ©sobĂ©ir aux “choses qui Ă©taient Ă©crites dans les rouleaux”. C’est seulement Ă  la fin de la pĂ©riode du jugement que l’on saurait qui a fait le bien et qui a fait le mal. “Ceux qui ont fait des choses bonnes” “d’aprĂšs les choses qui Ă©taient Ă©crites dans les rouleaux” recevraient finalement la vie en rĂ©compense. En revanche, “ceux qui ont pratiquĂ© des choses mauvaises” subiraient un jugement de condamnation. C’est ainsi que leur rĂ©surrection s’avĂ©rerait soit une rĂ©surrection de vie, soit une rĂ©surrection de condamnation. Il s’ensuit que les paroles consignĂ©es en Jean 529 ne sont pas Ă  considĂ©rer sous le mĂȘme angle que celles d’Actes 2415, oĂč Paul parle d’une rĂ©surrection “tant des justes que des injustes”. Manifestement, Paul pensait Ă  ceux qui se sont montrĂ©s justes ou injustes au regard de Dieu pendant leur vie. En somme, il s’agit de “ceux qui sont dans les tombeaux commĂ©moratifs”. Jean 528. En Jean 529, JĂ©sus considĂšre ces personnes aprĂšs qu’elles sont sorties des tombeaux commĂ©moratifs au cours du rĂšgne de JĂ©sus Christ et de ses rois et prĂȘtres adjoints, et qu’elles se sont montrĂ©es soit obĂ©issantes, avec pour rĂ©compense la “vie” Ă©ternelle, soit dĂ©sobĂ©issantes, avec pour rĂ©tribution le “jugement” ou la condamnation de Dieu. C’EST L’ÂME ET NON LE CORPS QUI SORT DU SCHÉOL Au vu de l’ensemble des Écritures, il est Ă©vident qu’il n’existe pas d’“ñme immatĂ©rielle” distincte du corps. Quand le corps meurt, l’ñme meurt. JĂ©sus Christ lui-​mĂȘme “a rĂ©pandu son Ăąme jusqu’à la mort”. Pendant que son Ăąme Ă©tait au SchĂ©ol, il n’existait nulle part en tant qu’ñme ou personne És. 5312; Actes 227; voir ÉzĂ©chiel 184; voir ÂME. Par consĂ©quent, la rĂ©surrection ne consiste pas en une rĂ©union de l’ñme et du corps. Cependant, qu’elle soit spirituelle ou terrestre, celui qui en bĂ©nĂ©ficie doit avoir un corps, un organisme, car toutes les personnes, cĂ©lestes ou terrestres, en possĂšdent un. Pour ĂȘtre Ă  nouveau une personne, celui qui est mort doit recevoir soit un corps physique, soit un corps spirituel. La Bible dit “S’il y a un corps physique, il y a aussi un corps spirituel.” — I Cor. 1544. Cela signifie-​t-​il qu’à la rĂ©surrection Dieu reconstitue l’ancien corps tel qu’il Ă©tait au moment de sa mort, ou qu’il en crĂ©e une rĂ©plique absolument identique? Les Écritures rĂ©pondent par la nĂ©gative quand elles disent, au sujet de la rĂ©surrection des frĂšres oints du Christ “Mais, dira quelqu’un Comment les morts doivent-​ils ĂȘtre relevĂ©s? Oui, avec quel genre de corps viennent-​ils?’ Homme dĂ©raisonnable! Ce que tu sĂšmes, toi, n’est pas rendu Ă  la vie si d’abord il ne meurt; et quant Ă  ce que tu sĂšmes, tu sĂšmes non pas le corps qui se dĂ©veloppera, mais un grain tout nu, de blĂ© peut-ĂȘtre ou de l’une quelconque des autres semences; mais Dieu lui donne un corps comme il a voulu, et Ă  chacune des semences son propre corps.” — I Cor. 1535-38. Ceux qui sont ressuscitĂ©s au ciel reçoivent un corps spirituel, car il plaĂźt Ă  Dieu de leur donner un corps adaptĂ© Ă  leur nouveau cadre de vie. Mais quel corps donne-​t-​il Ă  ceux qu’il juge bon de ressusciter sur la terre? Il ne peut s’agir du mĂȘme corps, constituĂ© exactement des mĂȘmes atomes. Quand un homme meurt et qu’il est enterrĂ©, son cadavre se dĂ©compose en Ă©lĂ©ments organiques qui sont absorbĂ©s par la vĂ©gĂ©tation, laquelle peut ensuite servir de nourriture Ă  d’autres personnes. Tant et si bien que les atomes qui composaient le mort se retrouvent dispersĂ©s dans de nombreux organismes. Il est Ă©vident qu’à la rĂ©surrection les mĂȘmes atomes ne peuvent ĂȘtre Ă  la fois dans le mort et dans d’autres personnes. Le corps ressuscitĂ© n’est pas non plus nĂ©cessairement la rĂ©plique exacte du corps de l’individu au moment de sa mort. Si une personne a Ă©tĂ© mutilĂ©e avant sa mort, reviendra-​t-​elle dans le mĂȘme Ă©tat? Il ne serait pas raisonnable de le croire, car elle ne serait peut-ĂȘtre pas en mesure d’entendre et de pratiquer “les choses ... Ă©crites dans les rouleaux”. RĂ©v. 2012. Supposons que quelqu’un soit mort exsangue. Reviendra-​t-​il Ă  la vie sans son sang? Non, car un corps terrestre ne pourrait pas subsister ainsi LĂ©v. 1711, 14. Dieu lui donnera plutĂŽt un corps comme il l’a voulu. Puisqu’il dĂ©sire que les ressuscitĂ©s obĂ©issent aux “choses ... Ă©crites dans les rouleaux”, il devra s’agir d’un corps sain, en pleine possession de ses facultĂ©s. JĂ©sus a bien ressuscitĂ© Lazare dans un corps sain et entier, bien que son cadavre ait commencĂ© Ă  se dĂ©composer [Jean 1139]. C’est ainsi que chacun pourra en toute justice ĂȘtre considĂ©rĂ© comme responsable de ses actes durant la pĂ©riode du jugement. Cependant, les hommes ne seront pas pour autant parfaits quand ils seront ramenĂ©s Ă  la vie. Il leur faudra encore exercer la foi dans la rançon payĂ©e par le Christ et profiter des services sacerdotaux du Christ et de sa “prĂȘtrise royale”. — I Pierre 29; RĂ©v. 510; 206. PASSER DE LA MORT À LA VIE’ JĂ©sus dit de certains qu’ils ont la vie Ă©ternelle’ parce qu’ils entendent ses paroles avec foi et obĂ©issance et qu’ils croient le PĂšre qui l’a envoyĂ©. Au sujet de chacun de ceux-lĂ , il dĂ©clare “Il ne vient pas en jugement, mais il est passĂ© de la mort Ă  la vie. En toute vĂ©ritĂ© je vous le dis l’heure vient, et c’est maintenant, oĂč les morts entendront la voix du Fils de Dieu, et ceux qui ont prĂȘtĂ© attention vivront.” — Jean 524, 25. Ceux qui sont dĂ©jĂ  passĂ©s de la mort Ă  la vie’ ne sont pas des gens qui sont rĂ©ellement morts et enterrĂ©s. Au temps de JĂ©sus, tous les humains se trouvaient condamnĂ©s Ă  mort devant Dieu, le Juge de tous. Ceux dont JĂ©sus parlait Ă©taient donc, selon toute vraisemblance, des hommes qui avaient naguĂšre Ă©tĂ© morts dans un sens spirituel Éph. 21, 2, 4-6. C’est Ă  ce genre de “morts” que JĂ©sus devait penser quand il a dit Ă  un Juif qui voulait rentrer chez lui “Continue Ă  me suivre, et laisse les morts enterrer leurs morts.” — Mat. 821, 22. UNE FAVEUR IMMÉRITÉE DE DIEU La rĂ©surrection des humains est vraiment une faveur immĂ©ritĂ©e de la part de JĂ©hovah, car celui-ci n’était pas obligĂ© d’y pourvoir. Son amour pour le monde des hommes l’a incitĂ© Ă  donner son Fils unique pour que des milliards de gens qui sont morts sans vraiment le connaĂźtre aient la possibilitĂ© de le dĂ©couvrir et de l’aimer, et pour que ceux qui l’aiment et le servent dĂ©jĂ  nourrissent cette espĂ©rance et trouvent en elle un encouragement Ă  lui rester fidĂšles, mĂȘme jusqu’à la mort Jean 316. L’apĂŽtre Paul s’est servi de l’espĂ©rance de la rĂ©surrection pour consoler ses frĂšres chrĂ©tiens. — I Thess. 413, 14. La rançon sera appliquĂ©e Ă  tous ceux pour qui elle a Ă©tĂ© payĂ©e Dieu, qui a dĂ©montrĂ© l’ampleur de son amour et de sa faveur immĂ©ritĂ©e en donnant son Fils pour que quiconque croit en lui ait la vie’, n’allait pas limiter les bienfaits de la rĂ©demption Ă  ceux qu’il choisissait et appelait en vue de la vie cĂ©leste Jean 316. En fait, le sacrifice rĂ©dempteur de JĂ©sus Christ n’aurait pas pleinement rempli son rĂŽle s’il s’était appliquĂ© uniquement Ă  ceux qui deviennent membres du Royaume cĂ©leste. Il n’aurait pas atteint son but, car Dieu dĂ©sirait que le Royaume ait des sujets terrestres. JĂ©sus Christ n’est pas seulement Grand PrĂȘtre pour ceux qui sont sous-prĂȘtres avec lui, mais aussi pour le monde des humains qui vivront lorsque les rois et prĂȘtres qu’il s’est adjoints rĂ©gneront Ă  ses cĂŽtĂ©s RĂ©v. 204, 6. JĂ©sus “a Ă©tĂ© Ă©prouvĂ© en tous points comme nous [ses frĂšres spirituels], mais sans pĂ©chĂ©â€. C’est pourquoi il peut compatir aux faiblesses de ceux qui s’efforcent en toute conscience de servir Dieu. Les autres rois et prĂȘtres ont Ă©tĂ© Ă©prouvĂ©s de la mĂȘme maniĂšre HĂ©b. 415, 16; I Pierre 412, 13. Mais pour qui pourraient-​ils ĂȘtre prĂȘtres si ce n’est pour les hommes, y compris les ressuscitĂ©s, pendant le rĂšgne de mille ans et la pĂ©riode du jugement? Les serviteurs de Dieu attendent avec impatience le jour oĂč la rĂ©surrection sera achevĂ©e. Dans la rĂ©alisation de son dessein, Dieu a fixĂ© pour cela un temps prĂ©cis qui justifiera pleinement sa sagesse et sa longanimitĂ© Eccl. 31-8. Son Fils et lui-​mĂȘme, qui sont Ă  la fois capables et dĂ©sireux de ressusciter les morts, y veilleront en temps voulu. CEUX QUI NE SERONT PAS RESSUSCITÉS Il est vrai que par son sacrifice le Christ a rachetĂ© l’ensemble du genre humain. Toutefois, il a lui-​mĂȘme montrĂ© que l’application de ce sacrifice serait limitĂ©e quand il a dit “Le Fils de l’homme est venu, non pas pour ĂȘtre servi, mais pour servir et donner son Ăąme comme rançon en Ă©change de beaucoup.” Mat. 2028. JĂ©hovah Dieu est en droit de refuser une rançon qui lui serait offerte pour quelqu’un qu’il juge indigne. La rĂ©demption du Christ couvre les pĂ©chĂ©s qu’on a pu commettre parce qu’on descend du pĂ©cheur Adam. Toutefois, on peut en plus pĂ©cher volontairement et dĂ©libĂ©rĂ©ment, et mourir pour ce genre de pĂ©chĂ© qui ne saurait ĂȘtre couvert par la rĂ©demption. Le pĂ©chĂ© contre l’esprit saint JĂ©sus Christ a dit que quiconque pĂ©chait contre l’esprit saint ne serait pardonnĂ© ni dans le prĂ©sent systĂšme de choses ni dans celui qui est Ă  venir Mat. 1231, 32. L’individu qui, selon le jugement de Dieu, a pĂ©chĂ© contre l’esprit saint dans le prĂ©sent systĂšme de choses ne retirerait aucun profit d’une rĂ©surrection, puisque ses pĂ©chĂ©s ne lui seront jamais pardonnĂ©s. JĂ©sus a prononcĂ© son jugement contre Judas Iscariote quand il l’a appelĂ© le “fils de la destruction”. La rĂ©demption ne s’applique donc pas Ă  lui, et comme sa destruction est d’ores et dĂ©jĂ  dĂ©cidĂ©e, il ne sera pas ressuscitĂ©. — Jean 1712. S’adressant aux chefs du judaĂŻsme qui s’opposaient Ă  lui, JĂ©sus a dit “Comment pourrez-​vous fuir le jugement de la GĂ©henne [un symbole de destruction Ă©ternelle]?” Mat. 2333; voir GÉHENNE. Ses paroles indiquent que si ces personnes ne se tournaient pas vers Dieu avant leur mort, elles seraient dĂ©finitivement condamnĂ©es. Dans ce cas, la rĂ©surrection ne leur serait d’aucun profit. Il semble qu’il en sera de mĂȘme de l’“homme qui mĂ©prise la loi”. II Thess. 23, 8; voir HOMME QUI MÉPRISE LA LOI. Au sujet de ceux qui ont connu la vĂ©ritĂ©, qui ont eu part Ă  l’esprit saint et qui cependant sont tombĂ©s, Paul dit qu’il est impossible “de les faire revivre encore une fois en les amenant Ă  la repentance, parce que, pour leur compte, ils attachent Ă  nouveau sur le poteau le Fils de Dieu et l’exposent publiquement Ă  l’ignominie”. La rĂ©demption ne peut plus leur ĂȘtre d’aucun secours. Ils ne seront donc pas ressuscitĂ©s. L’apĂŽtre compare ensuite ces individus Ă  un champ qui ne produit que des Ă©pines et des chardons, qui est rejetĂ© et qui finit par ĂȘtre brĂ»lĂ©. Cela illustre l’avenir qui les attend une destruction complĂšte. — HĂ©b. 64-8. À propos de ceux qui pratiquent le pĂ©chĂ© volontairement aprĂšs avoir reçu la connaissance exacte de la vĂ©rité’, Paul explique encore qu’“il ne reste plus pour les pĂ©chĂ©s aucun sacrifice, mais seulement une sorte d’attente terrible du jugement et une jalousie de feu qui va consumer ceux qui font de l’opposition”. Il prĂ©sente ensuite cette illustration “Quiconque a fait peu de cas de la loi de MoĂŻse meurt sans compassion, sur le tĂ©moignage de deux ou trois. De quel chĂątiment combien plus sĂ©vĂšre ne pensez-​vous pas que sera jugĂ© digne celui qui a piĂ©tinĂ© le Fils de Dieu, qui a estimĂ© comme une chose de valeur ordinaire le sang de l’alliance par lequel il a Ă©tĂ© sanctifiĂ©, et qui a insultĂ© avec mĂ©pris l’esprit de la faveur immĂ©ritĂ©e? ... C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant.” Le jugement est plus sĂ©vĂšre en ce que les individus qu’il frappe ne sont pas seulement tuĂ©s et enterrĂ©s dans le SchĂ©ol, comme ceux qui violaient la loi de MoĂŻse. Ils vont plutĂŽt dans la GĂ©henne, d’oĂč il n’y a pas de rĂ©surrection. — HĂ©b. 1026-31. L’apĂŽtre parle aussi de ceux qui “subiront le chĂątiment judiciaire de la destruction Ă©ternelle de devant le Seigneur et de devant la gloire de sa force, au temps oĂč il viendra pour ĂȘtre glorifiĂ© Ă  propos de ses saints”. II Thess. 19, 10. Ceux-lĂ  ne survivront donc pas pour connaĂźtre le rĂšgne millĂ©naire du Christ. Puisque leur destruction est â€œĂ©ternelle”, ils n’auront pas de rĂ©surrection. Pierre a Ă©crit Ă  ses frĂšres pour souligner qu’en tant que “maison de Dieu” ils sont en train d’ĂȘtre jugĂ©s. Sur quoi il cite Proverbes 1131 LXX pour les mettre en garde contre les dangers de la dĂ©sobĂ©issance. Il laisse ainsi entendre que leur jugement actuel pourrait se solder par une destruction Ă©ternelle, tout comme Paul l’a Ă©crit. — I Pierre 417, 18. ï»żDieun’est pas un fils de l’homme pour mentir. Un homme qui est nĂ© de la femme ment. Il peut ĂȘtre influencĂ© par le diable et il peut mentir. Il peut voir la vĂ©ritĂ© et dĂ©tourner son cƓur de la "Dieu n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a dĂ©clarĂ©, ne l’exĂ©cutera-t-il pas ?" Nombres l'Ăąge de 6 ans, je passais mes vacances chez mon oncle. Il Ă©tait chef de Gare Ă  MontmĂ©dy dans la Meuse. Sa maison Ă©tait situĂ©e en face d’un marchand de chevaux et je passais mes journĂ©es Ă  regarder ces chevaux. Dieu, lui, ne nous dĂ©cevra jamais. Il ne se rĂ©tracte jour, mon oncle me dit qu'il allait m'acheter un cheval ! Je le crus sur parole et tous les soirs, je m'endormais en pensant au magnifique cheval que j'allais avoir. Vers la fin de mon sĂ©jour, il me demanda de l’accompagner pour l’acheter. Il alla discuter dans le bureau du marchand et sortit en me disant "Ça y est. Tu vas avoir un cheval ! " Je l'embrassai de tout mon cƓur, reconnaissant combien cet oncle Ă©tait bon pour moi ! Je ne tenais plus en place disant Ă  toutes les personnes que je rencontrais "Mon oncle m'a achetĂ© un cheval !" HĂ©las, mon oncle m'avait menti. Je n’ai jamais eu de cheval ! Plus tard, je m’aperçus que mon oncle avait un penchant assez marquĂ© pour l’alcool, et qu'il n'Ă©tait pas le hĂ©ros comme je le croyais Ă  l'Ăąge de 6 ans. Il m'avait déçu cette annĂ©e-lĂ . Il n'avait pas tenu ses engagements et mon cƓur d'enfant en fut trĂšs attristĂ©. Notre pĂšre cĂ©leste, heureusement, ne joue pas avec nos Ă©motions et encore moins avec nos sentiments. Il ne change pas d'avis du jour au lendemain. Quand il dit quelque chose, il tient parole. " 
 il est impossible que Dieu mente" HĂ©breux C'est une vĂ©ritĂ© importante qu'il faut graver dans notre cƓur afin de ne jamais l'oublier. La vie est souvent difficile. Il y a des situations que nous ne maĂźtrisons pas et qui sont susceptibles de nous dĂ©cevoir. Cependant, au milieu de ces alĂ©as, une vĂ©ritĂ© demeure Dieu, lui, ne nous dĂ©cevra jamais. Il ne se rĂ©tracte pas. Ce qu’il promet, il l’accomplit. "Fais de l’Eternel tes dĂ©lices, et il te donnera ce que ton cƓur dĂ©sire. Recommande ton sort Ă  l’Eternel, mets-en lui ta confiance, et il agira." Psaumes Une priĂšre pour aujourd’hui Seigneur, tu ne m'as jamais déçu. Je veux placer toute ma confiance en toi. Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous ! u6AP6.
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